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La SAS de Chablis souhaite disposer d’un outil multimédia performant à l’amorce de la rentrée. Objectif : accroître la visibilité de ce spécialiste dans l’accompagnement de transactions commerciales autour des céréales et oléoprotéagineux (blé, colza, orge, pois…) issues du direct ferme. Présent à la session d’échange entre entrepreneurs et apprenants de l’école WEB FORCE 3, le dirigeant Fabien MAURICE a expliqué ses besoins et sa stratégie de développement. Il est sorti de cet exercice satisfait et conquis. Ce n’est pas d’une personne dont il a besoin mais bel et bien de deux stagiaires qui intègreront son entreprise durant quinze jours pour concevoir le canevas du nouveau site…

CHABLIS : OVNI parmi le landerneau des sociétés négociantes en produits céréaliers, IDENTITE CEREALES multiplie les initiatives lui permettant de se distinguer de ses concurrents. La SAS dirigée depuis deux exercices par Fabien MAURICE est la seule sur son créneau à avoir intégré un laboratoire dans ses murs.

C’est un précieux auxiliaire afin de garantir à force d’analyses et de contrôles minutieux la qualité des lots de céréales qu’elle revend ensuite aux entreprises en recherche de matière première : les minoteries et les structures industrielles qui fabriquent l’alimentation animale.

D’ailleurs, aimant pousser un peu plus loin le bouchon du volontarisme, le jeune dirigeant n’a pas hésité à débourser plus de 100 000 euros depuis deux ans, avec le soutien de la Région Bourgogne Franche-Comté, de la BPI et de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, pour s’appuyer sur les services aguerris d’un ingénieur spécialisé dans le secteur de la meunerie. Histoire de maîtriser davantage les arcanes de cette filière professionnelle qui favorise le développement de ses marchés.

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Intégrer deux jeunes apprenants et leur donner la possibilité de s’exprimer…

Fêtant ses vingt-cinq années d’existence, IDENTITE CEREALES possède parmi ses autres prérogatives actuelles la refonte complète de son site Internet. Au-delà d’un simple lifting d’usage lié à une phase de modernisme nécessaire, le besoin s’apparente presque à une création d’un nouvel outil.

Soucieux de maîtriser les coûts financiers d’une telle réalisation, Fabien MAURICE a répondu favorablement à l’invitation du centre pédagogique WEB FORCE 3. Une école qui offre à de jeunes apprenants en informatique l’opportunité de faire leur trou en bénéficiant de stages qualitatifs.

« J’ai trouvé ce principe très intéressant, confie l’entrepreneur de Chablis, après avoir écouté la vingtaine de jeunes candidats à la recherche de ce fameux sésame en entreprise, ayant autrefois travaillé dans le marketing et la communication, je sais ce que cela coûte de concevoir un outil numérique de qualité et performant. Aussi, requérir l’aide d’un stagiaire en sollicitant des apprenants issus d’une école spécialisée est vite devenu une obligation dans mon cas personnel… ».

Cette immersion au sein de l’entreprise durera quinze jours. Un laps de temps suffisamment appréciable pour appréhender convenablement les attendus de la société et de son projet.

Celui-ci fera appel à la créativité et surtout à la débrouillardise des deux jeunes gens qui in fine seront retenus par le directeur général de la SAS.

« Je leur fais confiance pour qu’ils offrent une cure de jouvence, voire une seconde jeunesse à ce site, ajoute Fabien MAURICE, il faut en bout de course que la nouvelle configuration devienne plus lisible et qu’elle soit ergonomique, chaleureuse et…vendeuse ! ».

Le stage débutera le 01er juillet. Placé en binôme, les jeunes gens sélectionnés opèreront avec une certaine latitude en matière de conception de l’ouvrage. Mais, pour l’heure, le choix de l’entrepreneur n’est pas encore arrêté. Muni de cinq CV dans sa besace, Fabien se fixe encore quelques jours de mûres réflexions avant de livrer son verdict définitif quant à ses choix.

Quoiqu’il en soit, il est déjà satisfait de la formule de mise en relation proposée par WEB FORCE 3.


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Les épreuves permettant de désigner le meilleur maître d’hôtel de la planète se dérouleront le 02 décembre prochain dans l’Yonne. Cet évènement exceptionnel où convergera la fine fleur mondiale des spécialistes de cette discipline méconnue de la filière des arts de la table sera accueilli, à l’instar de la sélection des finalistes français début mai, au lycée des métiers VAUBAN. Une douzaine de nations devraient en découdre lors d’une série de quatre épreuves mettant en exergue la dextérité de ces talentueux candidats. La France sera représentée par deux concurrents, portant haut les couleurs de la Bourgogne Franche-Comté…

AUXERRE : On le subodorait depuis quelques semaines mais cette fois-ci la décision a été entérinée par les instances organisatrices de l’évènement. La finale du championnat du monde des maîtres d’hôtel ne se déroulera pas à Bordeaux, comme initialement prévue, dans le cadre du salon EXPHOTEL.

Les forces décisionnelles de ce trophée de prestige en ont décidé autrement. Elles ont porté leur choix sur la capitale de l’Yonne, après la brillante démonstration en matière de logistique et technique qu’elles ont pu apprécier lors de la phase sélective des concurrents français.

Présidée par le Meilleur ouvrier de France, François PIPALA (restaurant Paul BOCUSE), l’épreuve avait réuni une brochette de talents à l’état pur qui devaient constituer le jury de cette édition 2019. Huit professionnels de l’Hexagone multipliaient les prouesses créatives et techniques afin de séduire un jury d’exégètes impitoyables.

Quatre ateliers servaient de tests grandeur nature pour admirer la sagacité gestuelle et comportementale de ces valeureux candidats, n’ayant pas peur de se remettre en question.

La France sera représentée par deux candidats de la région…

Pour mémoire, il s’agissait d’une mise en valeur d’une table après son dressage, de la découpe de volaille devant deux clients, de la maîtrise du flambage dans la réalisation d’un dessert et de la prise de commande d’un menu imposé à appréhender dans une autre langue que sa langue maternelle.

Bref, un exercice à la puissance quatre où sortaient vainqueurs deux jeunes professionnels en devenir : la franc-comtoise Elsa JEANVOINE qui exerce ses activités à l’Auberge de la Poutre à Bonlieu (Jura) – la jeune femme est diplômée de l’école hôtelière de Poligny – et Valentin MEROT, premier maître d’hôtel de l’établissement double étoilé Michelin de Saulieu, La Côte d’Or, restaurant géré par Dominique LOISEAU.

Au-delà de cette désignation, c’est aussi la qualité de l’accueil et des infrastructures offertes par le lycée des métiers VAUBAN qui ont été saluées. Rappelons que Serge GOULAIEFF, lui-même MOF de la discipline, est l’une des chevilles ouvrières de ce grand concours international. Il avait en charge l’organisation de la phase qualificative qui réunissait les candidats français début mai.

Quant à la proviseure de l’établissement, Capucine VIGEL, elle a fait part de sa joie communicative en diffusant abondamment la bonne nouvelle par le prisme des réseaux sociaux…


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Intégrer parmi ses effectifs des techniciens de haute volée ressemble souvent à une sinécure pour la plupart des entreprises du sérail industriel. Le milieu du matériel viticole ne déroge malheureusement pas à cette règle. Elle représente une source d’inquiétude croissante pour les services de ressources humaines, à la peine pour trouver des compétences. Groupe emblématique de par sa structuration et son influence régionale, ALABEURTHE a su prendre le taureau par les cornes, au niveau de l’anticipation, pour résoudre ces problématiques. La société s’appuie sur une politique de formation efficiente afin de sensibiliser les jeunes publics vers cette filière professionnelle…

CHABLIS : Préparer de manière optimale des techniciens qualifiés au rythme de la saisonnalité qui prévaut dans le monde de la viticulture nécessite une période d’incubation de trois ans. Telle est l’équation à laquelle a été confronté le distributeur de matériel agri-viticole de la Bourgogne septentrionale.

Présent sur une vaste zone de chalandise qui s’étale sur quatre départements (Cher, Côte d’Or, Nièvre et Yonne), ALABEURTHE ne lésine jamais à accueillir de nouvelles pousses parmi ses différentes structures.

Favorable au développement d’une relation saine et pragmatique entre le monde de l’enseignement et l’univers de l’entreprenariat, la direction du groupe, pilotée par Gilles MEHL, a choisi de jouer à fond la carte de cette complémentarité intelligente.

Partant du postulat que les métiers de la maintenance se faisaient rares et chers sur le marché, le groupe a optimisé cette stratégie collaborative en se rapprochant de l’un des établissements pédagogiques de la région qui prépare aux métiers de la viticulture et à ses dérivés : l’EPLEFPA de Mâcon.

Un équilibre parfait et constructif entre enseignement et entreprise…

Une approche conceptuelle appréciable puisque sur la seule année 2018, ALABEURTHE a accueilli une quinzaine d’apprentis au sein de ses services. Positionnée sur la revente de matériels destinés à la viticulture pour 70 % de son chiffre d’affaires – le reliquat correspondant à l’autre secteur privilégié, celui des espaces verts -, l’entité devrait initier avec la complicité bienveillante de la direction du centre de formation de Saône-et-Loire de nouveaux cycles de formation à l’automne.

Il s’agirait notamment d’un cursus de type BTS catégorie TSMA, portant sur les spécificités du monde viticole. Grâce à cette création, l’établissement de Mâcon deviendrait le seul centre pédagogique de l’Hexagone à pouvoir la décliner à ses élèves. Son démarrage est effectif dès septembre.

Face à ces récurrentes questions de recrutement, le groupe de l’Yonne n’en consacre pas moins un budget conséquent à la formation continue de ses collaborateurs.

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Une ligne budgétaire de 100 000 euros est ainsi accordée à ce poste chaque année. Soit, dans les faits, plus de 1 700 heures de remise à niveau qui ont été dispensées en 2018 à plus d’une centaine de salariés et cadres.

L’art de l’anticipation face à la robotisation…

En outre, la robotisation de certains métiers de la filière accélère ce processus formatif. Aujourd’hui, ALABEURTHE prend le soin d’anticiper cette révolution technologique qui se profile sur le marché d’ici deux à trois ans.

La complexité des postes et leur diversification obligent le groupe à répondre présent dans sa quête de collaborateurs au potentiel affirmé. Notamment sur des postes de mécaniciens, électromécaniciens, chaudronniers, techniciens en service après-vente ou magasiniers vendeur.

Une stratégie applicable aussi sur le domaine de la motoculture, l’autre versant de l’activité de cette entreprise aux quarante millions d’euros de chiffre d’affaires…


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Trois ans après ses débuts, le redéploiement de la structure passe par une affirmation à l’international où la SARL La Brasserie de Chablis est déjà bien présente dans une huitaine de pays. Toutefois, les deux cousins, Alexis et Vianney MADELIN, n’en oublient pas de conforter leur socle consumériste territorial. Ils proposent désormais des produits conditionnés aux normes spécifiques de la restauration. Au plan honorifique, deux nouvelles distinctions récompensent le travail de ces jeunes entrepreneurs qui ont eu les faveurs de l’Elysée et de son occupant…

CHABLIS : Se redéployer en diversifiant ses activités : c’est aujourd’hui le leitmotiv des deux co-gérants de la Brasserie de Chablis, créatrice d’un produit d’exception, les bières MADDAM. Dont raffolent, depuis octobre 2016 date de l’ouverture de l’entité artisanale, les consommateurs d’une dizaine de pays.

Objectif numéro un du jeune tandem de dirigeants : la montée en puissance de leur enseigne à l’export. Seconde priorité en termes de cible : le marché de la restauration en suscitant l’envie et le besoin.

Sur ce registre, les cousins ont su raisonner à l’unisson comme des frères jumeaux en imaginant une bouteille beaucoup plus adaptée aux consommateurs des bars et restaurants. Alors que le produit standard était servi jusque-là dans des contenants de 50 centilitres, ils ont ajouté une corde supplémentaire à leur gamme, la bouteille de trente-trois centilitres.   

Outre les restaurateurs, la Brasserie de Chablis vise les circuits habituels de la distribution sur cette typologie de produits : ceux représentés par les cavistes, et les commerces alimentaires de proximité, voire les magasins qui promeuvent abondamment les circuits courts et la bio.

Déjà présente à l’export, la Brasserie de Chablis écoule de gros volumes vers son premier client historique et fidèle : le Japon.

Deux nouvelles distinctions saluent la qualité de leur travail…

Saluant la qualité relationnelle et consumériste obtenue dans l’Empire du Soleil Levant, Alexis et Vianney MADELIN ont depuis ajouté d’autres états à ce portefeuille international qui ne cesse de croître.

La Scandinavie, mais aussi les Etats-Unis, le Canada et quelques pays d’Europe de l’Est ne boudent pas leur plaisir à déguster la quinzaine de variantes houblonnées conçues à Chablis.

Quant à Paris, elle demeure un axe prioritaire de leur développement commercial. Constatant avec plaisir qu’il existe une très belle marge de progression.

Auréolés d’une récompense obtenue cet hiver au Concours général agricole, lors du Salon international de Paris, les cousins viennent de glaner deux autres distinctions honorifiques. Il s’agit de palmes d’or dont l’une récompense la bière ambrée « Jardin du prieuré ». Ces accessits ont été décernés dans une école hôtelière de la capitale par un jury de 70 experts, membres de l’Académie des Vins et de la Gastronomie française.

Pour couronner le tout, les deux garçons ont eu le privilège de fouler les salons de l’Elysée, accompagnés de nombreux représentants de la filière de la brasserie française, pour y rencontrer le président de la République. On ne sait pas en revanche si Emmanuel MACRON a apprécié le noble breuvage, élaboré avec minutie dans la brasserie de Chablis !


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Professeur de service et accueil à l’école hôtelière de Biarritz, Gil GALASSO possède deux titres distinctifs majeurs qui honorent sa déjà longue carrière. Le dénominateur commun de ces accessits est de les avoir obtenus la même année, en 2009. Meilleur ouvrier de France en qualité de maître d’hôtel, ce docteur en histoire contemporaine et auteur de la première thèse jamais consacrée à sa spécialité possède un titre de gloire universel : celui de champion du monde. Logique qu’il soit l’un des deux garants avec son ami, le MOF Serge GOULAIEFF, de la logistique organisationnelle de ces sélections nationales, proposées pour la première fois en France. Qualificatives pour les Mondiaux de novembre, elles ont été accueillies au lycée hôtelier Vauban…

AUXERRE : L’art et la manière de la découpe à table en France à travers les siècles n’est pas simplement une thèse que notre personnage a soutenu pour décrocher son doctorat à l’université de Bordeaux Montaigne. Cet imposant travail de chercheur, ayant nécessité moult déplacements à la Bibliothèque nationale de France à Paris, représente le chef d’œuvre abouti d’une carrière. De sa réelle passion pour ce noble métier des arts de la table, plutôt méconnu du grand public.

En bon pédagogue professionnel qu’il est (il dispense ses cours à l’école hôtelière de Biarritz), Gil GALASSO en a fait un opus de quatre copieux volumes dont les férus des arts de vivre et autres exégètes de la filière se doivent de posséder parmi leurs références livresques.

Gil GALASSO travaille de concert depuis plusieurs mois avec son camarade Serge GOULAIEFF aux préparatifs de cette pré-sélection nationale. L’idée de réunir le nec plus ultra du métier, soit un panel de huit « artistes » des arts de la table, et de leur faire disputer une série d’épreuves correspond à l’un des objectifs de la structure associative : promouvoir la filière.

Sortir de l’ombre pour entrer dans la lumière…

Composée essentiellement de meilleurs ouvriers de France, l’entité exerce son activité avec obstination et perfectionnisme au service des métiers de la salle.

« Le métier de maître d’hôtel est encore trop peu connu du public, concède-t-il, mais, cela n’a rien d’anormal car cette discrétion constitue l’un des éléments de notre ADN… ».

Il existe une étrange similitude avec ce que fut autrefois la notoriété des chefs dans les années 1970. Peu médiatisés, dans l’ombre discrète et rassurante derrière leur piano, ils ont su se faire violence pour devenir de vraies bêtes de scène de la communication aujourd’hui.

Un passage obligé indiscutable qui a servi à sensibiliser toute une génération de jeunes gens ayant capitalisé dans l’exercice de ce métier. 

« Etre maître d’hôtel permet de voyager très facilement aux quatre coins de la planète, poursuit Gil GALASSO, et de faire valoir sa dextérité en négociant un salaire correct. On débute en qualité de commis avant d’être propulsé vers d’autres strates plus rémunératrices : d’abord comme chef de rang, puis en devenant maître d’hôtel, avant de conclure, pourquoi pas, par le titre de directeur de salle. Et ceci entre 25 et 30 ans… ».

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Les souvenirs de réunions familiales vécues à table…

Globe-trotter, Gil GALASSO bénéficiera de ce parcours évolutif dès la sortie de l’école hôtelière où il fut diplômé. Expatrié en Afrique, puis à Londres, avant de s’implanter aux Etats-Unis, il aura profité de ces séjours lointains pour s’ouvrir à d’autres cultures et philosophies.

Le retour en France se fera par le prisme de la formation et de l’enseignement. Pas étonnant que ce professionnel ait voulu transmettre les fibres de sa passion grâce à une thèse universitaire.

« L’art de la découpe à table comporte un aspect sociologique important pour beaucoup d’entre nous, argumente-t-il, même si l’approche du service est complexe et date de plusieurs millénaires. Nous gardons tous, parmi des souvenirs enfouis, le partage des aliments synonyme de réunion familiale le dimanche autour d’une volaille…C’est inscrit dans notre ADN ! ».

Il n’est pas étonnant que l’Elysée respecte ces codes de la bienséance séculaire qui forment notre patrimoine lorsque le président de la République reçoit ses hôtes de prestige dans l’un des salons feutrés afin de redorer le blason de l’Etat…


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