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C’est une question d’équilibre entre partenaires. En filigrane, le maître mot, justifiant la signature de cet accord de coopération entre Paris et le territoire de l’Yonne. Une convention faite de réciprocité, de partage de valeurs qui augure de réelles perspectives à moyen terme pour ses signataires. Ainsi que les filières qu’ils représentent. L’agriculture, fournisseur de denrées alimentaires, et le tourisme dont il sera louable de consolider la promotion dans la capitale…

 

JOIGNY : Ce n’est pas tous les jours qu’un accord de partenariat valide le rapprochement entre la capitale de l’Hexagone et les organismes institutionnels qui défendent les intérêts économiques de l’Yonne.

Ce n’est pas tous les jours, non plus, que l’édile de Paris se déplace sur notre territoire, au demeurant si peu éloigné de la première métropole hexagonale. Surtout, pour y parler développement de projets et d’économie.

Autant dire que la visite de Madame le maire de Paris, Anne HIDALGO, revêtait d’un caractère très particulier à la limite de l’évènementiel. Il suffisait pour s’en convaincre d’observer l’aéropage d’élus et de personnalités présents dans le salon d’honneur de l’hôtel de ville de JOIGNY. Au premier rang desquelles siégeait l’ancien président du Conseil départemental et ministre de la Coopération, Henri de RAINCOURT. Un élu aux appétences LR.

Conviée par Nicolas SORET, maire mais aussi président du PETR Nord-Yonne (Pôle d’Equilibre Territorial et Rural) et de la Communauté de communes du JOVINIEN, Anne HIDALGO ne s’était jamais rendue de manière officielle dans le centre de l’Yonne. L’opportunité lui en a été donnée ce 24 juin. Elle y a paraphé l’important document qui lie désormais la ville monde que représente la capitale à notre territoire.

 

 

Des lentilles vertes à la conquête des cantines parisiennes…

 

De quoi s’agit-il précisément avec la présence de cette liasse de papiers ? De renforcer tout bonnement les relations économiques entre les deux instigateurs de ce partenariat.

La Ville de Paris, via la compagnie « Eaux de Paris », est propriétaire de champs favorisant la captation de l’eau dans l’Yonne, et ce, depuis longtemps. Ne dit-on pas, volontiers, que quatre Parisiens sur dix boivent de l’eau en provenance de notre département ?

L’Yonne possède des vertus nourricières envers la métropole voisine et ses 2,2 millions d’habitants. Grenier fruitier et légumier séculaire de la capitale, le territoire du nord de la Bourgogne a toujours entretenu des relations privilégiées avec sa puissante voisine. Le bois, les céréales, le vin, le lait transitent immuables vers Paris au gré de la rivière et de ses bateaux lourdement chargés. Celle qui coule jusqu’à Montereau, avant de se muer en un fleuve, la Seine.

Effet gigogne en guise de bon procédé : bon nombre de structures industrielles quittent la capitale pour s’installer dans cette partie de la province dans les années 1950 sous l’impulsion de Charles de GAULLE. C’est donc à une vieille histoire d’amour perdurant entre Paris et la terre icaunaise que nous avons à faire avant que celle-ci ne s’altère au début des années 1980.

Entraînant une trop longue période d’oubli.

 

 

 

Mais, le Conseil de Paris a une autre idée en tête. Elle prend corps, en partie, grâce à la maturation du temps. Premier aspect : l’Yonne et la capitale expérimentent l’installation d’agriculteurs bio. Ils produisent des lentilles vertes de très belle facture sur les terrains que possède la métropole lui servant de zone de captation de l’eau. L’expérience enregistre d’excellents résultats. Une fois récoltées, ces lentilles sont ensuite servies directement dans les cantines du XIème arrondissement, sans un quelconque intermédiaire.

Les professionnels de la filière, ceux de la Terre d’Othe, se frottent les mains. Non seulement, leurs produits nourrissent les jeunes têtes blondes scolarisées de la capitale, mais l’initiative, encourageante, augmente la rémunération des producteurs. Un constat positif, à l’origine de l’accord de coopération entériné ce jeudi 24 juin.

 

 

Agriculture et tourisme : les secteurs avantagés par ce contrat commercial gagnant/gagnant…

 

Il y a douze mois, le Conseil de Paris vote à l’unanimité la ratification de cet accord. Il en est de même chez ses deux partenaires icaunais, lors d’assemblées délibératives, le PETR Nord-Yonne, instance présidée par Nicolas SORET, et le PETR du Grand Auxerrois, dont le premier vice-président n’est autre qu’Etienne BOILEAU, signataire ce jeudi.  

Toutefois, un bénéficiaire de cette convention hautement stratégique suit avec moult  intérêts l’évolution du dossier. La Chambre d’Agriculture de l’Yonne qui en a étroitement défini les fondements.

L’organe consulaire, présidé par Arnaud DELESTRE, aurait eu tort de se priver de ces tractations dont il est profitable. L’accord offre, en effet, une immense opportunité pour les producteurs de l’Yonne d’ouvrir grandes les portes du juteux marché parisien. Avec en sus, une garantie de volumes et de prix sur plusieurs années !

 

 

 

Le contenu de ce premier rapprochement qui en appelle peut-être d’autres à terme s’articule autour de trois axes principaux : primo, la fourniture de denrées alimentaires à la ville de Paris ; secundo, la fourniture de matériaux issus de produits renouvelables destinés à la rénovation des logements parisiens ; tertio, l’aide que va apporter les structures ad hoc de la capitale à la promotion des richesses patrimoniales et touristiques de l’Yonne.

En résumé, l’agriculture et le tourisme devraient être les secteurs économiques largement avantagés par ce contrat gagnant/gagnant qui ne demande qu’à se développer très vite.

Une cerise vient aussi se rajouter sur ce gâteau aux subtilités déjà succulentes : la visibilité offerte aux producteurs. Ceux-ci pourraient toujours réinvestir dans des outils de transformation qui leur permettraient de créer de la valeur ajoutée dans notre département.

Un vœu, cher à Nicolas SORET, qui se satisfait pleinement d’engager un travail concret avec le monde agricole…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une simple signature sur un morceau de papier peut-elle changer le cours d’une relation économique ? Si l’on en croit tous les interlocuteurs qui se sont exprimés en ce milieu d’après-midi à Joigny, la réponse est affirmative ! Désormais, la coopération entre la capitale de l’Hexagone et le territoire de l’Yonne devrait s’optimiser et connaître des jours meilleurs…    

 

JOIGNY : Tout sourire, l’édile de Paris Anne HIDALGO appose sa griffe au bas des documents soigneusement rangés dans le parapheur posé devant elle. Son plus proche voisin de table, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny, Nicolas SORET, en fait de même. Un sourire à l’identique sur le visage…

Le ticket politique médiatique de ce jeudi 24 juin sera accompagné dans la démarche par le troisième signataire de cet accord aux réelles perspectives économiques pour la filière agricole, entre autres, soit le premier vice-président du PETR du Grand Auxerrois Etienne BOILEAU.

 

 

La convention de coopération actée entre la capitale de l’Hexagone et l’un des acteurs politiques du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté augure de réelles opportunités à terme puisqu’il prévoit la fourniture de denrées alimentaires et de matériau bio-ressourcés à la ville de Paris ainsi qu’une promotion à la découverte touristique de l’Yonne.

Un partenariat dont nous dévoilerons les enjeux et les impacts dans un article à paraître ce vendredi…

 

Thierry BRET

 

 


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Pierre par pierre, les affres du temps ont endommagé les vestiges de cet ouvrage d’art, érigé en 1684 au-dessus de l’Yonne. Né de l’imaginaire fertile de l’un des architectes ayant les faveurs du Roi-Soleil, Libéral BRUANT, ce monument emblématique de la localité septentrionale du département connaîtra d’ici peu une véritable cure de jouvence afin de lui rendre l’apparence de son lustre d’antan. D’un coût de 356 000 euros hors taxes, le projet a su mobiliser partenaires privés et publics dont GROUPAMA et le Crédit Agricole…

 

PONT-SUR-YONNE : Les premiers coups de pioche sont imminents ! D’ici septembre, débuteront les travaux de restauration de l’un des ouvrages d’art les plus emblématiques du nord de notre territoire, le Vieux-Pont, construit au XVIIème siècle à Pont-sur-Yonne la bien-nommée.

Le nettoyage et la consolidation de ces vestiges patrimoniaux qui enjambèrent jadis la totalité de la rivière débuteront au plus tôt dès la fin de l’été pour une durée comprise entre six à huit mois.

Très abîmé mais en l’absence de tout danger d’effondrement, l’édifice sera de prime abord nettoyé avant d’être renforcé au niveau de ses moellons avec une reprise des joints. Les voûtes et le tablier feront l’objet de travaux de sécurisation avant de recevoir un enduit à la chaux.

La troisième arche, passablement détériorée par les aléas de la météo et le poids des années, bénéficiera elle aussi d’une rénovation très appréciable à son esthétique.

Il sera également réalisé un ponton pourvu d’un tablier en acier galvanisé et revêtement en bois. L’extrémité du monument recevra en outre une construction en verre armé et garde-corps en acier. Des éléments à l’inspiration contemporaine qui n’altèreront en rien la beauté de l’ouvrage, doté dans cette nouvelle configuration d’un éclairage des arches et du ponton approprié.

 

 

Le Vieux-Pont : un édifice originel en bois datant de… 1175 !

 

Classé à l’inventaire des monuments historiques depuis février 1991, le Vieux-Pont, situé à quelques encablures du tout aussi célèbre Pont-Neuf (la construction achevée en 1942 fait depuis peu couler beaucoup d’encre dans le sérail médiatique mais pas pour les mêmes raisons !), a été conçu par l’un des architectes favoris de Louis XIV, Libéral BRUANT.

Détruit pendant le second conflit mondial, plusieurs fois remanié, avant d’être déclassé en amont de la guerre, ce pont a connu des étapes existentielles difficiles au gré de l’histoire, même une fois terminées les exactions sanglantes entre les hommes.

La majeure partie de ces vestiges séculaires disparurent après la Libération et dans les années qui suivirent. Rappelons qu’à l’origine, l’édifice était fait uniquement de bois et ce, depuis…1175 !

Pourtant, l’Association de sauvegarde du Vieux-Pont ne s’en laisse pas compter. Son souhait le plus cher qui justifie sa constitution depuis plusieurs mois n’est autre que la réhabilitation de l’infrastructure la plus emblématique de la commune, chargée d’histoire.

Sous la houlette de son président, Patrick BIELECKI, le projet de rénovation prend forme avec le concours de la municipalité et de son édile, le conseiller départemental Grégory DORTE. Ce dernier voit d’un très bon œil ce projet d’embellissement de l’une des pièces maîtresses du patrimoine local, non loin de l’église qui domine l’édifice. Un site agréable au regard faisant l’objet de la curiosité des touristes.

Architecte, Hervé CAZELLE a présenté un projet très original de valorisation de la structure séculaire ; un concept judicieusement baptisé : « Construire sans oublier ». Un clin d’œil appuyé aux références historiques de ce pont qui a su traverser les siècles en restant arc-boutés sur ses fondations.

Pour mener à bien le projet, la municipalité s’est rapprochée de la Fondation du Patrimoine, et de l’un de ses représentants, en la personne de son délégué régional en Bourgogne Franche-Comté, Jean-Christophe BONNARD.

Objectif de la convention de souscription qui en a résulté : le lancement d’une campagne de mobilisation du mécénat populaire ayant pour vocation de recueillir des fonds indispensables à la restauration de l’édifice. Sachant que le coût global de ces travaux comprenant la maçonnerie, la métallerie, la serrurerie ou encore l’électricité s’élève à 356 000 euros hors taxes.

Conséquence, particuliers, milieux associatifs mais également entreprises ont pu s’engouffrer dans la brèche en devenant de généreux donateurs, bénéficiant d’avantages fiscaux incitatifs. La collecte participative devant à terme rapporter 50 000 euros.

 

 

Des mécènes qui agissent au nom de la préservation du patrimoine…

 

Parmi les acteurs économiques qui ont sauté sur l’occasion, du fait de leurs politiques stratégiques en matière de préservation du patrimoine, deux noms sont à retenir dans une liste qui comprend aussi le SDEY (Syndicat départemental des énergies de l’Yonne, la Région ou le Département).

D’une part, et ce n’est pas une surprise, il y a le Crédit Agricole Champagne Bourgogne. La caisse régionale a pris à sa charge, dans le cadre de son partenariat avec la délégation régionale de la Fondation du Patrimoine l’impression des différents outils de communication, sensibilisant à l’ouverture de la souscription. L’établissement financier intervient également au titre de sa Fondation AGIR.

D’autre part, on retrouve un autre poids lourd du mécénat patrimonial de notre territoire, l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire.

On connaît l’appétence de ce leader du secteur assurantiel pour inscrire dans le marbre son ancrage territorial. Ne serait-ce que dans l’Yonne où la délégation départementale du groupe est très investie à la poursuite de l’embellissement du château de Saint-Fargeau (les souvenirs de Jean d’ORMESSON y font toujours frissonner de plaisir tous les visiteurs qui en apprécient le site) depuis le retour en grâce de la chambre de la Grande Mademoiselle côté joliesse de la décoration.

 

 

Citons également l’illustre demeure du père scriptural du comte de Monte-Cristo, Alexandre DUMAS, qui depuis l’action de mécénat entamée par GROUPAMA, brille de mille feux en séduisant ses innombrables visiteurs de passage au Port-Marly (Yvelines).

Dans le dossier qui nous interpelle, GROUPAMA Paris Val-de-Loire a placé la coquette somme de 25 000 euros dans la corbeille de la mariée, à savoir l’Association de sauvegarde du Vieux-Pont.

Un geste altruiste que son directeur départemental, Jacques BLANCHOT, expliqua lors de sa prise de parole, aux côtés de son président Pascal MAUPOIS, lors de la présentation officielle de ce lancement de projet devant faire place désormais aux travaux.

A ce titre, une signature de convention de mécénat sera officiellement paraphée début septembre par l’ensemble de ces acteurs qui ne veulent qu’une seule chose en vérité : faire en sorte que le Vieux-Pont resplendisse comme au temps jadis tel un joyau architectural sorti de son écrin !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Devra-t-il revoir ses plans, le coureur de l’extrême en quête d’un challenge un peu fou, celui de relier Auxerre à Dubaï à bicyclette ? Devant prolonger son séjour dans l’une des villes les plus orientales de l’Anatolie, Van, l’athlète auxerrois rencontre de sérieuses difficultés pour franchir la frontière iranienne, éloignée à quelques kilomètres de là. En attendant que les choses se bousculent, il tue le temps en faisant du tourisme…à vélo : cela ne s’invente pas, preuves à l’appui !

 

VAN (Turquie) : La moutarde ne lui monte pas encore au nez mais il commence à s’impatienter quelque peu, le champion icaunais à l’assaut de cette fabuleuse pérégrination cycliste à travers une dizaine de pays devant le mener au pied de l’une des plus hautes tours du monde, à Dubaï.

Poursuivant à son rythme (plutôt soutenu pour le commun des mortels) son périple en Turquie, Abderrazzack EL BADAOUI n’a pu franchir la frontière iranienne comme il l’espérait ce mardi.

 

 

 

 

Dès lors, le valeureux coureur a rebroussé chemin vers sa base arrière, la métropole de Van, l’une des dernières grandes agglomérations, sur cet axe si aride et pittoresque reliant l’Anatolie à l’ancien royaume perse.  

Dans l’impossibilité de rentrer dans le pays des mollahs, pour le moment, Abder a converti son temps habituel de circulation sur les routes désertes et montagneuses, par une excursion touristique de Van et de ses environs. A bicyclette, histoire de ne pas perdre la forme physique ! En attendant que les choses s’améliorent ou de trouver un plan B ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Les masques ont fini par tomber. Il en est de même du couvre-feu. L’été frappe ses trois coups et entre en scène, avec comme chaque année, son lot d’activités ludiques, sportives ou culturelles. La ville d’Auxerre vient de dévoiler le calendrier des différentes manifestations qui rythmeront la saison estivale. Avec à la clé un programme à faire pâlir d’envie les « malheureux » partis bronzer sous d’autres latitudes !    

AUXERRE : Que l’on soit Auxerrois ou touriste de passage, il faudrait être d’esprit chagrin pour ne pas dénicher une activité, une visite ou un spectacle, à son goût, dans la liste exhaustive concoctée par la Ville et l’Office de Tourisme pour cet été.

Pour ouvrir le bal des festivités, et en attendant son retour espéré l’an prochain au Parc de l’Arbre Sec, le Festival CATALPA s’installe du 24 au 27 juin à l’abbaye Saint-Germain, dans le parc Paul-Bert et à l’Espacio Piscina. Une randonnée musicale via quatre jours de concerts gratuits à consommer sans modération aucune mais assis, masqués et sur réservation uniquement.

A peine les dernières notes envolées, place au théâtre, à la danse, à la musique classique et au jazz début juillet, avec le « 1,2,3…Festival ». Il se tiendra trois soirs durant à 20h30, sur l’esplanade du théâtre municipal. Annulé l’an passé pour cause de COVID, ce sera aussi du 01er juillet au 28 août, le retour de « Garçon la note ».

Autant de soirées estivales à déguster en terrasse, un cocktail musical là encore, entièrement gratuit, avec une programmation totalisant 45 rendez-vous sur Auxerre et l’Auxerrois ! Une nouveauté cette année, avec la ville de Chablis qui rejoint l’évènement. Comme chaque été, l’opération « Ô la belle toile ! » reprend du service pour des séances de cinéma en plein-air les jeudis soir à l’abbaye Saint-Germain. Avec, et c’est une première, deux soirées en périphérie, à Escolives-Sainte-Camille et Gurgy.

 

 

Les spectacles de rue tiennent le haut du pavé !

 

Place au théâtre de rue les 14 et 15 août prochain et au festival des Rues Barrées. Pas moins de dix compagnies et 32 représentations, gratuites et sans réservation, seront réparties dans différents lieux clos et ouverts de la ville (cours d’école, parkings…), pour des moments magiques rythmés par l’humour et la poésie.

Après le concert de clôture des Estivales de Puisaye en la cathédrale d’Auxerre, dimanche 22 août, ce sera au tour du festival des Arts de la Parole, à donner de la voix samedi 04 septembre dans le décor minéral de l’abbaye Saint-Germain : concours d’éloquence, théâtre, poésie, chanson seront de la partie, avec pour point d’orgue, un concert de la compositrice interprète Jeanne CHERHAL.

« Mens sana in corpore sano… » Et pour retrouver un esprit sain dans un corps sain, rendez-vous au parc de l’Arbre Sec du 08 juillet au 20 août, pour le « Green Stadium ». L’occasion pour les jeunes et adolescents l’après-midi et les adultes en soirée, de découvrir toute une palette de sports proposés par les associations et clubs de la ville : tir à l’arc, paddle, rugby, VTT, zumba, taïchi, yoga, ski nautique, athlétisme, sophrologie…

Les activités au programme sont multiples, avec plusieurs nouveautés cette année, comme le canoë-kayak, le beach tennis, le baptême de plongée ou l’aquagym. Une manifestation qui aura cette année pour fil conducteur, la convivialité et le bien-être pour tous.

Le stade nautique sera également de la partie, autour de l’opération « Savoir nager » : de l’éveil aquatique pour les 4/5 ans à l’apprentissage de la nage pour les plus de 6 ans. Sans oublier les cinq centres de loisirs, tous ouverts du 06 juillet au 06 août et jusqu’à la fin de l’été pour ceux des Brichères et de Sainte-Geneviève.

 

 

Découvrir les atouts touristiques de l'Auxerrois...

 

Labellisés « Pays d’Art et d’Histoire », Auxerre et l’Auxerrois regorgent d’atouts touristiques. Rien de mieux qu’une visite guidée pour en découvrir les trésors, que l’on soit touriste de passage ou habitant du cru. L’occasion cette année, outre les parcours classiques comme le tour de la ville en 80 minutes ou le circuit des plus belles maisons, de nouvelles expériences, comme ces visites entremêlant patrimoine et initiation au yoga.

Les villages viticoles ne sont pas en reste. Chaque mardi, l’oenobus permettra d’en découvrir les paysages et la fraîcheur bienvenue des caves un verre à la main (avec modération bien sûr). Un parcours qui conduira même cette année le visiteur, chaque jeudi, jusqu’à Chablis, en partenariat avec l’Office de Tourisme local.

 

 

Pour en savoir plus… :

www.ot-auxerre.fr

www.auxerre.fr

www.garcon-la-note.com

www.lesilex.fr/catalpafestival

www.auxerreletheatre.com

www.estivales-puisaye.com

 

Dominique BERNERD

 


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