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Quel plaisir toujours que de mettre ses pieds dans notre belle capitale bourguignonne : Dijon. La ville est magnifique. Et, ce n'est pas son superbe musée des Beaux-Arts qui contredirait cette affirmation ! Gourmande, la cité de Côte d’Or l'est assurément. Ce ne sont pas les chefs de son proche passé, MM. COLIN, BREUIL, THIBERT, BILLOUX, DERBORD, et ceux d'aujourd'hui, MM. FRACHOT, KIMURA, UCHIMURA, ZUDDAS ou encore BURDIN qui prétendraient le contraire !

 

DIJON : Une majestueuse halle de marché, toute proche la  petite charcuterie FAUCHON - pas d'homonymie parisienne !- mérite que l'on en pousse la porte. Rien que pour ses  magnifiques oreilles de cochon en gelée ! A proximité, le Café de l'industrie, histoire de trinquer à la Côte de Nuits, de Beaune ou d'ailleurs ! Bref, la gourmandise coule dans les veines de cette ville, où ne manque que rivière ou fleuve !

 

 

Et voilà notre capitale, promue depuis le 06 mai dernier au rang de nouvelle « Gastropole ». Raison de plus pour découvrir cette Cité internationale de la Gastronomie et du Vin, flambante neuve sur ses sept hectares, en lieu et place  de l'hôtel-Dieu.

Le rosoyant tram nous dépose juste devant. Il est midi, bel horaire pour pareille découverte, non ? L'espace est lumineux et sent encore le neuf ! Quant au dédale pavé, il ne manque pas d'une élégance certaine.

 

 

L’âme et la patine de l’ensemble viendront au fil du temps…

 

Autour de nous, de jolis stands souvent bien achalandés se présentent à nos regards : le « Billot » pour la boucherie-charcuterie, la librairie gourmande, un poissonnier, un commerce de primeur, le manège à moutarde qui propose notamment de découvrir celle d'Orléans (miel et chardonnay mêlés). Un peu plus loin, une vitrine aux impeccables cocottes « Le Creuset », reines des cuissons mijotées ! Mais Dijonnais et Dijonnaises viendront-ils y faire leurs courses ?

Tout est fort joli, manquant encore d'âme et de patine. Elles viendront  sûrement avec le temps. On ne peut cependant s'empêcher de penser, à une enclave quelque peu « bobo-isée », rappelant aussi l'éphémère expérience POKEA dans la zone commerciale sud-sénonaise, en 2016.

 

 

Très chère tranche de pâté en croûte !

 

Pour se rafraîchir -  diantre, nous sommes en Bourgogne ! - la terrasse de la cave est plutôt accueillante : le Haute Côtes de Nuits d'un vigneron est à prix raisonnable (22 euros), contrairement à la tranche de pâté en croûte commandée en accompagnement qui facturée à 9 euros correspond à un tarif de 70 €/kg, soit le double d'un véritable artisan-charcutier (30 euros étant le tarif chez les artisans des « Petits cochons », sis à Saint-Clément). A ce tarif, on eut aimé une petite serviette en papier, histoire de s'essuyer ! Sauf que d'essuie-mains, il n'y eut point.

 

 

L’estomac crie famine alors que les restaurants laissent sur la faim…

 

Midi 45 : il est l'heure de déjeuner ! Le restaurant « La Table des Climats » est à côté. Point de menu extérieur affiché, mais entrons. Las ! L'impeccable maître d'hôtel nous explique navré que ce jour-là, le restaurant est totalement privatisé. C'est vrai que précédemment, nous vîmes entrer une cohorte de messieurs d'un âge certain, portant pour la plupart le ruban ou la rosette de la Légion d'honneur, au revers de leur veston ! Tant pis pour nous, pauvres clients, juste désireux de déjeuner et de payer !

 

 

Le temps passe, mais un autre établissement  « Le Comptoir de la Cité » est juste à l'entrée de ladite cité. Il présente une ardoise alléchante. L'entrée de saison est la suivante : asperges vertes, truite fumée et sabayon moutarde, ce qui conviendrait parfaitement. Il reste des places de libre. Bref, tout va bien pour notre petit quatuor. Sauf que la péremptoire hôtesse de salle nous informe ne pouvoir nous accueillir. Je lui en demande la raison, demeurée sans réponse !

 

 

Une bonne adresse pour déjeuner, hors de la Cité !

 

Nous avions faim. Et, la cité ne le comprit pas ! En reprenant le tram, et descendant à l'arrêt « Godrans », je me dis qu'en France, à 13h40, c'est peine perdue pour déjeuner. Sauf que « Chez Léon », un bouchon lyonnais, haut en couleurs, qui nous accueillit avec plaisir (20 rue de Godrans - 03 80 50 01 07).

Service aimable, cuisine simple et bonne dont une délicieuse tête de veau, et en dessert de bonnes crêpes « Suzette » flambées. Sur la carte des vins, impeccablement écrite sur un cahier, nous dénichons une petite pépite que votre serviteur vous recommande chaudement : un Bourgogne Pinot noir du domaine Philippe et Hélène LIVERA, vignerons à Gevrey-Chambertin, à la concentration intense.

Il est maintenant l'heure de retrouver la gare de Dijon et de monter, dans le TER Bourgogne. Pour quelques mois encore, on peut profiter du confort suspendu des antiques (1975) wagons Corail,  tractés par une locomotive. Dans quelques temps, ce matériel roulant, symbole d'une époque où SNCF rimait avec confort, sera ferraillé et remplacé par de « modernistes » rames « Regiolis », à l'inconfort latent. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Le goûteux breuvage coulera certainement à flot. Mais, pas trop et dans les limites de la consommation raisonnable, il va de soi ! D’autant que Dame Météo prévoit des températures radieuses en ce futur week-end du mois de mai. Toutes les conditions sont donc réunies pour faire de ce premier évènementiel, porté par le Comité des fêtes local, une vraie réussite populaire. Alors, santé ?

 

APPOIGNY : Les organisateurs tablent sur plusieurs milliers de visiteurs. Une tendance côté fréquentation jugée trop optimiste, voire totalement démesurée ? Pas si sûr ! D’une part, avec la prédominance de l’astre diurne et de belles températures aidantes, on devrait voir le monde affluer lors de cette première édition de la Fête de la bière. D’autre part, il ne s’agira pas de n’importe quelles bières !

Ce seront celles proposées par une douzaine de brasseurs à 100 % made in Yonne qui, selon les diversités et leurs parfums, feront chavirer d’aise l’ensemble des amateurs. Et, sur ce registre, ils sont légion, même dans le pays de la viticulture !

L’idée est géniale et repose autour de trois objectifs pour les créateurs de l’évènement. Déjà, on privilégie la sortie entre amis ou familiale. Un plus, indéniable, malgré la morosité de la conjoncture et après deux années de privation, imputables à la crise sanitaire.

Ensuite, pour les aficionados de la dive boisson, ce sera l’opportunité de satisfaire ses papilles en goûtant et en appréciant les différentes recettes de ces brasseurs du terroir icaunais. On l’a déjà précisé : une douzaine et non des moindres !

Enfin, au plan davantage touristique et arts de la table, c’est une excellente opportunité de valoriser le savoir-faire de nos producteurs et de découvrir des talents brassicoles en devenir.

Bref, du trois en un qui devrait ne laisser personne sur la soif !

Parallèlement, le Comité des fêtes, soutenu par la municipalité, concoctera un programme culturel plutôt éclectique avec une série de concerts, devant ponctuer les deux journées. Entre celtique et pop rock, variété et fanfare.

 

 

En savoir plus :

 

Seront présents les brasseurs suivants durant les deux jours

FAYYAR,

Brasserie La TRUITE,

Grand-Duc Microbrasserie,

Brasserie MONCLEM,

HOUBLONS d’Exception,

Microbrasserie Odile t’en brasse,

MADDAM Bière fine de Chablis,

Brasserie La CUVERIE,

Bières de la Colline,

Brasserie LA VAUGERMAINE,

Gîte et Ferme de la GRENOUILLETTE,

Brasserie du Mont Givre.

Du Samedi 14 mai de 11h à 02 h au dimanche 15 mai de 11h à 18h.

Entrée : 10 euros avec pack festivalier

5 euros pour les enfants.

 

Thierry BRET

 


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Il y a un an, y'a un siècle, y'a une éternité, chanta Joe DASSIN, dans l'un de ses innombrables succès ! Plus précisément, ce fut à l'automne 1986 (ou 87) que je poussais à Sens, pour la première fois, la porte de ce nouveau restaurant, à la réputation déjà bien établie. A l'accueil, Odile, la souriante patronne était enceinte, et aux fourneaux, il y avait Pascal, son mari, fils d'aubergistes et ancien second au relais de Villeroy. Son chef d'alors, Michel CLEMENT, me confia souvent que Pascal fut son meilleur second. Quoi de plus naturel, pour ce fils d'aubergiste (Le Bon Abri à Rosoy).

 

SENS: Il me semble que nous avions pris en entrée, un feuilleté d'escargots au curry ! Je garde un souvenir précis de ce dîner, dans cette table provinciale et confortable d'alors. L'on y accédait, par la grande rue, où de beaux et bons commerces se succédaient les uns après les autres : une coutellerie,  une  épicerie chez ROUIF, une droguerie chez PAYEN, une crémerie chez PARRET, deux graineteries.

Bref, tout allait pour le mieux au « Clos des Jacobins ». Mais hélas, lorsqu'au début du siècle suivant, Pascal tomba malade, la courageuse Odile dut faire face. Elle se retrouva veuve avec trois enfants, et put compter sur Jean-Marie, le second de Pascal, qui dans ces tristes circonstances devint le chef de la maison. Il avait comme consigne de continuer le sillon tracé par Pascal : de bons produits de saison bien cuisinés. Et bien servis aussi. Ce n'est pas Fabien PAIRON, MOF charcutier-traiteur 2011 – voir l’article récent sur son auberge communale suisse) -, ancien arpète de la maison, qui dirait le contraire. Lui qui œuvra aux côtés de chef Pascal.

 

 

Une assiette savamment nettoyée qui repart à la plonge !

 

Depuis lors, pas mal d'eau a coulé sous le proche pont d'Yonne. Et lorsque régulièrement, l'on me demande où bien manger dans le centre-ville de la cité de Brennus, c'est l'adresse que j'indique, sans risque de me tromper !
Il est midi et demi ce lundi-là. A l'accueil, c'est toujours la souriante Odile. Le temps semble n'avoir point de prise sur elle. Et pourtant, elle serait heureuse de vendre à un couple de jeunes restaurateurs motivés, de les accompagner un temps certain, avant de tirer sa révérence avec élégance.

En attendant, l'on se cale dans un confortable fauteuil du petit salon, juste histoire de siroter un bon « Américano ». A la table voisine, le paternel de  la patronne. Ce vaillant nonagénaire venu à pied, déguste une « p'tite coupe », bien méritée !

A table  le menu à 32 euros est un modèle du genre. Il change régulièrement,  même si certains mets y sont incontournables, telle la terrine de la mer sauce Chablis. Ce plat est délicatement fumé. La sauce y est onctueuse. C'est juste délicieux. Peut-être plus trop à la mode, et c'est tant mieux ! Bien sûr l'assiette ne repart pas à la plonge, sans avoir été saucée comme il se doit !

 

 

Des abats impeccablement servis et bons à déguster…


En plat, un autre incontournable de la maison : la tête de veau, pommes vapeur, et sauce ravigote (plus digeste que la gribiche, reconnaissons-le !). L'assiette est élégamment dressée. Elle est accompagnée d'une utile petite saucière. C’est le régal des amateurs d'abats, nombreux dans l'Yonne. On en profite pour saluer les sympathiques frères MAGNONI, les tripiers icaunais de nos marchés ! Les derniers, en fait.

Quant aux rognons de veau au poivre vert, ils sont servis impeccablement rosés. Ils sont accompagnés de petites endives, parfaitement braisées et bien colorées par le fait.

 

 

 

La subtilité goûteuse de la tartelette aux fraises, une merveille !

 

Le fromage blanc aux herbes variées semble s'imposer, telle une évidence. Il est proposé avant un délicieux dessert de saison. Il s'agit d'une tartelette aux fraises, à la fine abaisse de pâte sucrée. Elle est plus légère qu'une pâte sablée, dirons-nous. Le tout est surmonté de ce fruit délicieux lorsqu'il a été bien acheté, comme de bien entendu. C’est un grand dessert préparé dans sa simplicité et sa gourmandise, qui ici, comprend aussi un baba au rhum de belle tenue. Ce sera pour la prochaine fois !

 

 

Un café-truffe au chocolat pour terminer et puis l'on claque la bise à Odile, se promettant d'y vite revenir dans ce bel antre gourmand !

Souvenons-nous en 1972. Georges POMPIDOU est le Président de la République. Michel FUGAIN chante : « C'est un beau roman ». Et chez nous dans l'Yonne, se crée l'Amicale des Cuisiniers départementale. Pour honorer ce cinquantenaire, nos amis ont édité ce bel opuscule de recettes. En libre-service dans toutes les belles maisons ! Entre pot au feu irlandais, épaule d'agneau à la champenoise et tiramisu bourguignon : quel cruel et gourmand dilemme !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : peut-être que la sélection vineuse mériterait-elle deux à trois références en plus.

Les + : le cadre est élégant, l'assise est confortable : cela est fort agréable !

Contact : 

Le Clos des Jacobins

49 grande Rue 89100 SENS

Parking à côté de l’établissement

Téléphone : 03.86.95.29.70.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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C’est simple comme de dire bonjour ! Deux minutes, à peine, suffisent pour télécharger sur son smartphone le nouvel outil numérique proposé par le Conseil départemental de l’Yonne. Une appli gratuite, désireuse de par sa fonctionnalité accroître la visibilité et la compréhension de ce territoire sous ses diverses formes. Tant pratiques que ludiques. Un vadémécum utile à mettre entre toutes les mains ! On adhère…

 

AUXERRE : Un laps de temps écourté au possible et voilà que le tour est joué après son téléchargement : la nouvelle application promue par le Département de l’Yonne figure dans l’une des rubriques de votre smartphone, catégorie « information de l’Yonne », à titre d’exemple !

Reconnaissable grâce à son nouveau logo, jouant astucieusement côté graphisme sur la symbolique du chiffre « 9 » (le 89), se métamorphosant en un curieux et très agile « y » au dynamisme évident, évoquant l’initiale caractéristique de l’Yonne, l’appli s’utilise à bon escient avec une extrême aisance.

Même un potache de cinq ans pourrait naviguer dessus sans l’once d’une difficulté, sachant que ces chères têtes blondes sont déjà à leur âge totalement inféodées à la pratique du numérique !

Reste que cet auxiliaire digital judicieux à la connaissance renforcée du territoire s’adresse davantage aux cheveux d’argent qu’aux jeunes bambins. Quoique !

Car l’avantage de ce dispositif est qu’il peut intéresser tous les membres de la famille. S’il y a un besoin de renseignements sur telle ou telle activité sportive pratiquée sur le territoire, la connaissance des séances de cinéma, la découverte de nouvelles expositions artistiques mais également des éléments informatifs liés à la restauration et aux loisirs.

 

Tout sur tout : un accès facile et pertinent aux informations départementales…

 

En soi, ce gadget à porter de main (le plus souvent à distance très courte si le smartphone n’est pas posé sur la table de chevet, voire sous l’oreiller comme aiment à le ranger la plupart des ados !) devient un facilitateur pour mener rondement votre quotidien, services compris !

Emploi, éducation, tourisme, agenda, culture, sport, santé, loisirs, infos… : on se demande bien ce qu’il peut manquer dans ce vaste catalogue miniaturisé offerte par l’intelligence numérique !

Même les seniors sont à la fête ! Car, ils bénéficient eux-aussi de leurs rubriques qui ne peuvent que susciter leur intérêt à l’usage. La pastille « météo » en lien avec les services de Météo France devrait déjà leur fournir les renseignements nécessaires à leur code vestimentaire avant toute sortie.

 

 

Un outil permettant la géolocalisation, et un sérieux plus !

 

Question qui nous brûle les lèvres, nécessairement ? Et pour celles et ceux qui n’habitent pas ce département, existe-t-il un réel intérêt à consulter cette appli novatrice ?

Oui, et trois fois, oui ! Car, au-delà des bonnes adresses gastronomiques à savoir, on découvrira cette Yonne qui attire son lot de touristes dès le printemps revenu via des visites guidées, ses marchés et ses expositions, sans omettre ses foires. Cerise sur le gâteau (ça tombe bien car l’Yonne est aussi la contrée de ce fruit rouge et goûteux !), la géolocalisation activée dès la première manipulation sur l’appli personnalise du mieux possible votre soif de renseignements.

Mentions spéciales pour le volet hébergements, les aides à domicile, la liste des collèges, les prestations des services publics, etc.  

Les férus d’informations institutionnelles (si, si, il y en a !) ne manqueront pas de dévorer les numéros du « Fil de l’Yonne », le magazine départemental concocté dans sa version digitale par le service communication du vénérable organisme. De même, un fil d’info national permet de se tenir au courant de l’actualité à la moindre lecture. Enfin, la présentation de l’ensemble des élus qui compose l’équipe départementale est astucieuse. Au moins, l’utilisateur sait qui est qui dans cet organigramme, visuels à l’appui !

 

 

Des outils de communication totalement relookés !

 

La création de ce média supplémentaire traduit la volonté de l’institution départementale d’accroître les moyens de communication envers le grand public. En ce sens, « Yonne dans ma poche » s’intègre à la panoplie des possibilités existantes, avec un magazine newlook, « Au Fil de l’Yonne », totalement revu dans sa configuration, et la nouvelle identité visuelle, illustrée depuis peu par ce logo aux lignes modernistes, épurées et flamboyantes.   

Ce projet digital a été porté avec le concours de l’opérateur ORANGE dans sa conception technologique. Il a nécessité un budget de 35 000 euros, un coût tout à fait raisonnable pour une telle réalisation, la première du genre en Bourgogne Franche-Comté. Désormais opérationnel, il n’y a plus qu’à l’utiliser sans aucune modération !

 

Thierry BRET

 

 


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Lorsque mercredi, la partie ludique de la foire fut inaugurée en compagnie de la « Reine des forains » - une belle tradition s’il en est -, on aurait presque pu imaginer, qu'après quelques 1 100 jours, sortant comme pétrifiée ou de cire digne du musée Grévin (encore un icaunais !), la scène sénonaise, par un coup de baguette magique, revenait à elle. Madame la maire, Marie-Louise FORT, son sémillant premier adjoint Paul-Antoine de CARVILLE, Chris LAMOUREUX, sympathique patron des forains, Clarisse QUENTIN, adjointe au commerce et les autres se retrouvaient tous là. Comme trois ans auparavant !

 

SENS : Si l'on peut parfois regretter qu'en France les arts et traditions populaires ne se soient pas maintenus dans leurs rites immémoriaux, ici à Sens, cela perdure. Et, c'est heureux ! Après deux années sans, bienvenue le long des promenades bordant la Foire de Sens, 93ème du nom, existante, sous sa forme actuelle, et après quelques évolutions, depuis 1922, excusez du peu !
Il suffit d'y flâner, d'y humer l'air de ces imposantes promenades, pour comprendre, combien ce moment – « LE » moment de Sens devrait-on dire... - est attendu par chacune et chacun, de 7 à 77 ans d'ailleurs !
C'est le moment des retrouvailles annuelles, de celles et ceux que l'on ne croise qu'une fois l'an sur ces fameuses promenades, de rencontres inattendues et appréciées, aussi. Sans faire de l'inutile sociologie à deux balles, la Foire de Sens, c'est un peu de tout cela, un cocktail de rencontres, de produits appréciés, du plaisir de s'attabler aussi (mention spéciale pour le très novateur pôle gastronomique et ses tables conviviales, autour de voisinage parfois inconnu, entre escargots d'Armeau et burgers de Saligny, le palais balance !).

Et, cadeau supplémentaire de ce retour, à l'heure où nous mettons sous presse - selon l'antique formule consacrée - quel plaisir de faire mentir l'adage sempiternel : « beau temps à la foire de Montereau, mauvais temps à Sens ! ». Il y a du soleil sur la France, chantaient STONE et CHARDEN dans les années soixante-dix. Il y en a aussi pour la foire de Sens !

 

 

Les odeurs des étals et le plaisir des retrouvailles…


Il y a moins d'exposants cette année. Comment pourrait-il en être autrement après ces deux dernières saisons ? Mais, toujours pour ces derniers, le plaisir de retrouver leur secteur, les tentes blanches de la maison CHOUBARD, sise à Lainsecq, et surtout leur public ! Les allées sont encombrées. Les effluves d'oignons grillés ou de curcuma envahissent l’esplanade : cela ne se raconte pas, mais plutôt se vit !
Ah ! Tiens Marie et Raphaël, quelle bonne surprise de se croiser ! Attablons-nous, l'espace d'un instant, dans l'hémisphère sud, chez « Coco Run », entre rhum arrangé mangue, accompagné de quelques bouchons et samossas. Et attention à la doucereuse dénomination de bonbon : délicieux, mais un rien pimenté !

La magie de cette foire gratuite en site propre vient encore de frapper !

 



   

Vingt-cinq foires au compteur pour Dominique, le speaker officiel…

 

Direction les quais ! Ils sont magnifiquement embellis, depuis de récents travaux. L'exposition sur les foires d'antan est des plus émouvantes, et révélatrice aussi de l'évolution de nos sociétés. Un chiffre indique qu’en 1939, il y avait 600.000 visiteurs. Ils sont encore quelques cent mille aujourd'hui ! Ce joli point de départ ne mériterait-il pas de faire partie intégrante du parcours « foire » ?

Au hasard de notre montée - ou de notre descente, c'est selon ! - l'on croise les
vignerons du Domaine du Mas des Tynes, Mireille et Jérémie GILOUX, sympathiques représentants de la Bourgogne dite du soleil. Une goutte de leur Pouilly-Fuissé redonnerait le moral ardent au plus triste des visiteurs !
Tiens voilà Dominique, l'animateur à la blanche crinière, et reconnaissable de loin, avec sa veste bleue flashy. Vingt-cinq foires au compteur, toujours le sourire, une petite interview d'une nouvelle exposante - Vanessa est savonneuse puisqu'elle en fabrique ! - un mot d'encouragement pour terminer et c'est reparti pour cette belle voix de radio-foire !

 

 

Mais pourquoi avoir supprimé le « Brennus », concours des vins si valorisant ?

 

Bientôt, ce sera la saison des cerises pour l'ami LEMOULE, vigneron à Coulanges-la-Vineuse. « La ora na Steeve ! ». Ses origines polynésiennes lui permettront de répondre. L’un de ses vins a encore été récemment primé lors du prestigieux « Tastevinage » au château du Clos-Vougeot, et sur son accueillant comptoir, encore apposés tels des vestiges d'un proche passé, ces récompenses du Brennus 2019, ancien concours des vins de nos exposants  dont on comprend mal la suppression.

Certes « du passé faisons table rase » se chante dans l’Internationale, mais pas forcément chez ces honnêtes servants de la vigne et du vin qui exercent un délicat métier s’il en est, que cette petite manifestation vineuse était heureuse de mettre à l'honneur ici, tout simplement.
La Foire de Sens : c’est un plaisir retrouvé. « A l'année prochaine, on se r'voit d'accord ?! ».

 

Gauthier PAJONA

 

 


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