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Il y a déjà vingt ans que le Conseil d’orientation des Retraites (C.O.R), initié par le Premier ministre de l’époque, Lionel JOSPIN, existe. Véritable comité « Théodule », autant dire un énième dispositif de plus dont les prévisions stratégiques n’ont pour objectif que d’intéresser celles et ceux qui les produisent, émet des hypothèses de tout ordre sur les équilibres financiers des retraites pour les prochaines années. Voire les futures décennies, bien au-delà même de l’horizon 2050. La matière grise des esprits éclairés de ce comité atypique puiserait-elle sa source dans l’histoire exotique d’un personnage sorti de l’univers des « Mille et une nuits » de la Perse ? On peut le supposer à la lecture des lignes qui suivent…

TRIBUNE : Je vais vous narrer l’histoire de Nasr Eddin HODJA. Il proposa un jour au Shah de Perse d’apprendre à lire à son âne dans un délai de dix ans. A la fois intrigué et séduit par cette proposition fort curieuse, le Shah l’assura de lui verser une pièce d’or à la fin de chaque mois jusqu’à ce que l’âne parle. Mais, il l’avertit en parallèle que si l’âne restait muré dans le silence à l’issue de ces dix années, lui, Nasr Eddin HODJA serait alors décapité.
À la sortie du palais, les amis de ce personnage furent consternés : « Comment as-tu pu faire une proposition aussi insensée ? » s’exclamèrent-ils !

« Ne vous inquiétez pas, répondit-il calmement le sage, d’ici dix ans ou le Shah ou l’âne ou moi, l’un des trois de toute façon, sera mort… ».
Ainsi, le Conseil d’orientation des retraites prévoyait dans son rapport de 2007 que les caisses de retraite complémentaire, AGIRC ARRCO, seraient en déficit autour des années 2020.

Comment décrire l’improbable : la vision du monde de 2050 ?

Dans l’absolu, l’AGIRC l’est depuis 2010. Malgré tous les artifices comptables possibles et inimaginables. Cette prévision du C.O.R. est à mettre au regard de la dure réalité : en 2016 la somme des déficits AGIRC ARRCO atteignait la bagatelle de quatre milliards d’euros.

Elle s’élevait à trois milliards l’année suivante. Fin 2018, on embouchait les trompettes pour dire qu’elle n’était que de deux milliards. Soit au total, neuf milliards d’euros sur trois ans. Mais, qu’en sera-t-il avec exactitude en 2019 et 2020 ?

Quelqu’un a eu l’idée géniale de fusionner les caisses ARRCO et AGIRC du fait du déficit de cette dernière. Mais, le contraire eut été impossible. Surtout lorsque l’on constate qu’il y a quatre millions de cotisants pour 2,8 millions de retraités ?

Est-il nécessaire d’avoir fait un jour des études à Polytechnique pour comprendre cet exercice d'arithmétique purement élémentaire ?

Cette fusion, dans mon modeste essai intitulé, « Des retraites nous n’en aurons pas ! A moins que … »,  je l’ai qualifiée « de trou dans le trou », comme le fameux trou du célèbre sapeur Camembert.

Aussi, est-il logique qu’un think tank prévoit que « si rien ne change, la dette vieillesse de 2050 pèsera plus des trois quarts de la richesse nationale… ». 

Quand on sait, selon une enquête du Comité Economique, Social et Environnemental, que près de la moitié des Français ne possèdent même pas cent euros dans leur besace la fin du mois. Il n’est donc pas besoin d’être devin pour savoir ce qui se passera d’ici quarante ans. Ce qui semble d’ailleurs être le cadet des soucis de bon nombre de personnes vivant en ce bas monde !

Quant à la notion de « richesse nationale », elle n’est qu’une abstraction stratosphérique pour la majorité d’entre eux !

Ainsi, le C.O.R, les think tanks, les économistes et autres exégètes de la retraite élucubrent de manière récurrente des prévisions inspirées par la brillante et irréfutable pensée du fameux Nasr Eddin HODJA. Dans quarante ans, personne ne pourra venir leur porter contradiction.

Toutefois, réfléchissons quelque peu : quel économiste aurait pu décrire au début de l’année 1914 la situation de l’Hexagone de 1964 ? Ou en 1979, comment se présenterait le monde de 2019 ?

Un système de retraites devenu obsolète et imparfait…

Nos prétendus experts scrutent tous ces espaces intersidéraux par le mauvais bout de la lorgnette. Ils ne voient pas l’immense trou qui se trouve à leurs pieds. Une fosse abyssale vers laquelle nous glissons petit à petit de manière irrémédiable…

En revanche, ce que personne ne veut voir : c'est que le système de retraites, qui a vu le jour en 1945, est totalement obsolète en l’état ! Dois-je rappeler que nous sommes en 2019 !

Depuis, tout a changé. A commencer par la démographie. Il y avait à l’époque sept actifs pour un retraité. Le ratio est maintenant de 1,6. Il y avait 2,2 milliards d’habitants sur Terre dont seulement 600 millions vivaient en économie de marché. Il y a désormais 7 milliards d’individus sur la planète dont 5,5 milliards ont engagé une compétition féroce pour fabriquer et vendre des produits dans le monde entier. Que la plupart du temps les consommateurs n’utilisent pas !

Ne parlons pas du développement exponentiel des robots et de l’intelligence artificielle : cela va éliminer des millions d’emplois à une vitesse vertigineuse ces prochaines années !

Quant à la transition énergétique et le sauvetage de la planète dont on nous abreuve à longueur de journée, cela exige des milliards d’investissements et un changement comportemental qualifié de radical. Or, personne  n’ose le dire mais nous ne sommes pas  prêts !

Et que dire de tous ces gens qui veulent étayer un bâtiment déjà vermoulu : notre système de retraite hérité de 1945, avec des fétus de paille, qui est aujourd’hui totalement caduque…

Emmanuel RACINE

 


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Un texto de quelques lignes qui tombe sur le smartphone juste avant de passer à la postérité. Il est 9h13 sur les côtes britanniques. Le nageur de l’extrême Icaunais prévient l’ensemble des médias et ses partenaires qui le suivent pas à pas au détour de ses ultimes préparatifs de l’imminence de son départ. Ce lundi 01er juillet correspond donc au jour J ! Dans moins d’une heure, Arnaud CHASSERY se lancera dans l’eau virevoltante et froide de la Manche pour y accomplir une double traversée du Channel. Un pari fou et audacieux que le sportif de l’Yonne appréhende avec l’enthousiasme d’un athlète de vingt ans auréolé d’une foi inébranlable en sa bonne étoile…

SHAMPIRE HOE (Angleterre) : Pas de report, cette fois-ci, pour la tentative de double traversée de la Manche à la nage du sportif de Joigny : Arnaud CHASSERY. Le courageux garçon s’est élancé de la côte britannique ce lundi 01er juillet. Il était 10h45, heure locale, quand le sportif de l’extrême s’est enfin jeté à l’eau après qu’il ait rongé son frein, en attendant les conditions optimales pour vivre sa nouvelle aventure maritime.

Dame Météo s’est finalement montrée clémente avec celui qui par le passé a déjà réussi d’autres défis impressionnants aux quatre coins de la planète. On se souvient de l’ascension extraordinaire du Kilimandjaro en Tanzanie aux côtés de l’élu handicapé, Yann JONDOT. Ou de l’inénarrable exploit vécu avec Philippe CROIZON dans l’ambitieux projet de rallier les cinq isthmes continentaux à la nage !

Ce lundi 01er juillet, la fenêtre s’est donc ouverte avec tout ce que cela implique en termes de conditions favorables à ce nouvel exploit. Peu de vent et visibilité optimale malgré la fraîcheur persistante de l’eau : la Manche ne fait pas de cadeau puisqu’elle a accueilli le nageur dans son élément aquatique à 15° !

Cap vers Wissant !

Toutes les trente minutes, le service de ravitaillement et de surveillance du nageur se concentrera avec vigilance sur le suivi de cette opération d’exception. Le « Two Way », la double traversée, n’est pas chose aisée en vérité. Arnaud CHASSERY devra parcourir environ 120 kilomètres pour près de trente heures de nage non-stop dans un environnement quasi hostile, au beau milieu des porte-containers, des cargos et autres méthaniers. Sans omettre les courants qui peuvent jouer de vilains tours au sportif.

Ce défi représente aussi un subtil moyen de communication pour faire connaître la cause sociétale que soutient Arnaud CHASSERY. Le nageur s’est en effet engagé dans cette aventure peu commune pour devenir le porte-voix des personnes en situation de handicap. Plus particulièrement, les jeunes qui souffrent de troubles comme la dyslexie, la dysphasie ou la dyspraxie. En concentrant ses efforts au profit de l’association ALOPIAS.

 


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L’identité de ce nouveau moteur à allumage par compression fait penser à l’un des personnages androïdes qui évolue dans la série culte de la « Guerre des Etoiles ». SkyActiv-X ! Pourtant, cette motorisation novatrice n’est pas le fruit de la science-fiction ! Elle a pour vocation d’équiper les nouvelles Mazda 3 et les CX-30, lancées dès le mois de septembre, et d’optimiser leurs performances.

PARIS : Alors que la plupart des constructeurs mondiaux se jettent à corps perdu et à grand renfort d’investissements dans de nouvelles formes de motorisation (hybride, électrique…), la marque japonaise se distingue en prenant un chemin diamétralement opposée à celui emprunté par ses condisciples.

Elle mise tout, ou presque, sur un moteur à essence qu’elle qualifie déjà de révolutionnaire : le « SkyActiv-X ».

Cet assemblage de technologie et de mécanique suscite bon nombre d’interrogations. Voire de convoitises parmi les acteurs de la filière automobile. Il est d’ores et déjà disponible sur la nouvelle Mazda 3. Celle-ci devient ainsi le premier véhicule de grande série à disposer de ce type de motorisation : c’est-à-dire un bloc essence à allumage par compression.

Objectif avoué de l’ingénierie nippone : gagner davantage de couple à l’aide de ce moteur que sur leurs équivalents alimentés en essence. Le tout, en consommant moins, il va de soi !

D’une puissance de 180 chevaux à 6 000 tours minute, offrant un couple maximal de 224Nm à 3 000 tours minute, ce bloc moteur confirme l’appétence de la marque pour ces technologies où règnent encore les combustibles traditionnels.

Côté consommation, tout en étant respectueuse de la réglementation actuelle, la marque affiche un score de 4,4 l/100 km. Quant aux rejets de Co2, ils se situent en dessous de 100g/km.

Bref, une performance très appréciable pour les distributeurs de la Mazda 3 et du CX 30 qui bénéficieront de ce moteur.

La nouvelle Mazda 3, pourvue de cet additif dont on parle tant, arrivera en concession dès la prochaine rentrée de septembre. Suscitant l’enthousiasme des professionnels. Ils ne manqueront pas, par ailleurs, d’assurer le lancement officiel de ces produits de manière visible.

Présent la semaine dernière à Varsovie pour assister à la convention européenne du constructeur japonais, Yves JEANNIN, dirigeant du groupe éponyme sur les départements de Seine-et-Marne, de l’Aube et de l’Yonne, se dit impatient de commercialiser ce petit bijou fait de modernité et de performance. Le lancement de ces nouveaux véhicules dotés de cette motorisation supposera des opérations de marketing et de communication pour le groupe.


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Dispositif mis en place depuis 2016 par le gouvernement, la « Charte des sept engagements » en faveur de la sécurité routière n’avait jusque-là pas encore trouvé d’échos favorables auprès des entreprises de la filière bâtiment et des travaux publics sur notre territoire. Curieuse anecdote qui n’a plus lieu d’être depuis vendredi. La direction régionale du groupe EIFFAGE Energie Systèmes vient en effet de ratifier une convention de partenariat avec l’Etat. S’engageant de facto à être très respectueuse des principes fondamentaux inhérents à la Sécurité routière. D’autres entreprises devraient parapher ce document d’ici les prochaines semaines…

AUXERRE : Haro sur les risques routiers professionnels qui grèvent avec récurrence les statistiques de l’accidentologie en France ! Ce combat, celui de la prise de conscience de celles et ceux qui chaque jour utilisent un véhicule pour assurer leur mobilité vers leur lieu de travail, s’inscrit ouvertement parmi les priorités de l’Etat.

Les services de la préfecture, en l’occurrence ceux du département de l’Yonne, représentés par la directrice de cabinet du préfet Julia CAPEL-DUNN, ont profité d’une matinée informative autour de la sécurité routière pour officialiser ce rapprochement avec la société EIFFAGE Energie Systèmes. David PERRET, directeur des infrastructures et réseaux au sein de l’entité régionale, s’est prêté à cette séance de signatures de bonne grâce. Et convaincu de la pertinence de cette action.

Il est vrai que les accidents de la route demeurent la première cause de mortalité dans le cadre professionnel. Notamment avec plus de la moitié des sinistres qui ont été observés sur des trajets professionnels ou domicile/travail.

« Soit en France, si l’on s’en réfère à 2018, près de 500 personnes qui ont ainsi perdu la vie lors de ces parcours les menant sur leur lieu de travail, rappela Julia CAPEL-DUNN, c’est pourquoi aujourd’hui, ces risques routiers professionnels ont été définis comme un enjeu majeur au niveau national… ».

Des engagements qui ressemblent à des commandements…

Depuis le 11 octobre 2016, les chefs d’entreprise signataires de cette charte s’engagent à relayer via des outils de communication et de pédagogie spécifiques des informations utiles au sein de leur structure. Afin de faire connaître très largement les valeurs portées par la Sécurité routière dans le cadre de cette campagne sensibilisatrice permanente.

Rappelons que ces sept engagements sont les suivants : proscription des conversations téléphoniques au volant, sobriété exigée sur la route, port obligatoire de la ceinture de sécurité, respect des limitations de vitesses, temps de repos intégrés dans le calcul des temps de trajet, sensibilisation et formation des agents à la sécurité routière et, dernier point, la promotion des équipements de sécurité pour les conducteurs de deux-roues.

Après cette signature initiale vécue dans la sphère du secteur BTP, il s’agit pour Julia CAPEL-DUNN et ses équipes de transformer de la meilleure manière que ce soit ce premier essai de façon durable. La directrice de cabinet du préfet Patrice LATRON précisa que d’autres structures entrepreneuriales étaient déjà dans la boucle, prêtes à valider la charte des sept engagements.

 


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La toute première campagne de marketing territorial instituée par la Ville de Sens en région francilienne a fait beaucoup parler d’elle au moment de sa diffusion. De très belle facture au niveau de l’esthétisme et de la recherche iconographique, les affiches, au nombre de trois, choisies à la suite d’un vote par les habitants de la localité devaient habiller sept cent cinquante emplacements dans le métro. Illustrant différents aspects de la qualité de vie que l’on trouve à Sens, elles ont renforcé la notoriété de Sens qui dispose de beaucoup d’atouts à faire valoir. Tant au plan culturel et patrimonial, que dans le domaine touristique et amélioration du cadre de vie…

SENS : Nom de code stratégique de cette campagne publicitaire réussie : « Sens Intense ! ». Durant plusieurs jours, les voyageurs qui empruntent d’ordinaire les lignes de la RATP dans la capitale de l’Hexagone ont eu le loisir de se familiariser avec les bienfaits de la ville septentrionale de l’Yonne, ses opportunités touristiques et surtout la qualité de son art de vivre. Bref, d’en connaître davantage sur les plaisirs offerts par une agglomération distante d’une petite centaine de kilomètres de leur grande métropole.

Les slogans incitaient vraiment à la découverte et à la curiosité : « 360 ° de patrimoine à une heure de Paris ». Le visuel de cette première affiche dévoilait la richesse du patrimoine de la ville icaunaise. « 37 kilomètres de douceur à une heure de Paris ». Une manière réussie et champêtre de rappeler que les chemins de halage du bord de l’Yonne étaient propices à de belles balades en vélo. La troisième, enfin, rappelait la gastronomie et ses succulences : « 102 grammes de convivialité à une heure de Paris », avec comme point d’orgue photographique, une énorme gougère absolument appétissante qui s’offre au regard gourmand des usagers du métro…

Conçue par les services ad hoc de la ville, en accord avec les élus, la campagne de sensibilisation de la ville icaunaise a atteint ses objectifs. Elle a généré plus de 100 000 vues parmi la population de la capitale qui ne pouvait manquer d’apercevoir l’un des panneaux d’affichage devant l’accueillir.      

Le projet se voulait mobilisateur en amont de sa conception. Il l’a été. Un scrutin était proposé aux Sénonais durant deux mois. Ceux-ci s’exprimèrent sur le choix de trois affiches parmi sept possibilités devant couvrir les panneaux d’affichage placés dans le métro parisien.

Déclinée du 29 avril au 05 mai, cette campagne novatrice au plus près de points névralgiques de la capitale a su faire mouche. Logique quand on sait que quelque trente millions de personnes visitent chaque année l’une des plus belles villes du monde.

Or, Paris perd chaque année l’équivalent de 12 000 personnes au profit de la proche banlieue ou de la province. Soit en proportion la population de Sens qui quitte la capitale tous les deux ans. Un phénomène qui ne date pas d’hier et qui selon l’INSEE devrait perdurer jusqu’en 2025.

Permettre le réveil de la ville en promouvant son attractivité…

Soucieuse de valoriser l’image de marque et la qualité de vie proposée par la ville, la municipalité de Sens s’est lancée dans une vaste campagne grand public pour affirmer son identité. Et surtout sa volonté de pouvoir accueillir de nouveaux résidents. Ainsi est né le concept de marketing territorial : « Sens Intense ». Il a suscité un commentaire de l’édile, Marie-Louise FORT ; lors de sa présentation officielle.

« Grâce à cette première campagne d’envergure nationale, nous prenons date avec le réveil de notre ville au plan de son attractivité. Sens possède de sérieux atouts à faire valoir : nous avons donc opté, à l’aide de cette nouvelle étape de communication, d’en traduire l’expression la plus fine de son caractère… ».

Cette phase novatrice de communication englobe la création d’une marque de territoire, le fameux nom de code « Sens Intense », la réalisation d’un film promotionnel (celui-ci a été visionné plus de 60 000 fois), un film conçu en format court et qui se destine à alimenter les réseaux sociaux, la mise en place d’un compte Instagram. Sans omettre, la fameuse campagne promotionnelle dans le métro de la capitale.

A l’avenir, l’opération pourrait se réitérer. Peut-être en la mutualisation afin d’en minimiser les coûts, pourtant maîtrisés.

Un article réalisé en partenariat

avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens…

 

 

 


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