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La maîtrise du verbe ne lui fait pas peur. Ni la verve dont il use à satiété pour jongler avec les mots. Surtout lorsque chacun d’entre eux pèse lourdement dans la balance des explications. Evoquer le plan de réorganisation du centre de formation de la filière industrielle n’est pas chose aisée. Surtout en de pareille circonstance avec le coup d’arrêt qui stoppera net la présence de l’organisme pédagogique sur le Sénonais d’ici la fin 2019. Nonobstant, le délégué général de la Maison de l’Entreprise n’élude aucun questionnement des journalistes qui l’abreuvent d’interrogations au cours de ce délicat exercice de la conférence de presse. Celui de la mise à nue poussée dans les ultimes retranchements de la vérité…

AUXERRE : De son propre aveu, ce n’est pas de gaité de cœur que le délégué général de la Maison de l’Entreprise et du Pôle Formation Nièvre Yonne aborde ce rendez-vous. Celui, si spécifique de la conférence de presse qui a pour objectif d’apporter un éclairage supplémentaire sur l’importante information ayant ébranlé le territoire il y a quelques jours. L’annonce de la fermeture du Pôle Formation 58 89 sur le Sénonais d’ici décembre. La dépêche a fait l’effet d’une bombe dans le landerneau institutionnel et économique.    

D’où la nécessité de procéder avec célérité à une mise au point des plus précises afin de faire toute la lumière sur les causes et origines de ce retrait dans la partie septentrionale de notre territoire et ses conséquences. Sans doute, aussi pour couper court à d’hypothétiques rumeurs pouvant courir çà et là. Le monde, comme chacun le sait, est perfectible ! Il faut donc s’en prémunir en reprenant la main et en gérant au mieux ce que d’aucun nommerait la communication de crise…

« Mise au point » : c’est par ces mots que Claude VAUCOULOUX entame son long monologue. Il puise aux sources initiales de la vénérable institution, soutenue par les organisations patronales (MEDEF, UIMM). Pour mémoire : né en janvier 2013, et issu du regroupement des entités nivernaises et icaunaises, le Pôle Formation de la filière industrielle a pour unique vocation de préparer les salariés actuels et futurs des entreprises de deux départements limitrophes si proches dans leurs besoins de recrutement de valeurs ajoutées qualifiées.

Le Pôle Formation n’abdiquera pas, bien au contraire…

Or très vite, l’orateur abat sa première carte : le Pôle Formation ne déposera pas les armes. Il poursuivra coûte que coûte sa mission pédagogique. Oui, mais, pas à n’importe quel prix : en s’arrogeant le droit et le devoir d’appliquer un plan de réorganisation qui lui sera salutaire.

« Nous devons faire face à une situation exogène et très particulière, concède Claude VAUCOULOUX, et cela est la résultante d’un texte de loi, celui du 05 décembre 2018 applicable à la réforme de l’apprentissage et à l’orientation professionnelle… ».

Mais pourquoi ce texte qui a été émis par le législateur entraîne-t-il des bouleversements aussi intempestifs sur le mode opératoire du Pôle Formation 58 89 ?

« Cette réforme impacte de manière importante la configuration de notre carte de formation qui est orientée vers le haut niveau 1, les masters et les formations d’ingénieur, argumente Claude VAUCOULOUX, dans le cadre de ces nouvelles dispositions, ce sont ces moyens de financement qui sont les plus touchés par ce texte… ».

Soit un différentiel quasi abyssal pour l’organisme, entre le modèle pédagogique qui prévalait jusqu’alors et ce qui devra être fait dorénavant afin de respecter la législation actuelle, qui s’élève à 1,6 million d’euros ! Autant dire, la fin d’une époque…

« Nous n’avons pas d’autres choix que de faire avec, constate amèrement mais de manière contenue le délégué général du pôle. Rapatrier les activités que nous proposions à Sens au sein de l’IESY (Institut de l’Enseignement supérieur de l’Yonne) est très vite devenu une évidence. Sachant que compte tenu des modalités de financement de ce site, son exploitation était chroniquement déficitaire depuis longtemps… ».

 

 

Les effets de la Loi NOTre sont passés par là. Réduisant comme peau de chagrin l’enveloppe originelle allouée par le Conseil départemental à cet égard. Ce dernier n’ayant plus les compétences usuelles sur l’enseignement supérieur.

« Ce retrait de Sens n’est ni plus ni moins qu’une décision de gestion, insiste Claude VAUCOULOUX, comme nous ne possédons plus les moyens légitimes pour faire ce que nous faisions jusque-là, il nous faut procéder à des économies afin de revenir à l’équilibre et combler ce manque d’1,6 million d’euros. Ce n’est aucunement un coup de tête… ».

Une dégradation financière de l’IESY qui perdure depuis longtemps…

On l’aura compris, l’arithmétique est simple. Pour préserver la qualité de ses prestations qu’il doit à ses partenaires du monde de l’entrepreneuriat industriel, le Pôle Formation se trouve dans l’obligation d’appliquer la carte de l’adaptabilité. Et surtout celle de l’anticipation, tout en se soumettant à la loi que nul ne doit ignorer.

Anticipation : un terme qui sied à merveille dans le mode de fonctionnement du délégué général. Celui-ci précise par ailleurs qu’il avait déjà tiré la sonnette d’alarme, non pas sur le texte législatif, mais bel et bien sur la dégradation de la situation financière de l’IESY dès le mois de mai 2015.

« A l’époque, nous avions alerté le Conseil départemental par l’intermédiaire du directeur général adjoint des services, Magloire SIOPATHIS, et la Ville de Sens sur ces préoccupations. Débattus depuis longtemps, ces faits avaient même été relatés dans la presse locale… ».

Et Claude VAUCOULOUX de brandir la coupure de presse extraite de l’Yonne Républicaine en guise de preuve !

« Mais, devait-il renchérir, le plus important désormais : c’est l’avenir du Pôle ! ».

Le délégué général égrena les directives immédiates qui seront déclinées dans le cadre du plan de réorganisation à privilégier. Le recul du Pôle Formation 58 89 ne se cantonnera pas malheureusement à son seul retrait du secteur Sénonais. Le plan tel qu’il a été présenté aux médias, s’oriente vers des économies budgétaires drastiques et inévitablement la suppression de postes de collaborateurs. Une vingtaine d’entre eux pourrait faire l’objet de cette menace. Parmi les profils : des administratifs, des formateurs mais aussi des managers.

« Mais, rien n’a encore été officiellement acté à ce propos. Ce n’est qu’une piste que nous envisageons, ajoute Claude VAUCOULOUX, nous ferons au mieux pour préserver le maximum d’emplois… ».

Rappelons que le Pôle Formation 58 89 salarie plus de quatre-vingts personnes. A contrario, aucun cursus n’est amené à disparaître. Même les modules applicables à Sens seront équitablement répartis entre Auxerre et Nevers. Toutefois, les formations à effectifs réduits pourraient passer à la trappe si l’optimisation du taux de remplissage n’était pas acquise. En terme clair, l’arbitrage sera de mise dès la rentrée quant à la poursuite ou pas de telle ou telle formation.

La période estivale qui s’amorce ne ressemblera donc à aucune autre pour Claude VAUCOULOUX. Conscient de l’énorme chantier qui va l’accaparer des jours durant, la clé de voûte de cet édifice meurtri dans ses fondations endossera l’habit de funambule pour tenter de remédier aux mieux à cette équation aux multiples inconnues.

Lui, l’exégète en expression orale sera-t-il aussi brillant en mathématiques ?

Certes, une soixantaine d’emplois, peut-être un peu plus, seront sauvegardés à l’issue de cette secousse tellurique impromptue. Certes, l’été sera studieux pour tenter de trouver des solutions idoines à ces problématiques.

Mais, il faudra aussi susciter le volontariat pour mettre un terme à certains contrats professionnels qui perduraient. Voire, plus délicat, avoir recours au licenciement économique pour supprimer quelques postes.

Philosophe, Claude VAUCOULOUX sait que le danger aurait été de ne rien faire. Mais, le responsable de l’institution pense aussi que la rentrée sera suffisamment éclairante pour l’aider à trancher dans ce maelström complexe et procéder aux choix les plus justes…


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Je parle au nom des « sans-dents » dont je fais partie. Ceux qui ne peuvent chaque jour, comme le préconise la publicité, «manger cinq fruits et cinq légumes»…Sauf au risque de remplir nos assiettes de saloperies qui ont traversé et pollué la planète… Et engraissé au passage des financiers confortablement installés devant leurs ordinateurs qui achètent à vil prix des denrées poussées ou élevées dans d’atroces conditions. Songez qu’un produit de tradition française comme la moutarde de Dijon, n’est d’ailleurs plus de Dijon !

TRIBUNE : Vous avez vu ce qu’on nous prépare avec les accords de libre-échange, le CETA et le MERCOSUR ? Nous ne pouvons pas empêcher l’existence de ces accords néfastes pour tous (sauf pour les nantis qui, eux, ont les moyens de se nourrir avec des produits de qualité et onéreux). Nous ne pouvons rien faire pour empêcher ces accords d’exister… mais nous devons entrer en résistance contre les produits eux-mêmes.

C’est possible en plusieurs étapes. Au préalable, posons-nous certaines questions et essayons d’y répondre avec justesse : pourquoi des produits alimentaires qui ont traversé la planète et subissent donc, en toute logique, des frais que ne connaissent pas les producteurs locaux sont-ils moins chers ?

Réponse (sauf erreur de ma part !) : parce que, au départ de leur lieu d’origine, déjà ils sont moins chers à la production car de médiocre qualité… Voire dangereux pour l’organisme, et récoltés par des travailleurs sous-payés. S’ils sont de médiocre qualité, alors cessons d’en acheter. Il suffit, en grande surface, de repérer l’origine du produit. Boycottons ceux qui polluent et ruinent nos producteurs.

Deuxième étape : faisons nos achats chez des petits détaillants. Le produit sera en apparence un peu plus cher… mais il suffit d’en acheter la quantité nécessaire pour rétablir la balance. Ce n’est guère difficile : sur un kilo de fruits ou légumes achetés en grande surface, il est bien rare qu’on n’en jette pas 20 % à la poubelle trois jours plus tard car entre-temps, que ce soit conservés au frigo ou à l’air libre, ils se sont flétris, ont moisi ou pourri.

Privilégier le marché de proximité

Troisième étape : allons au marché ! C’est là qu’une action citoyenne et de groupe s’impose, avec la bonne volonté des mairies.
Vous avez sans doute remarqué qu’au marché il y a un problème : les produits sont aussi chers qu’ailleurs… ce qui n’est pas logique puisque la location d’un petit étal est modique, et les coûts de déplacement infimes. Pourquoi, alors, les produits sur le marché municipal sont-ils aussi chers qu’ailleurs ?

Aujourd’hui, un marché est, hélas, devenu un lieu aussi mercantile que la grande distribution. On ne peut que le regretter… sinon le blâmer ! Le petit producteur local est logé à la même enseigne que celui qui fait venir ses produits de Rungis, d’Israël ou d’Amérique du Sud. On a même vu récemment des fraises soi-disant « de France » – c’est ce qui était indiqué – et qui en réalité étaient importées en douce d’Espagne. L’escroc s’est fait chopper, mais quand même !

Et reposons la même question : pourquoi les produits sur le marché municipal sont-ils aussi chers qu’ailleurs ? C’est l’ignoble loi du marché ! Si un petit producteur local vend ses produits moins chers que le voisin, il ne sera pas en odeur de sainteté. Pourtant, si concurrence, il y a, elle n’est pas déloyale. Et par ricochet – c’est consternant – les petites gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez (comme moi !) trouvent que ce n’est pas normal que nos « voisins » producteurs et éleveurs ne fassent pas un effort pour nos porte-monnaie. Du coup, on ne leur achète rien, à eux non plus, sur le marché !
Alors, pour leur défense et la nôtre, organisons-nous !

Un pacte d’honnêteté, de fidélité et d’entraide liant producteurs, consommateurs et élus locaux

Regroupés en association de consommateurs (et il en existe plus d’une), demandons à nos municipalités d’organiser un marché strictement local. Il faudra, évidemment, contrôler, que des aigrefins ne viennent pas tirer un profit honteux d’une action citoyenne organisée pour le bien de tous. Réclamons à nos municipalités d’offrir des stands à prix réduit pour nos producteurs locaux qui, en contrepartie, proposeront aux consommateurs des produits sains et à prix raisonnable (comme je l’écris depuis près de vingt ans, « un kilo de tomates à 3 euros ça semble donné… Un kilo de tomates à vingt francs, ça frise l’escroquerie ». Or, trois euros c’est vingt francs !).

Dernier point : certains d’entre nous possèdent un jardin potager, ou des poules… Il est bien rare qu’à un moment ou à un autre nous n’ayons pas trop de certains fruits, certains légumes ou d’œufs. Pensons à en parler à nos proches voisins et échangeons nos produits superflus. Même si nous n’avons pas le label AB – sur lequel il y aurait beaucoup à dire – les produits de nos jardins seront toujours meilleurs que ceux venus de Patagonie !

Daniel LESUEUR


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Le centre interprofessionnel de formations en alternance de l’Yonne a été auréolé d’un nouveau titre de gloire. Une distinction qui illustre son appétence en faveur de l’innovation sociale. C’est-à-dire une faculté de développer une pédagogie novatrice envers les jeunes générations leur permettant de mieux s’intégrer dans la vie active…

AUXERRE : Le CIFA collectionnerait-il les distinctions et autres actes de reconnaissance ? La structure pédagogique de l’Yonne, apparue en 1975, vient de remporter un sésame supplémentaire mettant en exergue son savoir-faire qualitatif et le sens du professionnalisme de ses personnels.

Celui-ci émane de Rally’Nov, un programme impulsé depuis 2012 par l’Etat et la Région Bourgogne Franche-Comté. Dans le cas présent, le capital humain est au centre des orientations. Objectif : valoriser et promouvoir les initiatives socialement innovantes des entreprises et des milieux associatifs.

Les copilotes de ce concept, l’Agence économique régionale (AER) de Bourgogne Franche-Comté, la CRESS (Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire) et l’ARACT (Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail), n’ont pas eu à tergiverser longtemps avant de désigner le lauréat du Prix 2018 : le CIFA de l’Yonne.

Le centre de formation icaunais a ainsi sensibilisé les membres du jury sur les conditions d’accompagnement de ses apprentis et leur facilité à entrer ensuite dans la vie professionnelle, une fois le diplôme obtenu.

Le jury a retenu parmi les critères positifs à l’attribution de ce trophée la modernité de l’offre pédagogique existante. Notamment les supports de cours dématérialisés, qui sont utilisés au quotidien avec les nouvelles technologies. Des moyens qui ont fait leurs preuves, puisque à la sortie de leur cursus, huit jeunes sur dix trouvent un emploi en contrat à durée indéterminée.

Quant à la valorisation de l’innovation sociale, même si elle n’est pas encore suffisamment mise en avant dans les entreprises, il n’en reste pas moins qu’elle représente toujours un axiome à prioriser pour la Région Bourgogne Franche-Comté et ses différents partenaires.

Ainsi, en créant le concept Rally’Nov, les institutionnels veulent réhabiliter à leurs justes valeurs les pratiques socialement innovantes qui ne s’étalent pas nécessairement à la une des médias. Une aubaine qui tombe à point nommé pour le CIFA de l’Yonne aujourd’hui plébiscité !


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Sans surprise, le président du syndicat patronal de l’Yonne, Etienne CANO, donne un quitus favorable à la déclinaison du plan de réorganisation qui sera déployé au cours de ces prochaines semaines dans le centre de formation professionnelle des industries technologiques de la Nièvre et de l’Yonne. Pour que l'infrastructure perdure avec sérénité dans ses missions pédagogiques auprès des jeunes et des entreprises...

AUXERRE : « Nous n’avons pas encore pris pleinement la mesure de l’importance de ce nouveau texte de loi qui transforme considérablement le mode opératoire autour de la formation et de l’apprentissage. D’autres branches professionnelles vivent la même situation que nous et sont également impactées. Mais, une chose est sûre : le MEDEF de l’Yonne soutient à 100 % le plan de réorganisation qui a été acté et qui sera mis en œuvre par son délégué général, Claude VAUCOULOUX, d’ici peu… ».

Le président départemental du MEDEF de l’Yonne Etienne CANO s’est montré catégorique lors d’une conférence de presse donnée ce mardi 09 juillet sur la restructuration du Pôle Formation Nièvre Yonne. Il a apporté son total soutien au délégué général de l’infrastructure, Claude VAUCOULOUX.

Regrettant le contexte et l’âpreté d’une situation dont il n’a pas la pleine maîtrise, le responsable du syndicat patronal de l’Yonne s’est dit convaincu de la pertinence et la nécessité de ce plan de réorganisation, devant préserver les intérêts du centre de formation du pôle industriel de la Bourgogne septentrionale tout en lui assurant sa pérennité et ses missions.

Etienne CANO souligna également que les établissements ayant à gérer des cursus pédagogiques de niveau CAP n’observaient peut-être pas les mêmes contraintes financières que celles qui vont s’appliquer au Pôle Formation Nièvre Yonne. Rappelant que celui-ci proposait parmi ces cycles pédagogiques un enseignement supérieur de qualité menant aux métiers d’ingénieur avec l’appui de professeurs qui perçoivent des rémunérations plus élevées.


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Que les enfants et leurs géniteurs se rassurent : « Yonne Tour Sport » n’est pas en voie d’extinction. L’outil promotionnel qui est voué à la pratique d’activités physiques et sportives possède encore de beaux lendemains à faire valoir. Tant la volonté des élus de son organisme de tutelle, le Conseil départemental, est forte pour en assurer son maintien. Le grand « barnum » estival a pu ainsi débuter ce lundi 08 juillet son périple de vingt-cinq dates en parfaite quiétude. Se permettant même un joli clin d’œil à l’institution départementale qui en accueillait sur son site participants et acteurs…

PERRIGNY : Le pari était audacieux dès son origine. Quatorze ans plus tard, il n’a pas changé d’un iota. « Yonne Tour Sport » demeure toujours l’évènement de l’été le plus attendu par les familles icaunaises ayant encore à charge leur progéniture.

Que ses adeptes soient de frêles têtes blondes âgées de six ans à peine ou de jeunes adolescents flirtant avec la quinzaine d’années, il y en a pour tous les goûts et les publics. Une vingtaine d’ateliers proposent démonstrations et essais réels. Ils accueillent ces enfants durant la période estivale, une excellente aubaine pour ne pas sombrer dans les travers de l’oisiveté !

Six cents d’entre eux au quotidien profiteront de cette manifestation qui nécessite un espace de deux hectares comportant deux types de terrains, l’un en bitume, l’autre recouvert d’herbe.    

« Vous savez, constate Pascal BOURGEOIS, vice-président du Conseil départemental en charge des Sports, on ne peut plus décemment proposer une petite animation avec quelques stands posés à la-vite. Aujourd’hui, le cahier des charges impose une structuration des sites d’accueil, qu’ils soient bien adaptés aux besoins des activités qui y seront déclinées. La capacité de réception des enfants et de leurs familles va crescendo… ».

Près de 15 000 jeunes concernés par la manifestation…

Lors de la première édition, Yonne Tour Sport s’appuyait sur quatre personnes et un camion. Aujourd’hui, le concept est devenu une véritable organisation logistique, mobilisant un staff de 55 individus dont 45 éducateurs. Bien qu’il ne soit pas prévu de l’étendre à la totalité du mois d’août : « après le 15 août, les éducateurs doivent préparer leurs devoirs de rentrée… explique Pascal BOURGEOIS.

In fine, et au terme de ces cinq semaines intenses, près de 15 000 jeunes fréquenteront l’un des vingt-cinq sites d’accueil. 

« Les familles viennent parfois d’assez loin, observe le conseiller départemental de Puisaye-Forterre, le plus souvent d’un rayon de 25 à 30 kilomètres. Ce qui nous engage dans cette opération annuelle, c’est d’engendrer de l’animation dans nos communes rurales durant l’été. Surtout auprès des enfants qui ne partent pas en vacances. En outre, Yonne Tour Sport développe du lien social et offre des solutions de loisirs accessibles aux enfants… ».

Enregistrant la présence de nouveaux partenaires économiques dont Cultura ou l’enseigne CGR qui assure la gestion du complexe cinématographique d’Auxerre, Yonne Tour Sport  reste dévolu à son créateur pour le plus gros budget financier : le Département.

Celui-ci injecte chaque année près de 400 000 euros pour la réussite d’un produit phare de la cohésion sociétale et qui a obtenu par deux fois en 2011 et 2012 le trophée national des collectivités. Une récompense qui fuit suivie l’année suivante par l’acquisition du prix du « Sociétal Sports Trophées », valorisant les collectivités les plus impliquées par la dynamique du sport.


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