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La dynamique est indéniable. Crédité de 14 % des intentions de vote au premier tour de la présidentielle, Jean-Luc MELENCHON talonne Marine LE PEN (17 %), en étant susceptible de jouer les trouble-fêtes (comme en 2017 par ailleurs) pour prétendre se qualifier pour la joute finale. Deux de ses soutiens inconditionnels, Aurélie TROUVE et Danièle OBONO, feront étape jeudi soir à Auxerre pour un meeting qui semble prometteur côté ambiance à Vaulabelle…

 

AUXERRE: Cela pourrait rappeler les grands meetings politiques d’antan. Certes, ce n’est pas le charismatique chef de file de La France Insoumise, au demeurant brillant orateur, Jean-Luc MELENCHON qui sera du déplacement en terre icaunaise ce jeudi 24 mars en début de soirée. Mais, deux de ses fidèles soutiens, oratrices à la verve facile qui défendront avec moult convictions le programme de leur candidat.

Présidente du parlement de l’Union Populaire et ancienne porte-parole du mouvement ATTAC, Aurélie TROUVE croisera sur sa route (et sur l’estrade de la salle auxerroise) la députée La France Insoumise de Paris, Danièle OBONO, membre de la commission des Lois et des Affaires européennes, une habituée des plateaux de télévision.

 

 

 

Une réunion publique permettant de distiller toutes les pistes de réflexion contenues dans le programme présidentiel de Jean-Luc MELENCHON, « L’Avenir en Commun ».

Alors que les instituts de sondage attestent de la bonne santé indicielle du candidat LFI un peu partout à travers l’Hexagone, ses porte-paroles multiplient les rencontres auprès des classes populaires, syndicalistes, milieux associatifs, artistiques et culturels. Un jalon dans l’Yonne semblait nécessaire pour mieux cerner les détails de ce programme.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est pour elle une grande incompréhension. Mâtinée d’injustice et d’illogisme. Pourquoi les professionnels d’un IME ne pourraient-ils pas bénéficier des mêmes droits et avantages que ceux exerçant dans les autres secteurs de la corporation ? Juriste de métier, maman de trois enfants, dont deux demoiselles âgées de 19 ans porteuses de trisomie 21, Alexandra DUFOUR pousse le curseur de l’engagement un peu plus loin. Ne cautionnant pas les résultats obtenus après le Ségur de la santé. Un verdict qui créé de nouveaux dispositifs discriminatoires parmi la filière…

 

TRIBUNE: Volontariste, la mère de famille l’est jusqu’au bout des ongles. Et quand il s’agit de défendre les causes, nobles et justes à ses yeux, elle ne recule devant aucun obstacle. Sensible à ce que vivent dans leur quotidien les professionnels intervenant dans le milieu médico-social (ses deux jeunes filles fréquentent un IME depuis bientôt deux ans), Alexandra DUFOUR s’est révoltée intérieurement à la lecture des décisions prises par le gouvernement au lendemain du fameux Ségur de la santé.

Une indignation que cette mère implicitement concernée a su traduire par des actes, en particulier épistolaires, en adressant de sa plus belle plume une missive à l’intention de la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées, Sophie CLUZEL.

Une initiative manuscrite qui ne doit rien au hasard. Non seulement, et curiosité anecdotique de cet échange, la représentante du gouvernement est née le même jour qu’Alexandra. Mais, en outre, un autre aspect de concordance inéluctable unit ces deux femmes : la gestion du handicap à travers leurs filles respectives, porteuses de trisomie 21.

« J’estime que les professionnels des centres médico-social ne sont pas justement valorisés par les attendus du Ségur, précise-t-elle, ce sont les grands oubliés de cette réforme. Il est grand temps que les éducateurs qui travaillent aux côtés des personnes handicapées soient enfin reconnus à leur juste valeur… ».

 

Une volonté de relayer les informations vers les médias…

 

Habile et audacieuse, Alexandra DUFOUR ne se contente pas d’intercéder auprès des services du ministère de la Santé. Elle prend attache en parallèle auprès d’une journaliste de RTL, Odile POUGET, en charge des informations relatives à la santé dans la station radiophonique depuis 2013. Une journaliste qu’Alexandra avait croisée lors d’un reportage réalisé sur l’insertion de jeunes en fragilité.

C’est un véritable cri du cœur et un appel à l’aide que ce contact initié auprès de la représentante du média.

 

 

« Je l’ai contacté parce que je la savais particulièrement sensible à ces professionnels qui réalisent des prouesses au sein de ces établissements dans le médico-social et qui aujourd’hui s’estiment totalement oubliés par les différentes réformes du Ségur… ».

 

Un manque de reconnaissance flagrant qui pénalise les recrutements…

 

Une sensibilité à laquelle Odile POUGET donnera écho largement sur les ondes de sa station périphérique. En faveur de l’assistance envers les plus fragiles et de leur accompagnement pour développer au maximum leur autonomie dans la vie future.

Dans sa démarche, la maman relaiera dans le même temps à son contact une lettre ouverte signée par une très grande majorité des salariés de l’IME « Les Glycines », dans les Yvelines, que fréquentent ses deux filles. Une lettre ouverte qui s’est accompagnée d’une pétition très participative au niveau des signatures.

L’intervention de ces parents, directement concernés par l’injustice provoquée par les décisions du Ségur de la santé, semble porter ses fruits dans la réflexion. D’autant, comme le spécifie la mère des deux jeunes filles trisomiques, que de telles décisions possèdent un corolaire négatif sur le recrutement et les emplois à pourvoir dans ce secteur, celui des IME et des centres médico-social.

« Qui en effet va postuler dans une filière qui n’est pas suffisamment reconnue par son propre ministère de tutelle ? Alors que le manque d’orthophonistes est criant dans l’Hexagone, les carences en matière de recrutement devant le peu d’attractivité faite autour de ces métiers ne sont pas prêtes de se résoudre… ».

Un sacré bon point pour l’initiative d’Alexandra DUFOUR qui ne compte pas en rester là et souhaite secouer encore longtemps le cocotier pour que cesse ce qu’elle considère comme une profonde aberration.

 

Thierry BRET

 

 


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L’ambiance se veut presque potache. Indéniablement, le plaisir de se retrouver transpire à chaque contact. Et du chef d’entreprise, il y en a à foison au centimètre carré ! Il est vrai que l’espace d’accueil de la Maison de la Mutualité à Paris dispose de solides atouts pour accueillir une telle manifestation. La rencontre de la fine fleur des industriels de France (celles et ceux qui sont inféodés à l’UIMM) et les cadors de la politique hexagonale, en prise directe pour disputer une joute électorale se nommant la présidentielle…

 

PARIS: Sur un plan intellectuel, l’initiative a du bon. Idem au niveau de la communication car l’exercice est suivi par plus d’un millier de personnes. Et pas n’importe lesquelles. Celles qui occupent des rôles stratégiques et d’influence aux manettes du développement économique et sociétal de l’Hexagone, à savoir les patrons. A l’estampille de la seule filière industrielle car il s’agira bien dans les propos qui suivront de débattre autour de l’un des thèmes de campagne fort de cette présidentielle : le renouveau de l’industrialisation.

Une antienne qui au fil de l’eau s’est imposée comme un leitmotiv inéluctable à accommoder à toutes les sauces. Après celles vécues pendant la crise sanitaire où la dépendance industrielle de la France envers les pays asiatiques s’est muée en une véritable plaie béante et douloureuse, traduisant notre incapacité à faire montre de réactivité et d’efficience pour s’équiper de masques et de produits de protection dans les meilleurs délais.

Avec celles que nous vivons désormais depuis un peu plus de trois semaines, du fait de ce conflit inattendu (mais prévisible par les Américains) en Europe, opposant les deux voisins et néanmoins pays frères aux mêmes origines que sont la Russie et l’Ukraine.

Forcément, face à ce millier de personnes à qui on ne l’a fait pas côté tactique industrielle, cela ne devait pas être si aisé de pouvoir dérouler son programme électoral, spécifique à une thématique ô combien fondamentale par les temps qui courent.

 

Industrialisation rime avec formation, fiscalité et emplois…

 

Pourtant, l’équation est tellement simple. Qui dit industrialisation, en effet, suppose dans la foulée de la formation, avec à la clé les nécessaires emplois qualifiés dont ont besoin de manière viscérale les capitaines d’industrie hexagonale, notre indépendance productiviste face aux pays émergents de la mondialisation qui faussent la donne en cassant les coûts de production, une fiscalité adaptée aux réels attentes des entrepreneurs, et in fine une souveraineté énergétique en vue de ne pas subir la poussée de fièvre inflationniste (et surtout très spéculative) assurée par une poignée de profiteurs sans morale aucune ni respect d’autrui.

Voilà sur quoi l’enjeu de cette rencontre passionnante reposait entre les professionnels de la politique, possédant des velléités d’endosser la vêture présidentielle au soir du 24 avril, et des chefs d’entreprise soucieux de repartir avec du concret dans leur escarcelle.     

Certes, on pourra regretter l’absence de plusieurs candidats à ce grand oral, digne d’un concours d’éloquence, minuté, et formaté par les organisateurs de l’UIMM, l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie. Un sérieux poids lourd dans le giron de l’entrepreneuriat français. Excusez du peu mais le président de l’entité syndicale n’est autre que le président de DASSAULT Industries, Eric TRAPPIER !     

Gravitent à ses côtés quelques noms célèbres flirtant avec les indices boursiers du CAC 40 !

 

 

Une brochette réduite à quatre candidats seulement…

 

Mais, revenons à nos postulants. Sommet européen oblige sous les ors de Versailles, le président-candidat Emmanuel MACRON, initialement prévu pour prendre part à cet échange avec les milieux économiques (il adore en règle générale ce type d’exercice oratoire) ne sera pas là. On sent une pointe de déception manifeste parmi l’assistance lorsque la « madame loyale » de la cérémonie, journaliste sur les antennes de Canal +, déroule le contenu de ce copieux menu, à avaler en quantité abondante sur la journée, et fait part de cette nouvelle de dernière minute. Pas même une petite vidéo, histoire de nous mettre l’eau à la bouche sur les intentions élyséennes ?

Pas de Jean-Luc MELENCHON, non plus ! Dommage : il aurait été passionnant de suivre les échanges par questions interposées entre le tribun volubile qui n’a pas sa langue dans la poche et les représentants de ce monde économique, à l’origine de tous les maux de la société selon sa perception des choses. Yves JADOT ne dévoilera pas non plus ses positions contradictoires sur sa vision de l’économie industrielle et écologiste.

A contrario, Marine LE PEN (RN), Anne HIDALGO (PS) et Valérie PECRESSE (LR) donneront le change à ce public impatient, se succédant l’une après l’autre au pupitre de cette scène immense. A l’instar du candidat souverainiste de Reconquête, Eric ZEMMOUR, électron libre de la pensée politique du moment.

Galanterie oblige du fait d’une parité excédentaire en faveur de la gent féminine (!), c’est ce dernier qui ouvrira donc le bal. Sous les yeux scrutateurs de milliers de têtes pensantes qui n’en manqueront pas une miette !

 

 

 

Se passer de la main d’œuvre étrangère : le credo du candidat ZEMMOUR !

 

Bille en tête, l’ancien éditorialiste mais toujours polémiste démarre au quart de tour sur la main d’œuvre issue de l’immigration ! Un des participants, composant le petit groupe UIMM de l’Yonne, glisse fort à propos de manière ironique : « Ca y est, c’est parti : on en a pour quarante minutes de cette litanie ! ».

Pointant de l’index les impôts de production et les effets de seuil qui ne permettent pas aux PME de croître, Eric ZEMMOUR égrène différentes propositions utiles lui permettant de démontrer que la chose économique ne lui est pas aussi étrangère que l’on veut bien lui prêter. Si la priorité nationale s’apparente à une évidence dans les commandes publiques,  le candidat souverainiste fustige les frais de successions et surtout les inégalités dès qu’il évoque la concurrence internationale. Quant à l’immigration et ses multiples travers (le credo du personnage), elles auront été longtemps explicitées durant cette intervention.

 

 

Anne HIDALGO :  une odyssée de l'économie en quatre actes…

 

Que dire de la prestation à contre-courant de la maire de Paris, la socialiste Anne HIDALGO ? Une candidate qui a suscité bon nombre de sourires moqueurs de la part du public, affirmant au passage qu’elle avait pu relier la Défense à la Maison de la Mutualité en moins de vingt minutes, montre en main. Un exploit en matière de locomotion qui a su faire germer le doute quant à la véracité de ces propos aux heures sombres de nombreux bouchons et autres embouteillages dont les Parisiens sont coutumiers !

Puis, revenant au sujet du jour, la candidate du PS a décliné la présentation de son « odyssée » qu’elle souhaite appliquer à l’économie française. Une odyssée segmentée en quatre actes : la santé, les énergies renouvelables, la mobilité et le numérique. Elle s’appesantira passablement sur la formation et la promotion de l’individu à travers l’égalité salariale entre femmes et hommes. A compétences identiques, il va de soi. Avec l’obligation pour les entreprises de s’y soumettre, et d’obtenir des bons points à l’appui pour les meilleures d’entre elles et surtout des sanctions économiques pour celles qui refuseraient de le faire !

Des pistes de réflexion qui n’ont guère convaincu l’assistance peu encline à devoir subir d’autres griefs économiques au vu de la conjoncture…

 

 

Marine LE PEN : " La France doit rester maître de ses moyens industriels"…

 

Souriante, très à l’aise, ne lisant pas ses notes, l’égérie du Rassemblement National Marine LE PEN s’est entretenue ensuite avec ce « jury » spécifique du grand oral de l’industrie. « Les pays en possession de leurs moyens industriels restent maîtres de leurs orientations ! ». Le ton est donné pour l’oratrice qui avait échoué en 2017 à accéder à la présidence. La faute à un débat télévisé pour le moins curieux si ce n’est catastrophique.

Lors de cette prise de parole, la cheffe de file du mouvement bleu marine parle de nucléaire comme de l’automobile, surfant sur le coût des énergies et le besoin de s’engouffrer vers l’hydrogène. Favorable à la nationalisation des autoroutes, l’oratrice rappelle que réindustrialiser la France représente un enjeu d’aménagement du territoire essentiel à notre pérennité. La boucle est bouclée et aux dires de plusieurs rangées de spectateurs interrogés, le dossier est maîtrisé.

 

 

Oui à l’innovation et la simplification administrative pour Valérie PECRESSE…

 

Reste pour clore ce concours d’éloquence un peu spécial le passage de Valérie PECRESSE, leader des Républicains. La présidente de l’Ile-de-France semble être à l’aise à la tribune, après sa déconvenue orale du Zénith. L’industrie, elle connaît en parfaite technicienne et en visiteuse d’entreprises qui pullulent sur son territoire de prédilection. Et paradoxalement, c’est vers la revitalisation des territoires ruraux qu’elle intensifiera ses propositions !

Dénonçant au passage l’application du « zéro artificialisation nette ». Entre innovation et recherche, entre souplesse et simplification administrative, la représentante de la droite et du centre droit veut remettre le pays en ordre de bataille, n’oubliant pas l’emploi et la formation qui vont de pair. Un message fort à destination de son électorat potentiel, les chefs d’entreprise.

Au-delà des quatre interventions, une chose est sûre en qualité de dénominateur commun aux propositions faites ce jour-là à Paris : réindustrialiser la France s’inscrit parmi les priorités régaliennes de ces candidats.

Mais, après les paroles qui ont été prononcées, il est clair que la sphère entrepreneuriale dans son ensemble (et bien au-delà de l’UIMM) attend maintenant une véritable concrétisation de ces idées sous la forme d’actes clairement réalisés. Autant dire que le temps des promesses futiles est révolu !

 

Thierry BRET

 


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Faire perdurer la tradition. Celle de l’organisation de superbes concours de coiffure où s’affrontent les meilleur(e)s de leurs spécialités. Qu’il s’agisse de coiffes de mariées, de coupes masculines, de projections futuristes ou que sais-je encore. Trente-six candidates se sont retrouvées à Migennes le 13 mars dernier. Objectif : se qualifier pour les finales nationales devant se dérouler en 2023…

 

MIGENNES : Ah, l’élégance et la maestria de ces jeunes apprentis coiffeurs et professionnels confirmés qui exécutent des coupes remarquables où l’inspiration se transmet jusqu’au bout des doigts via la paire de ciseaux et ne cesse de nous émerveiller ! Concocté par l’antenne départementale de l’Yonne de l’Union Nationale des Entreprises de Coiffure (UNEC), le challenge « Trophy », proposé il y a peu à Migennes, n’a pas usurpé sa réputation.

Banque Populaire

Voilà une excellente interprétation de ce que sont ces métiers de l’artisanat et des services (la coiffure) qui procurent toujours d’agréables sensations. Chères à la CNAMS (Confédération nationale de l’Artisanat, des Métiers et des services) qui en défend les valeurs et la pérennité sous l’égide de son organisme.

 

 

Ce concours, annuel quand il n’est pas perturbé par une crise sanitaire, aura prouvé que la dextérité peut réaliser des prouesses lorsque l’on maîtrise les bases fondamentales de la corporation. De l’art à l’état pur ! Et une excellente opportunité pour celles et ceux qui en sont ses ambassadeurs de pouvoir s’illustrer sous le feu nourri des projecteurs, notés par un jury d’experts.

Un challenge encouragé par la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté. L’organisme accompagne ainsi sur le terrain l’une de ses fédérations professionnelles adhérentes, en faisant toute la lumière sur ce beau concours qui a su faire rêver celles et ceux qui suivent de près l’actualité de l’artisanat. Une réussite, vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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Et une commune de plus à ajouter dans l’escarcelle de l’opérateur de télécommunication ! ORANGE poursuit sa mission. Celle qui consiste à déployer sur ses fonds propres la fibre optique dans les dix-neuf communes que compte l’agglomération de l’Auxerrois. Bourgade connue pour la qualité de ses vins, CHITRY voit ainsi ce déploiement de la haute technologie arrivé à son terme. Pour la plus grande satisfaction de ses élus et de ses habitants…

 

CHITRY : Bras croisés, à l’écoute de la moindre phrase explicative, Christian BOULEY ne cache pas son contentement. Au côté du maire, ses deux adjoints font de même. Ils découvrent studieux le saint des saints de ce système de communication qui a révolutionné la planète au fil de ces dernières années : la fibre optique !

Béante, les deux portes grandes ouvertes, l’armoire NRO (nœud de raccordement optique), livre ses secrets. Fait de multiples fils multicolores et de points de soudure d’une extrême précision qui s’entrecroisent avec méthodologie pour assurer la bonne fonctionnalité de la liaison. Celle qui relie citoyens, collectivités et entreprises au monde entier !

 

 

Déjà plus de 37 000 logements et locaux professionnels éligibles sur l’Auxerrois…

 

Une aubaine pour les 257 foyers ou locaux professionnels de la commune qui vont pouvoir désormais en bénéficier. Un tour de force, une prouesse devenue accessible à tous sur l’Auxerrois ou presque. Les travaux d’aménagement vont en effet se poursuivre jusqu’au terme de 2022 sur d’autres localités, conformément aux engagements pris auprès de l’Etat afin de raccorder l’ensemble des 40 000 logements de ce bassin.

Etre éligible à la fibre, c’est naturellement s’offrir des opportunités nouvelles dans les usages au quotidien. Un gain de réactivité et de puissance pour les ordinateurs. Une qualité du son et de l’image exceptionnelle pour les appareils audiovisuels. Bref : l’ultra modernisme à la portée de tous.

Devant l’armoire métallique, au coloris vert foncé (une nuance chromatique en harmonie avec Dame nature et son environnement bien pensée), les élus questionnent leurs interlocuteurs. A commencer par Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale de l’opérateur en Bourgogne. Elle rappelle en préambule la genèse de cette opération pharaonique qui a conduit ORANGE à s’engager sur ces innombrables chantiers.

« A fin février, précise-t-elle, plus de 37 000 logements et locaux professionnels de l’Auxerrois étaient éligibles à la fibre optique… ».

 

 

 

La pose de boitiers de raccordement, étape actuelle de l’opération…

 

Et ce n’est pas fini ! Car l’opérateur, on l’a bien compris, met les bouchées doubles pour arriver à couvrir tout ce périmètre d’ici la fin de l’année. Les armoires identifiables dorénavant fleurissent çà et là. A l’intersection de plusieurs rues. Aux abords d’un lotissement. Sur des points névralgiques d’une localité. Elles sont 118 à avoir été installées à ce jour !

Mais, ce n’est pas tout. ORANGE pose à l’heure actuelle des points de branchement. Ils sont indispensables pour faciliter le raccordement des logements à la nouvelle technologie. Dans les faits, l’opérateur contacte les particuliers mais aussi les syndics et les bailleurs afin que ces derniers acceptent d’être équipés de ces précieux boîtiers. On peut les distinguer machinalement sur la façade des habitations. Certains sont placés à l’intérieur des bâtiments. Mais, tous ont pour vocation d’optimiser l’arrivée de la fibre optique.

 

 

Reste l’ultime étape. Celle de l’opérationnalité officielle du système. Puisque le réseau fibre optique déployé par ORANGE repose sur la mutualisation, les utilisateurs ont la faculté de pouvoir choisir leur abonnement auprès de l’un des quatre opérateurs reconnus à ce jour. Les spécialistes du Très Haut débit qui font office de fournisseurs d’accès Internet dans l’Hexagone depuis plusieurs années.

Le progrès en matière de communication ne cesse d’avancer. CHITRY vient à son tour de le constater !

 

Thierry BRET

 

 

 


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