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Elle a décidé d’interjeter auprès de la Cour d’Appel de Paris. Réaffirmant au passage son innocence par un lapidaire message vocal, adressé à notre rédaction. Malgré le jugement, rendu en première instance par le tribunal correctionnel d’Auxerre qui la condamne à quatre mois de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité pour escroquerie, la conseillère municipale d’opposition d’Auxerre se dit confiante en l’avenir. Mettant en exergue la « présomption d’innocence » qui l’a fait réagir…

 

AUXERRE : Elle n’aura donc pas tardé à remonter à la surface après avoir accusé le coup, suite à sa condamnation en première instance, rendue par le tribunal correctionnel d’Auxerre. Désireuse de couper court aux multiples réactions qui fleurissent çà et là depuis sur les réseaux sociaux et se propagent dans le landerneau icaunais à la vitesse d’un cheval lancé au galop, Farah ZIANI a décidé finalement de s’exprimer. Elle qui s’était mise en retrait total depuis plusieurs semaines de la sphère médiatique afin de mieux préparer, en toute sérénité, sa défense.

Oui mais voilà, afin de circonscrire au plus vite le feu brûlant de ces réactions exacerbées qui lui portent fatalement nuisance, la conseillère d’opposition de la ville d’Auxerre s’est fendue d’un communiqué de presse dont chaque ligne et chaque mot ont été minutieusement pesé pour traduire au plus juste le fond de sa pensée.  

« Depuis le début de ma mise en cause, je voudrais persister à me déclarer innocente et à ne pas accepter le verdict, explique-t-elle, d’où ma décision, sans hésiter, à faire appel et déposer toute ma confiance sur le futur jugement d'arrêt de la Cour d’Appel de Paris ».

Rappelons, que l’appel est suspensif et que la présomption d’innocence demeure tout en restant réelle et valide.

 

D’abus de confiance à escroquerie : une accusation sans fondement…

 

Pour mémoire, Farah ZIANI est suspectée d’avoir détourné une somme de dix mille euros lors d’une transaction commerciale lorsque cette dernière exerçait la fonction de négociatrice commeciale en immobilier pour le compte d’un professionnel de la place auxerroise. En résumé, une affaire d’abus de confiance, selon le corps juridique. Qui s’est muée, ensuite après requalification des faits par le tribunal, en pure escroquerie.

Conséquence, à cause de cette sanction juridique, Farah ZIANI se voit ainsi priver du droit d’éligibilité pendant cinq ans. Sachant que, paradoxe contradictoire, elle peut cependant poursuivre son mandat actuel jusqu’à son terme...

C’est précisément le volet de la requalification de la faute en escroquerie qui a fait sortir de ses gonds la jeune femme.

« Je voudrais réagir à cette requalification, précise-t-elle, à la requête du Parquet, ne faisant à mon sens que mieux démontrer une tentative ultime pour essayer de trouver une issue à une accusation sans fondement avec la qualification première d’abus de confiance… ».

 

 

Puis de continuer en argumentant ainsi : « il semble très probable que ce changement aura été la conséquence de la lecture des conclusions apportées et communiquées au tribunal. Des conclusions au fin de relaxe qui, rappelons-le, ont été déposées deux jours avant l’audience et qui démontraient l’erreur et les faiblesses de la qualification d’abus de confiance, donc ma probable relaxe... ».

Une requalification de dernière minute qui est d’autant plus étonnante pour Farah ZIANI.

« En effet, lors de la demande de renvoi du 20 janvier 2022, il avait été précisé que pour signifier plus encore mon opposition à cette requalification surprise, annoncée seulement en début d’audience, je rappellerai que le dossier ne date pourtant pas d'hier, j'étais donc dans le respect du droit de la défense d’avoir communication de cette demande de requalification, en amont, et non juste avant que ma défense soit présentée… ».

 

Un engagement au conseil municipal qui se poursuivra…

 

Conclusion de l’interlocutrice : « il m'a été reprochée lors de ma première audience en renvoi que j'avais tout le loisir de pouvoir préparer ma défense. Je crois que le procureur, depuis décembre 2020 (soit plus d’un an de procédure), aurait pu apporter ses conclusions et nous prévenir avant, plutôt que l’annoncer durant l’audience conclusive... ».

Des éléments qui expliquent que la conseillère d’opposition d’Auxerre interjette auprès de la Cour d’Appel de Paris.

Quant à l’aspect politique, il est abordé par la jeune femme. Qui pointe du doigt les réseaux sociaux où s’étalent des messages à charge contre l’élue qui chercherait à maintenir sa fonction de conseillère municipale pour d’obscures raisons financières.

« Je rappellerai que seul le maire et les adjoints touchent une rémunération. La conseillère d’opposition que je suis n’a qu’un important engagement citoyen, engagement non entamé malgré ce moment difficile… ».

Une manière de clarifier les choses. Sera-ce suffisant alors que les autres élus de son groupe, « L’assurance d’une transition sereine », réclament son retrait de la vie politique locale ? Certainement pas.

Puisque que le groupe d’opposition municipale a décidé tout bonnement et pour toute réponse devant le refus de l’intéressée de clore leur collaboration commune. Dont acte.

 

Thierry BRET

 

 


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Face à un parterre de chefs d’entreprise industriels dont ceux issus de la filière automobile réunis sous l’égide de l’UIMM à Paris, la candidate du Rassemblement National s’est montrée très catégorique quant aux directives actuelles, devant rendre obsolète les véhicules à motorisation thermique d’ici 2030.

 

PARIS : Parmi le florilège de questions qui lui a été posée lors de sa rencontre publique avec les entrepreneurs de la filière industrielle hexagonale le 09 mars dernier à la Mutualité sous l’égide de l’UIMM, Marine LE PEN a dû réagir à une intervention concernant le devenir du secteur automobile. Une activité économique qui est particulièrement affectée en cette période trouble par la crise sanitaire et le ralentissement des marchés.

 

Un tout électrique imposé sans concertation auprès des acteurs de la filière…

 

L’un des nombreux spectateurs, de facto chef d’entreprise et inféodé à l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie, devait prendre la parole pour l’inciter à donner son avis sur ce thème par rapport à son plan d’action mis en exergue dans son programme de campagne. Une interrogation servant à concilier, d’une part, l’ambition politique de la candidate à la présidentielle, tout en tenant compte des réalités conjoncturelles, inhérentes à l’économie, la technologie et les perspectives sociales.

« Je ne suis pas une idéologue mais une pragmatique, furent dans l’instantanéité de la réponse les premiers éléments de langage de l’oratrice.

Critiquant la prise de décisions initiales de la gouvernance (le tout électrique à horizon 2030) sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation avec les professionnels de la filière, Marine LE PEN a déclaré tout de go qu’en cas de succès à la présidentielle elle reviendrait sur l’interdiction des véhicules thermiques. Une contrainte, selon elle, qu’elle a par ailleurs qualifiée de très brutale, mettant à mal au plan économique et sur le domaine de l’emploi depuis l’ensemble de la filière automobile et ses sous-traitants.

 

 

Des délais qui sont objectivement intenables…

 

« C’est une méthode détestable de prise de décision, ajouta l’intervenante face au millier d’entrepreneurs présents dans la salle.

Un mot, détestable, qu’elle martèlera à maintes reprises, insistant de fait sur le péril qui a été occasionné auprès de toute la filière par la suite.

« La culture du tout électrique, je m’en méfie, devait-elle souligner, on peut l’avoir mais on est pas obligé de l’imposer avec des délais qui sont objectivement intenables… ».

Puis, se référant au passé, Marine LE PEN a expliqué qu’elle avait déjà vécu cela avec le diesel, encensé de prime abord par les pouvoirs publics puis voué aux gémonies de la consommation. Observant que les mesures imposées actuellement aux Français en matière de réglementation thermique ainsi qu’aux filières industrielles n’étaient pas tenables durablement, la cheffe de file du mouvement souverainiste  affirma que cela était le fruit d’une idéologie destructrice.

« Donc, poursuivit-elle, je m’oppose fondamentalement à cela ! ».

 

 

Un soutien à la recherche massive autour de l’hydrogène…

 

A contrario, Marine LE PEN croit beaucoup aux vertus de l’hydrogène.

« On doit investir massivement dans la recherche liée à l’hydrogène, devait-elle expliquer, je pense qu’il faut avoir de tout en matière de moyens énergétiques pour avancer… ».

Se voulant rassurante auprès des entrepreneurs de la filière industrielle, celle qui est créditée de 17 % d’intentions de vote au premier tour de l’élection le 10 avril, a conclu son intervention en précisant qu’une fois élue, elle reviendrait sur l’interdiction très brutale du thermique, imposée à la filière automobile.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est le branle-bas de combat au sein de tous les états-majors de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment. La double échéance électorale, présidentielle et législative, mobilise les troupes à travers l’Hexagone. Faire circuler des messages clairs et forts, sous la forme de propositions constructives favorables à la filière, est plus que jamais le mot d’ordre. La CAPEB veut peser du poids de ses 57 126 adhérents sur les deux scrutins…

 

AUXERRE : Traditionnel vecteur de communication servant à véhiculer des messages informatifs précis et bien ciblés, à la limite de la revendication, le livre blanc refait donc surface dans le sérail du bâtiment à l’approche des élections présidentielles et législatives. Et à ce petit jeu de la transposition épistolaire de suggestions et autres idées lumineuses à adresser aux représentants de la classe politique, la CAPEB demeure une habituée de ce genre d’exercice.

Depuis peu, l’opus de la nouvelle campagne 2022 est remis en main propre aux parlementaires et élus de l’Yonne pour qu’ils s’imprègnent des idées émises par l’ensemble de la corporation qui tente de faire face à la crise. La première, sanitaire tout d’abord, qui aura perturbé quelque peu la progression des carnets de commandes, impactant les chiffres d’affaires de ses acteurs. La seconde, l’opposition belliqueuse entre la Russie et l’Ukraine et ses conséquences sur l’envolée des prix des matières premières et sur le coût de l’énergie, dont on ne connaît pas encore les retombées économiques.  

Dernièrement, Jean-Christophe REPON, le numéro un de la CAPEB, remettait à l’une des têtes pensantes du cercle rapproché de la candidate Valérie PECRESSE, Jean-Michel FOURGOUS, un expert sur les aspects économiques, le précieux document.

Finalité de la mesure : se faire entendre en qualité d’acteur prioritaire de l’économie auprès des forces en présence au plan politique. D’où la publication de ce livre blanc, qui est résolument positionné autour d’une économie plus durable et vertueuse.

 

Un livre blanc articulé autour de trois volets essentiels…

 

Côté argumentaire, de quoi s’agit-il ? Il s’agit d’un triple constat, dans les faits, de la part de la confédération. Primo, obtenir l’équité entre toutes les entreprises du secteur, qu’elles soient petites ou grandes. Avec en filigrane, la place occupée par les TPE au sein de la représentativité patronale. Sur le principe, une entreprise égale une voix.

Secundo, un besoin plus qu’urgent de simplification, applicable au quotidien. La CAPEB souhaite davantage de lisibilité, notamment en matière de besoins administratifs ainsi que pour les dispositifs d’aides aux ménages qui concernent les travaux de rénovation et d’accessibilité. Il est vrai qu’il y a de quoi perdre son latin entre les outils MaPrimeRénov’, ECO PTZ, PTZ Accession, sans omettre tout le volet induisant la RGE et les contraintes de la CEE !

Enfin, ultime requête, celle qui se rapporte à la stabilité et lisibilité des mesures fiscales et sociales. Des règles qui ne cessent d’évoluer en permanence.

 

 

Les offres à 1 euro : l’Eldorado des pratiques commerciales frauduleuses…

 

D’autres ingrédients s’ajoutent à cet inventaire à la Prévert. Les questions inhérentes au recrutement (sempiternelles !), celles qui touchent la valorisation des déchets, l’attractivité des métiers du bâtiment ou encore l’incitation à suivre des cursus formatifs auprès des plus jeunes.

Deux items sont à observer toutefois : celui de la TVA qui pourrait être ramenée à 5,5 %, du fait de l’inflation galopante qui s’applique sur les matières premières, et le serpent de mer historique, la concurrence déloyale.

A ce propos, l’organisme fustige le gouvernement d’avoir laissé faire pour mettre en place des pratiques commerciales agressives, voire illicites, à l’origine de nombreuses fraudes et mécontentements auprès des consommateurs dans le cadre des programmes de ces fameuses offres à 1 euro, très discutables dans le landerneau !

 

Recréer un ministère spécifique à l’artisanat et au commerce ?

 

Les exigences de la CAPEB seront-elles entendues par la classe politique ? En tout cas, comme le martèle Jean-Pierre RICHARD, président de l’antenne de l’Yonne, « le poids de notre confédération n’est pas à négliger puisque nous intégrons l’U2P et quatre autres fédérations entrepreneuriales qui représentent in fine 93 % de l’économie française… ».

Le message est donc suffisamment clair à celles et à ceux qui veulent l’entendre. « Si vous ne nous écoutez pas, le taux d’abstention lors de ces deux futurs enjeux qualifiés de fondamentaux pour l’avenir de notre pays pourrait en être corrélé… ».

Et le président de la CAPEB – il est également le porte-étendard de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – de souligner que l’on ne parle pas assez de l’artisanat dans cette campagne.

« Il serait grand temps de réinstaurer un ministère de l’artisanat et du commerce qui a été supprimé sous l’ère de Nicolas SARKOZY afin que la gouvernance soit à l’écoute constante de nos besoins… ».

Cela ne semble pas être au programme des principaux prétendants au strapontin de l’Elysée. Attention, que ce livre blanc de la CAPEB ne vire pas au livre noir de la colère artisanale…

 

Thierry BRET

 

 


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Quelques jours à peine auront suffi pour fédérer différents acteurs de la vie associative de l’Auxerrois autour de la cause ukrainienne. Celle, très difficile, que vivent depuis le 24 février des millions de réfugiés, femmes, enfants, personnes âgées et handicapés qui fuient les lâches bombardements des forces russes en passant les frontières de Roumanie, de Hongrie et surtout de Pologne. Les Auxerrois ne peuvent pas rester insensibles à cet exode qui rappelle les heures sombres de l’histoire européenne. Ils doivent se mobiliser !

 

AUXERRE : Il y a des jours où on ne peut plus fermer les yeux. Face à l’impensable. Devant la cruauté de l’humain qui envoie sur les routes de l’exil des millions de femmes, de vieillards et d’enfants. Les hommes, ceux qui sont âgés de 18 à 60 ans, sont, quant à eux, restés au pays.

L’arme à la main, pour défendre crânement leur chance face au rouleau compresseur du despote de Moscou, qui se prend à rêver d’incarner le rôle politique de sa vie afin de demeurer à jamais dans les livres d’histoire, Staline, à défaut d’Hitler, après le dernier massacre survenu à Marioupol, ville martyre pour l’éternité. Des Ukrainiens qui se sacrifient en payant de leur existence la préservation de leurs droits et de leur liberté, dans une contrée qui aura eu le tort de lorgner un peu trop du côté occidental, pour vivre à l’européenne. A l’identique de ce que vous vivez tous les jours. Des Ukrainiens qui se battent depuis quinze jours pour nous protéger tous de l’impérialisme d’un autre âge !

 

Un collectif ouvert à tous pour qu’Auxerre agisse sur le terrain !

 

Vu de l’Auxerrois, doit-on se contenter de quelques mots de sympathie et d’encouragement minimalistes en guise de soutien pour montrer à ce peuple courageux et victime de crimes de guerre, voire d’un début de génocide, que nous ne les oublions pas ?!

Que nenni ! Un collectif, « Couleurs pour l’Ukraine », vient de se constituer à partir d’initiatives personnelles, se muant en rassemblement associatif pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens qui arrivent en masse à la frontière polonaise. Sachant que l’une des villes jumelles d’Auxerre n’est autre que la cité industrielle de Plock, située à l’ouest de Varsovie. Désireuse de s’investir pour aider les camps implantés à la frontière avec l’Ukraine.

L’objectif est donc simple. Logique et légitime. Réunir un maximum de bras et de partenaires autour d’une vaste collecte de produits alimentaires ainsi que de produits de première nécessité afin de les acheminer vers la Pologne, au secours de ces innombrables réfugiés qui ont un besoin impérieux de TOUT, accueillis prostrés et totalement démunis dans des camps de fortune. Des camps qui risquent de se multiplier et de grossir au fil des semaines.

 

Les réfugiés ont besoin de tout : mobilisez-vous !

 

Les besoins sont immenses : produits alimentaires, produits d’hygiène, lait pour bébé, couches, des réchauds, des casseroles et des couverts, des piles, des lampes, des couettes, des transistors, des jouets, des livres de coloriage et des crayons de couleur permettant de redonner un peu de sourire à des enfants qui ne s’en remettront jamais. Ayant perdu pour certains leurs parents, écrasés sous le poids des bombes de l’envahisseur russe.

Les besoins sont immenses, avons-nous dit ! Ils concernent aussi l’accueil de ces réfugiés. Certains des habitants de l’Auxerrois franchiront par solidarité, par altruisme, par amour de son prochain, par humanisme le cap de cet accueil fraternel. Dès ce vendredi, puis ce week-end, et sans doute après sur d’autres journées, les Auxerroises et Auxerrois ont l’opportunité de faire parler leur cœur !

Au centre Edouard LECELRC sur la Rive Droite à Auxerre. Chez MONOPRIX, rue du Temple, et bien sûr, dans d’autres structures commerciales qui consentiront petit à petit à participer à cet élan de générosité et d’humanisme devant balayer les affres de la souffrance de ces milliers d’Européens qui affluent aux frontières de l’Union.

Ce sont des amis, des cousins,…nos frères.

C’est un petit geste pour l’homme, mais un grand bond en avant altruiste pour préserver cette Humanité qui ne doit pas plier sous le joug des pires atrocités jamais commises sur le Vieux Continent depuis les années 90 et la guerre dans l’ex-Yougoslavie, voire de la Seconde Guerre mondiale.

 

 

En savoir plus :

Le Collectif « Couleurs pour l’Ukraine » englobe à ce jour plusieurs associations de l’Auxerrois à l’instar de la Maison de la Francophonie, des Jumelages et des Relations internationales, des clubs services (Lions, Rotary, Kiwanis, Inner Wheel, Jeune Chambre Economique, Table Ronde…), le COBATY ou Lune d’Afrique ; des groupes scolaires (Saint-Joseph-la-Salle, CFA La Brosse…), des acteurs économiques (Leclerc, Monoprix, Picq et Charbonnier, Procars,…), l’Union départementale des Sapeurs-Pompiers de l’Yonne, des médias (Affichage Brossier, France Bleu Auxerre, France 3 Bourgogne Franche-Comté, L’Yonne Républicaine, Radio Avallon, Radyonne, Presse Evasion…), etc.

Le collectif souhaite la mobilisation d’autres commerces et grandes surfaces pour accroître le mouvement de générosité qui est lancé…

 

Début des opérations :

Au centre Edouard LECLERC à Auxerre à partir de ce vendredi 11 mars dès 13 heures, puis le samedi 12 mars et le dimanche 13 mars en matinée, toute la journée. L’opération sera réitérée dès le samedi 19 mars.

 

Chez MONOPRIX, avec une collecte, prévue du vendredi 18 mars au dimanche 20 mars (en matinée) aux horaires d’ouverture du magasin.

 

Contact :

 

Le mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 


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« NFT », vous connaissez ? La traduction littérale de cet acronyme inspiré de l’anglais des affaires n’est autre que « Non Fungible Token ». Le jeton non fongible, pour les puristes qui rejettent d’un revers de la main l’usage de cet anglicisme trop envahissant. Serait-ce la raison d’être sémantique d’un dernier combo de rap à la mode ? Ou la désignation d’un tout nouveau jeu vidéo ? Que nenni ! « NFT » traduit la technologie émergente qui arrive à grands pas au sein de l’écosystème des crypto-monnaies. Domaine que MUGI va s’employer à vulgariser auprès du plus grand nombre…

 

AUXERRE : De la pédagogie, toujours. De la vulgarisation, encore ! Chantre des investissements en bitcoin et du rayonnement des crypto-monnaies depuis notre territoire, MUGI va une nouvelle fois se distinguer lors d’une série de causeries dont elle a la parfaite maîtrise pour intéresser le plus grand nombre à ces pratiques financières.

 

Un paradigme très prometteur que suit de très près METIS…

 

Cette fois-ci, la thématique principale qui sera abordée lors de trois rendez-vous prévus en présentiel à Nevers (le 16 mars), Dijon (le 17 mars) et Auxerre, le lendemain, sera consacrée à ces « NFT », dont la presse spécialisée se fait souvent l’écho depuis quelques temps.

Popularisée depuis 2021, cette technologie constitue de fait un nouveau compartiment d’actifs numériques avec ses caractéristiques propres. Engendrant une croissance démesurée depuis le début de cette année, qui s’amplifie de jour en jour, en suscitant beaucoup d’intérêts.

METIS, la structure mère de l’univers « MUGI », surveille de très près l’évolution de ce paradigme très prometteur qui révolutionne déjà bon nombre de circuits. Certaines industries se positionnent déjà sur ce marché. En particulier celles de l’art qui pourrait s’en trouver considérablement changé avec la possession de biens digitaux.

 

 

Un phénomène qui va voir sa valorisation exploser dans le futur…

 

Le secteur du luxe s’y engouffre également. Lançant leurs propres collections au sein de ces espaces numériques futuristes de type métavers. Même les acteurs de la GMS (grande distribution) n’y sont pas insensibles. A l’instar de CARREFOUR qui a déjà acquis une parcelle de terrain virtuel dans un jeu vidéo, « The Sandbox », afin de positionner un futur commerce en ligne dans le métavers (ce monde parallèle numérique créé par Facebook) pour la coquette somme de 300 000 euros !

« Nous pensons fortement que nous sommes au tout début d’un phénomène qui verra sa valorisation exploser dans les années à venir, confie l’équipe MUGI qui voit dans ce mouvement un nouvel axe très puissant en devenir.

Toujours prompt à prendre des initiatives, la structure développe un nouveau service, sous la forme d’un pool de liquidités. Celui-ci aura pour objet d’investir dans ce nouveau compartiment d’actifs numériques. Afin de se positionner déjà sur ce marché en début de construction.

D’où l’existence de ces trois interventions à suivre également en visioconférence qui ne se cantonnent pas au seul département de l’Yonne. Parce que la naissance de ce nouvel écosystème le vaut bien ?

 

Thierry BRET

 


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