Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Pas de comptabilité à priori dans ces sujets. Mais, ils sont – ou devraient être – tous au cœur des préoccupations des comptables d’entreprises, des cabinets d’expertise-comptable et de leurs clients chefs d’entreprises. Car, un dénominateur commun les unit : il s’agit d’enjeux cruciaux dont la mauvaise appréhension peut conduire à la catastrophe, comme nous allons le voir ci-après...

 

TRIBUNE : Commençons par la cyber-sécurité. Sujet tarte à la crème, certes, mais ô combien sensible, plus encore dans un contexte géopolitique déboussolé où les attaques numériques, venant entre autres de hackers pro-russes, font partie des armes non conventionnelles à l’efficacité redoutable.

Tous les secteurs de l’économie sont concernés, allant des grandes entreprises, ministères, hôpitaux, banques (celles-ci déjouent quotidiennement plusieurs milliers d’attaques !), aux services publics ou privés (ainsi dans un pays en avance dans le tout-numérique comme le Danemark, une attaque a paralysé récemment le trafic ferroviaire). Les menaces ne pèsent pas que sur les grands groupes ou les états. Qui ne connaît parmi ses proches une victime de virus informatique, de boîte mail piratée, ou de « ransomware » ?

 

Guichet unique : vers un désastre annoncé ?

 

Premier enseignement : la menace informatique est partout, en permanence, et bien souvent, on n’en a pas conscience.

Quand ce n’est pas par malveillance que le monde numérique dysfonctionne, ce peut être simplement par mauvaise conception ou mise en œuvre des outils. C’est ce qu’illustre la mésaventure récente du « Guichet unique » qui est censé devenir le portail Internet sécurisé par lequel toutes les formalités concernant les entreprises seront réalisées.

Il doit remplacer notamment « INFOGREFFE » ou certaines missions traditionnellement sont dévolues aux centres des formalités. Ce Guichet unique devait être mis en ligne au premier janvier 2023, mais face aux multiples bugs, le monde économique a unanimement réagi en demandant en urgence le maintien des anciennes procédures. Le journal « Option Finances » titrait même : « Guichet unique : chronique d’un désastre annoncé ».

Finalement, le gouvernement a décidé en février dernier de revenir pendant un certain temps encore aux anciennes procédures déclaratives. Cette histoire montre qu’il est nécessaire de réaliser des tests multiples avant de lancer un applicatif important.

 

 

 

Le temps, un facteur à ne pas négliger pour tout nouveau système…

 

 

Deuxième enseignement : la mise en place de nouveaux outils innovants doit être mûrement et longuement préparée avant mise en service, quitte à déborder sur le planning annoncé. C’est ce qu’a su faire de manière pertinente l’administration fiscale en 2017 quand elle a pris la décision de reporter l’entrée en vigueur du prélèvement à la source, autre grand chantier, estimant que le système n’était pas assez fiabilisé et que les utilisateurs n’étaient pas assez préparés.

Le temps est donc un facteur à ne pas négliger : toute innovation nécessite de la réflexion pour être mise au point et être acceptée par les utilisateurs. Attention toutefois à ne pas utiliser ce critère de manière tellement extensive qu’on en viendrait à différer indéfiniment la mise en œuvre. C’est ce qui arrive en partie au fameux RGPD (Règlement Général de Protection des Données).

Qui se souvient que ce règlement, qui a vocation à assurer le respect de la protection de la vie privée, est en vigueur depuis mai 2018 ?

A ce jour, force est de constater que de nombreuses entreprises, et pas toujours les plus petites, n’ont absolument rien mis en œuvre face à cette obligation. Or la CNIL contrôle de plus en plus d’entités, même de toutes petites (un médecin), et adresse des mises en demeure ou des amendes. Au-delà, c’est un manque de chance pour l’entreprise de faire face de manière adéquate à une attaque cyber ou une panne matérielle : que restaurer si on n’a rien sauvegardé ?

 

 

 

La facture électronique : un grand bouleversement similaire à la gestion informatisée…

 

 

Troisième enseignement : s’il ne faut pas confondre vitesse et précipitation, il ne faut pas non plus faire l’autruche mais au contraire prendre les évolutions ou contraintes à bras le corps sans attendre.

Alors quid, dans tout cela, du dernier sujet à l’ordre du jour : la facture électronique ? Celle-ci se mettra en place progressivement entre 2024 (pour les grands groupes) et 2026 (pour tout le monde). C’est un bouleversement dans le fonctionnement de nos entreprises. Peut-être comparable à l’arrivée de l’informatique de gestion il y a trente ans.

Instruits des cas concrets que nous avons évoqués, nous retiendrons que la facture électronique est intégralement basée sur Internet dont on a dit qu’il s’agissait d’un univers pavé de menaces et dangers. A la différence du lancement du « Guichet unique », sa mise en œuvre doit être entourée d’un maximum de sécurités.

Les entreprises (les plus petites du moins) ont encore le temps de s’y préparer. Au lieu de faire l’autruche, anticipons et ne sous-estimons pas le chantier ! Comme on l’a fait pour le RGPD. Mais, au contraire préparons-nous dès maintenant par la mise en place d’outils et de procédures informatiques adéquats que nous aurons le temps de tester.

Alors collectivement comme individuellement, nous pourrons dire avoir retenu les leçons de l’histoire pour passer avec succès cette étape majeure dans la transition vers l’économie numérique !

Epilogue : un danger peut toujours en cacher un autre. Quelques jours après son lancement officiel, le « Guichet unique » (celui-ci ne fonctionnait pas correctement) subissait une attaque informatique paralysant tout le système. Quand, cela ne veut pas, ça ne veut pas !

 

Marc DEMONTEIX

Chambre professionnelle des Experts-comptables et Commissaires aux Comptes de l’Yonne

Une chronique réalisée en partenariat avec l’Ordre départemental des experts-comptables de l’Yonne.

 

ordre des experts comptables de bourgogne franche comte newsletter

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le nucléaire, c'est définitivement de l'histoire ancienne en Allemagne. Les trois derniers réacteurs, encore en activité, viennent d’être mis à l’arrêt. C’est donc la fin d'une ère avec la fermeture des centrales nucléaires, malgré le contexte de guerre en Ukraine et le délicat problème de la dépendance aux produits fossiles de la Russie. Une révolution de palais de l’autre côté du Rhin ? Sans aucun doute…

 

TRIBUNE : Le gouvernement allemand leur avait accordé un sursis de quelques semaines, par rapport à l’arrêt initialement fixé au 31 décembre 2022. Mais, sans remettre en cause la décision de tourner la page, la première économie européenne ouvre ainsi un nouveau chapitre de son histoire énergétique, mise au défi de se sevrer des énergies fossiles, tout en gérant la crise gazière déclenchée par la guerre en Ukraine.

« Les risques liés à l’énergie nucléaire sont définitivement non-maîtrisables », a asséné la ministre de l’Environnement Steffi LEMKE. Ils inquiètent ainsi de larges pans de la population et ont cimenté le mouvement écologiste. Greenpeace avait organisé au pied de la porte de Brandebourg à Berlin, un adieu à l’atome, symbolisé par une dépouille de dinosaure vaincu par le mouvement antinucléaire. « Enfin, l’énergie nucléaire appartient à l’histoire ! », proclame cette ONG.

L’invasion de l’Ukraine aurait pu tout remettre en question. Privée du gaz russe dont Moscou a interrompu l’essentiel des flux, l’Allemagne s’est retrouvée exposée aux scénarios économiques les plus noirs (noir charbon ?). L’hiver s’est finalement passé sans pénuries ; la Russie a été remplacée par d’autres fournisseurs de gaz mais le consensus autour de la sortie du nucléaire s’est effrité. Dans un récent sondage pour la chaîne de télévision publique ARD, 59 % des personnes interrogées estiment qu’abandonner le nucléaire dans ce contexte n’est pas une bonne idée. L’Allemagne doit « élargir l’offre d’énergie et non la restreindre davantage », a déploré le président des chambres de Commerce, Peter ADRIAN, dans le quotidien « Rheinische Post ».

« C’est une erreur stratégique, dans un environnement géopolitique toujours tendu », a affirmé Bijan DJIR-SARAI, le secrétaire général du parti libéral FDP, pourtant membre de la coalition gouvernementale aux côtés des sociaux-démocrates et des écologistes.

Un avenir énergétique dans le flou artistique absolu…

Le choc énergétique lié à la guerre en Ukraine, qui a fait temporairement exploser les prix de l’électricité et forcer le pays à relancer quatorze centrales à charbon polluantes pour garantir son approvisionnement, a redonné des arguments à celles et ceux qui jugent depuis longtemps que la décision allemande de se passer de l’atome est une erreur. En Allemagne, le plus gros émetteur de Co2 de l’Union européenne, le charbon représente encore un tiers de la production électrique, avec une hausse de 8 % l’an dernier pour faire face à l’absence de gaz russe.

« La relance de l’énergie fossile pour compenser la sortie du nucléaire ne va pas dans le sens de l’action climatique portée au niveau européen, a tancé le ministère français de la Transition énergétique. La France, avec 56 réacteurs, reste le pays le plus nucléarisé par habitant. Au niveau européen, les divergences sont vives entre Paris et Berlin sur le rôle de l’atome. L’Allemagne préfère se concentrer sur son objectif de couvrir 80 % de ses besoins en électricité grâce aux énergies renouvelables dès 2030, tout en fermant ses centrales à charbon en 2038, au plus tard. Mais là, l’incertitude règne. Où et comment l’énergie renouvelable va-t-elle être produite ?

 

 

 

Energie : un accord franco-allemand a été trouvé…

 

« Notre sujet, c'est que l'Allemagne soit capable de nous livrer de l'électricité quand nous l'appelons et que nous soyons capables de lui livrer du gaz quand elle nous appelle... » dixit Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre française de la Transition énergétique. C’est un accord de dupes. On ne voit pas comment l’Allemagne, après la fermeture de toutes ses centrales nucléaires, pourra dépanner la France, si hélas, nous devions être en pénurie d’électricité. Pour cela, l’Allemagne devra accroître sa production de charbon ! La France exporte de l’électricité en Allemagne, en Suisse et en Italie. Compte tenu des mises en sommeil (pour cause de nombreux travaux) de ses réacteurs nucléaires, l’Hexagone, en 2022, a importé de l’électricité d’Allemagne, de Grande-Bretagne et d’Espagne.

Malgré toutes ces interactions énergétiques entre les pays, le prix de l’électricité varie tous les jours et fait l’objet de « contrats à terme », donc de spéculations. Des fausses nouvelles ont circulé sur les réseaux sociaux, hélas, parfois relayé par certains médias, arguant que la France revendrait de l’électricité à 49 euros pour la racheter à 1 000 euros (le MWH : l’énergie maximale qu’une installation peut produire en une seconde). Faux et archi faux : même si les consommateurs d’électricité ont pu constater une augmentation substantielle de leur facture ! On importe et on exporte. Il est évident que ces aller-retour font le jeu de la spéculation et participent à l’inflation.

 

 

Cela bouge aussi en Pologne côté charbon !

 

Plus du tiers de nos amis Polonais se chauffent au charbon, et face à la fin des importations de charbon consécutives à la guerre en Ukraine, des mines illégales et clandestines fleurissent à travers le pays. Le gouvernement fait semblant de s’en offusquer, afin de préserver la paix sociale. Mais, le nucléaire a encore de beaux jours devant lui.

La France sort tout de même son épingle du jeu grâce au nucléaire et en dépit des écologistes qui seraient prêts à imposer la fin du nucléaire au profit… de quoi au fait, d’ailleurs ? Le nucléaire est rentable : plus le pétrole sera élevé, plus les centrales nucléaires seront rentables. L’effondrement du prix du baril (et la chute du cours du dollar) provoquerait la faillite de tous les pays occidentaux. Soyons rassurés, dans ces conditions, personne ne souhaite la chute du prix de l’or noir ! Dans ce contexte de pénurie possible : quid de notre électroménager, de nos voitures électriques… de tout ce qui marche à l’électricité ?

Aujourd’hui, les classes les plus défavorisées se restreignent sur la nourriture. Toute la population est appelée à diminuer fortement sa consommation d’énergie et d’eau. Les Terriens appauvrissent les ressources naturelles ; seule la France se bat encore pour savoir si la retraite doit être portée à 64 ans…

Une expérience de mon passé de banquier, enfin, me laisse aujourd’hui songeur : après le décès d’une gentille mamie, les héritiers sont fébriles devant l’ouverture du coffre à la banque. Ils salivent, se bousculent, les comptes bancaires étaient vides mais le coffre faisait partie des plus grands de l’établissement. Roulement de tambour : la porte s’ouvre devant eux : le coffre contenait deux boîtes de petits pois, cinq kilos de sucre et pas moins de trente bougies d’éclairage ! Une femme qui avait sans doute connue les restrictions de la Seconde Guerre mondiale, et donc prévoyante. Je pose la question : qui n’a pas dans ses placards des bougies, un stock de moutarde, et de nombreux paquets de pâtes et de riz ? La prévoyance fait partie de la sagesse…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Combien étaient-ils à garnir les travées du Palais des Congrès ? A assister à l’assemblée générale annuelle de l’établissement mutualiste régional, jeudi soir ? Cinq cents personnes ? Six cents ? Davantage, encore ? Un raout où convergèrent les sociétaires des huit départements plus un (ceux de l’Ain du moins en partie), une cérémonie aux enjeux ô combien stratégiques, vu le contexte économique et sociétal actuels. Comme savent seules les organiser les entreprises à la mécanique organisationnelle bien huilée. La Banque Populaire BFC a déroulé sa manifestation, entre convivialité, remises de prix et analyses de ses résultats…Ainsi soit-il !

 

BEAUNE (Côte d’Or) : Un décorum exceptionnel, digne des grands shows à l’américaine avec écrans géants – une triple vision des intervenants lors de leur prise de parole, excusez du peu ! -, une tribune et un plateau conférence visible du plus grand nombre ; une sonorisation à la qualité auditive parfaite, des jeux de lumière faisant ressortir toute la palette chromatique proposée par la régie en charge de l’animation dont ce bleu si intense, la couleur fétiche de l’établissement, qui en a fait sa signature coutumière depuis des lustres, le plus souvent usité en balayant le public pendant la soirée.

Bien sûr, la salle était abondamment garnie : à croire qu’il n’y avait pas d’autres évènementiels à se mettre sous la dent du côté de Beaune ce jeudi soir et que les Ateliers Cinématographiques de Claude LELOUCH, situés à quelques encablures de là, avaient fait une salvatrice relâche dans leur programmation pour cinéphiles avertis pour faire place nette à l’évènement économique de la journée !

Pour peu, on s’attendait presque à voir surgir de la pénombre environnante en lever de rideau de l’auguste animation la silhouette gracile d’un CALOGERO, basse en bandoulière, ou d’un Patrick BRUEL au meilleur de sa forme !

 

Une banque qui a su passer à travers les gouttes des vagues dépressionnaires…

 

Bienvenue dans l’antre de l’assemblée générale de l’un des établissements bancaires qui aura confirmé cette année encore son statut de financeur de tout premier plan de l’économie de Bourgogne et de Franche-Comté – sans omettre le une frange de ce Pays de l’Ain ! – et qui n’aura de cesse durant le long déroulé de la soirée d’afficher ses belles performances financières obtenues en 2022, commentaires et analyses à l’appui.

Une année riche et intense qui aura accentué la prégnance de la banque mutualiste sur sa zone territoriale de prédilection, comme elle l’avait déjà consolidée, les années antérieures…

Et pourtant, c’est à croire que la Banque Populaire qui accumule les succès sait pertinemment comment passer à travers les gouttes des orages. Ils furent nombreux à se succéder en vagues de dépressions infernales au cours de ces derniers mois : crises à multiples rebondissements, conjoncture internationale des plus tendues, conditions climatiques déplorables et perturbatrices pour certaines catégories socio-professionnelles, contexte social impacté par une inflation en totale voie expansionniste et galopante…

Un environnement macro-économique des plus sulfureux, voire anxiogène pour nos compatriotes, sans compter le relèvement historique des taux d’intérêt qui impacte le moindre interstice de l’économie de marché.

 

Une logique de temps long applicable à la stratégie…

 

Situation paradoxale inhérente au facteur chance ou véritable miracle lié à une saine gestion, à un équilibre parfait et à un respect de la feuille de route décisionnelle qui se sera appuyé sur l’engagement de toutes les équipes de ce grand navire amiral qu’est le siège social du groupe et de son immense flottille composée de toutes ses agences commerciales ? Malgré la présence régulière de la mer des Sargasses et son immobilisme lorsque l’économie fonctionnera au strict ralenti, du fait des atermoiements imputables de COVID-19 ou par vent de force 9 avec le retour des crises les plus alarmistes de l’inflation, la Banque Populaire BFC a su essuyer les grains en utilisant sa force de frappe : son expertise et ses expériences au service de d’une clientèle multiple. Un établissement qui a su mettre aussi à profit la prégnance de la technologie, le rajeunissement de ses ressources humaines et la modernité de son approche commerciale pertinente pour maintenir le cap, malgré ce climat délétère et pernicieux.

Jamais, les résultats obtenus en 2022 à force d’implication, de volonté et de sueur de la part du millier de collaborateurs engagés dans la même direction n’auront été aussi flamboyants, battant des records dont ne peuvent que se satisfaire des sociétaires admiratifs.

La recette de ces bons résultats, même si elle n’est pas miraculeuse en soi et ne doit rien à une prière accordée à la grâce de Bernadette SOUBIROUS, sainte patronne de la ville de Nevers, ne repose en fait que sur une humble stratégie, mise en exergue à la perfection : tout ce qu’entreprend en guise d’engagement et d’investissement la structure bancaire régionale repose sur une logique de temps long…A méditer pour toutes celles et ceux qui confondent encore lors de leurs prises de décision vitesse et précipitation !

 

 

Un produit net bancaire qui dépasse la barre des 400 millions d’euros…

 

Il est clair que la continuité, dans sa perfection, du schéma stratégique « S’engager ensemble pour nos clients et notre territoire » - une véritable table des « Dix Commandements », gravés dans le marbre ! – a permis de consolider, cette année encore, le développement de cet acteur majeur de la vie économique régionale qui aura au bas mot financé plus de 4,3 milliards d’euros de projets !

D’ailleurs, à ce jeu-là, ce ne sont pas les 690 000 clients référencés par l’établissement qui s’en plaindront, visiblement !

Quant au nouveau plan tactique, baptisé « Immensément Bleu » - en référence et on y revient à ce fameux coloris cher à la structure ! -, il prévoit en 2024 de travailler avec 720 000 clients ; ce qui de l’avis de Jean-Paul JULIA, « grand ordonnateur » de la soirée, en sa qualité de directeur général, demeure parfaitement d’actualité.

Quant aux chiffres clés résumant cette année 2022, considérée comme historique, ils révèlent la santé insolente de cette structure qui pèse de tout son poids dans le paysage régional.

Les encours de crédits clientèles sont de l’ordre de 18,1 milliards d’euros (soit une hausse de 10 %) – qui a dit que les banques ne prêtaient plus aux consommateurs ?! -, permettant ainsi à la BP BFC d’établir à 419 millions d’euros son produit net bancaire - l’équivalent du chiffre d’affaires – avec là aussi + 6 % de mieux en comparaison avec l’exercice antérieur. Anecdote à noter dans ses neurones : c’est la première fois que le PNB dépasse le montant des 400 millions d’euros dans l’histoire de la vénérable institution…

Avec ses données encourageantes, le résultat net de la banque régionale atteint 95,5 millions d’euros (+ 11 %) ; le coût du risque ressort sur l’exercice à 54 millions d’euros, soit moins 13 %. Enfin, le ratio de solvabilité se situe à 19,05 % - sachant que le minimum requis est de 10,5 % - ce qui traduit dans les faits la bonne santé de l’établissement régional.

 

 

Valoriser les initiatives de celles et ceux qui façonnent la région…

 

Intervenant à la tribune, le président du Conseil d’administration, le Sénonais Michel GRASS, ne manqua pas de commenter ces résultats : « ils sont la démonstration que notre modèle mutualiste représente une force singulière pour comprendre, anticiper et affronter les difficultés… ». Puis de conclure : « c’est parce que la Banque Populaire BFC appartient à ses clients sociétaires que nous mettons toute notre énergie à leur service et au profit du développement de notre territoire et à la qualité de vie au travail de nos collaborateurs… ».

Des propos qu’étayera le directeur général du groupe, Jean-Paul JULIA, « ces résultats démontrent la capacité de nos clients à se développer, à se réinventer parfois, à rebondir aussi et à réussir si souvent ! Notre envie de porter leur réussite reste notre boussole ; nos différents Prix en témoignent : les Prix Initiatives Associations, les Prix de la Dynamique Agricole ou encore les Prix Stars et Métiers. Nous avons franchi une nouvelle étape en 2022 avec le lancement du livre « 9 Talents », pour valoriser les parcours de celles et ceux qui façonnent notre région, qui font son rayonnement et sa fierté ».

De quoi convaincre les sociétaires qui découvrirent d’autres pans de la dense actualité de la banque régionale dont nous vous ferons écho grâce à un autre rendez-vous rédactionnel ces prochains jours…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le programme se veut alléchant. A bien y regarder de plus près, il l’est pour ses heureuses bénéficiaires ! Dont la jeune chef d’entreprise qui monte, qui monte, qui monte….avec ses projets les plus aboutis dans le landerneau icaunais : j’ai nommé, Victoire DUHAMEL. Agée de 22 ans, la native de l’Yonne n’a pas été choisie par hasard pour intégrer le dispositif national, « Femmes Entrepreneuses » initié par ORANGE. Le lancement de sa structure (« Thank You Lab ») et ses crèmes cosmétiques apaisantes y sont pour beaucoup !

 

AUXERRE : On connaissait la saga des DUHAMEL dans le monde de la presse et de la communication hexagonale ; voici une autre version liée à ce célèbre patronyme qui pourrait faire florès – qui sait ! – dans le milieu de la cosmétique, incarné par la jeune et très esthétique, Victoire, à l’avenir ! Une jeune fille à la tête bien pleine et qui sait déjà comment orienter avec efficience sa carrière professionnelle en ayant créé sa propre société (« Thank You Lab ») dans un univers bien spécifique, celui des soins de la peau. Age de la demoiselle : vingt-deux printemps !

Pas étonnant que l’opérateur ORANGE ait su déceler en cette belle pépite sortie de son écrin de réelles potentialités entrepreneuriales, qui devraient se conforter avec le programme « Orange Digital Center » (ODC) dont elle bénéficie à l’heure actuelle et ce pour plusieurs mois encore jusqu’au terme de 2023.

 

Déjà plébiscitée par le réseau Entreprendre Bourgogne !

 

Depuis février, la responsable de « Thank You Lab » a rejoint le cercle très restreint, non pas des poètes disparus, mais de ces femmes entrepreneuses de France – elles ne sont que cent in fine - que souhaite soutenir le spécialiste en télécommunications.

Apparu en 2019, ce dispositif a pour vocation d’apporter des moyens contributifs à l’épanouissement professionnel de ces femmes autour de quatre items : la visibilité, le développement du leadership, la culture du business et les financements, le nerf de la guerre de tout projet digne de ce nom !

Accompagnée par des spécialistes de l’entreprise, Victoire DUHAMEL participe régulièrement à des masters class, des entretiens individualisés, des ateliers qui en font l’étoffe d’une business-woman redoutable en devenir. Une offre construite sur mesure et selon ses besoins. Un sérieux plus pour celle qui a reçu il y a peu en parallèle de cette actualité l’adoubement pour l’ingéniosité de son concept de développement de solutions efficaces contre les eczémas et autres dermatites de REB, le fameux réseau Entreprendre Bourgogne ! Et comme le dit l’adage : une « victoire » n’arrive jamais seule !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De l’emploi, il y en aurait presque à foison sur le territoire du Florentinois ! Il suffisait non pas de traverser une simple rue mais de se rendre sur la place Dubost à Saint-Florentin, jeudi, pour découvrir ces offres. Du moins, c’est ce que précisaient la douzaine d’entreprises présentes lors de ce premier forum, conjointement mené par la Communauté de communes Serein et Armance et le Pôle Formation 58/89. L’animation se poursuit aujourd’hui…

 

SAINT-FLORENTIN : Exposer les besoins des entreprises du secteur industriel en matière de recrutement. Telle était la vertu cardinale de ce premier forum de l’emploi, qui était accueilli en plein air, jeudi, sur l’une des places centrales de la localité florentinoise.

Une animation concoctée avec le concours de la Communauté de communes Serein et Armance, permettant ainsi de faire rayonner l’évènementiel bien au-delà des limites de la seule ville principale de cette zone géographique.

Occupant une grande partie de l’aire de stationnement, dépouillée de fait de ses automobiles, ce forum se composait d’une quinzaine de stands réservés à certaines belles références industrielles du canton. On peut citer entre autres France GALVA, CONIMAST, AMH, DUC, ALSTOM ou encore DAVEY BICKFORD.

Les représentants des services ressources humaines de ces entreprises n’étaient pas venus sur le site les poches vides. Mais, bel et bien, agrémentés d’offres d’emploi dans leurs besaces, qui étaient prêtes à être pourvues si la demande se faisait ressentir en face.

 

 

L’usine virtuelle 4.0 en vedette pour la plus grande joie des scolaires…

 

On notait aussi la participation de la Mission Locale ou de l’ITII (Institut des techniques d’ingénieur de l’industrie), structure accueillie au sein de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, à Auxerre. Preuve que la formation n’est jamais éloignée du recrutement…

Profitant d’un soleil radieux et de températures quasi estivales – plutôt de bon augure pour une manifestation devant se dérouler à l’extérieur ! -, ce sont les scolaires du cru – collégiens en substance – qui ouvrirent le bal de la découverte de ce show spécial emploi et carrière, à découvrir dans la filière de l’industrie. Un secteur à la pointe de l’actualité – la France doit se doter de nouvelles forces industrielles à moyen terme pour sortir de toute dépendance aux pays asiatiques entre autres -, créant ainsi une nouvelle bulle d’employabilité évidente à brève échéance. Du pain bénit pour les jeunes pousses en quête d’une orientation fiable et d’un métier vraisemblablement assuré !

Forcément, la vedette du jour ne pouvait être aux yeux de ce public juvénile que la flamboyante remorque du poids lourd, maquillée en « Fabrique 4.0 », une unité mobile de formation ludique et éducative consacrée aux métiers de l’industrie technologique !

 

 

 

Un poids lourd et sa précieuse remorque qui n’ont pas fini de bouger !

 

Une manière de marier astucieusement et sans être rébarbatif les métiers industriels d’aujourd’hui (les offres des entreprises présentes) et les métiers de demain. Entre robotisation, jumeaux numériques et usine du futur.

Une connaissance qui fut partagée bien au-delà des scolaires puisque ce forum était également ouvert à la population et aux entreprises elles-mêmes, susceptibles de s’immerger dans le saint des saints de cette information à délivrer – ce fameux poids lourd ! – auprès des personnes en quête de reconversion professionnelle, voire en recherche d’emploi.

L’an passé, le Pôle Formation 58/89, dirigé par Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, avait déjà réalisé une opération similaire sur l’Avallonnais. L’usine virtuelle était également présente en début de semaine dans le Sénonais sur le site industriel de TUBAUTO. Il semblerait que ce camion au contenu un peu spécial n’ait pas fini de se balader sur le territoire de l’Yonne !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil