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Concocté par les trois chambres consulaires de notre territoire (Agriculture, Commerce et Industrie, Métiers et Artisanat), l’évènement aura le mérite d’éclairer les jeunes pousses en quête d’une orientation pédagogique, devant les mener à embrasser une carrière professionnelle. Et quoi de plus formidable pour un adolescent que l’apprentissage et l’alternance pour faire de sa vie une réussite en matière d’intégration…

AUXERRE : Du CAP au diplôme d’ingénieur, il y en aura pour tous les goûts ! Et toutes les appétences intellectuelles. Proposé ce samedi 06 avril dans l’enceinte du parc des expositions d’Auxerre, ce rendez-vous offrira une excellente opportunité pour celles et ceux qui sont à l’heure des choix. C’est-à-dire l’ensemble des élèves soucieux d’embrasser l’une des filières professionnelles les menant tout droit à un métier et à une carrière dont ils seront fiers.

Co-organisée par les trois acteurs institutionnels majeurs de l’économie du territoire, les chambres consulaires, la manifestation bénéficie également du soutien de la Région. Mais, aussi du Fonds social européen (FSE) et de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.

L’an passé, l’évènement n’était pas passé inaperçu aux yeux du public ciblé. Plus de 1 600 visiteurs avaient arpenté les travées du parc des expositions auxerrois en recherche de l’indice suprême pouvant orienter leur choix.

Car, l’un des enjeux de cette animation est de pouvoir apporter les réponses idoines aux interrogations multiples de ces jeunes gens, fraîchement émoulus du système scolaire traditionnel et peu au fait des arcanes des milieux professionnels.

Un salon 100 % pratique pour donner un maximum de réponses…

Plus d’une quarantaine de participants ont déjà validé leur bulletin de présence sur cette quatrième édition. Des entreprises en quête d’apprentis dévoileront en parallèle un certain nombre de besoins sur l’espace Recrutement. Précisons que des offres d’emploi en alternance alimenteront les possibilités offertes auprès des futurs candidats.

Bâti sur le concept « Un lieu, trois espaces pour faire le bon choix… », ce salon « Fiers d’être apprentis » mettra à la disposition des visiteurs, accompagnés ou pas de leurs parents, de profiter de son lot d’information sur les métiers, la validation de projet, la recherche d’une entreprise.  

En outre, les entrepreneurs recevront les renseignements utiles et judicieux devant les aider à l’embauche d’un apprenti.   

Salon de l’apprentissage et de l’alternance 

AUXEREXPO,

Samedi 06 avril 2019

Inauguration à 11 heures en présence de Jean-François LEMAITRE, président de la délégation Yonne de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat interdépartementale Côte d’Or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne, Arnaud DELESTRE, président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne et Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

 


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S’appuyant sur l’expertise et les compétences de Pôle Emploi Auxerre, le géant de l’industrie touristique et des loisirs à l’international organise deux jours durant des séances de recrutement dans la capitale de l’Yonne. A l’instar de celles déclinées dans le reste de l’Hexagone. Objectif : pourvoir dans l’instantanéité mille postes qui viendront grossir les rangs de cette vitrine incontournable des arts de vivre à la française. Quarante-quatre personnes en quête d’emploi ont ainsi répondu à leur convocation au premier jour de cette session. Seule une quinzaine d’entre elles bénéficieront d’entretiens individuels leur permettant d’affiner leur profil pour exercer un job parmi la centaine de métiers proposés…

AUXERRE : Après Besançon et Dijon, Auxerre est donc la troisième étape de cette séance de recrutement tous azimuts concoctée par Pôle Emploi pour les besoins du Club Méditerranée à travers la France. Chaque année, le poids lourd du tourisme mondial propose au rythme des trois saisons principales (printemps, été, hiver) ces rendez-vous qui lui permettent in fine d’accroître son potentiel de collaborateurs. Mais, c’est bien la première fois que le site de l’organisme public auxerrois accueille l’une de ces sessions. Avec à la clé, plus d’un millier d’emplois à pourvoir dès que possible !

Le but étant d’alimenter le potentiel de G.O (gentils organisateurs) et G.E (gentils équipiers) de trois villages opérationnels en France : l’un en Savoie, l’autre près de Grasse et le dernier situé à La Rochelle.

Après la projection d’un moyen métrage de 45 minutes expliquant les valeurs du Club Med et l’éclectisme de ses différents métiers (une centaine environ y est exercée), vint le temps ensuite des entretiens individuels. Pour celles et ceux qui avaient une réelle appétence à se projeter à plus long terme vers ce projet.

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Près de cent cinquante candidats sélectionnés en amont…

Les services de Pôle Emploi Auxerre n’ont pas ergoté sur les moyens pour ce rendez-vous matinal. Conviant ainsi près de cent-cinquante demandeurs d’emploi à prendre part à cette séance collective. Quarante-quatre personnes se présentaient en début de séance. Certaines avec de réelles motivations comme cette jeune femme qui postulait pour une fonction d’hôtesse d’accueil, se plaignant que la plupart des entreprises de l’Yonne ne recrutaient plus cette typologie de métier. Cette dernière participera d’ailleurs aux entretiens individuels, menés par le chargé de recrutement de la direction des ressources humaines du groupe, Joe BOULVERT.

L’an passé, le Club Méditerranée devait recevoir plus de 100 000 demandes de candidature. Ces prétendants espéraient exercer un emploi dans l’un des 70 villages de vacance que le groupe possède de part et d’autre du globe.

Si la maîtrise de l’anglais et du français demeure indispensable, les postulants peuvent aussi posséder des connaissances appréciables en portugais (du fait de la forte fréquentation de la clientèle brésilienne), du russe et du mandarin. Quant aux offres, elles restent éclectiques et nécessitent des prérequis en matière d’expériences et de diplômes selon la catégorie professionnelle (cuisine, petite enfance, administratif, hôtesse d’accueil, commerciaux, chef de rang dans l’hôtellerie-restauration, professeur de sport…).

Evolutifs, ces postes peuvent aboutir à l’obtention de plusieurs contrats à durée déterminée. Mais, aussi de pouvoir prétendre à des CDI, en France comme à l’international. Majoritairement, les métiers issus de l’hôtellerie et de la restauration représentent le plus fort contingent de nouvelles recrues (51 %). 41 % des filières porteuses d’emploi proviennent du domaine sportif et des loisirs auxquels il faut ajouter le secteur de la petite enfance et de la famille. Enfin, un reliquat de 8 % correspond aux métiers supports s’identifiant à ceux de la vente et de l’administratif.

 

 


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La planète se réchauffe. Oui, de temps en temps, elle se refroidit. C’est vrai aussi. Sur la base de ce constat, à ce jour les discussions sont plutôt enflammées. Ce qui ne va pas contribuer au maintien de la température de la planète en dessous d’un seuil vivable. Donc une des questions qui se posent est : quelle est la contribution humaine à ce sujet ? Cette question m’a amené à investiguer plusieurs thèmes, comme par exemple : combien de pétrole et de charbon l’homme a-t-il carbonisé depuis 1800 ? Combien de CO2 a-t-il rejeté dans l’atmosphère ? Quelle est la part de la contribution thermique des activités humaines au final ? Voici des éléments de réponse…

TRIBUNE : Mon propos n’est ni de convertir qui que ce soit dans une croyance ou l’autre, simplement apporter une contribution à la réflexion du moment. Je dois pour cela, et tout d’abord, remercier une personne qui se reconnaîtra sans doute à la lecture de ces quelques lignes, si elle en a l’occasion.

En effet, dans le cadre des réunions publiques liées au « Grand Débat », un interlocuteur m’a qualifié, après mon intervention, de climatosceptique. Ceci m’a poussé non pas à une introspection ni à une analyse psychiatrique, mais à quelques calculs dont je présente ci-après les résultats.

Je laisse le soin au lecteur de vérifier ceux-ci. Les connaissances requises sont d’un niveau de collège (calcul du volume d’eau des océans) à un niveau lycée maximum (chaleur requise pour chauffer la marmite), puis un niveau licence peut-être pour les compositions de la matière, plus un peu de bon sens (je ne connais pas le niveau d’études pour cela !).

Elévation de + 1,26°C depuis 1830 : contribution thermique maximale des activités humaines + 0,0162°C.

Ainsi, en Mtep (Mega Tonnes équivalent pétrole), l’homme a extrait de l’ordre de 196 000 Mtep de pétrole et 172 000 Mtep de charbon depuis 1830. Par ailleurs, le volume d’eau des océans et de toutes les mers adjacentes est de 1,337E+21 litres (1,337*10…00…00 = soit « Un » et « 21 zéros » derrières ; là, avec ce nombre de zéros, on n’est peut-être pas au litre près, même s’il a plu hier quelque part sur la planète, je ne vais pas en tenir compte !).

Ainsi, imaginons que l’on mette toute l’eau de la planète dans une casserole et que l’on chauffe celle-ci avec tout le charbon et le pétrole extrait depuis 1830, la température monterait de ……… 0,0027°C ! Moins de 3 millièmes de degré !

Cependant, comme l’on sait aujourd’hui que la température des océans est invariable à plus de 700 mètres de profondeur, limitons notre casserole à cette hauteur et faisons bouillir la marmite toujours avec la même source d’énergie. On atteint alors l’élévation faramineuse de …. 0,0149°C !

Reprenons le même raisonnement pour réchauffer l’air. Là, le résultat serait de 2,91°C ! Cela commence à parler. De même si toute cette énergie ne servait qu’à réchauffer la terre sur 15 mètres de profondeur (invariante en deçà), on aboutirait à une élévation de température de 0,45°C.

Par conséquent, si l’on veut déterminer l’équilibre thermique résultant de toute cette énergie chauffant l’air, la terre jusque 15 mètres de profondeur et l’eau à 700 mètres de profondeur, on obtient une élévation de température moyenne de 0,0147°C, soit moins de 1,5 centièmes de degré.

Donc, si le système planète est une cocotte fermée et que toute l’énergie développée par l’homme reste dans la cocotte, on voit bien que cet aspect énergie thermique des combustibles fossiles ne peut justifier une élévation de température de + 1,26°C depuis 1830. On peut ajouter à ce raisonnement les centrales nucléaires, depuis cinquante ans en cumul, elles ont ajouté à cette énergie environ 10,5 % du total et l’on en déduirait une élévation de température de 0,0162°C.

De plus, ces chiffres sont majorant car tout le pétrole extrait n’est pas transformé en énergie thermique (exemple les sacs plastiques). De même que l’énergie électrique de source nucléaire ne finit pas uniquement en chaleur. Par exemple, lorsque vous élevez une tour en béton ou en bois, il y a transformation en énergie potentielle au fur et à mesure de la superposition des étages.

Il s’agit de l’effet de serre du Co2 !

Donc, le constat +1,26°C découle peut-être de l’effet de serre imputable au CO2. Regardons cela de près.

Comme l’on connaît la composition atomique du brut extrait en moyenne, du charbon, on peut déterminer combien de Co2 maximum on produit sur une hypothèse de transformation totale des atomes carbones en molécules de CO2. Là encore, le calcul va être majorant car même si rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme…mais tout ne se transforme pas en Co2 !

Donc, un calcul majorant aboutit en 2016 par exemple à une émission de Co2 de 37,57 GTCo2 (giga tonnes de Co2) pour une valeur officielle de 34,2 GTCo2 cette année-là.

Ainsi, le cumul est de 1750 GTCo2 environ de 1830 à 2018. Est-ce là la cause de l’effet de serre annoncé ?

Reprenons pour cela le dernier rapport du GIEC qui mentionne que de 1998 à 2012, la température moyenne de la planète a évolué de +0,04°C par décennie.

Sachant que la température moyenne, que les divers observatoires internationaux indiquent, était de + 0,271°C en 1998 par rapport à la moyenne de référence, et qu’en 2018 elle était de + 0,364°C, on est bien sur une tendance de + 0,044°C/10ans. On notera au passage que sur 21 ans d’observation, une projection amènerait à + 0,44°C en un siècle, ce qui est dix fois moins que les projections officielles du GIEC.

Si l’on regarde sur cette même période les émissions de Co2 par l’homme, en cumul de 1998 à 2018, il a émis plus de 40 % du total recensé depuis 1830. Ainsi, si l’effet de serre n’est pas saturé, l’augmentation de Co2 devrait s’accompagner d’une augmentation significative de température. Or depuis 1998, la température a cru de 0,65 % du thermomètre Celsius (soit 3,3°/00 °K de l’échelle thermodynamique), alors que le Co2 a augmenté lui de 40 %, donc 60 fois plus). On devrait alors conclure à la saturation du phénomène, plus de Co2 n’entraînant pas plus de température.

Si l’effet de serre est saturé, la température ne peut que croître, indépendamment du taux de Co2. Au fur et à mesure que s’accroît l’énergie du système planète, alors qu’en 2016 on relevait + 0,57°C mais en 2017 la température était redescendue à + 0,46°C et en 2018 à + 0,364°C. On en conclut que l’effet de serre n’est ni saturé ni insaturé du fait du Co2. Une des conclusions logiques qui en découle est que l’effet de serre imputable au Co2 est très largement surestimé, sans aller conclure qu’il n’y a aucun lien de cause à effet.

Où est passé tout ce Co2 ?

Maintenant, si l’on suppose que tous les atomes de carbone de toutes les énergies fossiles (il faudrait y ajouter le bois, c’est vrai) se combinent avec l’oxygène pour former du Co2, alors l’homme a émis dans l’atmosphère depuis 1830 l’équivalent de 319ppm et depuis 1980 l’équivalent de 159ppm. Or de 1980 à 2018, la concentration de Co2 dans l’atmosphère est passée de 330ppm à 410ppm.

Ainsi la concentration de Co2 dans l’atmosphère a augmenté de 85ppm alors que l’homme en a émis 159ppm de plus. Où est la différence sur seulement 39 ans ? Le GIEC base en partie ses hypothèses sur le fait que le temps de résidence du Co2 dans l’atmosphère est de cent ans.

L’homme en émet donc beaucoup plus que ce que l’on retrouve dans l’atmosphère. La température monte beaucoup moins que les modèles informatiques sensés modéliser tout cela. Cela commence à faire beaucoup de questionnement sur la doctrine officielle. Le lecteur notera au passage qu’il n’est pas question sur le site de Légifrance d’une loi de « transition écologique », mais d’une loi de « transition énergétique ».

En guise de conclusion…

Les chiffres ne reflètent absolument pas les explications régulièrement admises quant à l’évolution du climat. L’urgence est donc à la sagesse, au recul, et à la recherche.

Notamment, tout progrès en matière d’économie d’énergie (on n’a pas de pétrole mais paraît-il des idées), de réduction d’émission de polluants (à justifier, ici le Co2 ne semble pas très polluant, même sous l’angle de l’effet de serre) et de préservation de la biodiversité ne peut qu’être bénéfique. Si ceci ne conduit pas à l’asphyxie économique. J’incite le lecteur intéressé à se pencher sur la notion du « pari de Pascal ».

Cependant, je crois (il s’agit là d’une croyance, pas d’une connaissance) qu’il faut se garder de l’approche qu’avait publiée un des principaux rédacteurs du quatrième rapport du GIEC (ce qui suit est une connaissance pas une croyance) : « si vous voulez des crédits pour faire de la recherche, il faut proposer aux peuples et aux gouvernants des scenarii catastrophes ».

Je finirais par demander à tout lecteur de bien vouloir m’éclairer sur les erreurs de raisonnement que j’aurais pu commettre dans ces développements ; ceux-ci se basent uniquement sur des ordres de grandeurs.

Comme tout calcul, la sensibilité à certains paramètres peut être importante. Par exemple, si vous estimez que la profondeur des océans affectée par la chaleur émise du fait de l’activité humaine n’est que de 10 mètres et non pas 700 mètres, vous obtenez une élévation moyenne de température de la planète depuis 1830 de 0,5°C et non pas 1,5 centièmes de degré.

Toutefois ce résultat ne justifie toujours pas les + 1,26°C constatés depuis 1830.

Denis MOUGEOLLE

 

 


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Fort du succès rencontré autour du Grand débat national, avec l’organisation de quatre rendez-vous thématisés qui concernaient des sujets sociétaux majeurs, la jeune structure associative, éclectique dans sa représentativité, entend jouer un rôle prégnant d’ici les échéances du printemps 2020. Le mois de juin sera donc propice à la réflexion. Et à la possibilité de pouvoir s’exprimer publiquement sur les réelles attentes et les desiderata des Auxerrois avant les municipales…

AUXERRE : La date n’est certes pas encore définitivement arrêtée. Question d’agenda ou de pragmatisme, sans doute. Car, les contours de ce projet se peaufinent dans les esprits. Mais, une chose s’avère certaine ; le mois de juin sera choisi pour concocter un tel rendez-vous. Celui offrant l’opportunité aux Auxerrois de pouvoir échanger en toute liberté et de structurer leurs commentaires avisés lors d’un, voire de plusieurs débats, selon des thèmes préétablis.

Différents lieux pourraient servir de logistique pour accueillir ces animations citoyennes, qui ne manqueront pas d’aiguiser la curiosité des suiveurs de la chose publique et politique. En parallèle, la création d’un site multimédia ad hoc est en phase préparatoire.

L’ensemble des éléments récoltés constituera une base de travail qualitative. Le fruit de ces concertations devant être transmis aux futurs candidats de la joute municipale du printemps 2020.

Belle mobilisation lors des quatre soirées Grand débat…

Le mois dernier, « S’Engager pour l’Auxerrois » a connu le succès. Les quatre rendez-vous citoyens déclinés lors du Grand débat national ont occasionné un retour appréciable de 210 doléances dont 110 propositions. Celles-ci avaient d’ailleurs fait l’objet d’une remise officielle de ces documents compulsés durant plus de huit heures de réunion à la représentante de l’Etat en charge de ce dossier, la Secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, et sous-préfète d’Auxerre, Françoise FUGIER.

Deux cents soixante personnes avaient pris part à ces soirées thématiques du mercredi qui s’échelonnaient sur un mois.

L’Europe, mais aussi la désertification médicale, le devenir des territoires ou la laïcité et le vivre ensemble servaient de socle de réflexion à ces exercices oratoires. Consignés de manière rigoureuse, ces éléments informatifs, transcris sur une clé USB, avaient été remis en main propre à Françoise FUGIER.

Des éléments qui furent intégrés ensuite à la grande synthèse présentée depuis au gouvernement et dont les premiers résultats devraient être dévoilés par le président de la République à la mi-avril.

 

 


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Les quais de l’Yonne sont propices à la flânerie gustative les dimanches matins à Auxerre. La direction de l’établissement hôtelier ne s’y est point trompée en invitant les amateurs de farniente et autres adeptes d’Epicure à pousser la porte de ce qui était autrefois un ancien grenier à sel. Afin de profiter d’un cadre bucolique et tranquille pour y savourer un excellent brunch…

AUXERRE : Il est vivement recommandé de réserver dès que possible avant de tenter l’expérience. Mais, celle-ci, une fois accomplie, possède fière allure ! Et donne envie d’y retourner dès le dimanche suivant en y prenant quelques agréables habitudes !

Ouvert aux enfants comme à leurs géniteurs, le brunch dominical de l’hôtel Le Maxime est devenu au fil des semaines une vénérable institution pour celles et ceux qui prennent le temps de se poser aux abords de la rivière en coulant des instants heureux.

L’incontournable moment de détente ne concerne pas que les adeptes du tourisme et les visiteurs aux accents prononcés, en quête des plaisirs de la table. Les Auxerrois y trouvent aussi leurs comptes. Ils ont fait de ce rendez-vous dominical un lieu où ils aiment se poser. Et déguster.

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L’intégration de ce service supplémentaire dans le choix stratégique de l’établissement hôtelier trottait dans la tête de sa gérante, Delphine LEFEBVRE, depuis plusieurs mois déjà.

Très tendance, le brunch respecte la convivialité de l’instant tout en privilégiant l’appétit des consommateurs. Servi de manière traditionnelle, avec ses jus de fruits frais, ses œufs brouillés, et son bacon rappelant les savoureux « breakfeast » à l’anglaise, cette solide collation faisant office de déjeuner copieux se décline à satiété pour les plus gourmands de ses adeptes !

A adopter parmi vos plaisirs hebdomadaires sans aucune modération…

 

Hôtel Le Maxime

2 Quai de la Marine

89000 Auxerre

Tel : 03.86.52.14.19.

Réservation fortement conseillée

Chaque dimanche de 11h00 à 14h00.

 


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