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C’est une agréable bouffée de fraîcheur culturelle qui nous vient de Scandinavie. Plus exactement de Suède. Pays septentrional dont est originaire l’artiste. Celle-ci nous avait déjà transportés à pareille époque l’année dernière dans les méandres psychédéliques du « Flower Power ». Un voyage à remonter le temps comme on les adore, en version nostalgie. Avec « Rupestres », Catherine RYMARSKI nous entraîne encore plus loin, aux sources de la vie humaine. A l'âge où l’homme invoquait les dieux sur la pierre…

 

AUXERRE: Pas question de se protéger des températures caniculaires en ce mois d’août à la limite du supportable dans une quelconque grotte lorsque l’on réside en zone urbaine ! La touffeur de l’air réchauffé par l’asphalte est telle qu’il faut trouver d’autres dérivatifs pour tenter de faire fonctionner les neurones en ébullition avec un peu de fraîcheur. En espérant la clémence du ciel…et la présence d’espaces végétalisés !

Heureusement, il existe des subterfuges intellectuels qui ne nuisent pas à la santé. Bien au contraire ! L’immersion totale au cœur d’un environnement culturel. Prenez l’exemple de la galerie librairie « In Situ », sise à Auxerre la « chaude ».

Elle accueille depuis le 09 août la nouvelle présentation artistique de Catherine RYMARSKI. Une franco-suédoise de talent, à la renommée régionale, qui nous invite à une rencontre inédite et curieuse sur la toile. La vraie, celle qui est suspendue sur une cimaise ou un chevalet, et pas sur un écran d’ordinateur !

 

 

Conjuguer artistiquement les origines scandinaves et le territoire de Bourgogne…

 

Le voyage pictural proposé est un mix astucieux de ce qui se ressent en Bourgogne mais aussi en Suède. Une « aurore boréale » d’ingéniosité créative fait d’ocres et de pigments de Puisaye mais aussi de papiers cousus et de broderies. Un véritable patchwork de fraîcheur nous plongeant dans les racines profondes de l’humanité.

Déjà à l’été 2021, Catherine RYMARSKI nous conviait à des retrouvailles heureuses à la galerie « Mouv’Art » auxerroise avec une époque bénie des dieux : la période psychédélique de la fin des années 60 où le pop-art et la liberté d’expression éclataient à la face du monde.

Là, dans cette nouvelle série d’aventures culturelles maîtrisées, l’artiste s’attache à conjuguer à la fois ses origines scandinaves et le territoire bourguignon où elle a pris racine depuis plus de vingt ans.

Puisant auprès de ses lointains ancêtres les sources d’inspiration ayant donné naissance à ces peintures rupestres (les pétroglyphes) dans la région de Tanum et celle de Bohuslän, sur la côte ouest de la Suède.

Au-delà de ce qu’elle a pu lire et collectée sur le sujet, cette passionnée d’ocres naturelles – une maîtrise technique qu’elle a acquise en fréquentant les lieux de référence de cet univers coloré dans l’Yonne -, constate de visu lors d’un récent séjour en Suède la pertinence de ce patrimoine rupestre extraordinaire.

 

Un voyage en Suède source d’émotion et d’inspiration…

 

Il se compose de guerriers, de navires, d’animaux, de roues, mais aussi de figurations sacralisées où l’homme des cavernes invoque aussi les dieux dont il ne souhaite pas s’attirer les foudres, eux qui contrôlent le temps, le Soleil et…la mort.

De ce voyage au pays de ses géniteurs, vieux de trois mille ans, l’artiste reviendra émue et inspirée.

Exacerbant ainsi son esprit créatif en lui permettant d’accoucher de ce travail fructueux où elle s’offre la possibilité d’être en osmose avec les deux pays qui lui sont chers au plus profond de son âme, la Suède et la France.

« La plupart des gravures sont reproduites sur papier d’après mes photos ou mes souvenirs mais ces figures peuvent aussi être « inspirées de… précise-t-elle. Leurs associations au sein d’une toile sont par contre purement imaginaires. Elles sont ensuite cousues sur mes peintures à l’ocre. Trouver sa place entre deux pays prend du temps à l’image de la broderie qui accompagne chacune de ces toiles. La couture et la broderie, renforcent la dimension symbolique et philosophique en interrogeant sur la notion de temps, des origines, et de la place de chacun dans le monde… ».

Tel un bonbon menthol qui revigore le palais, l’exposition « Rupestres » et les nombreuses interrogations sur les croyances originelles de l’homme apportent son grand bol d’air frais dans la chaleur de ces jours…

 

 

En savoir plus :

 

Les ocres et les pétroglyphes (gravures rupestres) de Tanum et de Bohuslän se donnent rendez-vous dans les créations de Catherine RYMARSKI.

Les œuvres de l’artiste franco-suédoise se découvrent à la galerie librairie In Situ à Auxerre (rue du pont) jusqu’au 05 octobre 2022.

Vernissage le 16 septembre à 18h30.

 

Thierry BRET

 


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Vide de chez vide le rayon des moutardes de l’un des commerces alimentaires emblématiques du cœur de ville d’Auxerre ! Alors que la mayonnaise et le ketchup affichent une « bonne santé » en termes de production, au vu du nombre de pots garnissant les étalages, le fameux condiment dont la Bourgogne a fait l’une de ses spécialités culinaires reconnues à l’international a totalement disparu des supermarchés. Le retour à la normale côté approvisionnement n’est pas prévu avant le printemps 2023 !

 

AUXERRE : Laissez tomber la moutarde, devenue une denrée rare en France à l’instar des autres pays du globe et privilégiez désormais des sauces au yaourt, à base de raifort ou à l’échalote en guise d’accompagnement de vos viandes, de vos plats ou de vos frites lors des repas ! Quant à la vinaigrette, elle se fera de la manière la plus édulcorée qui soit, à l’huile et au vinaigre !

Dans la série estivale des nombreuses pénuries qui s’accumulent à n’en plus finir à la façon des sagas interminables du style NETFLIX en cette année 2022, celle qui s’agrémente autour de la moutarde n’est donc pas prête de se terminer, selon les spécialistes.

 

Le Canada, à la source du problème…

 

La faible production de la graine nécessaire à la composition de ce condiment très goûteux dont la Côte d’Or s’enorgueillit en période normale côté fabrication est à l’origine de cette incroyable situation que personne n’envisageait de vivre un jour. Pas même les gastronomes et autres épicuriens avisés, n’est-ce pas cher Gauthier PAJONA !

Où se situe donc l’origine réelle du problème ? De la Russie qui nous aurait coupés sine die le robinet de ce précieux auxiliaire alimentaire servant à faire avaler une viande un tantinet trop cuite ?

De l’Ukraine qui ne peut plus exporter ces fameuses graines dont on a tant besoin en France (et surtout en Bourgogne centrale pour en concevoir des milliers de pots) parce que ses zones portuaires sur la mer Noire subissent un blocus ? Que nenni !

 

 

Même si les deux frères ennemis de l’instant intègrent la catégorie des producteurs de ces graines, il faut se tourner de l’autre côté de l’Atlantique pour entrevoir avec pertinence la véritable problématique.

Au Canada, précisément, numéro un de l’exportation mondiale de ce produit qu’il cultive de manière intensive. Or, la forte sécheresse (déjà) survenue en 2021 a réduit à néant ou presque (une baisse de plus de 50 %) la production de la fameuse graine.

Conséquence : on connaît la suite face à ces phénomènes économiques qui deviennent récurrents, une production en berne pour alimenter le réseau mondial et des prix qui ont pris la poudre d’escampette de manière vertigineuse vers la hausse !

 

Une production française insuffisante pour répondre aux besoins…

 

C’est très simple : selon les analyses officielles, le prix de la moutarde a grimpé de 9 % en l’espace d’une année. De quoi grever un peu plus le porte-monnaie des consommateurs de l’Hexagone qui n’en sont plus à une augmentation près, au niveau des denrées alimentaires.

La disparition des pots de moutarde des rayonnages risque de perdurer. D’une part, les conditions climatiques de cet été 2022 caniculaire n’ont guère été favorables au développement de la graine tant en France qu’au pays de l’Erable. D’où un impact certain sur les récoltes.

D’autre part, le conflit situé à l’est de l’Europe ne permet pas à la Russie, sous le joug des sanctions économiques occidentales, et à l’Ukraine, prise dans la tenaille de l’Ours russe en mer Noire, de livrer leurs graines sans rencontrer de réelles difficultés.

Il reste toutefois la culture pratiquée dans l’Hexagone qui représente 50 % de la production européenne. Mais, celle-ci est insuffisante pour couvrir les besoins de la consommation française et satisfaire pleinement les amateurs du condiment si savoureux.

Bref, plutôt que la moutarde ne nous titille fortement les narines de sa trop longue absence, il vaut mieux prendre son mal en patience en se rabattant sur la mayonnaise et le ketchup qui eux regorgent sur les étals !

 

 

  

En savoir plus :

 

Les professionnels de la filière moutarde sont regroupés au sein d’une structure, baptisée l’Association Moutarde de Bourgogne qui fédère différents pôles.

L’un est consacré à la recherche pour la sélection des variétés, l’autre concerne la production – il est géré par l’Association des Producteurs de Graines de Moutarde de Bourgogne dont sont membres les producteurs et les organismes stockeurs dont Dijon Céréales, 110 Bourgogne, Soufflet…-,  le troisième volet se rapporte à la transformation au sein duquel on retrouve les industriels moutardiers comme UNILEVER, Reine de Dijon, Fallot, etc.

 

   

Thierry BRET

 


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Les législatives ont livré leur verdict sorti des urnes mais elles ont aussi permis aux élus de montrer leur véritable visage aux Français. Un exemple ? La NUPES, où son leader Jean-Luc MELENCHON chauffe  les troupes pour annoncer les futures luttes de l’automne. Au passage, durant la campagne, il aura condamné la police tout en demandant à ses ouailles de voter Emmanuel MACRON ! Que penser aussi d’une Sandrine ROUSSEAU qui avait promis à Damien ABAD, alors ministre des Solidarités, de ne pouvoir se faire entendre dans l’hémicycle tant le chahut serait insupportable. Elle avait  juste oublié que la destitution d’un membre du gouvernement ne s’effectue pas en faisant une simple « ola » !

 

TRIBUNE : De nombreux militants de formations politiques en vogue côté popularité refusent la  démocratie. Le patron de la NUPES l’a annoncé à moult reprises : « les luttes se feront dans la rue ! ».

C’est sans doute pour cela qu’il propose de désarmer la police, au cours des futures manifestations. Avec le scandale du Stade de France, on a donc vu naître l’idéologie du mensonge. De nombreux membres du gouvernement refusent aussi la réalité et la vérité : la misère, le chômage, les zones de « non-droit » ou de « non-France »…

La confrontation dans la rue ou à l’Assemblée nationale promet d’être agitée, pour ne pas dire violente.

Le « Convoi de la liberté », mouvement né au Canada, se répand dans d’autres pays du globe, comme en Australie, et risque de débarquer en France d’ici peu.

Le point de départ est liminaire : les libertés aliénées par les obligations vaccinales. Les Français se sont plaints de ce cruel manque de liberté durant la pandémie. Mais, au vu des récents soubresauts de la crise sanitaire, on est toujours dans « l’état d’urgence ».

 

 

Le fléau de la « guerre civile » à venir ou présente selon les cas…

 

La prochaine étape inciterait-elle à « l’état de siège » ? Les frustrations sont grandissantes. La grande inconnue, c’est l’état d’esprit du parti majoritaire : c’est-à-dire les abstentionnistes. Certains pensent que la « guerre civile » est proche alors que d’autres, comme Eric ZEMMOUR et de nombreux partisans du Rassemblement National affirment qu’elle a déjà commencé.

Ajoutons à cela que nos concitoyens se privent de nourriture, et que nous voyons un gouvernement affaibli et désavoué par le peuple : des décisions impossibles ou difficiles à prendre face à toutes les crises que nous  vivons. Les crises économiques et financières, écologiques, militaires face à la guerre en Ukraine, mais aussi celles engendrées par la souveraineté nationale ou l’immigration…

Quand HITLER, MUSSOLINI et HIROHITO déchaînaient les passions de la haine, il existait un GANDHI, homme de paix et de sagesse qui apportait un contrepoids positif à l’Humanité ! Existe-t-il un GANDHI dans notre paysage de désolation, aujourd’hui ?

Bref, si la pizza napolitaine est désormais classée par l’UNESCO, il est urgent de faire enregistrer « la fraternité » au patrimoine mondial de l’humanité !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Cycles et piétons n’ont plus que quelques semaines à patienter avant de pouvoir traverser en toute sécurité la D 606 à hauteur du pont de la Cour Barrée, entre Escolives et Champs-sur-Yonne. Grâce aux feux tricolores mis en place et à la passerelle en phase finale de réalisation qui leur sera réservée pour passer d’une rive à l’autre. Un atout supplémentaire pour le département en matière touristique, que ce soit dans le cadre du « Tour de Bourgogne à vélo » ou d’une boucle familiale, au départ d’Auxerre, via les sections aménagées de chaque côté de la rivière.

 

LA COUR BARREE : A peine ralentis par les températures caniculaires de ces derniers jours, les travaux vont bon train sur le pont enjambant l’Yonne et le canal du Nivernais à hauteur de Champs-sur-Yonne, sur l’ancienne route nationale aujourd’hui rebaptisée D 606. Débutés le 16 mai dernier, ils devraient s’achever mi-septembre. Avec à la clé, une passerelle flambant neuve toute de bois et métal revêtue qui, associée à des feux tricolores pour réguler le trafic routier, permettra aux cyclistes comme aux randonneurs, de ne plus avoir à se confronter à la circulation automobile pour continuer leur balade.

Montant de l’opération : 627 K€, cofinancés pour 30 % par le Département, 30 % par la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois. Les 40 % restants étant du ressort de la Région. Plusieurs projets ont été envisagés, dont l’un passant sous le pont existant mais vite écarté, du fait d’un coût trois fois plus élevé. La solution retenue est celle d’une passerelle en bois au tablier incrusté d’aluminium anti dérapant, qui déborde du pont de 80 cm pour une largeur totale de 2,50 m, séparée de la route par un muret, tout en conservant une largeur de circulation de 6,50 m pour les véhicules.

 

 

Une réalisation qui ressemble à un bon compromis…

 

Un « bon compromis » selon Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental, en charge de la commission des structures, qui mise aussi sur l’intérêt touristique d’une telle réalisation : « outre le fait de s’inscrire dans le grand « Tour de Bourgogne à vélo », cette passerelle permettra à des familles d’effectuer, une boucle cyclable au départ de l’Arbre-sec et, via la route de Vaux, de rejoindre en toute sécurité l’autre rive pour revenir le long de l’Yonne sur Auxerre par Augy ».  

 

 

Si le projet n’a souffert d’aucune contestation au sein de l’instance départementale, comme de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, quelques voix protestataires se sont fait entendre parmi les riverains. Certains craignant notamment des nuisances sonores supplémentaires engendrées par le redémarrage des voitures et camions arrêtés aux feux. Plus de 8 500 véhicules dont 750 poids lourds empruntent quotidiennement cet axe et les feux tricolores seront équipés d’un bouton d’appel, à l’image de ce qui existe en ville pour les piétons, afin de limiter les nuisances que pourrait provoquer un arrêt prolongé.

 

 

Priorité à la sécurisation des lieux…

 

Pour Christophe BONNEFOND, il y avait urgence à sécuriser les lieux : « même s’il n’y a jamais eu d’accident grave, on joue la prévention avant tout. Et puis, qui peut dire combien on aura de vélos dans dix ans ? Certainement beaucoup plus qu’aujourd’hui et je suis convaincu qu’à l’été 2023, ils seront nombreux à faire la boucle en famille… ».

Son homologue au Conseil départemental Yves VECTEN est déjà dans les starting-blocks : « dès que les moissons sont finies, on va m’y voir souvent du côté du canal et pour l’instant, toujours sur un vélo normal sans assistance électrique… ».

L’on n’en attendait pas moins du maire d’Escamps, dont tout le monde connaît l’âme sportive bien trempée !

 

Dominique BERNERD

 


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Pourtant ravi de l’initiative, le réalisateur Thierry POUGET ne sera malheureusement pas présent lors de cette soirée spéciale, conjuguant les arts gustatifs de la dive bouteille à celui, septième du nom, identifié par le cinéma ! Dommage, certes, mais cela n’enlève en rien à la qualité spécifique de ce programme estival qui se déclinera à mi-chemin entre la découverte culturelle d’un savoir-faire – les métiers de la vigne – et l’initiation œnologique, vantant une nouvelle cuvée. La bien-nommée « Triptyque », élaborée par le Domaine FERRARI, instigateur de ce projet et dévoilée avant sa future commercialisation…

 

IRANCY : L’hymen entre le vin et le cinéma ne date pas d’hier ! Mais, vu par le petit bout de la lorgnette purement icaunaise, ce n’est pas chose courante dans la réalité. Alors quand un domaine viticole prend l’initiative de conjuguer les deux matières pour en faire un événementiel déclinable lors d’une soirée unique, là, bien évidemment, en bon épicurien que nous sommes tous, au fond de notre âme, nous en redemandons !

D’ailleurs, les premières tendances en termes de fréquentation plaident déjà pour le renouvellement de l’animation et ce, dès la saison prochaine. Une soixantaine de personnes ont déjà biffé sur leur agenda ces retrouvailles entre grand écran – le long métrage choisi pour la circonstance sera projeté en fait sur le mur de la nouvelle « cuverie » du domaine opérationnelle depuis l’hiver – et la séance d’œnologie d’usage, permettant de déguster avec la modération nécessaire quelques nectars issus de la maisonnée.

 

Un « Triptyque » à découvrir en avant-première…

 

Aidé par le BIVB (Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne) dans le choix du documentaire thématique à diffuser, le Domaine FERRARI a pris soin de concevoir seul la manifestation, proposée ce vendredi 22 juillet en nocturne, sur son site à Irancy.

Une première dans l’historique de ce domaine, piloté par Christophe et Nicolas FERRARI, dont les vins ne sont plus à présenter dans ces colonnes.

Il aura suffi d’une actualité, et de taille, à relater auprès du plus grand nombre pour esquisser les prémices de ce projet novateur, mis en chantier avec l’une des autres représentantes de cette famille de vignerons, Marie FERRARI. Dans une vie antérieure : architecte de profession !

 

 

La présentation d’une nouvelle cuvée, baptisée « Triptyque », sert donc de prétexte agréable et légitime à ce rendez-vous concocté en plein air dans le joli village de l’Auxerrois pour amateurs avertis mais aussi touristes de passage.

Dès 20 heures, horaire d’ouverture de l’animation, les explicatifs fleuriront parmi les convives afin de connaître les dessous de cette cuvée mono-cépages où le gamay, le pinot noir et le fameux « césar », faisant référence sur les coteaux du cru, tiendront la vedette. Une nouvelle cuvée qui devrait être proposée en phase de commercialisation dès le mois de septembre.

 

 

Une belle leçon d’humanisme et de courage avec « Ligne de Vignes »…

 

Deux heures plus tard, le cinéma reprendra ses droits sans pour autant omettre un petit grignotage gourmand, agrémenté d’un verre de l’un des nectars à l’estampille du domaine.

Le documentaire réalisé en 2016 par Thierry POUGET, « Lignes de Vignes », offrira ensuite une très émouvante illustration visuelle de ce qu’est la réalité au quotidien ou presque de celles et ceux – les tâcherons – qui travaillent avec pugnacité et courage dans les vignes malgré les aléas de la météo.

Malgré l’absence du réalisateur, retenu par ailleurs sur un nouveau tournage, les spectateurs auront de quoi méditer en partageant ces histoires de vignes et de vin, grâce à cette immersion humaine dans la vie journalière d’un couple qui consacre son existence aux travaux viticoles.

Une manière de rendre hommage aux équipes qui créent et élèvent ce breuvage dont les Bourguignons sont fiers d’exporter à travers le monde.

Présenté hors compétition en mai 2017 au Festival de Cannes, « Ligne de Vignes » avait ému larmes dans le regard ses spectateurs mais aussi les médias par ces images éblouissantes traduisant la dure réalité. Une fois ce film projeté, c’est sûr : on ne regarde plus le prix appliqué à une bouteille avec les mêmes yeux…

 

Thierry BRET

 

 

 


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