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Forcément, il s’attendait à une réunion quelque peu conflictuelle, voire houleuse avec les élus de l’Yonne. Le président de la Commission transports et mobilité de la Région BFC Michel NEUGNOT le sait très bien : dès que l’on aborde le délicat problème de la mobilité – surtout quand celle-ci se décline sous son aspect ferroviaire ! -, on touche du doigt le nerf à vif du problème. « C’est comme si on s’attaquait à la montagne mais avec des points de vue différents, confiait-il au terme d’un long exposé à Auxerre. Une montagne qui a accouché d’une souris selon ses opposants ?

 

AUXERRE : Il n’aura cessé de le marteler durant toute son intervention face à une assistance parfois hostile, à l’écoute patiente dans l’hémicycle de l’hôtel du Département où il proposait cette rencontre informative sur le nouveau cadencement des trains dans l’Yonne : la Région Bourgogne Franche-Comté traite de manière globale le sujet des mobilités. L’un de ses nombreux domaines de compétences, par ailleurs.

Effectuant le déplacement depuis Dijon, le vice-président de l’organe institutionnel régional et président de la Commission des transports et des mobilités n’est donc pas venu en terre icaunaise pour y rencontrer les édiles concernés par le devenir des liaisons ferroviaires les mains vides.

« Nous avons une réponse à apporter sur le territoire septentrional de la Bourgogne parce que la desserte nord de l’Yonne n’est pas satisfaisante dans son mode de fonctionnement actuel. C’est d’ailleurs la seule que l’on n’ait pas encore travaillé sur notre territoire, non pas par manque de volonté mais parce qu’elle est en lien direct avec l’Ile-de-France… ».

 

 

Un accord historique avec l’Ile-de-France et voté unanimement à la Région…

 

 

Une desserte spécifique et plus complexe qui représente bon an mal an dix mille voyages (l’équivalent de cinq mille usagers effectuant des allers/retours entre l’Yonne et la capitale) alors que la région francilienne traite dix millions de passagers.

En avril 2021, le Conseil régional statuait par un scrutin l’accord historique porté par Marie-Guite DUFAY, présidente de l’exécutif BFC, et son homologue, Valérie PECRESSE, à la tête de l’Ile-de-France.

« Un vote qui est revenu unanime de la part des élus de l’assemblée régionale, souligne avec malice Michel NEUGNOT, même si certains contestent aujourd’hui le contenu de cet accord alors qu’ils l’ont voté ! »

De quoi provoquer quelques éruptions cutanées et verbales lors de la séance explicative où Michel NEUGNOT ne se sera pas privé de tancer le président du groupe régional du Rassemblement National, Julien ODOUL, opposé au projet évoqué par l’élu socialiste.

Pédagogue, prenant le temps de dérouler tout le cheminement de la mobilité nécessaire à sa compréhension en l’expliquant, Michel NEUGNOT et l’équipe de techniciens qui l’accompagnaient se seront parfois heurtés à l’impatience manifeste de certains élus icaunais, pressés d’en savoir davantage sur les phases évolutives et concrètes de cet épineux dossier.

 

Des budgets conséquents pour améliorer les dessertes…

 

« Il était nécessaire de dévoiler les différentes étapes qui ont mené à ce processus depuis quatre ans, renchérit Michel NEUGNOT, un travail réalisé en concertation avec les services de SNCF Réseau et d’Ile-de-France Mobilités, des structures qui ont œuvré d’arrache-pied pour arriver au dispositif qui a été présenté ce jour… ».

Et le vice-président de la Région d’ajouter sur ce qu’il considère comme un travail « colossal » : « aucune région qui jouxte l’Ile-de-France n’a essayé de travailler le sujet comme nous le faisons ! »

Partant du simple postulat que la régularité des trains – du matériel à la limite de la vétusté – est mauvaise et peu adaptée aux flux actuels, la Région a donc décidé de mettre les pieds dans le plat en rectifiant tout cela. Injectant au passage une enveloppe de 300 millions d’euros à l’achat de matériel roulant de nouvelle génération. Dont un train six caisses qui sera doublé en deux unités et qui offrira une capacité optimale pour accueillir davantage de passagers pour treize millions d’euros.

 

 

Pas de perte de temps malgré les ruptures de charge…

 

L’idée d’accroître le nombre de trains sur cette desserte est devenue une évidence pour les services techniques de la Région. Un bénéfice pour le nord de l’Yonne, c’est-à-dire le Sénonais, mais pas que puisque la capitale départementale, Auxerre, sera impactée par cette stratégie. Légitime pour Michel NEUGNOT qui tresse des lauriers à la nouvelle cité de l’hydrogène…

S’inspirant du modèle suisse – Michel NEUGNOT participait encore à une réunion à Neufchâtel il y a quarante-huit heures -, l’élu régional en a tiré les enseignements nécessaires en se référant à la méthode des ruptures de charge.

Concrètement, les voyageurs passent d’un moyen de transport à un autre. C’est ce qui va être proposé dans la nouvelle configuration ferroviaire déclinée dans l’Yonne avec des nœuds d’interconnexion entre plusieurs trains depuis les gares de Sens et de Laroche-Migennes.

Des changements pour les usagers qui ne grèveraient pas trop leur timing parfois serré – cinq minutes de battement pour embarquer dans le nouveau train après l’échange – et qui permettrait in fine de se rendre avec plus de rapidité vers Dijon et Lyon pour la partie sud.

Un travail lent et de fourmi qui commence, selon Michel NEUGNOT. Un travail où toute la lumière n’avait pu se faire jusque-là faute d’avoir réuni l’ensemble des éléments informatifs. Du pur réalisme, aux yeux de l’élu régional, qui évoquera ensuite les transports par car – et non par « bus » puisque ce terme ne s’emploie uniquement pour le transport collectif urbain ! – en version interurbaine, faisant office en parallèle de transport scolaire.

« Nous nous sommes aperçus que sur les trois lignes qui étaient soumises à la nouvelle concurrence, il n’y avait que des scolaires dedans, hormis deux à trois passagers supplémentaires. On s’est dit qu’il valait mieux privilégier le tout scolaire dans ces cars et que l’on remette uniquement du car en correspondance avec les gares, notamment sur Sens, sur Avallon et sur Tonnerre. Pour faire en sorte que des voyageurs puissent prendre le car, ensuite le train le matin et le soir. Chose qui n’était pas possible auparavant… ».

En effet, les temps de parcours de ces lignes adaptées aux circuits scolaires étaient très consommatrices en temps. A titre d’exemple, pour effectuer un trajet de 55 kilomètres, il fallait compter près de deux heures de transport ! Pas étonnant qu’il n’y avait plus un passager à bord de ces cars serpentant la contrée icaunaise !

 

 

L’élu régional n’est pas venu annoncer la suppression de trains…

 

Puis, s’intéressant à la fréquentation actuelle, les équipes techniques de la Région se sont penchées sur la question. Qu’ont-ils constaté ? Réponse de Michel NEUGNOT :

« On a des trains qui sont omnibus sur l’Ile-de-France où l’essentiel des utilisateurs à 90 % voyagent dans la région francilienne. Ca semblait intelligent de les laisser en Ile-de-France et de procéder à une rupture de charge à Montereau (Seine-et-Marne), dans un temps maîtrisé et avec du nouveau matériel aux capacités de vitesse plus performantes pour les autres… ».

Evidemment, l’aspect financier fut abordé par le représentant de l’exécutif régional.

« Quand on parle de tarifs, cela permettra avec ce nouveau système que les usagers aient des avantages financiers, ajoute l’orateur, parce qu’ils auront un temps très court de frais de transport sur la partie Bourgogne Franche-Comté, avec le Pass Navigo qu’ils ont déjà en possession, et cela réduira d’environ 150 euros la facture ! ».

Tout reposera sur le degré de temps que l’on souhaitera consacrer à son transport. Un vrai compromis au niveau du choix, comme l’a qualifié Michel NEUGNOT.

« Ceux qui veulent aller plus vite bénéficieront de davantage de trains mais ils auront un coût supplémentaire, le coût actuel. Et puis, ceux qui veulent bien prendre dix minutes et changer de train en pratiquant cette rupture de charge, pourront économiser de 150 ou 180 euros suivant la distance qu'ils parcourent…. ».

Jamais à court de pirouettes humoristiques – « Quand Michel NEUGNOT vient dans l’Yonne, c’est pour annoncer la suppression des trains ! » -, l’élu régional aura au contraire confirmé le maintien des dessertes de l’Avallonnais, celles de Clamecy ou de Corbigny. Un vrai soulagement pour certains élus de ce secteur présents dans la salle du Conseil départemental.

« Nous ne demandons pas aux élus que nous rencontrons d’être d’accord ou pas sur ces prises de décision, on demande simplement aux élus qu’ils nous comprennent ! On expliquera, on innovera, on se trompera et on rectifiera ! C’est ça le projet démocratique que nous portons, Marie-Guite DUFAY et moi-même par délégation. L’essentiel est d’expliquer comment on doit travailler ensemble… ».

Au vu des réactions des élus de l’opposition régionale (à découvrir dans un prochain article) au terme de cette explication de texte, il n’est pas si sûr que ces représentants politiques aient envie de le faire et suivre les décisions à la lettre de la Région sur ce très lourd dossier. Une « montagne à multiples facettes », en somme, qui aurait seulement accouché d’une souris après cette rencontre côté conviction ?

 

Thierry BRET

 

 


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Somme toute, la date du déménagement est déjà inscrite à l’agenda des personnels de la chambre consulaire de l’Yonne. Ce sera le 27 octobre 2022. Ce jour-là, les services généraux de la CCI quitteront définitivement l’emblématique bâtiment de la rue Etienne Dolet qui leur faisait office de siège, situé au bord de l’Yonne. Direction le boulevard Vauban dans les locaux qu’occupaient jusque-là Action Logement et l’ADIL 89.

 

AUXERRE : Du mouvement en perspective pour la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne en ce début de cette saison, c’est sûr ! Avec au programme, l’installation des services généraux sur le lieu de leur nouvelle affectation qui est située boulevard Vauban près du rond-point de la rue de Paris, et ce, à compter du 27 octobre.

Voilà ce qui se profile, en partie, sur l’agenda chargé du président de l’honorable institution, Thierry CADEVILLE, qui a fait un point ces jours-ci avec la presse sur ces différentes opérations, devant chambouler les emplois du temps de chacun.

Si le pôle formation – il occupe l’une des ailes de l’actuelle CCI – ne devrait quitter l’édifice qu’au printemps 2023, il n’en est plus de même pour le service d’appui aux entreprises qui a intégré ses nouveaux bureaux à la pépinière d’entreprises il y a peu. Le pôle formation le rejoindra ultérieurement une fois les espaces d’accueil aménagés pour le recevoir.

 

 

L’UMIH et l’AER suivront le même mouvement…

 

En revanche, les services généraux et la direction de la chambre consulaire vont migrer vers un autre secteur de la ville, beaucoup plus proche du centre, boulevard Vauban.

Quant à la pépinière qui accueille de nombreuses entreprises, pour certaines, en phase d’envol, elle va subir un sérieux lifting en termes de travaux au vu de la vétusté de la plupart des bâtiments.

Le prévisionnel budgétaire concernant la première tranche – il y en aura d’autres – s’élève à 5 millions d’euros.

 

 

Dans sa besace, lors de ce déménagement prévu à la fin octobre, la CCI emmènera avec elle par effet gigogne deux structures qui étaient accueillies jusqu’alors dans ses murs, l’antenne icaunaise de l’UMIH (Union des métiers de l’industrie hôtelière) tenue par Corinne ROGUIER et celle de l’Agence Economique Régionale (AER), incarnée dans l’Yonne par Angélique FAVIER.

Pour l’heure, la CPME de l’Yonne, autre entité institutionnelle qui bénéficiait de bureaux au siège social de la rue Etienne Dolet réfléchit encore à son positionnement quant à son futur emplacement géographique.

 

Des anciens locaux destinés à la dynamisation du port de plaisance ?

 

Du côté d’Action Logement – la structure a cédé son bien immobilier à la CCI avant de s’implanter dans un nouvel espace -, son personnel restera encore quelques temps sur place avant de déménager.

Les services de l’ADIL (Agence départementale d’Information sur le Logement) se sont déjà installés eux depuis le mois de mars, rue du Moulin-du-Président sur la rive droite.

L’ancien siège social de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne de 3 500 mètres carrés a été racheté par l’entité régionale d’EPF (Etablissements Publics Fonciers) au profit de l’Agglomération de l’Auxerrois.

Un choix immobilier qui peut s’avérer éminemment stratégique pour la collectivité en vue de la dynamisation du port de plaisance, qui est implanté à quelques encablures de là…

 

Thierry BRET

 

 


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Faudra-t-il un jour pousser les murs du supermarché auxerrois, tant celui-ci a rencontré le succès au terme de son opération promotionnelle,  déclinée mardi soir ? La question peut se poser légitimement après l’évènementiel ayant réuni plus de trois cents invités, venus déguster quelques particularismes de la production vineuse locale qui étaient agrémentés de succulents canapés. Bref, les VIP de l’Auxerrois n’ont pas boudé leur plaisir au moment de ces retrouvailles gourmandes, nous non plus !

 

AUXERRE : S’il y a un endroit où il fallait promener sa silhouette mardi dernier aux alentours de 19h30, c’était bien au supermarché appartenant à l’enseigne ATAC ! A l’occasion de l’ouverture officielle de son antépénultième « Foire aux vins », une véritable institution dans le paysage commercial du cru, ce sont en effet plus de trois cents personnes qui ont ainsi convergé vers le hall d’entrée de la boutique, qui venait à peine de servir ses ultimes clients de la journée.

Un parterre d’invités très cosmopolite avec ses institutionnels, chefs d’entreprise, représentants des milieux associatifs et sportifs, sans aucun doute de bons clients et cerise sur le gâteau, un vaste panel d’acteurs de la vie politique, ancienne et actuelle. Du Rassemblement National au Parti Socialiste, des centristes aux Républicains et divers droite : un patchwork œcuménique parfait !

Bref, que du lourd parmi ces « VIP » qui étaient présents dans le sillage des hôtes de la soirée (les deux Sébastien, CABRAL le directeur du commerce et CAMBUZAT en charge du développement marketing et de la communication), malgré des absences notoires, pour venir déguster quelques échantillons appréciés de cette cuvée événementielle 2022.

 

 

De belles réjouissances au fond du verre…

 

On retiendra justement côté gustatif parmi les blancs à humer et à savourer un « Saint-Bris » du Domaine FELIX & Fils 2020, un Bourgogne « Hautes Côtes » de Nuits datant de 2018 servi par la maison Yves CHALEY et Fils, et une petite gâterie plutôt réjouissante au palais, un « Coteaux du Layon » premier cru Chaume proposé par le Domaine Des BARRES, millésimé 2014 !

Pour les rouges, ce n’était pas mal non plus avec l’illustration goûteuse d’un Epineuil suggéré par le Domaine Gérard CABOT (2019/2020), un Blaye Côte de Bordeaux du Château de la Grange de 2019 et enfin, un pur nectar du terroir local, avec le Domaine FERRARI et l’un de ses Irancy, de la cuvée 2019.

On gardera enfin la note de l’effervescence pour la terme de cette séance œnologique avec un vin du Bugey, le fameux « Cerdon » élaboré à la méthode ancestrale par Daniel BOCCARD.

 

 

    

Un rendez-vous reconduit à l’automne 2023…

 

Renouant ainsi avec une animation traditionnelle suspendue depuis le sinistre épisode de la COVID, les responsables du magasin auxerrois se sont félicités d’une telle affluence. Les gourmands purent aussi se sustenter en avalant les excellents canapés à base de crevettes et de poissons qui garnissaient les plats. Le stand des produits carnés connut aussi son heure de grande fréquentation au cours de cette soirée conviviale. Une soirée devant se réitérer…dès l’automne 2023 !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Serait-ce un nouveau déplacement à risques pour les protégés de Jean-Marc FURLAN avec cette immersion en terre bretonne ? Disputée ce dimanche à partir de 17 heures, la rencontre opposant l’AJ Auxerre au Stade Rennais sent le piège à plein nez, après la semaine des « olympiques » qui s’est soldée par deux défaites de rang, face à Lyon (1-2) et Marseille (0-2). Le numéro sept de la ligne d’attaque, Gauthier HEIN, est de cet avis. Forcément, ce sera compliqué…

 

AUXERRE : « On va essayer de réaliser le meilleur match possible ! ». Soumis à l’exercice oratoire de la traditionnelle conférence de presse, le joueur offensif de l’AJ Auxerre, à la chevelure bleutée et à la volonté farouche devant les cages adverses, sait pertinemment que la rencontre face au Stade Rennais disputée dans l’antre des Bretons ce dimanche 11 septembre pour le compte de la septième journée de Ligue 1 est piégeuse à plus d’un titre.

Surtout, comme devait le reconnaître un peu plus tard le coach Jean-Marc FURLAN, que « Rennes reste une équipe très compliquée à pratiquer, surtout à domicile… ». Une formation qui était l’une des plus véloces et efficaces du championnat lors de l’édition précédente.

Mais, de tout cela, Gauthier HEIN, même s’il respecte l’adversaire, n’en a cure. « On effectue ce déplacement avec de réelles intentions de jeu, pour montrer ce que l’on vaut ». Et il a bien raison.

Car après deux rendez-vous costauds, la semaine dernière, les confrontations contre l’Olympique Lyonnais et quelques jours plus tard à l’Abbé Deschamps face à l’Olympique de Marseille, Auxerre se coltine, hasard du calendrier de ce début de saison, son troisième cador successif avec lequel il faudra se montrer particulièrement vigilant. Voire réaliste.

 

« On progresse collectivement, cela va finir par payer au niveau offensif… »

 

Pourtant, au vu des deux dernières prestations, les Auxerrois n’ont pas à rougir de leurs défaites. Il n’aura pas fallu grand-chose à Lyon. Quant à la physionomie de la rencontre face à Marseille, elle aurait pu être toute autre si la réussite avait été au rendez-vous sur deux belles actions favorables aux attaquants bourguignons.

Toutefois, le natif de Thionville est bien conscient du temps d’adaptation qu’il est nécessaire d’avoir pour rivaliser avec les meilleurs de Ligue 1. Un championnat où le niveau d’exigence est supérieur.

 

 

« On essaie de faire le boulot, ajoute le garçon, afin de trouver le bon équilibre. C’est vrai, il y a quelques petits ajustements à avoir entre nous pour que cela fonctionne… ».

Confiant, Gauthier HEIN compte également sur le collectif pour mieux briller individuellement. « On progresse ensemble, match après match, insiste-t-il, donc forcément, cela va finir pas payer au niveau offensif ».

Créer des liens entre les nouveaux partenaires de club – huit joueurs découvrent pour la première fois la culture du football à la sauce auxerroise avec cette nouvelle saison – et intégrer les protocoles d’actions défendus par Jean-Marc FURLAN constituent la ligne directrice de l’équipe qui espère obtenir très vite des résultats positifs au compteur.

 

Un contrat qui a été prorogé jusqu’en 2025…

 

S’il reconnaît à juste titre que le niveau technique de la Ligue 1 est supérieur à la division inférieure qu’il a côtoyée durant sept saisons, l’attaquant de l’AJA estime qu’il est nécessaire d’être plus malin par rapport à l’adversaire. Une malice sur laquelle il compte s’appuyer dès ce dimanche en fin d’après-midi pour faire la nique aux défenseurs bretons !

Ayant prolongé son contrat jusqu’en 2025, Gauthier HEIN qui, en l’espace de deux saisons à jouer 75 rencontres pour un bilan des plus honorables avec seize réalisations concrétisées au fond des filets et une dizaine de passes décisives, s’est même fait tatouer une croix de Malte, preuve de son attachement à son nouveau club de cœur.

 

Thierry BRET

 

 


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Entre champ et forêt, promet l’affiche. Une balade familiale ou entre amis avec la possibilité si le cœur vous en dit et que les conditions de la météo soient de la partie de tirer du sac son pique-nique afin de profiter un maximum de ce moment de villégiature, vécu à son rythme. Un rendez-vous, en outre, qui n’est en rien anodin puisque organisé pour une noble cause : celle de l’association des « Petits Princes »…

 

AUXERRE : Le concept se nomme « balades solidaires ». C’est simple dans les faits. On y allie pour celles et ceux qui y prennent part l’utile à l’agréable. Pas mal, comme programme pour cette journée dominicale du 11 septembre, qui sera bercée d’averses et d’éclaircies !

Oui, mais voilà, il ne s’agit nullement d’une énième randonnée pédestre de plus déclinée sur notre joli territoire. Plus précisément du côté d’Escamps, d’Arcy-sur-Cure, de Joigny et de Sens. Quatre rendez-vous qui s’organisent au profit de l’une des associations les plus emblématiques de la solidarité faite à l’enfance, « Les Petits Princes ».

Ou l’équivalent de trente-cinq années de bonheur accomplies et partagées avec ces chères têtes blondes, celles qui sont rattrapées par les maux des adultes et sorties prématurément de leur insouciance.

Pour cette dixième édition du « Rêve en Marche », l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire espère la mobilisation d’un large public à l’occasion de cet évènement, qualifié de « petit geste » pour de « grands rêves ». Une action altruiste qui sied à merveille à sa déontologie : s’ancrer au plus près du territoire en y développant les principes mutualistes.

Par le passé, l’opération a obtenu de belles réussites participatives. Avec à la clé, près de 92 000 euros déjà collectés lors des neuf éditions précédentes, somme reversée à la structure associative nationale.

Ouvert à tous, l’évènement allie bonne humeur, sportivité, convivialité. Mais, aussi d’autres valeurs qui nourrissent les actions humanitaires régulières orchestrées par ce spécialiste de l’assurance et de la prévoyance que sont la proximité, la responsabilité individuelle et collective, le partage de la solidarité, le tout au profit de la lutte sans faille contre les maladies rares.

Le droit d’inscription et les dons offerts avec générosité par les randonneurs suffisent pour collecter des fonds à vocation altruiste.

 

 

En savoir plus :

Marche « Balade entre les champs et la forêt » au départ d’Escamps le dimanche 11 septembre 2022 à partir de 09H30.

Organisée par la Caisse locale GROUPAMA de l’Auxerrois

Parcours de 7,1 km

Depuis la base de loisirs.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Entre nature et patrimoine préhistorique » le long de la Cure.

Avec la visite de la grotte d’Arcy.

Organisée par la Caisse locale du Pays de l’Avallonnais.

Parcours de 3 km.

Départ à 10 heures aux grottes d’Arcy-sur-Cure.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « dans les vignes » de Joigny.

Organisée par la Caisse locale de Centre Yonne.

Parcours de 5 et 8 km.

Départ à 10 heures, depuis le belvédère de Joigny, route de Dixmont.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

 

 

Marche « Patrimoine historique » dans la ville de Sens avec l’historien Bernard BROUSSE.

Organisée par les Caisses locales de Nord-Est Sénonais, de la Sénonaise et de la Vanne et Othe.

Parcours de 1,5 km.

Départ à 15 heures devant l’agence GROUPAMA au 5 boulevard du Mail à Sens.

Pot de l’amitié offert à l’arrivée.

Participation de 5 euros et gratuité pour les enfants de moins de dix ans.

 

Thierry BRET

 

 

 


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