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C’est sûr : on en saura davantage sur le nouveau lieu d’affectation et les fonctions qui lui seront confiées au soir du 19 juillet ! Pour l’heure, et sans extrapoler sur la suite, contentons-nous de dire que le commissaire divisionnaire et directeur départemental de la Sécurité publique de l’Yonne, Raphaël JUGE, s’acquittera donc définitivement de sa mission icaunaise après bientôt trois ans de présence prochainement.

 

AUXERRE : Et une, et deux, et trois années en terre de l’Yonne, mais pas davantage, avant de refaire ses valises et de se rendre sur son futur lieu d’affectation ! C’est ce que vivra d’ici quelques jours, au cœur de la période estivale, Raphaël JUGE, commissaire divisionnaire de son état, directeur départemental de la Sécurité publique de notre département.

Celles et ceux qui ont été les bénéficiaires du petit « bristol », émanant de la préfecture de l’Yonne, arrivé dans leur boîte aux lettres ces jours-ci ont sans doute été surpris de la nature officielle du message préfectoral.

Le départ d’une nouvelle personnalité de notre territoire mais ceci étant d’une logique implacable au cœur de l’été, époque bénie des nominations et des promotions.

 

 

Après un séjour de trois années (déjà !) à la tête du district de Boulogne-sur-Mer, Berck et du Touquet et une nomination au pays des cèdres, au Liban, le policier parisien succédait en septembre 2019 à Thomas BOUDAULT, lui-même nommé chef de district et commissaire central de Palaiseau, en Essonne.

Il y a quelques jours encore, Raphaël JUGE, assistait aux côtés de Marion AOUSTIN-ROTH, directrice du cabinet du préfet de l’Yonne, et son homologue, le colonel Christophe PLOURIN, à une conférence de presse explicative sur les bienfaits de l’opération « Tranquillité Vacances ».

Agé de 47 ans, Raphaël JUGE qui aura œuvré autour de l’ordre public, de l’investigation et du renseignement quittera l’Yonne avec le sentiment du devoir accompli. Prêt à vivre de nouvelles aventures professionnelles…

 

Thierry BRET

 

 


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Plus rien des deux édifices ne restera debout aux alentours du 15 août. Curieuse coïncidence, en vérité, que le choix de cette date – totalement involontaire par ailleurs ! – correspondant à l’enlèvement au ciel de la Vierge Marie (Assomption) que célèbreront au cœur de l’été les Chrétiens ! Qu’on se rassure, la démolition de deux des bâtiments, l’un scolaire, l’autre administratif, qui accueillaient jadis le collège Bienvenu-Martin ne comporte aucun caractère ostentatoire empreint de mysticisme !

 

AUXERRE : Ah, les joies des constructions de type PAILLERON ayant bercé toute notre enfance ou une large frange de notre vie professionnelle ! Des bâtiments, tous conçus sur le même moule, ces fameux blocs de béton monolithiques sortis de terre au terme des années 60 et qui furent érigés sur plusieurs étages devant accueillir potaches et enseignants dans le cadre de la vie scolaire.

Une certitude quasi absolue : peu ont survécu aux affres du temps et au délabrement annoncé. Vétustes, ces édifices ne répondent plus aux normes actuelles de sécurité et de salubrité.

 

 

Une coquille vidée de sa substance pédagogique…

 

Pour s’en apercevoir de visu, il suffit de traîner ses guêtres du côté de l’ancien collège, aujourd’hui désaffecté, Bienvenu-Martin au nord d’Auxerre pour observer de facto les ravages du temps sur ces immeubles décrépis. Il faut faire vite d’ailleurs ! Car, aux environs du 15 août, il ne restera plus grand-chose pour ainsi dire de ces deux verrues qui ternissent depuis si longtemps le paysage de ce quartier.

La déconstruction de l’ancien établissement scolaire a donc démarré fin juin. Les ouvriers du BTP sont à pied d’œuvre, et ce pour une période de plusieurs mois, sans doute jusqu’en novembre.

Condamné à la fermeture après moult péripéties ayant défrayé les chroniques médiatiques en 2019, le collège Bienvenu-Martin fait figure depuis de coquille vidée de sa substantifique moelle : une présence humaine.

Exit les collégiens, leurs professeurs et le personnel administratif de l’Education nationale, place aujourd’hui, et pour cette courte époque estivale, aux salariés d’entreprises spécialisées devant faire passer de vie fantomatique à trépas ce qui reste de ce vestige pédagogique.

Un crève-cœur, sans doute, pour celles et ceux qui eurent à fréquenter l’endroit durant ces décennies d’apprentissage mais une nécessité on ne peut plus louable pour le Conseil départemental de l’Yonne, en charge de la vie collégienne sur son territoire.

 

 

Des mauvaises surprises à tous les étages de l’édifice…

 

Une visite guidée dans cet antre de la désolation immobilière auxerroise montre à quel point l’insalubrité se constate à tous les étages de ce bâti et dans ses moindres recoins. Ici, c’est une fenêtre donnant sur l’extérieur qui s’affaisse ; là, c’est un panneau mural qui risque de s’effondrer. Heureusement qu’il n’y a plus de gamins et d’enseignants dans cet univers lugubre que même les squatters n’ont jamais osé occuper l’hiver.

Et comme tout bâtiment PAILLERON qui se respecte, les mauvaises surprises ne se situent pas forcément au-dessus des têtes de ces quelques visiteurs de fortune qui viennent observer le déroulé des travaux dont le conseiller départemental Christophe BONNEFOND, accompagné de techniciens, mais bel et bien au sol.

C’est là, précisément, sous nos pieds que se cache sournoisement l’amiante qui sert à l’isolation. Les 4 750 mètres carrés de ces deux bâtiments sont truffés de ce poison dont il faudra extraire avec moult précautions les morceaux lors de ces travaux de démolition.

 

 

Une nouvelle infrastructure pour l’accueil des archives…

 

Pour arriver à bon port, le Département n’a pas ergoté sur les moyens techniques à mettre en œuvre. Requérant après les appels d’offres légitimes, les services de professionnels comme le cabinet spécialisé de Saône-et-Loire, TEAM Ingénierie, les sociétés CODE PASS, en charge du désamiantage des lieux – la structure est vosgienne – et la SAS BARUCH Environnement, entité alsacienne, pour gérer le lot de curage et de la démolition. Bref, un budget global de 500 000 euros, TTC, entièrement pris en charge par l’institution départementale de l’Yonne.  

L’approche de ce chantier est également environnementale. Côté récupération, tout d’abord, puisque 3 300 tonnes de bétons feront l’objet d’une valorisation par le biais d’un concassage. Quant aux 400 tonnes de matériaux divers, ils seront triés avec le concours des filières appropriées.

D’une longueur initiale de 45 mètres, le collège Bienvenu-Martin, construit au début des années 70, ne sera donc bientôt plus qu’un lointain souvenir. Encore vivace, sans doute, pour celles et ceux qui y vécurent les joies d’une adolescence aujourd’hui révolue.

Nonobstant les pensées nostalgiques, le site vivra un retour en grâce au printemps 2027, avec l’inauguration probable du nouveau complexe immobilier devant accueillir les archives regroupées en un seul endroit : celles de la Communauté de l’Auxerrois, de la Ville d’Auxerre et, naturellement, du Conseil départemental de l’Yonne.

Autre temps, autre type d’affectation en somme !

 

Thierry BRET

 

 


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Par le plus grand des hasards, un point commun unissait les deux personnages principaux de cet évènement. Tous deux sont nés un 24 juin. Mais, pas à la même époque. Le premier, entouré des siens, vient de souffler sa centième bougie. Une paille ! Que chacun des observateurs de la scène – la cérémonie d’anniversaire organisée dans la résidence des CHAMPLYS – se contenterait volontiers au vu de la bonne forme physique de l’intéressé! Le second, Magloire SIOPATHIS, conseiller départemental et maire d’Appoigny, reste toujours aussi jeune dans sa tête…

 

AUXERRE : C’était presque du deux en un, côté anniversaire. Mais, une seule de ces personnes fut véritablement célébrée par l’assistance ! En l’occurrence, la plus âgée des deux. C’est-à-dire Raymond GOUSSARD. Celui-ci arborait fièrement son siècle d’existence. Visiblement, en excellente forme physique.

Choyé par les siens, cette figure de la vie locale de la commune d’Appoigny – il se consacra au milieu agricole avant d’exercer le métier de facteur et de se reconvertir sur le tard dans les excursions bucoliques accueillant à bord d’une carriole tirée par de puissants chevaux enfants et parents – s’est vu remettre un volumineux paquet enrubanné par le conseiller départemental et édile de sa localité originelle, Magloire SIOPATHIS.

 

 

 

Un cadeau remis au nom du conseil municipal…

 

Un élu qui était tout aussi ému que son ancien administré, désormais pensionnaire dans l’établissement auxerrois des CHAMPLYS. Logique, car le conseiller communautaire de l’Auxerrois célébrait lui-aussi ce jour-là son propre anniversaire !

« C’est une tradition familiale, je me sens très proche des anciens, expliqua Magloire SIOPATHIS, ravi d’être présent à cette cérémonie presque confidentielle avec la présence des soignants dans l’un des salons de la résidence, décoré pour la circonstance

Le maire n’avait pas effectué le déplacement tout seul. Il était accompagné de Maryse NAUDIN, la première adjointe communale chargée de l'éducation, la jeunesse et la solidarité, et de Fabienne LAVANCHY, conseillère municipale en charge des cérémonies, d’ailleurs nièce de notre vaillant centenaire.

C’est au nom du conseil municipal que Magloire SIOPATHIS offrit son présent à l’heureux bénéficiaire qui vit toujours avec sa compagne…Comme quoi, être centenaire ne signifie pas vivre seul pour autant !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il n’y a pas une minute à perdre pour apporter des solutions concrètes sur le terrain. Confrontée à des défis majeurs importants, propres aux conséquences de la crise sanitaire, aux difficultés d’approvisionnement ou encore à l’inflation galopante sur les tarifs de l’énergie, la filière automobile a un sérieux vague à l’âme, renforcée depuis quatre mois avec les hostilités belliqueuses entre la Russie et l’Ukraine. L’Etat et la Région ont échafaudé un plan en trois volets pour essayer de résoudre les problématiques…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est une évidence, la filière automobile va connaître de très sérieux soubresauts à horizon 2030. Les causes en sont multi factorielles. On le sait. De prime abord, il y a la transition obligatoire vers le véhicule électrique. Mais aussi, la digitalisation à outrance et le changement des habitudes de consommation. Cette profonde mutation fait l’effet de raz-de-marée auprès des professionnels du secteur (et des automobilistes eux-mêmes !), très impactés par les coups de boutoir successifs de la hausse de l’énergie.

Dans notre contrée, l’Etat et le Conseil régional ont proposé dès le mois de mars un plan spécifique au devenir de l’automobile. Logique : la Bourgogne Franche-Comté possède de très nombreux acteurs de la filière industrielle, dont moult entreprises qui interviennent en qualité de sous-traitants.

Objectif de ce plan : aider les entrepreneurs mais aussi les salariés et les territoires à affronter les défis majeurs qu’ils auront à relever dès demain. Et en matière d’automobile, les choses aller très vite en s’accélérant.

 

 

Une stratégie qui est particulièrement naturelle pour les deux partenaires régionaux : on recense en effet quatre cents entreprises positionnées sur cette filière industrielle en proie aux doutes, soit 45 000 collaborateurs.

Selon le préfet de Région, Fabien SUDRY – il se déplaçait ce mercredi 29 juin aux côtés de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY dans le Doubs pour y visiter la société STREIT Mécanique  à Pays-de-Clerval -, « on voit déjà les premiers effets du plan automobile commun… ».

Pour sa part, l’élue régionale a rappelé que « ce plan d’actions Etat/Région est très ambitieux et doit permettre d’anticiper les mutations profondes qui menacent la sous-traitance… ».

Au cours de ce comité de pilotage, un point d’avancement a permis d’évoquer les trois volets de ce plan d’actions. Premier aspect plutôt satisfaisant : la FIMA (Force d’intervention mutations automobile) accompagne depuis un trimestre plus d’une cinquantaine d’entreprises. Secundo : le dispositif spécial, baptisé « Chocs industriels », va être décliné rapidement dans trois nouveaux territoires de Bourgogne Franche-Comté (dont l’Yonne, notamment).

Enfin, pour couronner le tout, les efforts en matière d’emploi et de formation dans l’automobile vont se poursuivre en étant amplifiés.

 

Thierry BRET

 


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Pas de doute ! Ils nous avaient prévenus. Dès la prime annonce sémantique de leur appellation qui caractérise le nom de leur groupe. Une véritable invitation à louvoyer, à changer de direction, à emprunter des lignes, plus ou moins sinueuses, formant la base inspirante de leur répertoire éclectique. Ressuscitant au passage le génie créatif de Théolonious MONK ou puisant parmi ces musiques du monde dont ils revendiquent les sonorités généreuses, ZIG ZAG a ouvert le bal, avec la manière, du second festival « Jazz à Druyes »…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Allez savoir, pourquoi ! Peut-être les températures un peu frisquettes du début de soirée, la profusion d’évènementiels qui étaient proposés çà et là sur l’ensemble du territoire icaunais, voire la sacro-sainte première journée de juillet – un vendredi de surcroît ! – évocatrice de davantage d’exode en bord de mer dans les bouchons que de rester dans son cadre habituel de prédilection alors que les enfants sont sensés poursuivre leur scolarité, auront été autant d’éléments explicatifs à la famélique présence de spectateurs lors de cette soirée inaugurale.

Dommage, trois fois dommage : on ne peut que le regretter, en effet, au vu du travail qualitatif  accompli en amont de ce premier rendez-vous estival de la saison par les organisateurs de l’association des « Lumières de Druyes » !

Car, tous les ingrédients étaient réunis de facto afin de lancer la seconde édition de ce festival plutôt prometteur vers la pleine lumière. A commencer par l’affiche de la soirée, avec la programmation d’une formation nivernaise, en guise de hors d’œuvre appétissant à ce week-end musical jazzique, qui jouit dans le landerneau d’une solide réputation.

 

 

Un récital savamment construit sur une partition à trois bandes…

 

Evoluant dans le sérail artistique régional depuis 2018, ZIG ZAG s’est taillé une belle notoriété aux confins des deux départements limitrophes que sont la Nièvre et l’Yonne. Enchaînant récitals, concerts et festivals, malgré la chaotique période 2020/2021, imputable à la crise sanitaire ayant plongé les artistes de tout poil dans un profond marasme.

Les retrouver sur scène, en ouverture de la manifestation de Druyes, n’était donc pas une surprise en soi. Tant les instrumentistes – ils sont au nombre de cinq – qui composent ce combo à l’efficacité sonore aboutie ont du talent à revendre, chacun maîtrisant tels des virtuoses aguerris leur partition en faisant la part belle à l’improvisation et à l’inspire. En parfaits musiciens de jazz qui se respectent !

Mêlant avec adresse, subtilité et sans fausse note leur set de plus d’un heure autour d’une articulation musicale méticuleuse et bien construite – un standard de jazz de la plus pure des traditions inspiré du pianiste Théolonious MONK à titre d’exemple, puis un air emprunté au folklore de l’Europe orientale, avec en sus une touche sympathique et enjouée à base de sonorités brésiliennes façon bossa-nova -, et voilà un agréable cocktail servi par le groupe, qui devait être ingurgité d’un seul trait tel un « Bloody Mary » ravageur devant réchauffer le plus frileux des spectateurs, gagné par l’humidité ambiante !

 

 

Un plaisir de jouer communicatif entre les musiciens…

 

ZIG ZAG impressionne par la complémentarité de ses membres. Avec à la manœuvre, un Pierre VINAY pugnace et volontaire, prêt à bondir sur scène, à s’exalter tout sourire à la moindre note produite par son violon. Le garçon possède plus que des bases de classique : cela se sent lorsqu’il lance le reste de l’ensemble en introduisant les morceaux qui s’enchaînent.

Ses comparses sont de la même veine. La saxophoniste Camille FALGOUX, complice enthousiaste, réplique avec de l’allant et cette aisance si envoûtante à cette joute amicale. Une ligne de basse, assurée par Sébastien CAPELLI, et voilà les images de plages gorgées d’un chaud soleil qui fait secouer les têtes et taper dans les mains le public.

Peu nombreux, certes, mais bien présent dans ses réactions spontanées et joyeuses. Le Brésil ! Et sa bossa-nova, langoureuse et sucrée à déguster sans l’once d’une modération, alors que la nuit pointe le bout de son museau à l’horizon.

Prenant la parole de temps à autre pour commenter la « feuille de route » de ce voyage acoustique fort agréable, Florent THIANT et son accordéon chromatique déroulent.

 

 

Seul compte le chemin, celui du talent…

 

La petite touche d’inspiration tzigane, gitane, rom, c’est lui et nous voilà embarqués vers l’Est de l’Europe. Celle qui a donné naissance à tant d’artistes à la renommée internationale. Avec  cette musique « manouche » qui réchauffe elle-aussi les cœurs avec parfois l’emploi de cette gamme mineur, fleurant bon les grands espaces de l’Orient.    

Derrière ses fûts, impassible mais très concentré, brille le discret Nyls WILLIG avec la posture d’un métronome, le binaire dans le sang, pour impulser la rythmique à la formation. Ses balais effleurent à peine la batterie. Suffisant et classieux pour réguler le tempo de l’ensemble !

Visible dès la semaine prochaine à la médiathèque de Donzy, le samedi 09 juillet dans la Nièvre, ZIG ZAG a assuré avec maestria et de façon jubilatoire ce « désordre » musical très bien structuré autour de ses instrumentistes doués. Fidèle à son adage : « le chemin est sans but, car seul compte le chemin ».

Au vu de la prestation : celui du talent, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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