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Engagée depuis le 25 mars 2001, date de l’installation de Guy FEREZ dans la chaire municipale, la mutation de la ville d’Auxerre se poursuit inlassablement et à son rythme, ponctuée de diverses étapes à caractère économique, sociétal et environnemental. De l’aveu du principal intéressé, 2019 ne dérogera donc pas à la constante de cette règle qu’i applique avec soin. L’édile local et président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois vivra d’ailleurs ces prochains mois, non pas comme une fin de règne et de mandat en soi, mais plutôt avec un enthousiasme juvénile en insufflant un vent de projets novateurs qui offriront de réelles perspectives à la ville au cours de la future décade…

AUXERRE : Respectueux de la traditionnelle cérémonie de vœux à la presse, Guy FEREZ aime s’adresser aux journalistes. Eu égard à sa fonction d’édile municipal qu’il occupe depuis bientôt 18 ans, et en sa qualité de président de l’institution communautaire. L’élu excelle dans cet exercice oratoire où il commente avec moult détails les grandes lignes stratégiques de sa politique. Et même s’il doit réitérer publiquement cette communication, devant les Auxerrois au soir du jeudi 17 janvier, le maire apprécie plus particulièrement ce type de rendez-vous, moins convenu et plus direct, lui permettant de brosser un état des lieux précis de ses actions et projets en chantier.

Ne dissociant pas, de manière volontaire, les dossiers propres à l’aménagement du cœur de ville et de sa périphérie, Guy FEREZ a donc égrené un par un l’ensemble des sujets qui agrémentent son quotidien de premier responsable politique de la cité. Lors de ce rendez-vous, il s’agissait d’expliquer la seconde grande étape de cette profonde métamorphose dans laquelle se meut la préfecture du département depuis 2001.

Des thématiques récurrentes dans l’évolution de la ville…

Urbanisme, modernisation du marché (celui de l’Arquebuse), contournement routier du sud d’Auxerre avec le prolongement de la fameuse rocade, réhabilitation et construction de logements supplémentaires, essor du commerce…Guy FEREZ aborda point par point ces éléments éclectiques qui, comme il devait le stipuler, « engageront la ville vers de vraies perspectives de développement au cours de la prochaine décennie ». Le maire s’est montré optimiste quant à leurs aboutissements. Prenant de la distance et une certaine hauteur d’esprit face aux enjeux imputables au calendrier (les échéances municipales de 2020) et au temps qui passe.

A propos de la dynamique du cœur de ville et de la réhabilitation du marché de la Place de l’Arquebuse, l’édile annonça une série de concertations publiques avec les commerçants, programmées en janvier, afin de leur dévoiler les premières esquisses.

Totalement remodelé, le site se coiffera d’une halle extérieure. Les accès à cet espace seront refaits ainsi que l’esplanade actuelle et les zones de stationnement. Dans le cadre du contrat de territoire avec la Région, Guy FEREZ sait qu’il peut compter sur un coup de pouce sous la forme d’une enveloppe budgétaire de 600 000 euros. Et même si le projet global nécessite de 4 à 7 millions d’euros in fine, le maire d’Auxerre n’exclut pas de solliciter la bienséance de l’Europe à travers une ligne de fonds appropriés. Toutefois, il rappela, en termes d’échéances et de livraison, que ce projet s’étalera sur une durée de quatre à cinq années. Les travaux débutant en 2020.

D’une place à l’autre, Guy FEREZ invita ses interlocuteurs médiatiques à se projeter mentalement sur la place des Cordeliers. Là-aussi, le Conseil municipal devra trancher d’ici la fin d’année sur un choix qui offrira une refonte importante des lieux afin de ne pas perdre trop de temps. L’appel à candidature a été lancé pour sélectionner le plus tôt possible l’équipe d’architectes et d’urbanistes devant s’atteler à ce dossier.

Validé le 07 janvier, l’aménagement du secteur Saint-Germain et de l’îlot Saint-Vigile intègre le champ d’action prioritaire. Le transfert du tiers-lieu demeure à l’ordre du jour, sachant que la Région Bourgogne Franche-Comté apporte des subsides à hauteur de 400 000 euros pour réaliser ce déménagement vers un site qui n’est pas encore défini.

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Reconquérir des logements au cœur de ville…

Mais, l’un des axes essentiels sur lequel Guy FEREZ et ses équipes vont s’employer à œuvrer cette année avec insistance reste le logement. L’objectif quantitatif a même été fixé à la hausse. « Nous devons reconquérir une cinquantaine de  logements en centre-ville au lieu de la quinzaine de possibilités immobilières que nous réalisions jusque-là, devait-il ajouter. Il serait judicieux de trouver des formules qui favoriseraient l’accueil des primo-accédants en distinguant la propriété du sol et la propriété de la maison. Cela retiendrait de jeunes ménages sur la ville et permettrait d’accroître la démographie qui repart vers le positif… ».

Parmi les autres nouvelles, celle-ci qui revêt de la plus grande importance sur le désir de l’élu auxerrois de reprendre la main sur la vacance immobilière qui existe dans sa ville. Vingt-trois immeubles feront aussi l’objet d’un droit de préemption. Une initiative qui temporisera l’inflation et l’envolée des prix sur l’offre foncière.

Guy FEREZ ne pouvait conclure sa longue énumération sans avoir un commentaire précis sur la zone industrielle en phase de construction à Appoigny. 

Plusieurs touches ont été détectées auprès d’investisseurs qui considèrent le concept comme étant très sérieux. La phase de prospection est en cours. Quant aux résultantes de la présence de la Communauté de l’Auxerrois sur le SIMI (Salon de l’immobilier d’entreprise) à Paris, elles se sont soldées par la prise d’une trentaine de rendez-vous avec des contacts professionnels.

Enfin, concernant le contournement de la zone sud d’Auxerre par le prolongement de la rocade (un projet évalué à 120 millions d’euros), le président de l’Auxerrois est resté évasif : il attend les résultats de l’optimisation du tracé que l’Etat doit porter à sa connaissance, sans doute au cours de l’année. Toutefois, il devait rappeler qu’une somme de quatre millions d’euros a déjà été débloquée pour le financement des études et des sondages archéologiques réalisés sur la zone. Ce projet nécessitera une participation de la Ville et de la communauté d’agglomération à hauteur de 22,5 % du montant global du projet.

 

 


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Association pluraliste, indépendante de toute idéologie, de tout mouvement politique, syndical et religieux, l’AFDER a pour ambition de représenter les usagers quelle que soit leur dépendance. L’association regroupe des adhérents attachés à la responsabilité et la liberté dans les choix thérapeutiques. Le président national Julien CHARTIER explique la vocation de cette structure qui lutte contre les phénomènes d’addiction en France. Et plus spécifiquement, ceux inhérents à la consommation de cannabis.

TRIBUNE : En 2009, se crée de fait une association d’anciens patients d’un centre de traitement situé dans l’Aisne (APTE). Très rapidement rejointe par les anciens patients de plusieurs autres centres de traitements, l’association se mobilise et crée une structure pour et par les usagers en 2010.

Depuis, nous comptabilisons plusieurs centaines d’adhérents. En tant qu’usagers des services de santé, nous avons accumulé un nombre considérable d’expériences tout au long de nos parcours de santé et nos expériences nous ont servi à survivre à la dépendance active. La souffrance et le besoin de partager cette expérience commune nous ont poussé à créer l’AFDER, pour que les dépendants ne meurent plus de cette maladie.
L’AFDER est une association de citoyens à part entière qui veulent transmettre leur expérience de la dépendance.

Regroupant des femmes et des hommes pour qui l’entraide, le pair aidant, l’ « empowerment » sont devenus une évidence. Nous intervenons en entreprise aussi pour faire de la prévention et de l'accompagnement auprès des personnes qui en font la demande. Nous vivons dans une société addictogène où les consommations à risque ne cessent de s’accroître et nous l’observons au quotidien.

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Les jeunes générations expérimentent de plus en plus de substances...

L’alcool, le tabac ou le cannabis sont des substances que l’on expérimente à l’adolescence. Il n’y a donc rien d’étonnant à voir les chiffres avancés par les études progressés : 30 % des jeunes boivent de l’alcool et 24 % fument du tabac au moins une fois par semaine. Notre société vit désormais dans une consommation excessive d’écrans. Concernant les réseaux sociaux, 26 % des 18-22 ans estiment passer plus de cinq heures par jour sur les réseaux sociaux, 10 % plus de huit heures, le phénomène est relativement nouveau. Nous n’avons donc pas encore beaucoup de recul en fonction de données antérieures.  Nous savons maintenant que notre société vit désormais dans une consommation excessive de tout. C’est un enjeu à la fois médical, psychologique, psychiatrique et social, caractéristique d’une société addictogène.

Julien CHARTIER


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Faire preuve de solidarité auprès des petits commerces en souffrance après l’épisode des « Gilets jaunes » passe par une plus grande mobilisation des consommateurs. Et surtout un réel besoin de changer de paradigme. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a exhorté les citoyens consuméristes de notre territoire à faire davantage abstraction de leurs actes d’achat sur les plateformes numériques pour soutenir les commerçants de quartier. Une démarche solidaire, qu’elle applique à elle-même au quotidien. Elle devait l’expliquer lors d’un point presse succinct à l’issue de sa rencontre qualifiée de constructive avec des artisans et commerçants de l’Yonne…

SENS : En déplacement sur le Sénonais, la secrétaire d’Etat auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, a profité du court temps d’expression accordé à la presse pour inciter les ménages français à consommer autrement à l’avenir.

Certes, les propos de la secrétaire d’Etat n’ont pas appelé de manière officielle à boycotter les plateformes numériques à vocation commerciale. Elles exercent une complémentarité parmi l’offre existante dont on ne pourrait raisonnablement se passer aujourd’hui.

Bon nombre d’entre elles, internationales, exercent dans les règles vertueuses de l’art leur pratique de vente en ligne, tout en respectant les normes et les fondamentaux de la saine concurrence. Y compris la fiscalité.

A contrario, la secrétaire d’Etat a pointé du doigt, sans toutefois les désigner de manière précise, celles qui cassent les prix et envahissent le marché de produits issus de la contrefaçon.

Or, face aux difficultés de trésorerie observées depuis plusieurs semaines par les boutiques traditionnelles, la représentante de l’Etat n’hésite pas à froncer les sourcils.

Il est désormais nécessaire de revoir la copie de l’activité commerce en France, en privilégiant les échoppes de quartier et les enseignes de proximité.

Etre responsable dans ses actes d’achat…

S’interrogeant ensuite sur la véritable création de valeurs offertes par les plateformes numériques, Agnès PANNIER-RUNACHER a insisté sur la responsabilité de chacun par rapport à cette thématique insidieuse qui plombe le chiffre d’affaires de ces  commerces.

Las, le phénomène inopportun des « Gilets jaunes », à quelques semaines des fêtes de fin d’année, aura eu un impact néfaste et considérable sur la trésorerie de nombreuses boutiques. D’où l’insistance de la ministre qui devait clore ce chapitre en invitant à aller consommer chez le petit commerçant de quartier.

« Moi-même, précisa-t-elle, j’achète mes livres uniquement chez mon libraire…Il faut être en accord avec ce que l’on préconise… ».

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Des facilités de paiement comme pistes d’accompagnement…

Constatant que la situation financière des petits commerces frisait à ce jour la correctionnelle, Agnès PANNIER-RUNACHER a assuré que la question des facilités de paiement et des couvertures assurantielles serait inscrite à l’ordre du jour des futures consultations territoriales.

Dans l’Yonne, à l’instar des autres départements, ce serait les édiles des communes qui porteraient le flambeau créatif de ces initiatives populaires, auxquelles se rallieraient les députés et sénateurs, les représentants consulaires et les milieux économiques.

« Parmi l’ensemble des diagnostics émis par les Français, il existera certainement des solutions locales qui seront adoptées uniquement sur leur territoire originel, ajouta la ministre.

Enfin, parmi les thèmes qui devraient structurer ces prochains débats, ceux concernant la transition énergétique, la participation citoyenne, la refonte de la fiscalité ou la réorganisation des services publics seront prépondérants.

 

 


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En 2018, il y a dans la Communauté européenne 512 millions d’habitants. Parmi cette population, on peut considérer que 49,99 % des habitants sont contre l’Europe, 49,99 % s’en moquent éperdument et 0,02 % sont en faveur de l’Europe. Explications…

TRIBUNE : Voyons le premier groupe qui est contre l’Europe. En fait, il n’est pas contre l’Europe stricto sensu. Il est contre la Commission européenne telle qu’elle est constituée et telle qu’elle fonctionne. Du moins selon l’impression qu’ils en ont. Ils rejettent les institutions européennes dans leur ensemble, d’où la montée de ce que certains appellent avec dédain « le populisme ». En passant, n’oublions pas que le mot populisme vient du latin « populus » au même titre que le mot « peuple ». Ceux qui parlent avec dédain du « populisme » ne voient pas qu’ils manifestent un mépris sous-jacent du peuple.

Les autres 49,99 % qui se moquent éperdument de l’Europe ont une bonne raison à cela : cette Europe de vaudeville ne correspond pas à leurs soucis quotidiens et à leur inquiétude du lendemain pour eux et pour leurs enfants. Leur question est la suivante : « En quoi l’Europe ajoute-t-elle quoi que ce soit de positif à mon niveau de vie, au chômage, à la dégradation de l’éducation nationale, etc… En un mot à ma vie ? ».

Et bien malin qui le leur expliquera. Certes, direz-vous, ils ont la même attitude de défiance vis-à-vis de leurs dirigeants nationaux. Et nous allons voir sur quoi est fondée cette défiance du « peuple » tant à l’égard de l’Europe qu’à l’égard de leurs dirigeants politiques. Vous comprendrez alors que le mouvement des « Gilets jaunes » comme celui du Brexit et de la montée du populisme n’en sont qu’aux prémisses.

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Un pourcentage infime de personnes favorables à la cause européenne…

Qui sont les 0,02 % en faveur de l’Europe ? Ce sont ceux qui bénéficient de ses largesses à Bruxelles, à Strasbourg et où se retrouvent tous les « politiques » recyclés dans un Parlement européen qui ne sert rigoureusement à rien. Ce sont des bureaucrates qui se meuvent dans de multiples organismes dérivés et quelques idéologues de tout poil.

L’aspect farce du « machin », comme disait De Gaulle de l’ONU, vient d’apparaître de façon criante dans l’affaire du budget de l’Italie. Et dans celui de la France de 2019. L’Italie est tancée depuis des mois par Bruxelles parce que son budget présente un déficit de 2,4 %... or il est très largement en dessous des 3 % que serine Bruxelles depuis 1999.

Et qui brandit cet avertissement avec la foudre du Zeus bruxellois ? Monsieur Moscovici ! Qui est Pierre Moscovici ? Il a été le ministre de l’économie de François Hollande lorsque ce dernier est devenu Président de la République en 2012 avec le magnifique slogan : « Le changement, c’est maintenant » !

Effectivement, on a vu le changement : le déficit du budget de la France en 2014 lorsque Pierre Moscovici est devenu un pimpant ministre de l’économie, a atteint 4,5 %. Soit près du double de celui qui est inscrit dans le budget de l’Italie pour 2019. Or, rappelons-le, ce formidable déficit du budget de la France s’est accompagné d’un tsunami d’impôts sur les Français au point que le même Pierre Moscovici a utilisé les mots de « ras-le-bol fiscal ».

C’est le bourreau qui dit au condamné qu’il torture sur l’échafaud de la place de Grève : « Est-ce que je vous fais mal ? ».

Les « Gilets jaunes », au départ, sont ceux qui ont subi le ras-le-bol fiscal orchestré par Monsieur Pierre Moscovici. Néanmoins, il convient de souligner que cette pression fiscale est le résultat de l’incurie depuis 40 ans par tous les gouvernements de la France sans aucune exception. Mais revenons-en à notre farce européenne.

Selon les calculs de nos multiples économistes de tout crin, le budget de la France en 2019 accusera probablement un déficit de 3,5 %. Il sera largement au-dessus du déficit inscrit dans le budget italien de 2,4 %. Beaumarchais pourrait répéter sa merveilleuse phrase : « Il faut se hâter d’en rire avant d’être obligé d’en pleurer… ».

Mais la farce n’est pas finie. Le même Monsieur Pierre Moscovici qui brandit de Bruxelles sa foudre contre l’Italie trouve mille excuses au déficit français très supérieur au déficit italien.

Étonnez-vous après cela que le peuple italien nourrisse une rancœur contre les farceurs de Bruxelles et vote pour des partis que nos moralistes de pacotille appellent « populistes ».

Le « populisme » et « les Gilets jaunes » ne sont qu’à l’aube de leur histoire. Elle risque bien de se confondre avec l’Histoire. Qui vivra verra…

Emmanuel RACINE


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Fédérant plus de 550 entrepreneurs sur le territoire de l’Yonne, la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) souhaite prioriser, dès l’année prochaine, une politique de communication efficiente et élargie, autour du développement des outils numériques et de l’envoi de newsletters. Pour se faire, l’organe institutionnel s’est adjoint les services d’une chargée de communication et de développement, Marjorie MANICOLO. Cette dernière bénéficie de la création de ce poste depuis le 01er novembre…

AUXERRE : Evoluant jusque-là dans le secteur de l’immobilier, du côté de Perpignan, Marjorie MANICOLO, 29 ans, a su séduire et convaincre les dirigeants de la CAPEB de l’Yonne pour décrocher le Graal suprême, à savoir le nouveau poste de chargée de communication et de développement. Une fonction stratégique qui a été officialisée le mois dernier.

Titulaire d’un baccalauréat STS (santé et social), la jeune femme n’a pas hésité à s’exiler loin du Roussillon où elle contribuait à apporter sa pierre commerciale à l’édifice d’un réseau régional d’agents immobiliers, pour s’orienter vers un défi majeur. Celui de dynamiser la communication et le développement du syndicat des petites entreprises artisanales du bâtiment dans l’Yonne.

Dirigée par Jean-Pierre RICHARD, la CAPEB de l’Yonne rassemble à ce jour plus de 550 membres. L’objectif de l’année 2019 sera de faire croître ce chiffre pour la jeune femme.

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De multiples chantiers en perspective…

Marjorie MANICOLO héritera, en parallèle, de multiples projets à déployer dès les premiers mois de son exercice professionnel. Le rafraîchissement de l’application pour smartphone et androïd de la structure mais aussi la refonte complète du site numérique, couplée avec l’antenne de Saône-et-Loire, seront autant d’enjeux importants à accomplir prioritairement. D’ailleurs, ce site, reconfiguré en majeure partie, bénéficiera de davantage d’attractivité dans son approche pédagogique et usuelle.

D’autres chantiers seront envisagés ensuite. La création d’une lettre d’information (newsletter) dont les destinataires seront les adhérents intègre les objectifs à atteindre dans le cahier des charges de cette mission. Il en est de même pour la mise en œuvre de « cafés juridiques », des points de rencontre où les membres, soucieux d’un renseignement précis, trouveront chaussure à leur pied.

Une carte avantage devrait être lancée en début d’année. Privative, elle octroiera un certain nombre de bénéfices pragmatiques pour ses possesseurs. Toutefois, la CAPEB prévoit la dématérialisation de bon nombre de documents, liés à l’administratif et à la fiscalité.

Enfin, et au cas où elle s’ennuierait quelque peu en cours de saison, l’heureuse promue aura aussi la charge des relations publiques et des relations avec la presse.

 


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