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Favorable à une société ouverte à davantage de participation citoyenne et au repositionnement du rôle de l’élu de proximité, le président du Sénat, Gérard LARCHER, hôte de l’Association des Maires de l’Yonne (AMF) lors de leur assemblée générale annuelle, s’est livré à l’incontournable exercice de la conférence de presse à l’issue de ces travaux. Une manière directe et franche pour rappeler aux journalistes que les pouvoirs politiques en place sont légitimes et que la guerre entre l’Elysée et le Sénat n’existe pas…

NITRY : « Dans cette société actuelle, il y a un nouveau souffle à trouver. On ne peut résoudre les affaires de notre pays avec seulement quelques textes de loi à mettre en place, surtout quand nous vivons une période de crispation aussi sévère… ».

Décontracté, prenant le soin de répondre avec minutie aux interrogations des médias régionaux, le second personnage le plus important de l’Etat a exprimé dans cet exercice oratoire qu’il a su gérer avec sa prestance habituelle de grandes lignes directrices sur la situation de l’Hexagone.

« Vous savez, précise-t-il face aux micros, il est nécessaire de créer un nouvel état d’esprit dans ce pays, de développer une nouveau mode opérationnel menant à une génération adaptée de la décentralisation. Instaurons un pacte de confiance entre les Français et celles et ceux qu’ils ont choisi lors d’un scrutin. Cela ne peut se faire qu’en redonnant de la confiance… ».

Parlant de la légitimité des institutions, Gérard LARCHER a su lever avec véhémence tous les doutes sur la question.

« Le Président de la République est légitime : j’y tiens beaucoup. De même, le Parlement est légitime, aussi. Quant au gouvernement, il a reçu la confiance d’une large majorité issue du parlement. Moyennant en quoi, la légitimité des pouvoirs n’est pas à débattre en France... ». Dont acte !

Un message clair et net adressé à celles et ceux qui prétendent le contraire depuis plusieurs semaines dans les rues et sur les ronds-points de France.

Evoquant les inquiétudes des édiles, le président du Sénat se veut plein de compassion à leur égard : « Les maires peuvent avoir le sentiment qu’ils ne sont pas beaucoup compris. C’est vrai. Au mois de novembre, la formule les concernant était la suivante : c’était « balance ton maire ! ». Quelques mois plus tard, en février, la formule avait radicalement changé, devenant ainsi « accroche-toi à ton maire ! ».

Personnellement, j’ai envie que la République s’accroche à ses élus de proximité. Non pas qu’il y ait un signe de désespérance mais parce que le maire représente un élément clé au sein de la République. Que ce soit celui de Nitry où nous sommes en ce moment ou celui de Lille où j’étais hier soir encore. La commune est un élément essentiel de la communauté nationale… ».

Comment redonner du pouvoir au maire ?

La réponse du président du Palais du Luxembourg se résume à un seul mot : équilibre. « C’est par une nouvelle forme de décentralisation qu’il nous faudra trouver un juste équilibre entre les intercommunalités et les communes, ajoute Gérard LARCHER. C’est aussi une des préoccupations majeures du président de l’AMF de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui a su fédérer un nombre impressionnant d’élus autour de lui, au sein de son organe associatif. D’ailleurs, je me réjouis de constater que 93 % de la population de ce territoire est ainsi représentée par ses élus au sein de l’association : c’est énorme ! Mais, j’insiste : l’intercommunalité est une très bonne chose pour notre démocratie… ».

Et de rappeler à ses interrogateurs d’un jour que le principe de la subsidiarité demeure encore ce que l’on fait de mieux ainsi que la proximité.

Se remémorant le texte législatif initial, Gérard LARCHER expliqua avoir voté en faveur de la promulgation de la loi Chevènement en 1999 alors qu’il était dans l’opposition. « Ce texte me semblait être une bonne démarche pour notre pays… ».

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La commune, petite République dans la grande République…

Forte en symbole, la phrase que le président du Sénat avait lâchée quelques minutes plus tôt au pupitre de l’assemblée générale de l’AMF revint au centre des sujets de cette rencontre avec la presse. Et Gérard LARCHER de fournir des explications complémentaires…

« Cette phrase, je l’ai empruntée au sous-préfet de Palaiseau, autrefois à Rambouillet, Abdelkader GUERZA. Elle me paraît tellement importante aujourd’hui. Car, la notion d’une petite république ne se vit pas comme une fraction séparée ; bien au contraire, cela signifie que la commune est un élément indissociable et nécessaire à la construction de la République toute entière… ».

Certes, faute de temps ou parce que le sujet ne s’inscrivait pas parmi ses thèmes à évoquer ce jour, Gérard LARCHER fit abstraction de manière volontaire de la future révision de la constitution. Un projet de réforme retardé à cause des évènements actuels. Mais, il aura juste à préciser sur ce point que le Sénat était tout à fait disponible à travailler sur cette thématique.

Enfin, le président du Sénat conclut son échange direct avec les médias en parlant de la société française.

« Je comprends que nos compatriotes soient tendus. Mais, je reste serein et croit aux valeurs de la République. D’ailleurs, l’essentiel n’est pas de savoir si le pouvoir de l’un fera mieux que le pouvoir de l’autre au niveau du parlement. Car, il est impératif de sortir le pays de la crise dans laquelle il est plongé depuis très longtemps, et ce bien avant mai 2017. Quant aux collectivités, elles vivent dans l’incertitude depuis 2018 ayant eu à subir un nombre impressionnant de lois territoriales. Enfin, la « guerre ouverte » entre le Sénat et l’Elysée n’existe pas ! Moi, je ne suis en guerre contre personne et je vous le confirme les yeux dans les yeux… ».

Fin de l’exercice sous le crépitement des flashes des appareils photographiques !

 


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Ancien rédacteur en chef de la revue des « Trois Mondes », Yannick LE CAM a choisi de poser ses valises à Appoigny après une expérience scripturale riche et envoûtante. Dans un havre de paix et de quiétude qu’il désire partager avec le plus grand nombre. Féru de psychologie des profondeurs et de développement de soi, il n’en est pas moins un acteur de la vie économique locale. La splendide demeure, datant de deux siècles, dont il s'occupe depuis décembre 2018, accueille des hôtes venus du monde entier. Conquis par les lieux, ils sont en quête de sérénité et du repos salvateur de leur âme, charmés par un environnement propice à la méditation et au bien-être personnel…

APPOIGNY : L’Yonne coule nonchalante à quelques cinquante mètres de là. Juste derrière une ligne de frondaison, composée d’arbres majestueux. La verdure titille le regard de toute part. Renforçant ce sentiment d’intimité profonde et d’osmose parfaite avec la nature et la richesse de ces pierres séculaires qui confèrent à l’ensemble un calme opulent et le silence parfait.

Le Puits d’Athie (sage en grec) se savoure avec une délectation exquise. Cette bâtisse de caractère date du XVIIIème siècle et fut un petit monastère. L’édifice constitue les anciennes dépendances du Château de Régennes. Il propose depuis près de vingt ans une demi-douzaine de chambres d’hôtes de très belle facture. Mais, le nouveau gardien des lieux entrevoit déjà une suite logique à l’exploitation commerciale de cet édifice lumineux et subtilement décoré. L’aménagement de pièces supplémentaires. Elles optimiseront l’accueil de touristes, en provenance de destinations parfois lointaines (Etats-Unis, Québec, Scandinavie…).

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Découvrir le monde des rêves et la marche consciente…

Amateur d’art, Yannick LE CAM avait envie d’autre chose. Lui qui aime sonder l’âme humaine. Aidé d’un ami, avec lequel il collabore en symbiose depuis près de quarante ans, il a décidé de s’accorder un break. S’ouvrant de nouvelles opportunités intellectuelles via l’exploitation de la SARL Le Vieux Logis qui porte la destinée économique de ce lieu au charme fou.

D’ailleurs, parmi ses projets, il joindra l’utile à l’agréable dans sa vision stratégique pour développer dès cette année cet édifice comme il se doit. L’accueil d’hôtes optant pour une retraite personnelle, et bénéficiant d’un coaching intuitif, s’inscrit dans ses objectifs.

Ces immersions au détour de la conscience intérieure, baptisées des « retraites de ressourcement », permettront de recevoir un public soucieux d'explorer en profondeur le rêve, la marche consciente, l’éthique relationnelle et le sens des valeurs.

Tout un programme concocté sur trois jours où les pensionnaires du Puits d’Athie qu’ils soient seniors, entrepreneurs ou membres de la gent féminine se déconnecteront de leur environnement. En quête d’un Graal qui n’a pas de prix : celui de son bien-être intérieur…

Le Puits d'Athie

1 Rue de l'Abreuvoir 

89380 APPOIGNY

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Tel : 03.73.53.97.50.


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D’un commun accord, le coach franco-uruguayen et le club de football de l’Yonne ont mis un terme au contrat qui les liait au moins jusqu’à la fin de la saison. Les résultats en demi-teintes obtenus par les pensionnaires de Ligue 2 depuis le début du championnat et une piètre quatorzième place au classement général ont été les éléments déclencheurs de cette volte-face inéluctable…

AUXERRE : Bref mais très laconique, le contenu du communiqué de presse de l’AJ Auxerre ! Une dizaine de lignes seulement auront été rédigées par la cellule de communication pour annoncer ce que d’aucun prévoyait déjà depuis plusieurs semaines, le départ sine die du coach de l’équipe professionnelle, Pablo CORREA.

Remercié par la présidence du club pour son investissement au sein de la structure sportive, l’ex-entraîneur de l’AS Nancy-Lorraine n’aura donc pas été au bout de sa feuille de route ni de son projet managérial. Celui qu’il avait imaginé à sa venue en décembre 2017.

C’est-à-dire la remontée tant attendue par des supporters en mal de victoires parmi l’élite de la division supérieure. Un rêve qui aura tourné court cette année encore.

Depuis lundi, en effet, alors qu’il ne s’était pas présenté à la séance de remise en forme aux côtés de ses joueurs, Pablo CORREA n’est plus le coach du club bourguignon. Proprement démis de ses fonctions avec son accord, il a été limogé.

Le staff directionnel a ainsi coupé court à toutes les supputations qui pouvaient circuler sur les réseaux sociaux. Le président Francis GRAILLE et les dirigeants ont pris la décision de se séparer de leur dixième entraîneur en autant de saisons.

Une transition temporaire assurée par Cédric DAURY…

Il est vrai que les responsables de l’AJA ne pouvaient se contenter de cette quatorzième place, synonyme de ventre mou, alors qu’il ne reste plus qu’une huitaine de journées à accomplir au niveau des échéances sportives.

Le bilan de ce cru 2018/2019 est d’ores et déjà insuffisant et très éloigné des objectifs initiaux que s’étaient fixés les patrons de l’AJ Auxerre.

Accélérant le processus, il a ainsi été décidé de modifier le management de l’équipe professionnelle.

Depuis le début de la semaine, l’équipe A est donc managée par le directeur sportif du club, Cédric DAURY. Il ne sera pas seul à pousser la formation vers l’avenir : il sera assisté de David CARRE, de Sébastien PUYGRENIER, de Cédric BLOMME et d’Attila FARKAS.

Pour l’heure, ce staff plutôt fourni va se focaliser sur la fin de saison. Le premier objectif est de préparer de la manière la plus optimale la prochaine rencontre, avec un déplacement très délicat le vendredi 29 mars chez le quatrième du général, soit le Paris FC. La suite n’a pas encore été abordée par les dirigeants. Aucun commentaire ne filtre pour savoir qui tiendra les rênes de l’équipe la saison prochaine. Même si plusieurs hypothèses vont bon train dans le landerneau sportif et s’étalent sur les réseaux sociaux.


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L’exercice s’inscrit progressivement dans le marbre des habitudes médiatiques du territoire de l’Yonne. A raison d’un rendez-vous par trimestre, l’exécutif de l’assureur mutualiste décline sa copy stratégie en présence de journalistes, en prise directe avec l’actualité éclectique de l’établissement. En ce mois de mars, le coup de projecteur voulu par le président Pascal MAUPOIS concernait la prévention des risques et les actions mises en place pour y parvenir. Réunissant un parterre d’acteurs représentatifs, GROUPAMA Paris Val de Loire a pu expliquer ainsi les diverses initiatives qui se déroulent avec réussite dans l’Yonne…

AUXERRE : L’établissement a beau apporté sa plus-value professionnelle et technique dans la gestion des sinistres de tout genre, il lui importe de les éviter en les anticipant le plus possible en amont auprès de ses sociétaires. Dans un souci de citoyenneté, propre à sa déontologie naturelle.

Donc, fort de ce précepte, il n’était pas inutile de concevoir une thématique ciblée sur les initiatives en matière de prévention et de les expliciter en conférence de presse. Un choix non dénué d’intérêt pour les interlocuteurs du jour, c’est-à-dire les médias, parfois très éloignés de la sphère entrepreneuriale et de ses diverses composantes éthiques.

Réunir autour de la même table, les représentants de la Gendarmerie nationale avec le major Stéphane VERSE, référent de la Sûreté, le major Sébastien COULON et l’aspirante Charline PROVOST, se justifiait amplement.

Chacun de ces intervenants put tout à loisir prendre le temps de parole indispensable à l’explication de texte relative à leurs missions. La cyber-criminalité et la prévention du vol en milieu rural revenaient au major Stéphane VERSE ; tandis que les sujets liés à la prévention routière et l’aperçu détaillé du dispositif « Dix de Conduite » incombaient aux deux membres des forces de l’ordre.

Mais, dans un souci de compréhension légitime des tenants et aboutissants de ce dossier sécuritaire, la direction de GROUPAMA Yonne avait opté pour un élargissement des débats. Ainsi, le directeur d’établissement icaunais convia le commandant Gilles ROGUIER, du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) ainsi que l’un des dirigeants du groupe SICLI, Alain NICOLE, une structure spécialisée dans l’extinction des sinistres.

On notait aussi la présence de Florence PENET, adjointe de direction au CFPPA Auxerre La Brosse, le pôle d’enseignement agricole de l’Auxerrois.

La variante rurale du fameux « Dix de Conduite »…

Enseignants et élèves se montrent toujours très enthousiastes, après chaque déroulé de la version rurale de ce dispositif pédagogique. Il est vrai que les bénéfices engendrés par ces séances didactiques portent leurs fruits.  

Dans l’absolu, les lycéens profitent d’une initiation réelle au pilotage et à la conduite d’engins agricoles motorisés. Ainsi, plus de quatre-vingts d’entre eux ont pu accroître leurs connaissances en matière de prévention des risques et de maîtrise sécuritaire l’an passé dans l’établissement de Venoy. Tout cela grâce à l’installation d’une piste itinérante dont raffolent les jeunes scolaires. Depuis une vingtaine d’années, l’exercice se répète à chaque saison. Et, toujours avec le même succès. La présence des forces de l’ordre, arborant leur uniforme, n’est peut-être pas étrangère à ce résultat positif.

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Côté bilan quantitatif, il est bon de rappeler que depuis le lancement de cette opération (déjà plusieurs décades), les accidents de tracteurs et d’engins agricoles ont reculé de manière significative dans le pays. Il y a trente fois moins à l’heure actuelle qu’il y a une quarantaine d’années…

Les atouts bénéfiques de l’opération « 10 de Conduite »…

Mais, l’autre versant de ce programme destiné aux futurs automobilistes ne manque pas d’attrait. Le manque d’expérience, la mauvaise appréciation des risques routiers au volant de son véhicule, le surcroît de vitesse représentent aujourd’hui la moitié des causes accidentelles concernant les jeunes adultes âgés de 18 à 24 ans.

Peu d’entre eux, d’ailleurs, respectent le port de la ceinture. Or, dans 22 % des cas, cette absence engendre de sérieux traumatismes aux conséquences le plus souvent inéluctables et néfastes.

C’est aussi l’un des axes de motivation citoyenne qui explique l’engagement de GROUPAMA à la propagation régulière de campagnes sensibilisatrices auprès de ces publics.

Grâce à ce dispositif, encouragé depuis quelques années sur notre territoire, tous les établissements scolaires du second degré de l’Yonne profitent de ce ces cours théoriques et pratiques, se révélant être de première nécessité.

« C’est un véritable travail participatif, devait ajouter Jacques BLANCHOT, directeur de GROUPAMA Yonne, RENAULT fournit les véhicules (deux modèles à boîte de vitesse mécanique et une pourvue d’un système automatique), TOTAL abonde en carburant tandis que la Gendarmerie nationale assure la transmission des savoirs. Grâce à notre partenariat avec le centre de formation CENTAURE, l’assureur mutualiste optimise cet enseignement à l’aide d’experts et d’outils pédagogiques idoines… ».

A la découverte de la conduite, il est à noter en parallèle l’initiation aux règles élémentaires du Code de la route, et surtout aux risques inhérents à l’alcool et aux produits illicites. Sans omettre le respect de la règle primordiale sur la route : la courtoisie et le civisme.


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Le délégué interministériel à la Sécurité routière, en immersion il y a quelques jours au Foyer d’accueil médicalisé Philippe GUILLEMANT à LIXY, n’a pas eu de mots assez forts pour expliquer l’action qu’il mène au quotidien face à la recrudescence de la violence routière. Aux côtés du préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et d’un aréopage de personnalités des forces de l’ordre, Emmanuel BARBE a pu écouter en y prêtant grand intérêt les nombreux témoignages poignants de ces femmes et de ces hommes (professionnels de santé, représentants de la Gendarmerie nationale, de la police et des sapeurs-pompiers, familles et victimes de l’accidentologie routière…) lors d’une rencontre chargée en émotion.

LIXY : Le visage grave, sur lequel se reflétait une forte intensité émotionnelle, le délégué interministériel à la Sécurité routière a pris le temps de rencontrer plusieurs pensionnaires du FAM, le Foyer d’accueil médicalisé implanté dans l’Yonne septentrionale.

Cet établissement est l’un des rares en France, voire l’unique centre en mode opérationnel par la richesse de sa qualité relationnelle, de son écoute et de la pertinence de ses travaux de rééducation que les administrateurs et équipes prodiguent à ces personnes, à accueillir des blessés de la route, traumatisés à jamais par d’importantes séquelles physiques et psychologiques.

Et, il a beau être en poste depuis le 01er avril 2015 et multiplier ce type d’initiative auprès des familles et des victimes, Emmanuel BARBE n’en est pas moins un homme sensible qui ne peut se résoudre à accepter l’inacceptable. Toute son énergie se concentre à la lutte qu’il mène de manière frontale face la violence routière, qu’il n’hésite pas à qualifier d’« inéluctable homicide ».

« Chaque année, précise-t-il, ce sont 1 700 de nos concitoyens qui deviennent les victimes d’autres personnes et disparaissent du fait de mort violente sur les routes de notre pays… ».

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Le sens des actions de la Sécurité routière : une indéfectible lutte…

 

La Sécurité routière recense chaque année plus de 60 000 accidents de la circulation. Certains sont matériels. D’autres, nettement plus conséquents. La plupart engendrent néanmoins leur lot de drames humains.

« Vous savez, concède le délégué interministériel d’une voix calme et posée non dénuée de fermeté, lorsqu’une personne décède, ce qui est regrettable dans de pareilles circonstances, les familles finissent par faire leur deuil selon le processus psychologique habituel. A contrario, quand il y a des blessés à vie, marqués au plus profond de leur chair, les familles doivent endurer les souffrances physiques et psychiques de leurs proches. Même si elles les accompagnent dans leur existence quotidienne, elles ne s’en remettent jamais… ».

Alors, à quoi bon lui parler de la baisse de la limitation de la vitesse ramenée à 80 km/h au 01er juillet dernier ou de la prolifération, parfois abusive et inappropriée des radars automatiques, Emmanuel BARBE renie ces considérations démagogiques qui n’ont pas lieu d’être en bloc. Fort justement.

La lutte que le délégué interministériel pilote est implacable. « C’est le sens de l’action qui nous anime chaque jour, lâche-t-il, et toutes les polémiques et gesticulations qui vont avec sont dérisoires, voire totalement obscènes après avoir visité un centre d’accueil comme celui-ci… ».

Indifférent aux humeurs de quelques réfractaires au Code de la route, le délégué à la Sécurité routière ne ronge pas son frein. Réduire la vitesse représente un leitmotiv personnel que rien ni personne ne fera déroger d’un iota. Même s’il constate avec amertume que la destruction massive des radars, imputable à certains mouvements de foule depuis novembre, plombe les bons résultats enregistrés au cours de l’année 2018.

Sachant ce que cela coûte aux victimes et familles de se remémorer les postures délicates d’un accident de la route, Emmanuel BARBE juge nécessaire ces entretiens à cœur ouvert. Ne serait-ce que pour accompagner celles et ceux qui demeureront à jamais meurtris dans leur enveloppe charnelle…

 


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