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Après deux mois de fermeture, les dix-sept artistes aux styles si éclectiques (céramiste, peinture, photographie, stylisme, création de bijoux, sculpture sur bois…) reprennent du service : ils prolongeront leur exposition jusqu’à mi-juin. Suivra cet été, une présentation sur le thème animalier, mêlant sculpture et peinture. Le confinement deviendra le thème opportun et fédérateur de l’animation de fin d’année prévue en novembre…

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Fermée au lendemain du vernissage de la nouvelle exposition le 14 mars, la galerie d’art de la localité de Puisaye est opérationnelle depuis le 13 mai.

En y recevant les dix-sept artistes, membres de l’association présidée par Xavier LAUPRETRE, « Les Créacteurs de Puisaye », qui n’avaient pu profiter durablement des lieux pour assurer leur promotion artistique, confinement oblige.

Apparue à la suite d’une exposition de douze artistes de Puisaye à Paris en 2006, cette structure s’est fait connaître par l’organisation du festival « Art dans les cours et jardins » dès l’année suivante. En 2010, les artistes intègrent une ancienne épicerie qui se transformera quelques mois plus tard en galerie d’art.

Intégralement rénové par la commune, le nouveau site culturel de Saint-Sauveur-en-Puisaye a été inauguré l’année dernière.

Outre le rafraîchissement des lieux, un appartement situé à l’étage peut accueillir quatre internes en médecine. Il existe également sur le côté un logement destiné à la réception d’une personne à mobilité réduite.

Aujourd’hui, le site propose sept expositions par an. Six d’entre elles sont réalisées sous la forme de duo. Une exposition collective clôt la saison en novembre autour d’une thématique spécifique.

 

 

Une palette de talents à découvrir…

 

Les visiteurs découvriront parmi l’ensemble des œuvres dévoilées, les pièces de la plasticienne Pascale GARCIN. L’artiste présente une série de toiles qui couvre plusieurs périodes autour de l’humain dans sa forme figurative, voire narrative. Sa source d’inspiration : ses amis et relations !

Installée depuis 2019 à la Poéterie de Saint-Sauveur, l’artiste polyvalente pratique la photographie, la vidéo ou la peinture  avec éclat. Elle a fait ses gammes avec Philippe LEJEUNE dans une approche plutôt classique et académique avant de s’initier aux facettes techniques enseignées par l’école des Beaux-Arts de Versailles.

Après l’exposition, Pascale GARCIN souhaite se faire connaître dans la région en réalisant un projet dont le thème sera Colette.

Sur les cubes, on découvrira aussi les sculptures de Fréderic BULLY, autodidacte en peinture et céramique. L’artiste s’est d’abord adonné à l’illustration de journaux locaux. Avant son retour en Puisaye à Saint-Fargeau  où il s’est installé après un passage à Lyon. Il devrait exposer à La Charité-sur-Loire lors des Journées européennes des Métiers d'art en avril 2021…

 

 

En savoir plus :

La galerie d’art est ouverte les mercredis et dimanche matin (10h-12h30) et les vendredis et samedis (10h-12h30 et 15h00-18h30).

Suivre l’actualité des Créacteurs : https://www.facebook.com/Creacteurs/ ou http://creacteurs.com/Bienvenue.html

Maryline GANDON

 


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Nouvelle difficulté pour le secteur des travaux publics qui ne s’attendait pas à recevoir une pareille estocade de la part du gouvernement. Malgré les efforts déployés ces dernières semaines par la filière artisanale dans l’optique de reprendre au plus vite leurs activités, une ordonnance de l’Etat qui modifie la règle du jeu provoque désormais le courroux de la Fédération régionale des Travaux Publics (FRTP) et de son représentant, Vincent MARTIN. Explications…

DIJON (Côte d’Or) : Il voit rouge le président de la FRTP de Bourgogne Franche-Comté ! Et il le fait savoir avec véhémence par un communiqué de presse qu’il a adressé dans les rédactions ce vendredi 15 mai.

Le sang de Vincent MARTIN n’a fait qu’un court lorsqu’il a appris le 13 mai, et sans aucune concertation avec la corporation dont il défend les intérêts, qu’une ordonnance de l’Etat modifiait les délais applicables à l’ensemble des marchés.

Dans les faits, le texte gouvernemental ne prend volontairement pas en compte la prorogation de l’état d’urgence sanitaire dans le calcul des délais qui entoure les marchés publics et privés.

En conséquence, en cas de non-respect de ces délais (pour mémoire rappelons que les délais d’exécution des chantiers sont contractualisés dans les marchés publics et privés), des pénalités seront appliquées au titulaire du marché.

Or, le contexte de la crise sanitaire imputable à la propagation de l’épidémie de coronavirus en France et la période de confinement auront conduit à l’arrêt forcé des chantiers. Allongeant de facto les délais d’exécution des marchés en cours !

 

 

Comme le précise le président MARTIN, « la profession a mis tout en œuvre pour organiser une reprise des activités en garantissant les mesures sanitaires indispensables afin de protéger la santé et la sécurité de ses salariés… ».

Le représentant régional de la FRTP en appelle donc au bon sens et demande à l’Etat de faire machine arrière : « Le gouvernement doit revenir de toute urgence sur cette ordonnance pour la protection des entreprises et la préservation des emplois dans un secteur essentiel pour la relance économique de nos territoires… ».

Sera-t-il entendu ? Pas si sûr ! Mais d’ores et déjà, le torchon brûle entre le gouvernement et le secteur des travaux publics !


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Le délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de la Nièvre et de l’Yonne Claude VAUCOULOUX a choisi nos colonnes pour y publier un long plaidoyer favorable à l’apprentissage. Et aux résultantes qui en découlent en matière d’emplois grâce aux embauches de ces jeunes apprenants. Des embauches ô combien importantes et nécessaires malgré le délicat contexte économique que nous traversons avec la crise sanitaire…

TRIBUNE : « Alors oui, la période que nous traversons est vraiment très compliquée. Alors oui, la somme des problèmes immédiats qu’il nous faut régler est immense. Alors oui, les préoccupations du très court terme l’emportent nécessairement sur des sujets qui peuvent paraître plus secondaires.

Alors oui, lorsque la question du niveau de la masse salariale se pose pour les mois qui viennent, la réponse qui s’impose naturellement ne se trouve pas forcément dans la recherche de jeunes alternants. Et pourtant ! Souvenons-nous du temps pas si éloigné d’ailleurs (c’était il y a seulement quelques mois, même s’il est vrai qu’après les huit semaines de confinement que nous venons de traverser, la notion du temps est devenue plus floue), où nous étions tous désespérément à la recherche de compétences. Voire même parfois, et en désespoir de cause, tout simplement prêts à embaucher la personne qui aurait bien voulu venir travailler chez nous !

Nous nous serions occupés du reste, n’est-ce pas ! Cette situation nous la connaîtrons de nouveau dans un avenir que je nous souhaite le plus proche possible. Cela voulant dire au passage, que nous aurons alors retrouvé notre niveau d’activité nominal et que cette crise sera enfin derrière nous…

 

Intégrer des jeunes gens motivés et diplômés dans les entreprises !

 

Les oracles autoproclamés nous prédisent aujourd’hui que plus rien ne sera comme avant et que tout doit être réinventé. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? L’avenir nous le dira ! Mais, permettez-moi de nuancer le « plus rien », parce que sur un point au moins, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, je suis prêt à parier qu’au premier jour d’un retour significatif des commandes, nous nous retrouverons alors de nouveau face à la même problématique des compétences. Sans doute probablement de façon amplifiée, par les effets du « papy-boom » qui lui, n’aura pas connu la crise !

Pour la prochaine rentrée, c’est-à-dire dès maintenant, le Pôle Formation UIMM 58/89, comme tous les CFA industriels, peut vous présenter des jeunes gens, motivés et prêts à s’engager pour se former à nos métiers, pour des niveaux d’étude allant du CAP au BAC+5.

Alors bien sûr, je sais que vous allez me répondre qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas le moment et que vous verrez ça plus tard… Enfin peut-être… Rassurez-vous, je ne vous demande pas de signer le contrat à la fin de la lecture de cette tribune. Mais, ce que je vous demande absolument, c’est de ne pas vous interdire d’y réfléchir, parce que plusieurs planètes vont s’aligner en ce sens et qu’à défaut qu’elles ne le soient toutes, certaines fenêtres de tir vont néanmoins s’ouvrir suffisamment en grand pour saisir de belles opportunités.

 

 

L’Etat est attendu au niveau de sa mobilisation en faveur des apprentis

 

La dynamique initiée depuis plusieurs années autour de l’apprentissage, notamment industriel, ne peut pas s’arrêter comme ça, d’un coup d’un seul. Il est donc plus qu’évident que tous les acteurs qui gravitent autour de ce sujet vont devoir se mobiliser pour la conforter, voire même l’amplifier. En prenant des initiatives courageuses et déterminées, afin que ne retombe pas, tel un soufflé sorti du four, le début du regain d’intérêt mesuré au fil des quelques dernières rentrées.

Au premier rang de ces acteurs, doit figurer bien sûr l’Etat. Puisque d’abord, ayant fait main basse sur les destinées de la formation professionnelle et de l’apprentissage depuis la promulgation en septembre 2018 de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » dite « avenir », il lui appartient de montrer qu’il est véritablement le leader qu’il a souhaité devenir.

Comment ensuite, imaginer un seul instant qu’il pourrait abandonner l’une des orientations majeures qu’il avait portée et mise en œuvre dès le début du quinquennat. Ce qui constituait une sorte de totem pour l’exécutif.

La Région Bourgogne Franche-Comté, quant à elle, a toujours fait preuve d’une grande sensibilité vis-à-vis de la formation, en particulier pour l’apprentissage. Et bien que dépossédée depuis deux ans d’une prérogative à laquelle elle était très attachée, il y a fort à parier qu’elle saura ici saisir l’occasion de se remettre le pied à l’étrier. Après ce qu’elle considère sans doute encore aujourd’hui comme un camouflet dont elle n’a certainement pas fini la digestion...

 

 

« Pas de contrat, plus d’apprenti… » : cela deviendrait le pire des échecs…

 

Et puis il y a bien entendu les Opérateurs de Compétences (OPCO) qui, à peine mis en place dans le cadre de la loi « Avenir » vont avoir à cœur de montrer qu’ils sont des passages obligés dans un dispositif qui pourtant, à certains égards, peut aujourd’hui laisser à penser aux observateurs avisés, qu’ils constituent plus un alibi paritaire qu’un véritable facteur clé de succès.

Bref, tout cela pour dire que beaucoup sera entrepris pour sauver le soldat apprentissage. Cela passera avant tout par l’instauration de mesures d’ampleur, visant d’une part à la réduction du coût d’un apprenti pour l’entreprise et d’autre part, par une souplesse permettant d’accueillir les jeunes dans les CFA. Dès la rentrée prochaine, quand bien même ils n’auraient pas tout de suite une entreprise d’accueil avec laquelle signer leur contrat.

C’est ici qu’intervient le rôle des employeurs. Car, à l’instar de la formule « pas de bras, pas de chocolat », passé le temps raisonnable de la dispense d’avoir signé le contrat d’apprentissage, nous aurons droit au « pas de contrat, plus d’apprenti ». Ce qui serait alors un terrible constat d’échec !

Echec, tout d’abord, vis-à-vis de notre jeunesse et des parents d’élèves que nous avons eus tant de mal à convaincre de choisir une autre voie que celle d’une formation classique. Mais assurément en second lieu, échec pour les entreprises qui courront le risque de voir ainsi mises à mal des années d’efforts. Echec, enfin, pour l’apprentissage d’une manière générale, dont les détracteurs auront beau jeu de soutenir la thèse d’un dispositif mineur ne valant la peine d’être sauvé.

Alors NON ! Nous savons bien, au contraire, que l’apprentissage constitue et constituera plus que jamais une voie d’excellence pour accéder à la compétence, au diplôme et enfin à l’emploi. Ces emplois qualifiés que nous avons à pourvoir dans nos entreprises, aujourd’hui, demain et après-demain. Nous ne pouvons donc pas laisser s’écrouler ce que nous avons eu tant de mal à construire.

Aussi, chefs d’entreprises industrielles, ne vous interdisez surtout pas de miser sur la jeunesse ! Elle est assurément « LE » pari gagnant pour l’entreprise. Et l’UIMM est à vos côtés pour vous aider à rafler la mise !

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de la Nièvre et de l’Yonne

 


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Certes, le retour vers la normalisation de la vie scolaire n’a concerné qu’une infime proportion d’élèves ce jeudi matin. Mais, l’enthousiasme des enseignants et des élus (Guy FEREZ et Guy PARIS) faisait plaisir à voir après ces huit longues semaines de privation pédagogique imputable à la présence nocive et sournoise du COVID-19.

AUXERRE: Cela n’a pas été la ruée sur l’or. Mais, quand même. A l’école Henri Matisse qui devait accueillir une quinzaine de bambins ce jeudi vers 8h30, tout a été organisé à la perfection pour que cette reprise de l’enseignement se passe dans le respect absolu des règles protectrices voulues par le gouvernement.

Les parents accompagnaient leurs chères têtes blondes jusqu’à l’entrée du bâtiment, donnant des nouvelles de leur progéniture aux enseignants après ces longues semaines d’enfermement et de doutes.

Certains exprimaient quelque peu leurs appréhensions. D’autres firent un petit salut à leur enfant avant de venir les chercher sur le coup de midi pour le déjeuner.

Accompagné de son premier adjoint, Guy PARIS, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre Guy FEREZ a pris la température ambiante en constatant de visu de quoi il en retournait.

Un élu qui in fine sera satisfait par cette reprise de l’activité pédagogique même par le petit bout de la lorgnette. Quatorze enfants étaient concernés par ce retour à la vie scolaire dans cette école.

 

 

Saluer le travail des services municipaux et de l’Education nationale…

 

Ils étaient plus d’une trentaine dans le second établissement visité au cours de cette matinée, à l’école des Rosoirs.

Accueilli par la directrice Sophie FEVRE, le maire d’Auxerre eut droit à la visite en règle de l’établissement. En suivant de manière scrupuleuse la signalétique placée au sol qui garantit la distanciation physique.

Il put aussi s’entretenir avec quelques enseignants qui reprenaient leur rôle de pédagogue aux côtés de leurs jeunes apprenants et partager avec eux leurs ressentis sur cette expérience unique en son genre.

Le maire n’aura pas manqué de saluer la mobilisation et le travail fourni par les services municipaux (« ils ont œuvré d’arrache-pied depuis plusieurs jours ») pour que les conditions de cette reprise soient les plus optimales possibles. Ainsi que l’implication du personnel de l’Education nationale, plus que jamais sur le pont afin de rassurer les parents les plus circonspects.

 


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La réouverture des services culturels est dans les cartons. Les aficionados respirent avec un peu plus d’aisance à l’annonce de décisions prises par les services de la Ville. Même si beaucoup de choses demeurent encore en suspens et pourrait nuire à la programmation habituelle...

AUXERRE : Ca y est : on connaît enfin quelques dates de réouverture des espaces culturels qui symbolisent la richesse patrimoniale et artistique de la capitale de l’Yonne. Même s’il faudra encore patienter quelques semaines avant de pouvoir fréquenter de nouveau en toute liberté ces lieux synonymes d’évasion intellectuelle.

Les services de la Ville doivent s’assurer avant toute chose que les mesures barrières et les protections sanitaires soient correctement appliquées.

Ainsi, le musée d’Auxerre, le Muséum, l’Abbaye Saint-Germain, le musée Leblanc-Duvernoy ou encore la salle Eckmülh, située dans le prolongement de l’hôtel de ville, rouvriront leurs portes le 30 mai.

Du côté des bibliophiles et des férus de lecture, il faudra compter quelques jours supplémentaires avant de pouvoir pénétrer à nouveau dans le complexe de la bibliothèque municipale. L’établissement assurera le prêt de livres à partir du 02 juin. Il en sera de même pour l’artothèque.

 

Une fête de la musique sur Facebook ?

 

Quant à la programmation des événementiels culturels déclinés en extérieur, elle risque d’être passablement différente de la saison dernière.

Si le traditionnel festival des « Rues Barrées » a été confirmé aux dates du 15 et 16 août mais dans une forme particulière du fait des gestes barrières et de la distanciation physique, la tenue de « Garçon la Note », animation concoctée entre juillet et août dans les bars et cafés de l’Auxerrois, demeure toutefois suspendue à l’évolution du contexte.

Il en est de même de la traditionnelle, et incontournable, fête de la musique le 21 juin qui est également en suspens.

La Ville qui dit réfléchir à une variante numérique organisée en Facebook live attend les ultimes directives des différents ministères.

Vis-à-vis de la jeunesse, les programmes ludiques des « Lézards des Arts » et des « Vacances sportives » restent maintenus au mois d’août. Il est vrai que d’ici là, beaucoup espèrent que la chaleur aura réglé son compte à ce maudit coronavirus…

 

 

 

 


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