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L’ISR, vous connaissez ? C’est une nouvelle notion qui désigne les différentes approches consistant à intégrer les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance dans la gestion financière. Une finance novatrice qui se veut développement durable permettant à celles et ceux des particuliers qui y souscrivent d’appréhender leurs placements tout en réduisant les risques environnementaux à long terme. En promouvant « Ambition Durable », la banque mutualiste régionale propose la première des obligations verte…

DIJON (Côte d’Or) : Encourager les principes vertueux inhérents au développement durable par le biais d’actions significatives ne date pas d’hier pour l’établissement bancaire mutualiste. Depuis 1984, cela se traduit au travers des encours de bilan puisque 10,8 milliards d’euros de financement ont déjà été consentis à tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Deux faits majeurs corroborent cet engagement citoyen : d’une part, la signature de l’Accord de Paris sur le climat et d’autre part, l’arrêt de tout financement dédié à l’industrie du charbon thermique, à l’exploration et à la production du pétrole et du gaz de schiste.

Aujourd’hui, la banque coopérative pousse le bouchon un peu plus loin. Ciblant à la fois les investisseurs particuliers et les personnes morales qui ont tout intérêt à positionner leur épargne sur des concepts qui intègrent les enjeux environnementaux de demain.

Bref, la Banque Populaire vit à l’heure de la révolution green et développe une stratégie fourmillant de projets qui y répond. A l’instar d’un nouveau produit, lancé en septembre sur le marché obligataire.

 

Une obligation verte destinée à subvenir aux besoins du bâtiment…

 

« Ambition Durable », la bien-nommée en sa qualité d’obligation, illustre le soutien de la structure bancaire à cette transition sociétale devenue inaliénable à la pérennité de l’homme. Sa finalité est d’appuyer le financement durable des territoires.

Dans l’absolu, les fonds récoltés auprès des personnes physiques par cet outil obligataire permettront de subventionner le secteur du bâtiment via la construction et la rénovation d’édifices à empreinte environnementale faible.

Côté rentabilité, la Banque Populaire a opté pour un indice actions « eau et océan » comme moteur de la performance.

 

 

Cet indicateur se compose d’une quarantaine de sociétés européennes qui contribuent à la préservation de l’eau et des océans, deux des enjeux fondamentaux de notre avenir.

En donnant du sens à l’épargne de ses sociétaires, l’établissement incite ainsi les épargnants à investir conformément à leurs valeurs éthiques, tout en valorisant leur placement, et en devenant acteur de la transition énergétique.

 

Une offre qui intègre une longue liste de solutions financières…

 

La création de cette première obligation verte complète la liste déjà importante de solutions de financement en faveur de l’amélioration de la sauvegarde de la planète, déclinables autour de livrets d’épargne spécifiques ou d’une trentaine d’assurance-vie qui couvrent un très large spectre de l’ISR.

Les épargnants voient d’un très bon œil cette initiative originale. 60 % d’entre eux se disent intéressés par ces produits à l’épargne responsable, encore peu développés dans les réseaux bancaires de l’Hexagone.

Via le groupe BPCE, ces produits à l’orientation éthique innovante devraient faire florès à l’avenir dans les deux grands réseaux représentés au sein de cette entité nationale qui comprend 9 millions de sociétaires et est devenue le second acteur bancaire de France : la Banque Populaire et les Caisses d’Epargne.

Thierry BRET

 


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Vingt-six militaires d’un régiment de l’armée de terre basé en Alsace, aguerris aux opérations sécuritaires dans l’Hexagone et les DOM-TOM, viennent de prendre leur quartier dans la capitale de l’Yonne. Leur mission s’inscrit dans le cadre de l’opération Sentinelle dont le curseur a été revu à la hausse avec le renforcement du plan Vigipirate juste avant les fêtes de fin d’année…

AUXERRE: Lieux de culte, établissements scolaires ou marchés : à l’instar des bâtiments publics, ces endroits considérés comme névralgiques sont depuis soixante-douze heures surveillés étroitement par les militaires de la force Sentinelle, déployée dans l’Yonne.

Un contingent composé d’une trentaine de soldats, issus de l’armée de terre, est arrivé jeudi dernier en provenance d’Alsace pour une période de deux mois minimale.

Le temps que pourrait durer leur mission sur notre territoire dans le cadre du renforcement du plan Vigipirate porté à son paroxysme après la série d’attentats qui a endeuillé la France à Conflans-Sainte-Honorine et à Nice.

On a tous en mémoire ce qui est advenu du malheureux professeur d’histoire/géographie Samuel PATY, lâchement assassiné en pleine rue par un tueur isolé.

 

 

 

Quant à la disparition tragique de trois fidèles dans la basilique Notre-Dame de la métropole azuréenne, elle a provoqué la stupeur et la consternation parmi les catholiques de France. Mais, pas seulement. Puisque aujourd’hui, toutes les croyants quel que soit leur religion se disent très affectés par la répétition successive de ces actes barbares.

Face à la recrudescence de ces évènements dramatiques, l’Etat a décidé de renforcer le nombre de militaires venant grossir les rangs de l’opération Sentinelle. De trois milles hommes, le contingent s’élève désormais à sept mille soldats. Surtout à l’approche des fêtes de fin d’année.

 

 

 

Une mission de surveillance programmée au minimum pour deux mois…

 

Dans le département de l’Yonne, ces vingt-six hommes de troupe sont déjà à pied d’œuvre. Ils vont multiplier les patrouilles dans les rues du cœur de ville à Auxerre et à Sens. Mais, il n’est pas exclu qu’ils fassent leur apparition dans d’autres agglomérations que compte notre territoire, y compris en zone rurale.

Cette force de prévention et de dissuasion sera bien visible des Icaunais. Prête à intervenir si le danger venait à menacer la sécurité d’un site ou l’intégrité physique des habitants.

 

 

 

Nonobstant, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, accompagné de l’édile d’Auxerre et président de l’Agglo de l’Auxerrois Crescent MARAULT lors d’une visite de bienvenue aux militaires après leur installation à Auxerre, a tenu à rassurer nos concitoyens. L’Yonne n’a enregistré aucune menace particulière à ce jour. Toutefois, et sans sombrer dans une psychose irrémédiable, nul ne peut prévoir où frapperont les terroristes à l’avenir.

C’est dans cet état d’esprit celui de la prévention et la sécurisation optimales qu’a été déployée cette présence rassurante dans les deux principales villes du département.    

La force Sentinelle devrait accomplir ses missions de surveillance au moins pour les deux mois à venir. Avant peut-être une éventuelle prolongation ?

Thierry BRET

 

 

 


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Existait-il un autre choix que celui d’allonger la dette sur une période plus longue tout en assumant ce cap de la dégradation ? La capacité de désendettement de la Bourgogne-Franche-Comté, bien inférieure à celles de bon nombre de contrées de l’Hexagone, se situait à deux années et demie. Avec les nouvelles mesures prises par l’exécutif dans le cadre du plan de relance économique, soit 400 millions d’euros de plus destinés aux investissements, elle devrait s’étaler sur les neuf prochaines années. Un delta maximal qu’il conviendra de respecter sans aller au-delà pour ne pas tout mettre en péril…

DIJON (Côte d’Or: « J’ai choisi de frapper un grand coup parce que tous les efforts réalisés jusque-là dans les exercices budgétaires précédents nous le permettent… ». La présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY est montée au créneau avec détermination ce vendredi en fin de matinée afin de clarifier sa stratégie avant l’assemblée plénière de ce lundi 16 novembre. Une séance où seront débattues les orientations budgétaires de l’institution régionale pour l’exercice 2021.

Face à la presse mais à distance grâce au principe de la visioconférence, l’élue qui a été contrainte de décaler le rendez-vous prévu initialement le vendredi 13 novembre a détaillé les grandes lignes directrices d’un projet budgétaire, très impacté par la crise sanitaire actuelle.

Si de facto, les débats seront prioritairement concentrés sur les dépenses, la présidente n’en omettra pour autant pas les recettes. Le nerf de la guerre, à ses yeux. Sans qu’il n’y ait de solutions miracle. Car, dans le domaine, il n’existe aucune certitude.

Tout se fera en fonction de la capacité de reprise de l’économie et des…aides fournies par l’Etat. Un état qui s’est porté par ailleurs garant de subvenir aux besoins des collectivités régionales qui en éprouveraient le besoin. La Région aura recours à cette manne quasi providentielle mais indispensable car les nouvelles orientations budgétaires qui seront décidées lors de la prochaine réunion de la commission permanente le 20 novembre s’établissent à 400 millions d’euros de financement supplémentaires. Une enveloppe destinée à l’investissement.

 

Un numéro d’équilibriste qui est très complexe...

 

D’un côté, il faut entretenir l’espoir auprès des commerçants mais aussi des cafetiers et hôtels/restaurants qui ont perdu gros dans l’affaire en les soutenant de la meilleure façon possible (une aide de 7,3 millions d’euros) tout en sachant de l’autre côté que les recettes imputables à la fiscalité (TVA, taxes sur le carburant, rentrées d’argent inhérentes au trafic des TER) seront moindres.

Un véritable numéro d’équilibriste qui nécessite une cohésion dans le pilotage de ce dossier. Rien que la perte des recettes sur les TER a été provisionnée à vingt millions d’euros à titre d’exemple en espérant que l’Etat compense le manque à gagner…

A contrario, dans ce combat qu’elle mène pour favoriser le plan de relance économique avec le soutien des EPCI via la signature d’un pacte, Marie-Guite DUFAY souhaite que la Région soit présente en investissement et en fonctionnement dans son intervention budgétaire.

 

 

Via une équation qui est la suivante : six euros prélevés par habitant dont quatre se destinent à l’investissement, un par le biais de la Région vers le fonctionnement et le reliquat qui émane des intercommunalités.

Toutefois, face aux nouvelles difficultés imputables à la seconde période de confinement, la représentante du pouvoir régional va autoriser les EPCI à intervenir sur les paiements de loyer. Avec quelques bémols, notamment pour les intercommunalités de moins de 15 000 habitants qui seront dispensées de la parité requise.

In fine, c’est une somme de 5,6 millions d’euros qui couvrira les frais de fonctionnement des professionnels qui devra être validée.

 

Pas de coupes sombres ni de hausse de la fiscalité…

 

Quant à réaliser des coupes sombres en réduisant drastiquement les budgets de fonctionnement de certains postes clés, il n’en est pas question. Ainsi, la formation des demandeurs d’emploi ne sera pas pénalisée par une quelconque décision arbitraire.

Ni même le monde de l’éducation nationale via les lycées dont la Région a les compétences en matière de gestion. Alors que la Bourgogne Franche-Comté peut s’enorgueillir de posséder au plan national le plus grand nombre d’établissements répartis sur ses huit départements. Il en va de même pour des secteurs, moins prioritaires certes mais tout aussi importants comme la culture, le sport ou l’enseignement supérieur.

De là à augmenter la fiscalité afin de contenir ces importantes dépenses, il n’y aurait qu’un pas. Que Marie-Guite DUFAY balaie d’un revers de la main définitif : « Il n’en est pas question, et je m’y engage… ».

Enfin, un geste hautement symbolique sera envisagé à destination des soignants. Et  plus spécifiquement des infirmières et des infirmiers de première et deuxième année qui ont contribué à renforcer les équipes sanitaires dans les centres hospitaliers du territoire depuis le printemps. Un subside de deux millions d’euros sera ainsi versé auprès des IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) qui devront s’assurer de séances de rattrapage au niveau des formations sans qu’il y ait de préjudices pour les apprenants…

Quant à la préservation de l’emploi, elle reste une grande priorité, notamment auprès des personnes en instance d’insertion dans la vie active. Quatre mille places supplémentaires vont être intégrées à ce projet qui sera supporté avec une manne financière accordée par l’Etat.

Thierry BRET

 


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Qu’importe la crise, pourvu qu’il y ait l’ivresse ! Le principal bailleur social de notre département ne déroge pas d’un iota à sa politique d’investissement déclinable sur l’année 2021. C’est donc une enveloppe de 26 millions d’euros qui va être injectée dans l’économie locale à la construction, la rénovation ou la démolition de logements sur le territoire de l’Yonne. Une manne providentielle pour les artisans du bâtiment qui n’en espéraient pas tant !

AUXERRE : Pour son soixante-dixième anniversaire, DOMANYS vient de faire un magnifique cadeau aux artisans du bâtiment de notre territoire. Eux qui, comme tant d’autres de professionnels, vivent avec une réelle anxiété les turpitudes de l’entrepreneuriat soumis aux périodes de confinement à répétition.

Profitant de la soirée de présentation de sa politique d’investissement à l’aune de 2021, le premier bailleur social de l’Yonne leur a donné du baume au cœur. Et une mirifique manière de garnir leurs carnets de commandes, quelque peu en berne depuis plusieurs mois pour certaines de ces entreprises.

Excusez du peu mais DOMANYS va tout de même injecter l’équivalent de 26 millions d’euros l’année prochaine dans les travaux de construction, de réhabilitation et de démolition de logements sur son secteur de prédilection. Une excellente nouvelle qui devait mettre en pamoison le président de la structure lors de sa prise de parole introductive : Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne.

Ce dernier fera part dans sa brève allocution de son immense fierté et de sa joie de contribuer au bien-être de cette économie territoriale qui en a tant besoin en pareille période de disette imposée par le volet sanitaire. Car, devait-il le rappeler en substance, 79% de ce programme d’investissement 2021 reviendront au plan financier du fait de leur sollicitation sur appel d’offres aux TPE et PME de l’Yonne. Une vraie bouffée d’oxygène pour sortir de l’ornière actuelle !

Après la visualisation d’une courte vidéo sur l’antériorité de l’organisme (on ne peut décemment pas résumer soixante-dix années d’existence sur un clip de trois minutes !), la directrice de DOMANYS Karine LASCOLS d’un pas alerte rejoindra le pupitre de l’amphithéâtre du 89 afin de détailler les grandes lignes de sa politique managériale et stratégique, à la fois sur le bilan 2020 et en se projetant vers l’avenir.

Les slides se succédaient à volonté sur la chaîne You Tube du bailleur social. De précieux auxiliaires visuels pour bien mémoriser les chiffres essentiels qui caractérisent une entreprise forte de 180 collaborateurs au service des habitants de l’Yonne.

 

 

Une bonne santé financière malgré le contexte difficile sur le marché HLM…

 

Dans les faits, le principal bailleur du département gère 9 000 logements pour l’accueil de 18 000 locataires qui sont ainsi répartis dans l’une des habitations implantées dans près de deux cents communes de l’Yonne. 32 % d’entre eux intègrent la catégorie des seniors.

Le cinquième pourvoyeur de la commande publique icaunais (168 marchés en 2019) a consacré une enveloppe financière de 23,5 millions d’euros l’an passé à la réhabilitation et l’édification des logements sur son secteur. La crise sanitaire, on le constate, n’aura donc pas eu d’impact tangible sur la volonté de la structure à aller plus en avant pour servir au mieux les intérêts des locataires. Le budget 2020 étant à la hausse !

Humaine, pratico-pratique, l’entité DOMANYS a pris de soin de régler rubis sur ongle et dans des délais de grande réactivité à trente jours ses fournisseurs et prestataires via les dix mille factures traitées cette saison !

 

 

Même si le contexte économique n’est pas aussi idyllique que cela dans la sphère HLM avec la réduction du loyer solidarité (soit une fourchette de moins-value oscillant entre 1,6 et 2,6 millions d’euros cette année), grevant de 7,3 % le chiffre d’affaires global de la structure.

Il n’empêche que la santé financière reste d’actualité pour l’un des quatre représentants de la société de coordination IDELIANS. Un état des lieux positif qui aura permis de maintenir cette année ce programme d’investissement aussi prometteur pour 2021.

 

 

Un plan stratégique de patrimoine adopté le 17 décembre 2019

 

La stratégie de développement de DOMANYS repose sur un PSP, plan stratégique de patrimoine. Il en définit la ligne directrice avec 36 % de production nouvelle et 64 % de préservation de l’existant. Soit l’exercice en cours, 1 733 logements à réhabiliter, 495 nouveaux logements à construire, 244 logements trop vétustes à démolir et la vente de 344 logements à des néo-propriétaires.

Ainsi, parmi les principaux projets à biffer sur les tablettes, citons au niveau des acquisitions une résidence sociale de trente logements à Auxerre à horizon du premier semestre 2022, des réalisations équivalentes à Charbuy et à Saint-Moré, l’acquisition de trois logements à Sens et de huit logements à Migennes. Soit un total de 54 logements pour un équivalent de 5,4 millions d’euros de travaux.

Côté réhabilitation (celle-ci se rapporte le plus souvent à l’établissement d’études, de diagnostics, de concertations avec les habitants, de programmes de travaux avec pour objectif la maîtrise de la facture énergétique), des consultations sont en cours à Saint-Julien-du-Sault pour 56 logements (budget de 2,5 millions d’euros avec ATRIA), à Joigny pour 124 habitations et un équivalent de 4,4 millions d’euros avec les équipes de la Ville, à Cheny pour 42 logements avec un enjeu financier de 2,1 millions d’euros avec ATRIA, à Avallon pour quarante logements avec 2 millions d’euros de travaux.

Mais, aussi à Sens 26 logements (780 000 euros), Monéteau (cent logements pour 4 millions d’euros) ou encore Vallan avec cinq logements pour 125 000 euros de budget. Soit un total de 393 logements pour 16 millions de travaux.

Reste le chapitre de la démolition : il concerne la destruction de logements implantés à Champignelles (24 logements pour 350 000 euros), Cheny (39 logements), Migennes, Druyes-les-Belles-Fontaines, Saint-Florentin et Thorigny-sur-Oreuse où il est question pour ces trois derniers exemples de supprimer une unique habitation. Au total seront concernés 79 logements pour un coût d’1,6 million d’euros.

Avis aux artisans du secteur bâtiment : la consultation des marchés publics est accessible sur la référence de Territoires numériques https://marches.ternum-bfc/

Thierry BRET

 

 


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Premier constructeur automobile à s’engager en faveur de l’Accord de Paris, Volkswagen vise à devenir climatiquement neutre d’ici à 2050. Le groupe a l’intention de lancer environ 70 modèles 100 % électriques au cours des dix prochaines années. Une vingtaine de ces modèles sont déjà en production et cinquante autres devraient suivre. Pas moins de soixante modèles hybrides sont également prévus d’ici à 2030 dont plus de la moitié sont déjà en production.

PARIS : Le groupe Volkswagen accélère sa transformation pour devenir une entreprise de mobilité digitale. Comme il en a été décidé lors du Cycle de Planification 69 (Planning Round 69), le constructeur va consacrer environ 73 milliards d’euros à l’électrification, aux motorisations hybrides et à la technologie digitale au cours de ces cinq prochaines années. L’annonce a été faite à l’issue de la réunion du Conseil de Surveillance il y a quelques jours.

Les investissements en immobilisations et en recherche & développement destinés aux technologies d’avenir représenteront 50 % du total des investissements du groupe (150 milliards d’euros) contre 40 % auparavant.

Les investissements dans la transformation numérique doubleront pour atteindre 27 milliards d’euros d’ici à 2025, reflétant ainsi la volonté de l’entreprise d’Outre-Rhin de renforcer ses capacités logicielles. Environ 35 milliards d’euros seront consacrés aux véhicules électriques. Et près de 11 milliards d’euros supplémentaires iront au développement de versions hybrides des modèles existants.

Le Cycle de Planification s’appuie sur une croissance modérée de l’économie mondiale au cours des cinq prochaines années. Une croissance assortie de différences régionales est également prévue dans les différents marchés.

La hausse de 30 % de la productivité et les économies réalisées au niveau administratif permettront de garantir l’aspect financier de la transformation. Le groupe travaille aussi méthodiquement à l’optimisation de son portefeuille de produits.

 

Une enveloppe de 27 milliards d’euros pour la transformation digitale

 

C’est ainsi que les variantes de modèles, les combinaisons moteur-transmission et les fonctions qui sont moins demandées seront progressivement éliminées afin de réduire la complexité et d’améliorer l’efficacité du portefeuille. La planification exclut les joint-ventures chinoises qui ne font pas partie du groupe consolidé et qui financent leurs investissements (usines et produits) à partir de leurs propres ressources.

Compte tenu du rôle crucial que les logiciels joueront dans la réussite future de Volkswagen, les dépenses d’investissement consacrées à la transformation digitale atteindront 27 milliards d’euros, soit le double du montant prévu dans le Cycle de Planification précédent.

 

 

Ce montant inclut les dépenses consacrées à la division « Car.Software », qui a été lancée avec succès en début d’année. L’objectif est de créer une série de logiciels exclusifs qui seront déployés dans le projet Artémis d’Audi à compter de 2024.

La part de l’entreprise consacrée aux logiciels passera de 10 % à 60 %. Une large partie des fonds destinés à la transformation numérique seront, en outre, investis dans les domaines cruciaux que sont l’intelligence artificielle, la conduite autonome et la numérisation des principaux processus opérationnels.

 

Une réorganisation de la production en Allemagne et en Tchéquie…

 

À Salzgitter, Volkswagen va investir environ un milliard d’euros dans la technologie des batteries, un secteur essentiel. En coopération avec son partenaire de joint-venture suédois NORTHVOLT, le groupe va construire une unité de production de cellules qui sera mise en exploitation en 2024 et améliorera la compétitivité de l’Allemagne en tant que bastion industriel.

Un nouveau modèle s’ajoutera à son portefeuille : un nouveau SUV ciblant le marché européen qui sortira de la ligne de production à compter de 2024. Le site produit déjà toute la famille Golf et ses dérivés, le Volkswagen Tiguan et le SEAT Tarraco.

À l’avenir, Volkswagen Véhicules Utilitaires produira l’ID. BUZZ1 100% électrique sur son site de Hanovre, parallèlement à trois modèles SUV 100 % électriques pour d’autres marques du groupe. Le site de Hanovre accélère ainsi la transformation vers la mobilité électrique qui a déjà débuté.
La transformation progresse également à l’usine Volkswagen d’Emden. Les travaux de construction en vue de la transition vers la mobilité électrique sont en cours et le deuxième modèle électrique destiné au site a maintenant été défini.

Outre l’ID.4, le modèle Volkswagen Aero, quatre portes, 100 % électrique devrait y être produit à compter de 2023.

Dans le même temps, la Passat, qui est actuellement assemblée à Emden, sera produite à Bratislava en Slovaquie à compter de 2023 (avec la famille ŠKODA SUPERB) ; ce qui permettra d’exploiter des synergies au sein de la famille de véhicules.

Le déménagement de la production de la SUPERB qui quittera l’usine tchèque de Kvasiny pour rejoindre Bratislava donnera à ŠKODA la capacité nécessaire pour mener à bien son plan de croissance en République tchèque.

 


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