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Sortir des prisons et des bagnes que l’on construit autour de soi, tel est le propos. On pourrait aussi appeler cela une méthode de résolution de problèmes ! Pompeux et prétentieux, dites-vous ? Peut-être… Alors disons que c’est un moyen pour enlever  nos œillères…

 

TRIBUNE (partie une) : Et pour débuter cette chronique, commençons par un petit exercice !

 

 

Reliez ces neuf points en quatre droites maximum, sans lever le crayon !      Mais, il existe aussi une solution avec trois traits seulement…

 

 

 

 

Deuxième proposition : encore plus fort avec seulement trois traits !

 

 

 

 

………… : un seul trait pour relier les neuf points déplacés !

 

 

L’unique difficulté résulte du fait que l’on s’enferme dans le carré imaginaire délimité par les neuf points. On dit juste neuf points et non neuf points qui délimitent un carré. Pour réussir ce test, il faut sortir du cadre que certains ont inventé. Le cadre ne fait pas partie du problème posé !

Si nous prenons en compte les solutions proposées, la liberté prend sa source dans la créativité. Elle  s’exprime par l’utilisation d’un maximum de ressources, en sortant en permanence d’un cadre qui ne représentait que la contrainte, que nous nous étions inconsciemment imposée.

Elle ne constitue en rien un assujettissement à la problématique réelle. On édifie trop souvent nos bagnes et nos prisons ! De facto, c’est prendre les problèmes et la vie aussi simplement qu’ils se présentent.

Il convient de remettre en question, en permanence, ses croyances, ses dogmes, s’ouvrir à toutes les sources possibles : être inventif, créatif, productif, ingénieux, fertile…

Par exemple, on cherche des réponses à une crise économique découlant de la crise sanitaire. Dans la foulée, on s’enferme dans des solutions connues depuis plus d’un siècle et que l’on sait inopérantes aujourd’hui !

On s’emprisonne dans le passé et dans un système de pensées très limité. On peut aussi se dire que la crise sanitaire est la conséquence de nos crises économiques et de nos modes de productions. Trouver des solutions en imaginant le futur.  Les clefs proposées seront plus innovantes et différentes !  On a coutume à dire que la moitié des solutions se trouvent dans le problème bien posé ! Et Einstein de conclure : « Un problème sans solution est un problème mal posé. ».

 

Nous sommes prisonniers de notre étroitesse d’esprit…

 

Ce petit test nous montre combien nous sommes les prisonniers, volontaires ou non, d’une étroitesse d’esprit. Cette même étroitesse qui nous conduit vers des aprioris, des intégrismes idéologiques de tout poil : religieux, politiques ou philosophiques. Finalement, les neuf points nous entraînent vers le rêve et la libre pensée…

Quelles applications aujourd’hui ? Un vaccin contre la COVID-19 : c’est en bonne voie !

Le plus préoccupant reste dans les aspects économiques et sociaux actuels. Comment sortir du terrorisme et de l’insécurité prégnante dans nos villes et nos banlieues, sans pour autant céder à la tentation du tout répressif ou de l’amalgame « religion musulmane » et « intégrisme musulman politique ».

Dans ce cas, les réactions purement émotionnelles, populistes et démagogiques sont vouées à l’échec. Elles nous laissent très loin de l’une des devises de la France, gravée sur le fronton des édifices publics : la « FRATERNITE ».

La liberté est mise à mal par les décisions gouvernementales et aliénées par les extrémistes de tout bord, l’égalité devient de plus en plus illusoire face à la croissance exponentielle des plus riches et devant l’impossibilité de nos dirigeants d’assurer l’équité ! Alors que reste-t-il ? La fraternité !

Cette fraternité qui unit les hommes quel que soit la couleur de leur peau, leurs convictions religieuses, leurs préférences sexuelles, leurs engagements politiques.

Un aspect important de la crise économique consécutive à la crise sanitaire, focalise l’attention de tous : les commerces « non indispensables » des centres villes !

Au-delà des manifestations et des appels à la révolte, voire des élus qui forcent l’interdiction à coups « d’arrêtés municipaux » aussitôt annulés par le Tribunal administratif sur demande d’un préfet. Petite précision au passage, le préfet n’a pas le pouvoir d’annuler, seul, les arrêtés municipaux.

Bon, toutes et tous à nos copies : Etat, communes, Chambres de Commerces et d’Industrie, Chambres des Métiers et de l’Artisanat, étudiants, commerçants, artisans, agriculteurs, syndicats professionnels, associations spécialisées, amateurs motivés et même les clients…

 

 

Se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain…

 

 

La résolution de ce problème est non seulement vitale mais urgente, compte tenu de la succession de crises sanitaires qui risquent, hélas, de polluer notre environnement et nos économies.

Il faut envisager des solutions pour contrer également une concurrence, incontournable, celle des GAFA ! A nos stylos et nos blocs de papier ? Peut-être pas, ne nous enfermons pas immédiatement dans une contrainte qui n’est pas dans la donne de départ.

« Si on vous traite d’amateur, dites que ce sont des amateurs qui ont construit l’Arche de Noé et des professionnels le Titanic. La suite, on la connaît, alors croyez en vous… a précisé Morgan Freeman.

Il est nécessaire de se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain, pur de toute contrainte afin d’aborder la recherche des solutions sans a priori. La seule « contrainte imaginable » est celle de mettre en valeur et en exergue la fraternité qui doit circuler entre tous les protagonistes décelés.

La fraternité change tout. La justice sans fraternité rend impitoyable ; la vérité sans fraternité rend critique ; le savoir sans fraternité rend présomptueux ; la responsabilité sans fraternité rend autoritaire ; l’intelligence sans fraternité rend calculateur ; la mémoire sans fraternité rend rancunier ; la gentillesse sans fraternité rend hypocrite ; l’honneur sans fraternité rend orgueilleux ; la richesse sans fraternité rend avare ; le don sans fraternité rend amer. Quant à la foi sans fraternité, elle rend fanatique…

Jean-Paul ALLOU

 


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Les vérités de La Palice n’auraient pas trouvé mieux. Pour qu’il y ait un accroissement de la sensibilisation des automobilistes français au véhicule électrique, il serait nécessaire de disposer au détour d’une route, d’un parking de centre commercial ou d’une place de village davantage de points de recharge. Si tel était le cas à présent, ce serait quatre de nos concitoyens sur dix qui opteraient volontiers pour l’achat de ces modèles…

PARIS : On le sait, l’objectif du gouvernement sur ce volet capital de la transition énergétique est de pouvoir disposer de 100 000 points de recharge au terme de l’année 2021.

Un maillage ambitieux qui permettrait de conforter l’orientation stratégique en faveur de l’essor consumériste des automobiles électriques.

Aujourd’hui, l’Hexagone se situe à la troisième position européenne du nombre de bornes installées dans son paysage. Près de 30 000 unités.

Une présence intéressante, certes, mais qui est encore loin, somme toute, de l’Allemagne qui, pour une fois avec ses 41 461 recharges (chiffres communiqués par AVERE-France) se classe à la seconde place. Ce sont les Pays-Bas qui caracolent en tête de ce classement avec plus de 58 000 unités.

L’accélération de la pose de ces structures est indispensable au rayonnement du véhicule électrique.

Entre 2019 et 2020, leur part de marché a évolué de 1,6 à 6,1 %. On est encore très loin des réelles potentialités offertes par ces modèles dont 70 % de nos compatriotes seraient friands à condition qu’il y ait plus de bornes de recharge ! Bref, c’est le serpent qui se mord la queue !

 

 

75 % des Français disent ne pas trouver de bornes sur les longs trajets…

 

 

Du côté des constructeurs, 41 % aimeraient que ces bornes soient davantage présentes dans le cœur des villes où il est vrai, elles brillent le plus souvent par leur absence.

Bon nombre de stations-services n’en possèdent toujours pas. Quant aux professionnels de la grande distribution, ils commencent à s’y intéresser en leur dédiant un espace sur l’un de leur parking.  

Dans un marché atone qui a connu une dégringolade de près de 27 % au niveau des ventes cette année, contexte sanitaire oblige, les véhicules électriques symbolisent ce renouveau tant attendu par les concessionnaires.

A la seule condition que très vite fleurissent de nouveaux appareils de recharge. 75 % des automobilistes français se plaignent de ne pas trouver ces précieux points de ravitaillement en électricité lorsqu’ils empruntent un parcours relativement long.

Il n’y a donc plus de temps à perdre pour la gouvernance qui veut changer le paradigme de la mobilité en France…

 


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Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…

VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.

A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.

 

Un établissement fonctionnel depuis 1975…

 

Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.

Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.

Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.

De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.

 

  

 

Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…

 

 

Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.

Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.

D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).

Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.

S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.

 

 

Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…

 

Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.

L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.

Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.  

Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.

 

En savoir plus :

 

Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :

CFA Agricole de l'Yonne

La Brosse

89290 Venoy

03.86.45.15.23.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Dans le jargon de l’entraide, on appelle cela une maraude. Un terme dont la sémantique usuelle se rapporte d’ordinaire au monde de la nuit et aux taxis à la recherche de clients noctambules. Dans le cas présent, les « clients » de l’antenne icaunaise de ce groupe de « bikers » altruistes et généreux se composent des laissés pour compte de l’existence. Celles et ceux qui subissent au quotidien les affres cruelles d’une société dont ils sont exclus…

AUXERRE : La prochaine opération se déroulera ce mercredi 25 novembre à la tombée de la nuit. Place Surrugue, à partir de 18h30. Une maraude. Un moment privilégié pour celles et ceux qui font encore preuve d’empathie et d’altruisme en ce bas monde envers les autres. Celles et ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur corps et surtout dans leur âme.

A raison de plusieurs rendez-vous mensuels, l’antenne icaunaise des « UNITED RIDERS » organise ce type d’actions salvatrices au contact des nécessiteux et autres défavorisés de la vie. Histoire de leur apporter un zeste de réconfort et de réchauffer leur terne quotidien…

Des opérations menées sur le terrain qui ne se cantonnent pas à la seule capitale de l’Yonne aujourd’hui. Tant les besoins sont gigantesques avec les conséquences funestes de la crise sanitaire. Tant cette précarité que beaucoup ne voulaient voir éclate aux yeux de tous au détour d’une rue, sur le banc d’un square ou à proximité d’un commerce.

 

 

Plus d’une vingtaine de structures officialisées en France…

 

Organisation non gouvernementale composée d’aficionados de grosses cylindrées, évoquant le monde des « bikers » et leur philosophie, l’association a pour vocation de travailler avec les missions humanitaires et l’ONU, pour venir en aide aux plus démunis sur le globe. Y compris dans l’Hexagone. Où, une vingtaine de structures se sont développées depuis une trentaine d’années sous la forme associative pour accomplir leur mission caritative.

Offrant des vêtements, des produits d’hygiène, des sous-vêtements, et même des croquettes pour les compagnons à quatre pattes de ces malheureux en totale déshérence, les bénévoles d’UNITED RIDERS multiplient à rythme soutenu ces maraudes porteuses d’une faible lueur d’espoir.

Or, le constat de ces humanistes si généreux a de plus en plus le goût de l’amertume. Les pauvres, les exclus de la société, les oubliés du microcosme économique, les invisibles de notre monde voient leurs rangs s’épaissir à vue d’œil à chacun de leurs passages. Hélas, ce ne sont pas les plans sociaux qui se profilent à l’horizon 2021 qui feront changer la donne…

 

 

La recherche d’un local pour entreposer les dons…

 

Au-delà du traditionnel appel aux dons et à la générosité de tous envers cette population qui ne cesse de s’accroître, il est indispensable aujourd’hui pour la structure associative de pouvoir se doter enfin d’un point de chute physique.

Un vrai local dans l’Yonne qui lui permettrait de stocker dans des conditions optimales le fruit de ces nombreuses distributions mensuelles. Des vêtements, du mobilier, et tout ce qui peut apporter un brin de lumière et un peu de vie à ces ombres de l’oubli qui rasent les murs. Il y a péril en la matière à résoudre cette équation tant l’urgence est devenue la priorité de ces « bikers » pétris de bonne volonté. Et pavés des intentions les plus louables…

 

Thierry BRET

 

 


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Gustative et sonore, la restitution prévue en comité restreint ce jeudi 26 novembre n’en sera que plus appétissante. Voire surprenante ! Réalisée au lycée des métiers auxerrois, la performance de l’artiste est le fruit d’une réflexion mûrement aboutie en étroite osmose avec les enseignants et leurs élèves. De là sont nées de nouvelles recettes étonnantes où la terre nourricière reprend tous ses droits…

AUXERRE: Quel dommage ! Le restaurant d’application demeurant toujours portes closes, le public ne profitera pas de ce retour d’expérience particulièrement enrichissant.

D’autant que la notion de terre nourricière reprendra ici tout son sens lors de cette performance unique que livrera pour une poignée de privilégiés (la faute au coronavirus) l’artiste Karine BONNEVAL.

En résidence depuis plusieurs mois dans cet antre pédagogique où le savoir-faire culinaire est dispensé aux jeunes apprenants, l’artiste soutenue dans sa phase de coordination par l’association Hors ­­­[ ] Cadre et la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) de Bourgogne Franche-Comté a pu mener à terme son projet initial malgré les vicissitudes inhérentes à la COVID-19. Elle a accompli ce prodige expérimental novateur avec le concours des élèves de première PRO 2, de terminale PRO 2 et de terminale SPVL.

 

Un travail collaboratif réalisé avec les enseignants et leurs élèves…

 

C’est donc le résultat de plusieurs mois de labeur, un travail de créativité et d’imaginaire fertile, composé de sculptures aux formes organiques et végétales d’où émergent des sons de différents sols enregistrés par l’artiste qui sera dévoilé ce jeudi 26 novembre dès midi dans le restaurant du lycée.

Une subtile restitution qui ne manquera pas de faire la part belle à un paysage comestible insolite qui comprend des matières, des textures et des couleurs qui évoquent la terre. Cette substance organique dont il est nécessaire de valoriser et de protéger coûte que coûte.

Baptisée « Manger et écouter la terre », cette œuvre inédite aura vu le jour grâce à la précieuse collaboration de quatre enseignants qui se sont prêtés corps et âmes dans cette expérience très riche au plan émotionnel : Nathalie EATON, Sabrina LEPROUST, Clément VOISIN et Frédéric BENUCCI.

Quant aux élèves et enseignants de la filière sanitaire et sociale de l’établissement auxerrois, ils n’ont pas été oubliés de cette aventure artistique si particulière.

Leur implication s’est traduite par la préparation de la future animation de ce jeudi puisqu’un quizz concocté autour des connaissances sur la terre y sera présenté à l’issue de ce repas pour le moins curieux où les convives se sustenteront entre autres de meringues noires. Précisons que ces jeunes gens ont aussi assuré le graphisme des menus…

 


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