Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Mais jusqu’où peut mener réellement la passion ? A soulever des montagnes même les plus élevées vers le ciel pour se faire violence afin d’aboutir coûte que coûte à un projet ? A vivre avec enthousiasme quelque chose d’extraordinaire pourtant aux antipodes de votre existence ? A se faire plaisir et à prendre conscience de ses véritables potentialités ? C’est un peu tout cela qui vient d’animer le parcours de vie de l’apprenti écrivain Guillaume GARNIER, auteur d’un ouvrage consacré à Djibril CISSE et à ses maillots !

 

AUXERRE: Publier un livre sur l’un des héros footballistiques de sa prime jeunesse, il n’en revient toujours pas, le Dijonnais Guillaume GARNIER ! Et pourtant, ce spécialiste de la vente de cuisines dans le monde profane vient de se révéler en pleine lumière en qualité d’artisan scriptural.

Un exercice qu’il a pu mener avec la complicité de celui qui lui a mis la puce à l’oreille dans la réalisation de ce projet, son ami Emeric FOSSE, grand amateur de prises de vues sportives. Ses clichés illustrent abondamment l’opus.

« Moi, je ne suis pas un littéraire, précise-t-il avec un zeste d’humour, ma formation pédagogique c’est plutôt de posséder une maîtrise en biochimie ! ».

 

 

Un collectionneur de maillots portés à la base…

 

Oui, mais le résultat est là ! Il se duplique d’ailleurs en 250 exemplaires, les premiers d’une peut-être longue série si le bouquin trouve son public et rencontre le succès.

La genèse du projet remonte à novembre 2020. En pleine crise sanitaire et la énième période de confinement. Lassé de ces épisodes négatifs à répétition, Guillaume GARNIER prend la décision à 45 ans (un tout jeune senior selon les codes rigoristes de l’INSEE !) de faire quelque chose d’utile pour s’occuper l’esprit.

Et pourquoi ne pas narrer les aventures de l’un de ces sportifs préférés, Djibril CISSE, issu de l’un de ses clubs de prédilection (l’AJ Auxerre car le garçon est un pur natif de l’Yonne) dans un bouquin ?

La question, il se la pose nécessairement. D’autant que Guillaume est un collectionneur à la base de maillots portés par les joueurs. En l’occurrence ceux de l’ancien international !

En deux coups de cuiller à pot, l’idée germe dans sa tête avant de faire son petit bonhomme de chemin. Il en parle avec son camarade Emeric : cela tombe à pic ! Ce dernier a de quoi garnir de manière iconographique le futur ouvrage avec un panel de clichés.

Les maillots de Djibril CISSE que les supporters de cœur de l’AJA n’ont jamais oubliés deviennent ainsi le prétexte de ce livre original, et racontent l’histoire de celui qui les a honorés.

De Liverpool à l’Olympique de Marseille, de l’AJ Auxerre à l’équipe de France : ce panorama textile nous apprend à l’aide d’anecdotes et de commentaires avisés tous les aspects sportifs liés à ces vestiges vestimentaires de ce prince du football.

Durant tout ce temps, Guillaume GARNIER s’immerge dans le fruit de sa passion. Il s’équipe de logiciels pour traiter et travailler les visuels en les fignolant, s’improvisant au passage graphiste et maquettiste.

Son rêve qui prend forme petit à petit le pousse à faire enregistrer son livre auprès des services de la Bibliothèque nationale. Puis de mener à bien ses tractations avec l’imprimeur. De contacter également la presse qui trouve une source d’inspiration sympathique à ce projet né de nulle part mais bel et bien abouti !

Peut-on le soupçonner d’avoir entrepris cette démarche pour l’appât du gain ? Que nenni ! Rétorque-t-il de sa bonne foi (et on en peut que le croire). Même si le prix de vente est de 15 euros. Mais, comme le dit l’adage : tout travail (et celui-ci est respectueux) mérite salaire !

 

 

Son désir le plus fou : croiser Guy ROUX et sa source d’inspiration, Djibril CISSE !

 

Pour ce vivre les yeux grands ouverts ce rêve de gosse, Guillaume va jusqu’à sacrifier sa belle collection de chasubles sportives à des aficionados de Djibril CISSE histoire d’avancer les frais !

« Ce projet m’a aidé à progresser, explique-t-il, à mieux me cerner ! A multiplier aussi les contacts et les rencontres auprès de collectionneurs, de professionnels. De découvrir un autre univers parallèle à mon existence… ».

Une sorte de thérapie introspective où le plaisir reste le maître mot en vérité !

A 45 ans, le lointain parent d’Emile MARTIN, l’une des figures emblématiques de l’AJ Auxerre, est donc allé droit au but dans sa quête de l’absolue comme on dit sur la Canebière ! En endossant le rôle d’un écrivain et en le faisant savoir autour de lui, fier du travail accompli.  

L’auteur du livre sera en séances de dédicaces au Bar de la Gare à Auxerre le samedi 06 novembre de 10 h à 12 heures. Puis à l’Espace culturel du Centre E.LECLERC de 17h30 à 19 heures. Ses livres seront en vente également chez CULTURA.

La boucle sera ainsi bouclée pour cet iconoclaste de l’écriture. Il ne désire plus qu’une seule et unique chose à vivre lors de ces deux rendez-vous face au public : croiser sur son chemin un certain Guy ROUX et pourquoi pas Djibril CISSE en personne…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pendant trois jours, six spectacles de très belle facture vont se relayer dans l’antre de la péniche cabaret la plus célèbre de Bourgogne ! Le festival d’humour « Rire à flots » offre sa seconde édition pour les adeptes du genre. Une manifestation à l’initiative de la « reine » Mathilde PELEN, qui n’a pas son pareil pour concocter une programmation riche et diversifiée. Avec des artistes bourrés de talents…

 

AUXERRE Dès jeudi soir soirée d’ouverture


19h30 - STAND UP d’Amandine LOURDEL : sans concession pour notre société, la plume mordante d'Amandine porte un regard innovant sur les choses de la vie.

20h30 – Match d’improvisation entre humoristes présents sur le Festival
et deux artistes bien connus du Cercle du Mieux-être, le tout animé par Yves JAVAULT.

Une belle soirée en perspective pour seulement 10 € !

Dès le vendredi, retrouvez les artistes sélectionnés au festival d’Avignon off

Vendredi 18h30 et dimanche 19h30

KOSTIA : « Ca ne s'est pas passé comme ça ! »

KOSTIA rêvait que sa vie soit un conte de fées, genre tout est bien qui finit bien. Mais cela ne s’est pas du tout passé comme ça ! Contraint de jouer les équilibristes, jonglant entre ses filles, sa mère, sa psy, sa balance et son ex-femme, il nous embarque dans son quotidien, ses péripéties et ses mésaventures, sa vie d’homme et de papa moderne. Dans ce spectacle déjanté, il pose un œil subtil et décalé sur le monde qui l’entoure et nous fait découvrir son univers bien à lui. Énergique, drôle, touchant et assurément un peu fou. Il n’est clairement pas seul dans sa tête mais c’est promis, tout le monde aura son mot à dire. `

 

Vendredi 20H30 et samedi 22h15

REDA SEDDIKI : « Ironie de l'Histoire ».

Une blague peut faire rire comme elle peut faire pleurer. Ironie de l'histoire, j'aime quand elle fait pleurer de rire...

Avec élégance et fausse nonchalance, Réda SEDDIKI vous fait rire sur ce qui vous fait mal, c'est-à-dire de vos propres contradictions, vos préjugés, vos comportements pas toujours, pas assez humanistes.
L’artiste crée un territoire d'expression empreint de non-sens et d'absurdité pour donner naissance à la drôlerie d'un monde tantôt à l'envers, tantôt à l'endroit. Le saviez-vous? Réda SEDDEKI a remporté le Prix Raymond Devos.

 

Vendredi 22h15 et samedi 18h30

Madame MEUF : « Politiquement Incorrecte ! ». 

Madame Meuf a passé quinze au Sénat en tant qu'assistante parlementaire. Elle nous propose un voyage en immersion dans l'univers merveilleux de nos dirigeants politiques.

« Je faisais le métier de Pénélope Fillon. Sauf que moi j’y allais, j’étais moins bien payée et je ne me tapais pas le mec. Ce qui, pour le coup est plutôt une bonne nouvelle pour moi puisqu’autant lui, il lui aurait certainement fallu du Viagra, moi j’aurais carrément eu besoin
de GHB. ».

De la politique par le petit bout de la lorgnette, mais aussi la vision franche d'une femme qui assume son gauchisme ambivalent, son éducation bourgeoise, ses petits arrangements dus à l’ennui au travail et son envie de vivre.
De la politique vue de l'intérieur par une femme, donc par une « petite main » (équivalent féminin de « bras droit » pour un homme…). Entre autodérision, cynisme et parler-vrai !

Ça donne un spectacle qui dénonce la déconnexion de certains élus et les absurdités du système. Et bien sûr un spectacle qui parle alcoolisme, « j’m’en foutisme », sexisme, harcèlement sexuel et névroses en tous genres !
« Cru, cul et cruel. Et atrocement drôle » selon Paris Match.

 

 

Samedi 16h30 et dimanche 15h30

Juliette GALOISY : « Drôle d'Histoire ».

Pourquoi sort-on de telles énormités ? L'alcool ? Ce n'est pas tout. « Chaque année, l'ignorance galopante fait des milliers de victimes en France et notre pays ne peut plus se permettre de négliger son passé » nous rappelle le ministre de la Culture. Un permis à points d'histoire est désormais institué. Vous venez de perdre les vôtres ?

Par chance, la pétillante Christine BERTHIER, votre coach, est là pour vous permettre de les regagner. Passant de Christophe Colomb à Ryan Gosling ou de Jules César à sa grand-mère, cette passionnée d'histoire vous surprendra à plus d'un titre. Tel Merlin avec Arthur, elle se promène à travers les âges, nourrissant ses propos d’anecdotes plus farfelues les unes que les autres pour qu’enfin l’humanité soit reconnaissante et respectueuse face à la fabuleuse aventure qu’est l’histoire des hommes. Avec elle, « on n'apprend pas en s'amusant » mais « on s'amuse en apprenant ». Vous sortirez de ce spectacle échevelés, bousculés mais heureux d'avoir autant ri à ces anecdotes croustillantes et à sa gouaille pittoresque.

 

Samedi 20h30 et dimanche 17h30

Michael LOUCHART : « Heureux »

L’humoriste nous offre une histoire universelle d’amour et d’amitié.
Michel fête ses quarante ans et se fait larguer par sa femme. C’est le moment de faire le point sur sa vie. Francis, son pire ami, décide de l’aider dans sa quête de sens par tous les moyens : saut à l’élastique, psy morbide, avocat cocaïnomane, soirée déguisée…

Un seul en scène qui rend heureux, un comédien et douze personnages ! Un seul en scène dans lequel les spectateurs s’attachent et s’identifient à la vulnérabilité des personnages et à l’histoire à la fois drôle et sensible. Il ressort joyeux et touché par ce joli moment d’humanité…

 

Dimanche à 11H, un spectacle pour les enfants

« Un Accord Parfait » est un spectacle musical, théâtral, hilarant, et toujours instructif !

Un plombier et un professeur de musique se sont accordés pour nous offrir un concert....La suite est à découvrir.

 

Dimanche 21h30

GUIGUE & PLO : « Ceci n'est pas une saucisse »

Dans le contexte post-COVID, Guigue, directeur de théâtre, héberge Plo, comédien désoeuvré qui n'a plus que la scène comme endroit pour dormir.
Guigue, désabusé, cherche à transformer ce lieu en une chambre froide géante, et pousse donc Plo vers la sortie.

Ce dernier est hanté par une spirale de rêves étranges qui s'enchaînent et l'épouvantent. Chaque rêve de Plo redonne vie et sens au lieu théâtre et Guigue se trouve bientôt réenchanté à son tour par contamination...
« C’est un retour en fanfare : après deux ans d'absence, privés des planches, Guigue & Plo reviennent comme une évidence. Un texte ciselé porté par deux caractères qui se sont ajustés, et vous embarquent dans leurs folies, directement, totalement. Une mise en scène travaillée pour un duo qui réussit son pari : se réécrire, se réinventer, se retrouver… ».

C'est pour vivre ce genre de moment que nous sommes si heureux de la réouverture des salles ! Un grand moment de rire, d'absurde et de folie, alors foncez-y !

Nous y serons !

 

Maryline GANDON

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Tout le monde veut écrire, c’est sans doute une bonne chose. Mais, nous sommes de moins en moins nombreux à lire des livres. Les librairies diminuent à cause des tablettes. La concurrence des ventes par correspondance s’est accélérée avec la pandémie. L’e-book progresse : en 2019, le livre numérique intéressait 5 % des Français avec 2,3 millions d’exemplaires vendus contre 29 millions de livres papier. Les maisons d’édition souffrent : librairies temporairement fermées, séances de dédicaces en berne et pas d’aide particulière de l’Etat…

 

TRIBUNE : Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir raconter notre histoire (conséquences d’une société narcissique ?). Pour ceux qui souhaitent faire appel à un « porte-plume », donc utiliser une main d’œuvre extérieure, il faut compter sur un budget de 60 euros de l’heure ou en moyenne sur une somme de 3 000 euros. La volonté de transmettre l’histoire familiale n’intéressera que la famille des personnes concernées…Mais pourquoi pas ?

Pour les écrivains en mal d’éditeur, on peut conseiller de cibler, lorsque c’est possible, les spécialités de la société d’édition : policier, histoire, poésie…

Face à la pléthore d’éditeurs possibles, souvent les novices procèdent au hasard en utilisant un moteur de recherches sur Internet. Conforme à la moyenne européenne, la France compte près de 10 000 éditeurs. Dans le trio des plus importantes citons : Gallimard, Flammarion et Milan.

Si la plus ancienne maison d’édition est « Hachette » (1826) pour la France, soulignons que l’une des plus vieilles de la planète, c’est la « Cambridge University Press »  née en 1534 en Angleterre ! Il n’est guère étonnant que Cambridge soit l’une des meilleures universités de la planète !

 

Le parcours du combattant selon les différentes éditions…

 

Il existe trois types d'éditions en France : l'édition à compte d'éditeur est la plus connue et la plus sollicitée. L’éditeur accepte votre manuscrit et prend à sa charge tous les frais. Parfois, il peut même verser une avance avant même d’avoir reçu le manuscrit ! C’est le nirvana pour un auteur…

Publié chez « Michel Lafon », mon ouvrage « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…Moi c’était dans la rue » a pu bénéficier de cette situation avantageuse. Pour la promotion de l’ouvrage trois attachées de presse : une pour le plan média national, une pour le régional et une autre qui partait à la recherche d’un producteur de cinéma ! Résultat après de nombreuses télés, radios nationales, journaux quotidiens, magasines, dédicaces rencontres dans de grandes librairies : plus de 6 000 exemplaires se sont vendus.

Sans médiatisation, les ventes vont être difficiles. Dans ce cas, il faut viser les médias régionaux, journaux, radios locales…

L'autoédition se répand à vitesse grand V. L’auteur s’occupe de tout (impression, diffusion, promotion…). C’est la certitude d’être édité mais les contraintes découragent souvent les velléitaires de l’écriture !

Et enfin, l'édition à compte d'auteur/ Elle est souvent confondue à tort avec la première, pour le plus grand désarroi des jeunes auteurs. L'édition à compte d'auteur consiste pour un auteur, à faire éditer ses ouvrages par un éditeur qui assure seulement la partie technique de l'édition et de la diffusion, en dehors du choix éditorial proprement dit.

C'est donc l'auteur qui paie les frais d'impression et de publicité de son livre. Certains éditeurs proposent de prendre en charge l’impression : on imprime qu’à la demande et de fait, l’auteur ne fait aucune avance. On peut donc aujourd’hui éditer sans bourse déliée. Attention aux éditeurs peu scrupuleux, aux annonces alléchantes « éditer gratuitement votre ouvrage, réponse assurée sous quinze jours ». Retenez que certains éditeurs ne répondent jamais, que d’autres demandent une participation de 800 ou 1 000 euros pour la correction des textes, en arguant du fait que la diffusion est impossible sans la participation d’un correcteur agréé. Argument fallacieux à plus d’un titre : il n’existe pas de correcteurs agréés, pas plus que d’impossibilité de diffusion, si ledit correcteur n’intervient pas. Restez vigilant, si c’est gratuit cela doit l’être jusqu’au bout ! 

 

 

Censure et chausse-trappes à tous les étages…

 

Au cours de ma carrière d’écrivain, j’ai eu le privilège d’éditer deux autobiographies à compte d’éditeur,  un recueil de poésies comme auto éditeur et une dizaine de recueils de poésie à compte d’auteur chez quelques sociétés d’édition.

Lorsque je souhaite une couverture personnalisée, je règle aujourd’hui une centaine d’euros, mais ce n’est pas imposé par mon éditeur. Tous les autres services proposés par l’éditeur, et payants, sont souvent inutiles : référencement sur des sites, invitation dans des « salons du livre ». Les « salons du livre » sont à votre charge (emplacement, hébergement, transport…) et ne concernent que les vedettes locales.

La majorité des auteurs présents ne sont que les faire-valoir des invités vedettes ! Pour la promotion, notons l’intérêt des réseaux sociaux, les contacts directs avec les correspondants de presse des journaux locaux, les radios locales.

Depuis plus de dix ans, Radio Avallon m’a toujours accordé des interviews lors de la publication de mes ouvrages ! Il est important de rédiger un texte de présentation et un CV personnalisé qui montre vos motivations pour sortir le livre. Une dernière précision : très récemment, je me suis vu refusé mon dernier manuscrit par quelques maisons d’éditions.

Mes poèmes constituent des pamphlets tournés contre le pouvoir, les ministres et notre président. Rien de méchant mais une forme de journal traitant nos élus à la manière des « chansonniers » d’hier. Souhaitant quelques précisions j’ai obtenu les précisions suivantes : « impossible d’éditer ce texte, trop engagé », « nous ne voulons pas de problèmes », « cela peut choquer certains de nos auteurs ou de nos lecteurs »…

Cerise sur le gâteau : « Il n’y a plus de liberté d’opinion aujourd’hui » et « allez chez Amazon, ils éditent n’importe qui » ! C’est sans doute cela la gloire du poète, se faire rejeter comme Eric ZEMMOUR et ultime consécration,  le poète embastillé pour propos inconvenants !

Madame « Anastasie », bonjour ! On pourrait dire anesthésie ! Retenons que l’origine grecque d’« Anastasie », c’est « résurrection » : la liberté ne meurt jamais. Pour les plus jeunes d’entre nous, « Anastasie », c’est le nom donné à la censure en France dès 1914 !

Tout le monde peut écrire et se faire publier à peu de frais, mais restons prudents, si la poésie et la dramaturgie font partie des arts majeurs, tout le monde ne pourra pas signer es qualité « artiste ».

La publication à la portée de chacun de nous, c’est sans nul doute une bonne chose offerte par le monde moderne. Attention, il faut beaucoup de travail : écrire, réécrire, corriger au moins cinq ou fois le texte, se faire corriger par un ou plusieurs amis ou membres de la famille.

Mon expérience : je me relis au moins une fois oralement, cela me permet de relever certaines erreurs, et lorsque je trouve que mon travail ne vaut rien et que c’est à vomir, là, j’arrête tout et il est temps d’envoyer le manuscrit à un éditeur ! « Sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ». Georges Brassens.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La sixième édition de la Journée des Restaurateurs et des Commerçants Indépendants a été organisée chez METRO. Plusieurs personnalités dont la députée Michèle CROUZET y participaient. Répondant ainsi à l’invitation de Philippe BULANT, le directeur de l’enseigne, qui proposa un rendez-vous placé sous le signe de la fête des papilles et de l'enchantement…

 

AUXERRE : Ce fut un déjeuner de partenariat servi au restaurant éphémère, installé de toute pièce chez METRO. Et quel déjeuner ! Un vrai menu gastronomique, confectionné par l’un des maîtres étoilés du Michelin dans l’Yonne : Franco BOWANEE.

Le chef du Château de Vault-de-Lugny a su faire rayonner au fond des assiettes des produits de saison, agrémentés à ses recettes culinaires.

« C'était une très belle journée, une très belle initiative », commenta ravie Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription, présente en ce rendez-vous des plus agréables.

METRO et toute son équipe avaient mis en effet les petits plats dans les grands pour faire de cet instant exceptionnel, un moment inoubliable placé sous l'entente chaleureuse, conviviale et constructive.

L’enseigne a honoré les restaurateurs et commerçants de l’Yonne qui ont su se mobiliser durant les périodes difficiles de ces confinements successifs imputables à la crise sanitaire. Ce sont ces mêmes restaurateurs qui se sont démenés, en essayant d'innover, de construire des stratégies économiques pour ne pas perdre courage face aux aléas conjoncturels. Ils ont eu la volonté de continuer à distribuer des repas, sans pour autant rentrer en concurrence avec les producteurs locaux.

 

 

 

De son côté, le directeur de METRO Auxerre, Philippe BULANT, a mis en place une stratégie s’appuyant sur la création d'un marché d'intérêt local en vue de favoriser la présentation et l'essor des produits de saison. Le but étant de redynamiser la filière des producteurs locaux, agriculteurs, céréaliers, maraîchers certifiés bio...

Cette vitrine locale est encouragée par des centres de formation professionnelle à l’instar du CIFA ou de l'IFAG, d’organisations patronales dont le MEDEF, des établissements spécialisés dans la confection de produits alimentaires du cru comme « Le BORVO » ou les « FESTINS » de Bourgogne.

On notait aussi la présence de Géraldine HERQIX, de la gérante de la pizzéria « SHACKNP (La Cabane à pizza) à Vincelles où ses produits sont concoctées avec du fromage de chèvre venant de la chèvrerie  de Saint-Bris-le-Vineux ou des légumes de la Ferme de Saint-Georges.

Acteur économique incontestable au cœur de la filière des métiers de bouche, METRO se positionne sur cette dynamique de valorisation des produits de saison, prenant en compte la qualité nutritionnelle de notre alimentation. Un item qui titille positivement aux oreilles de Michèle CROUZET puisque la parlementaire a présenté différents travaux sur cet item dans le cadre de la commission d’enquête sur l’alimentation au Palais Bourbon.

 

Merouan MOKADDEM

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Cette fois, ça y est ! Les véhicules hybrides ont vu leur nombre d’immatriculations dépassé celui des automobiles à motorisation thermique en Europe. Au troisième trimestre 2021, il s’est commercialisé plus de voitures hydrides que de véhicules alimentés au diesel. Grâce à l’explosion des commandes observées dans les pays de l’Europe scandinave et centrale…

 

PARIS : Cela devait bien arriver tôt ou tard. Un basculement du marché, inéluctable et prévisible. Les véhicules à propulsion thermique (dont le diesel) sont désormais devancés par les modèles hydrides au niveau des ventes. Dans le seul laps de temps de la période estivale, la progression s’est élevée de près de 70 %. Ne serait-ce que dans les pays de l’Europe centrale.  

Dans un communiqué de presse publié ce vendredi 23 octobre, l’Association des Constructeurs (ACEA) a fait part de cette nouvelle qui n’a rien d’inattendue auprès des rédactions. Les automobiles hydrides ont donc la cote en ayant doublé leurs chiffres de vente depuis un an en Italie, en Suède, au Danemark, en Autriche ou encore en Allemagne (+ 62,7 %).

 

 

A date, Stockholm fait figure de référence dans l’Union européenne ainsi que le reste du pays scandinave en étant la contrée la plus électrique en matière de mobilité. Atteignant 25 % de parts de marché de son parc de véhicules neufs. Toutefois, la Norvège demeure très loin devant au niveau mondial avec près de 72 % de véhicules électriques.

Il est bon de rappeler que les tarifs pratiqués sur ces voitures de la nouvelle génération ne sont pas aussi prohibitifs que ceux usités en France. La France ? Parlons-en !

Elle n’a enregistré qu’une progression de 34,6 % en l’espace d’un an. Loin, très loin, de son voisin d’Outre-Rhin qui en a vendu plus du double dans le même intervalle ! Pourtant, ces modèles y sont largement subventionnés.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil