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Peut-on encore investir en bourse malgré les fluctuations importantes enregistrées sur le CAC 40 et malgré les chutes vertigineuses du cours de certains secteurs comme les start-up, en mars dernier ? Quel est l’avenir des boursicoteurs face aux plus gros investisseurs institutionnels (encore surnommés les « ZINZINS »), capables d’intervenir à la nanoseconde ? Quelle est la limitation des risques ? Existe-t-il des possibilités de gérer de modestes portefeuilles face à ces géants de la spéculation financière, qui, grâce aux algorithmes et logiciels performants, simulent, voire anticipent le comportement des investisseurs ? Eléments de réponse…

 

TRIBUNE : Qu’est-ce que l’indice CAC 40, comment fonctionne-t-il ? Le CAC 40 est un indice boursier calculé à partir du cours des actions de certaines sociétés cotées à la Bourse de Paris. Elles sont au nombre de quarante et chacune est affectée d’une pondération en fonction de son poids dans l’économie. Il s’agit de l’indice le plus connu. À sa création en 1988, l’acronyme « CAC » signifiait « Compagnie des Agents de Change ». Aujourd’hui, il signifie « Cotation Assistée en Continu ». La valeur d’origine, au 31 décembre 1987, était fixée à 1 000 points. Depuis, le CAC 40 avait connu son plus haut niveau en 2000, le 04 septembre, avec 6 944,77 points. Ce niveau s’explique par une bulle spéculative portant sur les sociétés technologiques. L’indice a ainsi fait face à trois krachs boursiers majeurs : le premier à la suite de l’éclatement de la bulle Internet en 2001 et 2002 ; le deuxième en 2008 au cours de la crise des « Subprimes » ; le troisième en 2020, avec pour déclencheur la pandémie de la COVID 19.

 

Le yoyo du CAC ne cesse de surprendre les marchés…

 

A 7 396 euros le 12 avril dernier, le CAC 40 enregistre une variation de près de 12 % depuis le mois de janvier : 7 463 au plus haut et 6 624 au plus bas ! Il a même dépassé depuis la barre des 7 500 points !

La Bourse de Paris, comme l’ensemble des bourses mondiales, subit en permanence les interférences d’autres bourses, des différents marchés financiers, des prévisions de croissance du pays, des indices de prix, du taux de chômage, du cours du pétrole…

Pour les sociétés cotées, les résultats trimestriels, les projets d’investissement, les conflits sociaux, les cours des matières premières vont interférer en permanence sur les cours de bourse et surtout sur les anticipations de certains investisseurs. Autre donnée importante sur les marchés financiers : les taux directeurs des Banques Centrales (la BCE pour l’Europe). En effet, les augmentations de ces taux peuvent limiter les investissements (crédits plus chers). D’autre part, face à l’instabilité des taux, il faut surveiller les taux pratiqués sur le marché obligataire. Une obligation est un titre de créance qui rapporte un intérêt et est (en général), sans risque pour le capital placé. L’action est un titre de propriété qui permet de voter aux assemblées des actionnaires, de participer aux bénéfices via les dividendes, mais de perdre son capital !

Ne jamais oublier la règle concernant tout placement : la rentabilité est proportionnelle au risque. Lorsque les taux du marché obligataire sont élevés, les investisseurs délaissent les actions au profit d’un placement plus rentable et moins risqué : les obligations !

 

 

Mesurer ses gains potentiels dans des secteurs porteurs…

 

En matière de conseils boursiers, le « satisfait ou rembourser » n’existe pas ! Pas plus du côté des journalistes spécialisés que pour les experts en tout genre. Retenez que les conseillers financiers des banques n’ont pas le droit de donner des conseils pour investir en bourse : leur responsabilité serait alors engagée…

Des règles simples sont à connaître. Tout d’abord, il faut garder un certain niveau de liquidités afin d’effectuer les arbitrages nécessaires et de répondre à des investissements opportuns. Il est important de se fixer, action par action un niveau de plus-value et s’y tenir : si vous fixez à10 % votre gain, il faut vendre et réinvestir. En affaire, il est important de savoir prendre son bénéfice.

Avant de cibler des entreprises, il convient de mesurer les gains potentiels dans les secteurs les plus porteurs : le « biotech», l’hydrogène, un secteur en pleine explosion, idem pour les entreprises liées aux semi-conducteurs. Les mines de lithium comme « ALBEMARLE » sont appelées à un bel avenir et à garder en fond de portefeuille…

 

 

 

 

S’accompagner de connaissances médiatiques poussées…

 

 

Les entreprises endettées (dans une mesure prudente) sont privilégiées en période d’inflation. On doit aussi s’intéresser aux dividendes versés chaque année et à leur évolution… Attention, la date prévue du versement des dividendes impacte le cours de bourse : plus on se rapproche du versement et plus le cours sera élevé.

Il faut également avoir accès à des sources d’informations fiables ; des revues spécialisées comme « Forbes », « Bloomberg » en version Europe, « Capital », « The Economist »… Des sites d’informations boursières en temps réel : les plateformes de trading en ligne, comme « Pro Real Time Trading » ne sont pas gratuites.

Les journaux quotidiens comme « Le Monde » ou « Le Figaro » ne sont plus suffisants. Quant aux données concernant la santé financière des entreprises (niveau de fonds propres, d’endettement par rapport aux fonds propres, niveau de liquidités, perspectives de dividendes…), elles sont lisibles par les spécialistes.

Il est possible aujourd’hui d’ouvrir des comptes et de donner des ordres de bourse directement en ligne : ici encore attention aux frais.

La bourse, c’est du risque ! En théorie, on peut tout perdre, et ce sont nécessairement des placements dit de « long terme ». Réaliser des plus-values boursières à court terme est une utopie !

Alors, si vous vous dites que tout cela est trop complexe et trop risqué, il est temps de rejoindre les « addicts » du livret A : sans risque et disponible en permanence !

Le temps du Palais Brongniart, de la cotation à la criée et à la craie sur tableau noir, d’une « Corbeille » qui en son centre était garnie d’un tas de sable, permettant aux agents de change d’écraser les mégots de leurs cigares est désormais bien terminé.

On raconte qu’un agent de change, les jours de bourse très chahuté, téléphonait à sa secrétaire afin que la baignoire, contigüe à son bureau soit remplie : il prenait son bain tout habillé !

Aujourd’hui, plus d’agent de change, mais un Palais Brongniart devenu est un musée. Plus de bain non plus. Juste une douche froide garantie pour les boursicoteurs mal avisés…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Force est de reconnaître que la Nièvre et l’Yonne sont un peu en seconde division gourmande, à contrario de nos voisins de Saône-et-Loire et de Côte d’Or. Ces deux départements sont en effet un brin mieux placés, en milieu de tableau de la division supérieure côté gastronomie ! Cependant, le nom d'une petite localité icaunaise a l'insigne privilège de résonner dans le monde entier : oui, c'est le long du Serein et elle se nomme Chablis. Bienvenue !

 

CHABLIS : Chablis, c'est environ 15 % du vignoble bourguignon avec 4 500 hectares cultivés environ. L'export (États-Unis, Grande-Bretagne, Japon...) marche à fond, incitant parfois certains domaines à faire quelque peu « pisser » la vigne, selon une expression usitée. D'autres, plus précautionneux, continuent à œuvrer dans les règles de l'art, de ce nectar apprécié pour sa minéralité.
Un cadre aussi clair que lumineux, une belle vue sur le Serein et nous voici attablés au « Au Fil du Zinc », un restaurant référencé au Michelin 2023 dont on entend dire grand bien par chez nous !

Ici-bas, aussi, les nappes ont disparu ! Il faudra s'y faire, c'est une sorte d'adieu à l'élégance...

Comme n'est pas Chablis qui veut, l'opulente carte nous indique l'excellent « Chablis Premier cru Vau-de-Vey » du réputé domaine Roland LAVANTUREUX.

 

 

Le maquereau, le poisson devenu le chouchou de nos chefs !

 

Le service n'est pas méchant ni plus gentil : il ne manquerait plus que ça ! C'est une sorte d'automatisme déshumanisé, enlevant les assiettes sans mot dire. Parfois, désormais, il y a des robots-serveurs : on a - presque - envie de crier, « chiche et pourquoi pas » ! C’est triste, non ?

Cela commence fort avec de délicieuses mises en bouche, dont une plus remarquable que les autres avec cette tartelette de tête de veau sauce gribiche : sublime croustillance.

Force est de reconnaître, que la suite sera à l'unisson. L'asperge verte est impeccablement cuite et accompagnée d'une onctueuse « burrata ». Un pain feuilleté tiède parachève le tout. Ensuite, ce poisson bleu est devenu le chouchou de nos chefs ; c'est, c'est...le maquereau, en pleine saison, et ici brûlé à la flamme. Il est accompagné d'une savoureuse harissa bien dosée. 

 

 

Deux gouttes de jus et une légère fausse note de style…

 

Nous demeurons ensuite en Bretagne avec le lieu jaune. Il est agrémenté de verdoyants petits pois printaniers et de noix de coco : une assiette des plus harmonieuses. Quant au poulet qui suit, il vient de la proche ferme des « Chocats » à Merry-Sec.

La volaille est finement assaisonnée, la cuisson précise. Le jus « à la diable » est délicieux. Mais, sitôt versé deux gouttes dans nos assiettes, le serveur rapporte en cuisine la mini-verseuse. Pourquoi pareille mesquinerie !

Cela m'arriva aussi dans une table doublement étoilée au Michelin. Désolé, mais ce jus est nôtre : nous allons le payer en partant et nous aurions apprécié de le goûter à nouveau. Revenez donc, élégants maîtres d'hôtel d'antan et vous aussi, charmantes serveuses !

Signalons le très joli travail sur le « brie de Meaux », ici, des plus surprenants. Le fromage travaillé est un des vrais plaisirs découverte d'un véritable déjeuner au restaurant.

 

 

 

 

 

Une cuisine personnalité des plus goûteuses…

 

Le dessert est aussi délicieux que surprenant. Il mêle pomelo corse, faisselle de chèvre basilic et citron noir. Il en ressort un modèle d'équilibre avec une agréable acidité de fin de repas.

Le chef Mathieu SAGARDOYTHO est un vrai cuisinier. Sa goûteuse cuisine personnalisée et éminemment maîtrisée mériterait cependant un service plus à l'unisson de ces mets délicieux. Longue vie, donc, « Au Fil du Zinc » où il fait bon s'attabler.

 

 

En savoir plus

 

Les - : la jolie  carte des vins est écrite comme les additifs d'un contrat d'assurance ! Prévoyez votre loupe pour la décrypter svp !

Les + : la cuisine personnalisée de produits de qualité.

 

 

 

Contact :

« Au Fil du Zinc »

18 Rue des Moulins

89800 Chablis

Tel : 03.86.33.96.39.

Premier menu à 45 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 

 

 

 


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La plateforme se nomme « SCHOOL MOUV ». Un anglicisme dont on perçoit instantanément la signification, avec sa référence scolaire qui nous ramène à nos chères études ! Gratuit, ce service d’apprentissage est aujourd’hui usité par…DOMANYS, le bailleur social plus connu pour la gestion de milliers de logements à vocation sociale sur le département de l’Yonne que pour ses actions pédagogiques. Grâce à la remise d’un chèque de 5 000 euros de la part de la Fondation EDF, c’est précisément cet aspect des choses qui a été dévoilée en pleine lumière pour l’entité icaunaise…

 

AUXERRE : La somme est coquette. Cinq mille euros, ce n’est pas rien ! De l’argent remis sous la forme d’un chèque par la Fondation EDF. D’ailleurs, sur le visuel immortalisant cette remise de fonds, le fac-similé dudit moyen de paiement est appréciable par sa taille : sa visibilité en est autant conséquente au moment de la pose photographique ! De quoi faire apparaître de larges sourires sur les visages ravis des bénéficiaires de ces oboles qui n’ont rien de providentielles, en l’occurrence Karine LASCOLS, la directrice du bailleur social et le président de DOMANYS – il est aussi le président du Département -, Patrick GENDRAUD !

Une somme rondelette qui sera employée à bon escient par le bailleur social pour lutter contre l’échec scolaire. Comme devait le confirmer Karine LASCOLS en marge de cette cérémonie : « en complément de notre mission de bailleur social, et afin de lutter contre le décrochage scolaire, DOMANYS a conclu depuis cinq ans un partenariat étroit avec ACADOMIA et l’AJ Auxerre, permettant ainsi d’offrir aux enfants de nos locataires et de nos collaborateurs scolarisés en cours préparatoire à la terminale un accès gratuit à la plateforme dématérialisée en ligne « SCHOOL MOUV »… ».

 

Une décision validée par la Fondation EDF en octobre 2022…

 

Un partenariat ayant fait ses preuves puisqu’à date ce sont près de mille élèves vivants dans les quartiers prioritaires qui ont déjà profité de ce supplément d’âme altruiste si particulier depuis 2018. Précisons que pour le seul exercice en cours, trois cents jeunes gens se sont inscrits pour recevoir ces cours prodigués par la plateforme en ligne.

En ce qui concerne le contenu, l’outil en ligne offre une palette d’exercices plutôt éclectiques où les révisions, l’apprentissage et même un mode de communication en direct avec les enseignants sont possibles. En outre, l’opportunité de mise en place de stages éducatifs pendant les périodes de vacances scolaires représente un sérieux plus à ne pas négliger.

Le choix de DOMANYS n’est pas le fait du hasard du côté du mécène EDF. En octobre dernier, la fondation du groupe avait annoncé les résultats du premier appel à projets (AAP) lancé dès le printemps sur la Bourgogne Franche-Comté. In fine, seize projets avaient été identifiés comme futurs lauréats, récompensés par ce coup de pouce de la part de cet organisme, porté par différentes strates d’EDF, à savoir EDF SA, EDF Renouvelables, ENEDIS, DALKIA et CITELUM.

Un mécénat judicieux car décliné au plus près des territoires notamment en finançant des projets régionaux qui répondent aux critères ad hoc de la Fondation…

 

 

En savoir plus :

 

Etaient présents à cette remise de chèque,

Karine LASCOLS, directrice générale de DOMANYS

Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et président de DOMANYS

Jean-Roger MOUSSET, directeur de cabinet EDF

Baptiste MALHERBE, président de l’AJ Auxerre Football

Frédéric MARASCIA, directeur territorial Bourgogne EDF

Gérald FREGUIN, directeur Territorial ENEDIS

 

Thierry BRET

 

 


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L’amour de la gastronomie et de ses valeurs est un fil d’Ariane qu’ils ont en commun. Depuis 2015, l’enseigne METRO et le référent des arts de vivre à la française, le guide MICHELIN, se distinguent lors de cérémonies où se remettent les fameuses plaques au coloris rouge vif à la toque, nouvellement étoilée ou ayant su faire perdurer cette honorifique distinction. En témoigne le rituel vécu dimanche soir au Domaine de RONCEMAY par le chef Patrick GAUTHIER (« La Madeleine »)…

 

DOMAINE DE RONCEMAY : Emu, le chef de « La Madeleine » ? Sans aucun doute. En tout cas, il était profondément satisfait de se retrouver en pareille circonstance pour recevoir des mains de la direction de la Halle de METRO Auxerre cette glorieuse distinction, la plaque au coloris vermillon rappelant son étoile qui a été obtenue cette année encore, dans le fameux petit guide rouge au célébrissime patronyme universel, c’est-à-dire « Michelin ».

Un Patrick GAUTHIER qui malgré les trente ans d’exercice dans le métier qu’il affectionne tant ne cachait pas sa joie de recevoir de la part de Philippe BULANT, directeur de l’enseigne auxerroise, ce glorieux sésame à poser en devanture de la façade de l’établissement sénonais. Le restaurant « La Madeleine » a gagné cette année encore – le contraire eut été surprenant – les louanges des inspecteurs du fameux guide qui fait la pluie et le beau temps dans le sérail de la gastronomie française depuis des lustres.

 

La recherche des bons produits : le dénominateur commun…

 

Même s’il est étoilé depuis trois décennies maintenant, Patrick GAUTHIER a reçu sa plaque commémorative, dans le charmant cadre du Domaine de RONCEMAY – il sera accueilli par Thierry GARRET hôte de ces lieux -, avec toujours autant de plaisir à l’identique de celle obtenue au premier jour. Une distinction qu’il a partagée en présence de plusieurs membres de ses équipes, dont la cheffe du « Crieur de Vin », la dynamique Cécile PUECHBROUSSOUX, mais aussi les collaborateurs de METRO Auxerre, réunis autour de leur directeur, Philippe BULANT ; ce dernier devant mettre le cap, à partir du 02 mai, vers la Savoie pour y reprendre la destinée de la halle d’Albertville.

 

 

« On a tous un point commun, soulignera le chef de Sens, c’est la recherche permanente des bons produits et la découverte de ces ingrédients à travailler avec respect jusqu’au fond de l’assiette… ».

Quant à la remise collective avec l’ensemble des chefs étoilés du quart Grand-Est de l’Hexagone, assurée par MICHELIN, elle s’effectuera à Reims le 22 mai dans l’une des tables de prestige de la capitale de la Champagne, chez « LALLEMAND ». On devrait y retrouver les deux autres détenteurs icaunais de ces étoiles, « La Côte Saint-Jacques » (double étoile) et le Château de Vault-de-Lugny.

 

Thierry BRET

 

 


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Seul en scène, guitare acoustique à la main, le vieux barde de l’Yonne, défenseur de la grande chanson hexagonale, poussera de sa voix grave et rocailleuse le public vers ses ultimes retranchements, empreints de nostalgie, en l’écoutant interpréter une vingtaine de chansons du répertoire de l’auteur de « Nuit et Brouillard ». Une balade au gré des airs connus et méconnus du chanteur décédé il y a treize ans lors de deux récitals uniques. Son « Ferrat » à lui revisité, à en perdre la raison…

 

CERISIERS: Peut-être, depuis la terre ardéchoise (Antraigues-sur-Volane) où il est inhumé depuis maintenant treize ans, observera-t-il la moustache frissonnante avec une certaine délectation cette nouvelle initiative artistique du troubadour de l’Yonne, faisant honneur à ses chansons ? Ou peut-être pas ! Question de croyance à dire vrai !

Quoi qu’il en soit, l’auteur et interprète de « La Montagne » est un chanteur qui indubitablement aura compté et compte toujours pour notre Gérard-André départemental, qui ne cesse d’année en année d’évoquer sa mémoire en chansons et de réveiller nos souvenirs les plus lointains lors de tours de chant dont il a le secret, assuré avec maestria et gentillesse, accueillant les mélomanes les plus avertis…

Il en sera sans doute de même ce week-end à Cerisiers à la Ferme du Fays. Un endroit propice aux retrouvailles culturelles de belle facture.

Se présentant en solo sur la scène, accompagné de son fidèle instrument – sa guitare sèche qui lui donne le tempo et la rythmique -, sans doute affublé de sa fameuse tenue chemise rouge et gilet noir, Gérard-André réalisera encore des prouesses vocales - à faire pâlir les jeunes pousses issues de certaines émissions audiovisuelles qui s’inventent de « futurs » et surtout éphémères talents ! – en enchaînant des titres inoubliables issus du répertoire éclectique et onirique de Jean FERRAT. Il y aura aussi en ces heures sombres où le combat social refait surface à la une de l’actualité des morceaux plus engagés et humanistes.

 

Des airs incontournables et des morceaux moins connus…

 

Ainsi, le set proposé lors de ces deux concerts devrait comprendre « Potemkine », « Comprendre », « Je vous aime », « Ma France », « Une femme honnête », « Maria », l’inusable « Nuit et Brouillard », « Berceuse », « Pauvre Boris », « On ne voit pas le temps passer »…

C’est la vie quotidienne de la société française du vingtième siècle qui est dépeinte ici avec subtilité à travers ces textes, mais aussi des personnages, des artistes et des évènements qui ont marqué ce siècle...

Les puristes retrouveront les grands poèmes de Louis ARAGON, mis en musique par Jean FERRAT, qui feront également partie de cette création : « Les poètes », « Que serais-je sans toi ? », « J'entends, j'entends », « Heureux celui qui meurt d'aimer », « Aimer à perdre la raison »… Dans cette nouvelle version de son récital, Gérard-André intègre aussi d’autres chansons dont « Y aurait-il » de l’Icaunais Pierre LOUKI et « Ma Môme ».

On saluera aussi le travail de l’arrangeur, compositeur, pianiste et chef d’orchestre, Patrick VASORI qui collabore avec Gérard-André de longue date. Les bandes enregistrées l’attesteront : c’est du bel ouvrage.

 

 

En savoir plus :

 

« FERRAT à perdre la raison »

Une création de Gérard-André

De ce que j’ai vécu à ce que j’imagine.

Titre d’origine du spectacle créé à Paris en mars 2006.

Samedi 15 avril à 20h30 et dimanche 16 avril à 15h30 :

À la Ferme du Fays,

Cerisiers

9, chemin de Dilo 89320

Réservation des places, par e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. // par tel : 03.86.47.28.16

Participation aux frais : libre

 

Thierry BRET

 


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