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Faire une pause. Histoire de recharger les batteries après des discussions stratégiques qui permettent de mieux peaufiner la rentrée. C’est ce que le bureau de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne s’est accordé après les retrouvailles du conseil d’administration. Ils ont ainsi profité de la soirée « guinguette » se déroulant au CIFA de l’Yonne. Convivial et salvateur pour renforcer les liens d’une équipe !

 

AUXERRE: Morosité s’abstenir pour les membres du Conseil d’administration de la CPME de l’Yonne ! Ils ont eu le plaisir de se plonger, après leur première séance de travail de la nouvelle saison, dans l’atmosphère « guinguette » proposée au CIFA pour marquer le terme des finales nationales des WORLDSKILLS Cuisine.

Les figures emblématiques de l’organisation patronale représentant les intérêts des petites et moyennes entreprises dans l’Yonne ont pris part aux réjouissances inspirées de cet état d’esprit cocardier, façon place du village et aux sonorités du musette. Une idée savoureuse de Delphine ENGELVIN, l’une des chevilles ouvrières du centre de formation départemental.

Le président Olivier TRICON et ses camarades ont pu découvrir quelques subtiles saveurs de la richesse gastronomique (et vineuse) locale. En toute décontraction après une réunion de rentrée ayant comme fil d’Ariane les futures élections consulaires, devant les mobiliser au cours de ces prochaines semaines.

 

 

Aux côtés du conseiller départemental Christophe BONNEFOND et des responsables du CIFA, le président Michel TONNELLIER et du directeur Marcel FONTBONNE, le bureau de la CPME a pris le temps de poser pour la photo famille. Visuel sur lequel apparaît également le double candidat (département et région) Baptiste CLERIN qui postule en sa qualité de tête de liste de la proposition mutuelle portée par la FFB et la CPME aux échéances des Chambres de Métiers et de l’Artisanat.

On notait aussi la présence parmi l’assistance de l’une des encadrantes du MEDEF, Florence POULAIN, absente de la séance photo.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Après la Dordogne, les Yvelines et les Bouches-du-Rhône, la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées a choisi de se déplacer une matinée dans l’Yonne. Elle y a expliqué la stratégie du gouvernement concernant l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel. Une révolution de palais pour les familles qui ne peut se faire sans la mutualisation de tous les services de l’Etat et des élus locaux…

 

VINCELLES : L’école, c’est le creuset de la République ! La formule déjà usitée est connue de tous. Mais, elle n’en est pas moins une véritable réalité pour assurer le brassage des populations et des savoirs en faisant accepter les différences. Et, c’est par ce prisme naturel et obligatoire vécu par tous les individus jusqu’à l’âge de 16 ans que le gouvernement entend bien raffermir sa politique du vivre ensemble à l’avenir. Notamment grâce à l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel.

Avec toutefois, une subtilité : le déploiement d’unités d’enseignement externalisées s’inscrit comme une priorité inéluctable pour y parvenir. A l’image de ce qui se pratique déjà à l’école de primaire de Vincelles, bourgade située au sud d’Auxerre.

Là, dans cet antre de la pédagogie distillée aux têtes blondes effectuant leurs premiers apprentissages dans la vie scolaire, l’EPNAK (Etablissement public national Antoine KOENIGSWARTER) gère deux unités d’enseignement spécialisées. Elles y  accueillent vingt-deux enfants, atteintes d’un handicap.

 

  

Construire un grand service public de l’école inclusive…

 

« Je veux que l’on accélère vraiment cette transformation de l’école, souligne la secrétaire d’Etat Sophie CLUZEL lors de son point presse devant ponctuer sa visite de l’établissement scolaire, d’ailleurs, je tiens à saluer l’exemplarité de l’élu local de s’être impliqué à la réalisation de ce projet de société inclusive… ».

Du petit lait à déguster sans modération pour l’intéressé Guido ROMANO, placé sous le feu des projecteurs et qui a pris les rênes de la municipalité aux élections de 2020.  

Apprendre à mieux se connaître entre valides et personnes non valides passe naturellement par l’école.

« C’est l’endroit de la compréhension et de la confiance, ajoute la ministre, on vit ensemble, on grandit ensemble en parfaite cohésion… ».

Travailler ensemble, c’est aussi y associer tous les partenaires qui agissent dans ce domaine. Les services de l’Etat, en premier lieu. Via l’Education nationale. Mais aussi, l’Agence régionale de santé (ARS) ou la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.

« Nous sommes en train de construire ce grand service public de l’école inclusive, rappelle Sophie CLUZEL, en développant la qualité de la coopération entre ces différents acteurs pour outiller et former les enseignants, les accompagnants d’enfants et les professionnels du secteur médico-social… ».

 

 

Ce parcours de l’école inclusive ne se cantonne pas uniquement au primaire. Il suit le schéma de scolarisation légitime en y englobant le collège et le lycée. Bref : une refonte de l’école de la République de fond en comble et à tous les étages de la fusée ! Sans omettre le périscolaire. Il était temps !

« Il nous faut travailler le droit commun, ajoute la secrétaire d’Etat,  ces enfants doivent être regardés et considérés comme n’importe quel enfant. Cela passe par l’accès facilité aux centres de loisirs, à la culture, à la pratique des activités sportives, à la vie sociale et plus tard, à la politique du logement... ».

Sillonnant l’Hexagone depuis plusieurs semaines pour apprécier la pertinence du concept déjà testé par endroit, un projet bâti en accointance avec le ministère de l’Education nationale, la représentante du gouvernement veut essaimer avec toutes les associations gestionnaires de droit privé.

« Nous avons aujourd'hui près de 13 milliards d’euros de financement des établissements médico-sociaux et des services. Je souhaite que cette enveloppe budgétaire soit au service des prestations directes auprès des enfants et non pas affectés à la réhabilitation de murs vieillissants. Cet argent sera réutilisé pour bâtir des écoles, collèges et lycées de demain… ».

 

 

Des recrutements en perspective pour accompagner les enfants…

 

Le pays observait-il un réel retard sur le sujet depuis tant d’années ? Ce n’est pas la vision même de la secrétaire d’Etat.

« Ce n'est pas un retard en soi. C’est plutôt un fait historique que d'avoir travaillé différemment avec le secteur du médico-social dans lequel il y a encore 80 000 enfants. Je vous rappelle que 400 000 enfants sont scolarisés lors de cette rentrée. C'est 25 % de plus qu'en 2017. C'est aussi 35 % de moyens d'accompagnement supplémentaires d'aides humaines. Dans le cas des accompagnants d'élèves en situation de handicap, ce sont 2 000 places de service d'accompagnement qui se sont ouvertes cette année. Cette transformation de la vie scolaire grâce à l’inclusion est bien une réalité. Et moi, ce que je souhaite, c'est l'accélérer ! ».

Reste la problématique de l’encadrement. Les témoignages de nombreux parents convergent tous en ce sens : il est compliqué de disposer d’encadrants. Quant à leurs remplacements en cas de soucis de santé ou autres, ils ne sont pas toujours assurés.

Consciente de la difficulté, Sophie CLUZEL a tenu à rassurer les parents d’élèves présents lors de cet échange convivial autour d’un café.

 

 

« Nous recrutons quatre mille accompagnants d’élèves en situation de handicap, devait-elle préciser, sachant que tous les enfants n’ont pas besoin d’être systématiquement suivis de près par un encadrant... ».

Une chose est claire dans la stratégie expliquée par Sophie CLUZEL. L’Etat préfère injecter de l’argent vers les missions assurées par les professionnels plutôt que de l’engager dans la rénovation de structures d’accueil immobilières, à l’instar du fameux « château » de l’Institut Médico-Educatif (IME) de Vincelles, devenu totalement obsolète dans sa fonctionnalité.

Le bien vivre ensemble a donc un prix : celui du modernisme dans sa conception pédagogique et de l’inclusion de ces jeunes enfants au cœur du système scolaire traditionnel. C’est le choix du gouvernement. Et certainement, celui des familles qui ne veulent plus que leurs progénitures vivent en marge de la société.

 

 

En savoir plus :

Il existe un numéro de téléphone permettant aux parents et aux familles d’obtenir des réponses à leur questionnement :

0 805 805 110

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Un peu de pluie après la brume matinale, puis arrive le soleil. Pour accompagner les premiers badauds qui découvrent les cent-cinquante stands des exposants. Après presque deux années de disette et d’absence, le monde associatif refait surface grâce à ce premier Forum, concocté par la Ville. Une respiration salutaire avant d’amorcer la nouvelle saison, synonyme de potentiels recrutements…

 

AUXERRE : Le cadre, tout d’abord. Il est magnifique. L’Abbaye Saint-Germain et ses abords offrent un écrin de prestige pour accueillir la toute nouvelle formule de ce forum consacré au milieu associatif local. Déambuler parmi les différents pôles d’exposition tout en profitant de la vision de ce patrimoine exceptionnel ne peut que donner du baume au cœur. Et, pourquoi pas, cette irrésistible envie d’en savoir davantage sur l’une de ses cent-cinquante structures présentes ce samedi 11 septembre.

 

 

 

Le contexte, ensuite. Culture, sport, solidarité, ludique, pédagogique…toutes les thématiques sont représentées en bonne place dans ce grand déballage de bonne volonté et de bénévolat. Illustrant la force de frappe d’un tissu associatif qui confirme la vitalité de notre territoire. Malgré une longue période de repos forcée, voire de mise en sommeil.

Un évènement qui a été chapeauté par les élus Nordine BOUCHROU et Vincent VALLE et le directeur du pôle Culture, sport et vie associative de la Ville, Thierry CRETEUR.  Une première initiative devant nécessairement en appeler une seconde…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La patience est une vertu qui s’acquiert face à l’adversité ! Les organisateurs de ce salon entièrement consacré à la découverte de véhicules électriques et hybrides en savent quelque chose ! Reporté par deux fois du fait de la pandémie de coronavirus, l’évènement sera enfin accueilli ce samedi 11 septembre sur l’esplanade du parc des expositions d’Auxerre…

 

AUXERRE : Seize constructeurs différents, une demi-douzaine de concessionnaires du cru et trente-six véhicules présentés à découvrir avant de les tester : cette première édition du MOOV’E devrait permettre aux férus d’automobile d’y trouver leur compte lors de cette journée, placée sous le prisme de la transition énergétique côté mobilité.

Accueillie sur le parvis du parc des expositions AUXERREXPO, la manifestation aura connu quelques soubresauts conjoncturels avant de prendre date de manière formelle. La faute à pas de chance, effectivement ! Puisque par deux fois, ce rendez-vous initié par Centre France Evènement et commercialisé par la branche publicitaire du groupe de presse, aura connu les affres de confinements successifs.

Prévu initialement en octobre dernier, ce salon n’aura pu aller au terme de son compte à rebours originel, rattrapé comme la majeure partie des évènementiels programmés à l’automne 2020 par ce fichu virus.

 

 

 

Faisant montre d’abnégation, les organisateurs ont ensuite décidé de reconduire l’initiative durant le joli de mai. Un cauchemar, en définitive, avec là aussi une seconde annulation, imputable aux mêmes causes : la COVID 19 !

Cette fois-ci, le rendez-vous proposé avec le public de l’Yonne sera le bon ! Même si le 11 septembre rappelle toujours de désagréables pensées.

Qu’à cela ne tienne, cette journée d’animations et de convivialité favorisera les échanges avec les professionnels présents sur le site.

Informations, explications, séances d’essai, comparatifs : tout sera permis ou presque durant cette animation devant se dérouler dans un esprit bon enfant. L’entrée sera libre. A contrario, les visiteurs devront se munir de leur pass sanitaire pour pénétrer sur le lieu de l’exposition.

 

En savoir plus :

Les concessionnaires représentant les marques Mitsubishi, Ford, Volvo, Opel, Renault, Dacia, Volkswagen, Audi, Skoda, MG, Nissan, Mazda, Hyundai, Fiat, Citroën et DS seront présents sur ce premier salon concocté par Centre France Evènement.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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