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Joindre l’utile à l’agréable. L’adage s’adapte à la perfection à l’état d’esprit qui règne en maître au sein du CFA La Brosse. Surtout lorsqu’il concerne directement des jeunes apprenants. Ces derniers viennent de le vérifier, à l’instar de ce qu’ils avaient déjà vécu l’an passé, en recevant une dotation de matériels utiles à leur scolarité et selon leurs filières. Un geste altruiste qui ne s’apparente nullement au symbole puisque correspondant à 500 euros TTC par apprentis !

 

VENOY : C’est tous les jours Noël ou presque au CFA La Brosse ! Et ce sont les jeunes apprenants qui bénéficient des largesses émanant de leur établissement de prédilection : le centre de formation agricole ! Ils viennent de recevoir une précieuse dotation. D’une équivalence budgétaire de 500 euros TTC par apprentis. Des kits contenant du matériel qui correspondent à leur cycle de formation. Ces accessoires leur ont été offerts. Ils sont très appréciables pour l’apprentissage de leur futur métier. Ici, pour une demoiselle suivant le cursus du CAP palefrenier, l’un des parcours pédagogiques menant vers les métiers équestres. Ou là, auprès d’un jeune homme ayant opté pour un job agricole dans l’élevage.

Tapis de selle, protections et chaussettes, vêtements de palefrenier ou encore parures chaudes répondant aux normes de sécurité composent le premier des deux kits, exposés par deux jeunes gens, studieux élèves du centre de formation.

Le kit numéro deux n’est pas mal non plus. Il renferme dans une caisse à outils de dernier cri la panoplie parfaite du bricoleur expert. Celui qui assure des interventions dans le domaine de la mécanique ou sur les engins agricoles.

 

 

Un projet financé par OCAPIAT, le référent opérateur de compétences…

 

Sur ce projet, c’’est l’OPCO (opérateur de compétences) OCAPIAT qui régale ! L’une de ces onze nouvelles structures, apparues en 2019, dans le cadre de la loi dite « Avenir professionnel » et qui intervient sur cet univers complexe de la formation et de l’apprentissage.

Hélène DECULTOT, responsable du CFA La Brosse, s’en explique.

« L’organisme  nous a fait cette judicieuse proposition. Prendre à sa charge les frais d’équipements de ces deux cursus de la filière agricole. Un schéma que l’organisme appliquait au niveau national. Le CFA agricole de l’Yonne en a été bénéficiaire, après enquête pour mieux en connaître les besoins. Il en est ressorti que les jeunes apprenants manquaient d’outils utiles pour parfaire la connaissance de leurs filières. Une véritable aubaine, en définitive que de pouvoir souscrire à ce projet… ».

Souvenons-nous ! L’an passé, l’établissement pédagogique de l’Yonne avait obtenu des financements pour l’acquisition de 73 ordinateurs portables, prêtés ensuite aux élèves durant leur formation.

 

 

Même la formation de jardinier paysagiste était concernée…

 

Cette année, c’est belote, rebelote et dix de der ! Puisqu’in fine, ces fameux kits (palefrenier) et caisse à outils seront conservés par leurs jeunes bénéficiaires à l’issue de leur cycle formatif. Soit au total, une centaine de paquets cadeaux qui furent remis sans les emballages affriolants de Noël fin décembre pour la plupart.

Un troisième cycle de formation, celle concernant l’apprentissage du métier de jardinier paysagiste, profitait aussi de cette manne avantageuse. Un kit conçu à base de vêtements protecteurs. Vivement 2023 pour continuer sur la lancée au CFA La Brosse !

 

Thierry BRET

 

 


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Enigmatique Baptiste MALHERBE ! Le double directeur de l’AJ Auxerre et Horizon AJA possède l’art et la manière d’entretenir le suspense à travers ses propos oratoires. Surtout lorsqu’il évoque en préambule de la pose de la première pierre de ce futur musée, consacré au mythique club sportif de l’Yonne, « que celui-ci n’en sera pas un ! ». Un trait d’humour qui a l’heur de faire sourire un copieux parterre d’invités, désireux d’en savoir davantage sur l’ambitieux concept…

 

AUXERRE : C’est un projet de très belle envergure pour un complexe sportif devenu iconique depuis sa lointaine création remontant à 1918 ! C’est un sérieux lifting à réaliser avec les moyens technologiques modernes en quelque sorte afin de valoriser la vieille dame du football hexagonal que représente au fil des décennies l’AJ Auxerre et lui redonner ainsi une seconde jeunesse.

Comment pérenniser dans le temps ce club de football à l’ancrage territorial si bien marqué qui a su faire tache d’huile aux quatre coins de la France, voire de l’Europe, en lui impulsant un zeste de modernisme et d’attractivité touristique ?

C’est le défi relevé par James ZHOU, président actionnaire du club, et ses représentants locaux qui ont choisi pour y parvenir les atouts de l’art muséographique.

 

 

Un projet hybride et immersif totalement novateur…

 

Déjà, il y a le choix du lieu. Le stade Abbé Deschamps, saint des saints conceptuel de cette passion sans borne autour du ballon rond dans l’Yonne, qui fait office de véritable ADN du club. Un complexe qui est accueilli au cœur de la plaine sportive de l’agglomération auxerroise. A l’ancienne, et sans être refoulé dans une lointaine banlieue périphérique hors de la capitale de l’Yonne. Ce lien de proximité avec les supporters et le public est ténu, sans doute très profond.

Ensuite, il y a ce projet de musée. Rares sont finalement les clubs de football de l’Hexagone qui possèdent une telle vitrine. Marseille, Saint-Etienne, le Paris Saint-Germain. Le projet a pour vocation de poursuivre l’aménagement du stade et d’accompagner le projet de développement du territoire. Sous le prisme du rayonnement et de l’attractivité, il va de soi.

Enfin, il s’agira de concevoir dans ce projet autre chose qu’un simple musée traditionnel. Construit dans sa logique de visite habituelle, selon les codes coutumiers en vigueur. Ce sera un concept hybride qui proposera une visite immersive grâce à la découverte de quinze espaces dédiés à la légende de l’AJA. Un parcours qui se voudra initiatique en partageant les passions et les valeurs de ce club emblématique.

 

Les trophées doivent être placés sous la lumière plutôt que de rester dans l’ombre…

 

Qu’est-ce que l’AJ Auxerre à date ? Une structure créatrice d’évènements et d’emplois, qui est aussi porteuse d’émotions, sachant honorer ses engagements dans la promotion et la valorisation de ses actes auprès des plus jeunes, comme des plus anciens.   

Dans ses propos, le directeur général du club, Baptiste MALHERBE n’oubliera pas le volet touristique et l’attractivité croissante qui se dégagera de ce concept insolite, auprès des visiteurs ayant soif de découverte de notre territoire. D’ailleurs, présente à cette cérémonie inaugurale, la directrice de l’Office de tourisme de l’Auxerrois, Annick SOTO, fut citée en qualité de « première supportrice » au développement de ce projet novateur.

Créée en 1905, l’AJ Auxerre a pour objectif de transmettre et de former avant même de satisfaire le plaisir de ses fans. Auprès de toutes les générations, en s’appuyant sur un palmarès qui fait pâmer d’envie bon nombre d’associations sportives de l’Hexagone. D’où cette remarque pertinente de Baptiste MALHERBE, crédité plusieurs fois du prénom de « Jean-Baptiste » par quelques-uns des orateurs devant lui succéder, le confondant avec le prénom du ministre en charge du Tourisme et des PME/PMI Jean-Baptiste LEMOYNE (!), qui ajoutera que « les trophées méritent d’être exposés plutôt que de rester dans l’ombre ».

 

 

Une muséographie en 15 étapes à la gloire du club et de ses hommes…

 

Naturellement, le dirigeant de l’AJ Auxerre fit un clin d’œil amusé à Guy ROUX, l’éternel entraîneur à la silhouette caractéristique de cette formation ayant à son actif plusieurs distinctions nationales. Même si ce dernier avait émis quelques doutes quant à la nature de ce projet. Reste James ZHOU. Un président qui fait office de pierre angulaire désormais dans l’édifice actuel. L’ombre de Jean-Claude HAMEL planera aussi au-dessus des têtes des participants à cette cérémonie.

« Nous aurons à cœur de faire un musée à la hauteur de ce qu’il aurait voulu et de ce qu’il a construit… ».

Ce parcours muséographique s’articulera donc autour de quinze espaces, où seront abordés successivement la création de l’entité, la construction du stade, son fonctionnement, la formation avec son centre dédié, les trophées obtenus au détour des nombreuses compétitions nationales, la présence dans les joutes de l’Europe, les hommes qu’ils soient dirigeants mais aussi joueurs, et aussi les supporters.

« Pour cela, complète Baptiste MALHERBE, on va créer un espace d’accueil de ce musée devant la boutique. Un ascenseur va y être installé pour permettre l'accessibilité à tout le monde. Y seront également aménagés des totems, des vitrines, des écrans. Bref : cela représente encore six mois de travail après la pose de cette première pierre… ».

Des éléments qui seront évolutifs et agrémentés tant au plan numérique que vidéographique de nouveaux contenus par la suite. Un relookage profond de l’attractivité qui nécessitera un budget global de l’ordre de 700 000 euros. Grâce à l’autofinancement de la structure mais aussi la présence financière des forces institutionnelles et des mécènes, toujours aussi nombreux à soutenir leur équipe de cœur parmi ses nombreux projets…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Quelques jours à peine auront suffi pour fédérer différents acteurs de la vie associative de l’Auxerrois autour de la cause ukrainienne. Celle, très difficile, que vivent depuis le 24 février des millions de réfugiés, femmes, enfants, personnes âgées et handicapés qui fuient les lâches bombardements des forces russes en passant les frontières de Roumanie, de Hongrie et surtout de Pologne. Les Auxerrois ne peuvent pas rester insensibles à cet exode qui rappelle les heures sombres de l’histoire européenne. Ils doivent se mobiliser !

 

AUXERRE : Il y a des jours où on ne peut plus fermer les yeux. Face à l’impensable. Devant la cruauté de l’humain qui envoie sur les routes de l’exil des millions de femmes, de vieillards et d’enfants. Les hommes, ceux qui sont âgés de 18 à 60 ans, sont, quant à eux, restés au pays.

L’arme à la main, pour défendre crânement leur chance face au rouleau compresseur du despote de Moscou, qui se prend à rêver d’incarner le rôle politique de sa vie afin de demeurer à jamais dans les livres d’histoire, Staline, à défaut d’Hitler, après le dernier massacre survenu à Marioupol, ville martyre pour l’éternité. Des Ukrainiens qui se sacrifient en payant de leur existence la préservation de leurs droits et de leur liberté, dans une contrée qui aura eu le tort de lorgner un peu trop du côté occidental, pour vivre à l’européenne. A l’identique de ce que vous vivez tous les jours. Des Ukrainiens qui se battent depuis quinze jours pour nous protéger tous de l’impérialisme d’un autre âge !

 

Un collectif ouvert à tous pour qu’Auxerre agisse sur le terrain !

 

Vu de l’Auxerrois, doit-on se contenter de quelques mots de sympathie et d’encouragement minimalistes en guise de soutien pour montrer à ce peuple courageux et victime de crimes de guerre, voire d’un début de génocide, que nous ne les oublions pas ?!

Que nenni ! Un collectif, « Couleurs pour l’Ukraine », vient de se constituer à partir d’initiatives personnelles, se muant en rassemblement associatif pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens qui arrivent en masse à la frontière polonaise. Sachant que l’une des villes jumelles d’Auxerre n’est autre que la cité industrielle de Plock, située à l’ouest de Varsovie. Désireuse de s’investir pour aider les camps implantés à la frontière avec l’Ukraine.

L’objectif est donc simple. Logique et légitime. Réunir un maximum de bras et de partenaires autour d’une vaste collecte de produits alimentaires ainsi que de produits de première nécessité afin de les acheminer vers la Pologne, au secours de ces innombrables réfugiés qui ont un besoin impérieux de TOUT, accueillis prostrés et totalement démunis dans des camps de fortune. Des camps qui risquent de se multiplier et de grossir au fil des semaines.

 

Les réfugiés ont besoin de tout : mobilisez-vous !

 

Les besoins sont immenses : produits alimentaires, produits d’hygiène, lait pour bébé, couches, des réchauds, des casseroles et des couverts, des piles, des lampes, des couettes, des transistors, des jouets, des livres de coloriage et des crayons de couleur permettant de redonner un peu de sourire à des enfants qui ne s’en remettront jamais. Ayant perdu pour certains leurs parents, écrasés sous le poids des bombes de l’envahisseur russe.

Les besoins sont immenses, avons-nous dit ! Ils concernent aussi l’accueil de ces réfugiés. Certains des habitants de l’Auxerrois franchiront par solidarité, par altruisme, par amour de son prochain, par humanisme le cap de cet accueil fraternel. Dès ce vendredi, puis ce week-end, et sans doute après sur d’autres journées, les Auxerroises et Auxerrois ont l’opportunité de faire parler leur cœur !

Au centre Edouard LECELRC sur la Rive Droite à Auxerre. Chez MONOPRIX, rue du Temple, et bien sûr, dans d’autres structures commerciales qui consentiront petit à petit à participer à cet élan de générosité et d’humanisme devant balayer les affres de la souffrance de ces milliers d’Européens qui affluent aux frontières de l’Union.

Ce sont des amis, des cousins,…nos frères.

C’est un petit geste pour l’homme, mais un grand bond en avant altruiste pour préserver cette Humanité qui ne doit pas plier sous le joug des pires atrocités jamais commises sur le Vieux Continent depuis les années 90 et la guerre dans l’ex-Yougoslavie, voire de la Seconde Guerre mondiale.

 

 

En savoir plus :

Le Collectif « Couleurs pour l’Ukraine » englobe à ce jour plusieurs associations de l’Auxerrois à l’instar de la Maison de la Francophonie, des Jumelages et des Relations internationales, des clubs services (Lions, Rotary, Kiwanis, Inner Wheel, Jeune Chambre Economique, Table Ronde…), le COBATY ou Lune d’Afrique ; des groupes scolaires (Saint-Joseph-la-Salle, CFA La Brosse…), des acteurs économiques (Leclerc, Monoprix, Picq et Charbonnier, Procars,…), l’Union départementale des Sapeurs-Pompiers de l’Yonne, des médias (Affichage Brossier, France Bleu Auxerre, France 3 Bourgogne Franche-Comté, L’Yonne Républicaine, Radio Avallon, Radyonne, Presse Evasion…), etc.

Le collectif souhaite la mobilisation d’autres commerces et grandes surfaces pour accroître le mouvement de générosité qui est lancé…

 

Début des opérations :

Au centre Edouard LECLERC à Auxerre à partir de ce vendredi 11 mars dès 13 heures, puis le samedi 12 mars et le dimanche 13 mars en matinée, toute la journée. L’opération sera réitérée dès le samedi 19 mars.

 

Chez MONOPRIX, avec une collecte, prévue du vendredi 18 mars au dimanche 20 mars (en matinée) aux horaires d’ouverture du magasin.

 

Contact :

 

Le mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 


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« NFT », vous connaissez ? La traduction littérale de cet acronyme inspiré de l’anglais des affaires n’est autre que « Non Fungible Token ». Le jeton non fongible, pour les puristes qui rejettent d’un revers de la main l’usage de cet anglicisme trop envahissant. Serait-ce la raison d’être sémantique d’un dernier combo de rap à la mode ? Ou la désignation d’un tout nouveau jeu vidéo ? Que nenni ! « NFT » traduit la technologie émergente qui arrive à grands pas au sein de l’écosystème des crypto-monnaies. Domaine que MUGI va s’employer à vulgariser auprès du plus grand nombre…

 

AUXERRE : De la pédagogie, toujours. De la vulgarisation, encore ! Chantre des investissements en bitcoin et du rayonnement des crypto-monnaies depuis notre territoire, MUGI va une nouvelle fois se distinguer lors d’une série de causeries dont elle a la parfaite maîtrise pour intéresser le plus grand nombre à ces pratiques financières.

 

Un paradigme très prometteur que suit de très près METIS…

 

Cette fois-ci, la thématique principale qui sera abordée lors de trois rendez-vous prévus en présentiel à Nevers (le 16 mars), Dijon (le 17 mars) et Auxerre, le lendemain, sera consacrée à ces « NFT », dont la presse spécialisée se fait souvent l’écho depuis quelques temps.

Popularisée depuis 2021, cette technologie constitue de fait un nouveau compartiment d’actifs numériques avec ses caractéristiques propres. Engendrant une croissance démesurée depuis le début de cette année, qui s’amplifie de jour en jour, en suscitant beaucoup d’intérêts.

METIS, la structure mère de l’univers « MUGI », surveille de très près l’évolution de ce paradigme très prometteur qui révolutionne déjà bon nombre de circuits. Certaines industries se positionnent déjà sur ce marché. En particulier celles de l’art qui pourrait s’en trouver considérablement changé avec la possession de biens digitaux.

 

 

Un phénomène qui va voir sa valorisation exploser dans le futur…

 

Le secteur du luxe s’y engouffre également. Lançant leurs propres collections au sein de ces espaces numériques futuristes de type métavers. Même les acteurs de la GMS (grande distribution) n’y sont pas insensibles. A l’instar de CARREFOUR qui a déjà acquis une parcelle de terrain virtuel dans un jeu vidéo, « The Sandbox », afin de positionner un futur commerce en ligne dans le métavers (ce monde parallèle numérique créé par Facebook) pour la coquette somme de 300 000 euros !

« Nous pensons fortement que nous sommes au tout début d’un phénomène qui verra sa valorisation exploser dans les années à venir, confie l’équipe MUGI qui voit dans ce mouvement un nouvel axe très puissant en devenir.

Toujours prompt à prendre des initiatives, la structure développe un nouveau service, sous la forme d’un pool de liquidités. Celui-ci aura pour objet d’investir dans ce nouveau compartiment d’actifs numériques. Afin de se positionner déjà sur ce marché en début de construction.

D’où l’existence de ces trois interventions à suivre également en visioconférence qui ne se cantonnent pas au seul département de l’Yonne. Parce que la naissance de ce nouvel écosystème le vaut bien ?

 

Thierry BRET

 


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Serait-ce une réelle chance pour l’industrie hexagonale ? Au vu des nombreux items abordés qui y gagnent en efficience, nul ne pourrait en douter. La nouvelle convention collective de la métallurgie, officialisée par moult signatures le 07 février dernier à Paris, prendra effet d’ici moins de deux ans. Impulsant un élan considérable à tout un pan de l’activité entrepreneuriale de notre pays. Au nom de l’attractivité, de la compétitivité mais aussi de l’équité et de la concertation. Un réel progrès pour la filière ? Non mieux que cela : un élan fédérateur au supplément d’âme certain pour l’industrie !

 

AUXERRE : « Ce n’est pas une contrainte, ce n’est qu’une amélioration… ». La jubilation du délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de l’Yonne fait plaisir à voir. Le nouveau dispositif conventionnel, adoubé récemment par toutes les composantes de la filière, fait figure de premier pas sur la Lune. « Un petit pas pour l’homme, un grand bond pour l’humanité ! » avait lancé Neil ARMSTRONG au meilleur de sa forme en foulant le sol poussiéreux de notre satellite en juillet 1969. Simplifier la vie de la relation sociale en entreprise offrirait-elle les mêmes sensations auprès de personnes, plutôt terre à terre que sont les acteurs de l’industrie française ? Possible !

L’aboutissement de cette signature après une genèse entamée depuis le début des années 2010 est qualifié de rendez-vous « historique ». Tant par Claude VAUCOULOUX qui nous en explique les contours vu du prisme de l’Yonne, que par les communiqués de presse officiels qui abreuvent les rédactions depuis la date de ce précieux paraphe.

« Nous venons de vivre l’acte de naissance d’un nouveau modèle social pour l’industrie française, lâche dans un large sourire le porte-étendard de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM de la Nièvre et de l’Yonne, une vraie opportunité intellectuelle qui va booster ce secteur d’activité au centre de bon nombre de réflexions, suite à la très longue crise sanitaire identifiant la dépendance de la France à bien des égards.

 

 

De vrais groupes de travail, pas de comités « Théodule » !

 

Applicable au 01er janvier 2024, cette convention collective porte sur différents aspects. Essentiels à la relation sociale et à l’existence de l’entreprise. Ils ont pour dénominateurs communs la lisibilité, l’équité, la concertation, la compétitivité, l’attractivité….autant d’auxiliaires pour répondre aux enjeux de l’entreprise dans la conjoncture actuelle, qui est loin d’être un long fleuve tranquille à la suite des récents évènements belliqueux opposant Russes et Ukrainiens.

Partant du simple postulat que la plupart des textes existants avaient pour origine des applicatifs issus des années 60 et 70 (autant dire un monde devenu totalement obsolète à nos yeux !), les futurs signataires souhaitaient dépoussiérer ces écrits, les rendant de facto plus en phase avec les réalités conjoncturelles du moment. Un besogneux travail de fourmi et la constitution de différents groupes de travail dès 2012 ! Comités (qui n’avaient rien de « Théodule » !) qui se mirent à fonctionner à plein régime afin de légitimer ce vaste nettoyage de printemps nécessaire à la filière et dans lesquels Claude VAUCOULOUX eut l’opportunité de pouvoir réfléchir ! Un travail réalisé en profondeur, partagé avec les associations syndicales représentatives de la métallurgie.

Qu’en ressortira-t-il in fine ? Que du positif, de l’avis de notre interlocuteur.

« Cette convention est unique et nationale. Elle s’inscrit réellement dans l’innovation sociale. A terme, elle est amenée à remplacer 78 conventions collectives existantes qui régissent la relation sociale dans la métallurgie… ».

Jusqu’alors, une cohabitation subtile permettait de réunir sous des égides différentes une convention des ingénieurs et des cadres de la sidérurgie et de nombreuses conventions territoriales de la métallurgie concernant les personnels qui ne sont pas cadres. Dorénavant, tout ceci sera remplacé par cette convention nationale unique sur le territoire.   

« C’est simple, poursuit Claude VAUCOULOUX, des 7 500 pages de textes conventionnels avec lesquels nous travaillons depuis longtemps, nous n’aurons plus que 231 pages servant de trame à ce nouveau dispositif entrant en vigueur au 01er janvier 2024. ».

 

 

Six enjeux capitaux pour répondre à ce nouvel élan stratégique…

 

Quant aux enjeux, ils reposent sur une articulation dégageant six idées motrices. Et, en premier lieu, répondre aux enjeux de l’entreprise.

« Ce dispositif, précise Claude VAUCOULOUX qui en maîtrise la moindre arcane, constitue un socle adapté à toutes les entreprises de la filière, quelle que soit leur taille et leur domaine d’activité… ».

Un socle reposant sur les valeurs intrinsèques de ces structures : le temps de travail, la santé et les conditions de l’emploi, la rémunération, la classification, la relation individuelle, la formation, la protection sociale, le dialogue social. Rien n’a été édulcoré.

Naturellement, la compétitivité reste de mise. C’est l’ADN de toute entreprise qui se respecte. Comment l’améliorer ?

« La nouvelle convention va favoriser en le simplifiant et en le sécurisant le cadre social des acteurs, ajoute le représentant de l’UIMM dans l’Yonne, par exemple, les entreprises auront toute latitude à pouvoir appliquer strictement ce que prévoit la convention collective nationale ou à l’adapter, grâce à des accords d’entreprise négociés avec pour cela la plus grande autonomie possible ».

Ce nouveau système, opérationnel d’ici deux ans, apportera davantage de lisibilité aux entreprises, souvent noyées dans l’empilement de textes complexes et hétérogènes. L’unicité de ce texte de 231 pages fera le reste. En facilitant la compréhension et l’accessible à tous.

Le volet recrutement, nerf de la guerre actuel des structures qui peinent à embaucher du personnel qualifié, figure sur le registre de l’équité. Les sociétés auront la faculté de pouvoir mieux accompagner leurs salariés dans leur gestion de carrière via un tout nouveau système de classification des emplois, transparent et équitable. Une classification devant optimiser le développement professionnel et personnel des collaborateurs et contribuer à la bonne fonctionnalité de l’entreprise.

 

 

La concertation paritaire se veut renforcée avec cette convention newlook. Les entreprises et les organisations syndicales, hormis la CGT non signataire de l’accord définitif mais qui a néanmoins suivi tout le protocole de négociations, laissent grandes ouvertes les portes à la négociation sociale.  « Une réelle avancée sociale » selon Claude VAUCOULOUX qui permet « de magnifier le secteur de la métallurgie à travers son paritarisme ».

D’ailleurs, dans l’Yonne, les partenaires sociaux s’entretiennent régulièrement depuis septembre 2021 pour décliner au mieux le mode opératoire de ce texte national devant être déployé sur le territoire.

Reste l’ultime axiome de cette stratégie à six orientations : l’attractivité. Une évidence en matière de valeur ajoutée humaine et l’indispensable montée en compétences des salariés. L’accélération des nouvelles technologies et du numérique dans les processus de production ressemble à un sérieux atout vers lequel la filière veut s’engouffrer.

Sur le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté, cette convention sera opposable aux trois cents entreprises du secteur qui appliquent ces accords, celles-ci emploient l’équivalent de neuf mille salariés.

D’ici la date d’application de ce dispositif, l’UIMM Yonne disposera autour d’une task-force d’un dispositif complet afin d’accompagner ses adhérents dans ce qui ressemble à une grande révolution de palais. La révolution industrielle du XXIème siècle au plan social ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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