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Petit à petit, l’oiseau fait son nid, précise le dicton. Même si pour l’heure, la crainte de ne pas recevoir le précieux adoubement faisant foi de parrainage par l’un des 42 000 élus de l’Hexagone est présente dans tous les esprits. Le candidat de Debout La France Nicolas DUPONT-AIGNAN n’a pas encore toutes les garanties de figurer sur la grille de départ de cette course à l’Elysée 2022. Ce qui n’empêche nullement deux de ses porte-voix de sillonner la région pour rameuter les troupes…

 

NEVERS (Nièvre) : La concurrence est rude à la droite de la droite à quelques 90 jours de l’échéance présidentielle. Surtout pour s’affirmer publiquement dans les médias aux horaires de prime time en pensant disposer des cinq cents parrainages indispensables à la qualification à cette course effrénée.

Candidat déclaré de Debout La France (DLF), ainsi que l’a validé le conseil national de la formation souverainiste réunie le 27 novembre dernier à Yerres, NDA (Nicolas DUPONT-AIGNAN) croit plus que jamais en sa bonne étoile même si la présence d’Eric ZEMMOUR vient considérablement perturber le jeu dans la quête des précieux accessits auprès des élus.

 

Occuper le terrain pour promouvoir les actions…

 

Deux de ses porte-étendards, le Nivernais Pascal LEPETIT, délégué régional pour la Bourgogne Franche-Comté et secrétaire départemental de la Nièvre ainsi que l’Icaunais Patrick MOREAU, secrétaire départemental de l’Yonne, redoublent depuis d’efforts pour légitimer la présence de leur chef de file sur la ligne de départ au matin du 10 avril.

Courant décembre, les deux relais de DLF assuraient communément le lancement de la campagne du parlementaire de l’Essonne sur le territoire de l’Yonne, à Foissy-les-Vézelay, où Patrick MOREAU a été élu maire.

S’appuyant sur des rencontres directes avec les représentants du mouvement politique, les deux hommes devaient présenter les cinq axes prioritaires de la campagne ainsi que tous les supports de communication qui en découleront pour en assurer le rayonnement et la promotion.

Rappelons que le programme du candidat souverainiste s’articule autour de la hausse du pouvoir d’achat, la méritocratie dans le travail, la restauration de l’ordre, la reconstruction des services publics et l’engagement de la nation vers une écologie humaine et pragmatique.

Comme le précise Pascal LEPETIT, « le leader de Debout La France est le seul des prétendants à la présidentielle à avoir véritablement chiffré son projet de façon précise en y mentionnant ses sources ».  

 

Des parrainages plus difficiles à obtenir qu’en 2017 du fait de la levée de l’anonymat…

 

Logique, Nicolas DUPONT-AIGNAN a fait des chiffres et statistiques sa priorité, des valeurs mathématiques que l’on découvre abondamment dans son dernier opus, « Où va le pognon ? » que le pensionnaire du Palais Bourbon vient de publier il y a peu pour dénoncer les abus de la gouvernance actuelle.

Pascal LEPETIT reconnaît lui aussi qu’il est plus délicat de recueillir les parrainages des élus cette année comparativement à l’élection précédente de 2017.

« La levée de l'anonymat place les maires en situation de devoir se justifier vis-à-vis de leur conseil municipal, de leurs administrés, des intercommunalités ou des conseil départementaux, avec les conséquences en termes de fonctionnement que l'on peut imaginer si le parrainage, qui pourtant n'est pas un soutien politique, n'est pas de la couleur locale. C’est donc difficile cette année pour Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Jean-Luc MELENCHON et…Nicolas DUPONT-AIGNAN ».

Mais, pour l’heure, cela n’enlève nullement la volonté des partisans de NDA de se battre jusqu’au bout, selon leur volonté commune, de « sauver la France ». Aux dernières nouvelles, NDA affirme avoir déjà obtenu 450 signatures en sa faveur. Il se dit optimiste pour la suite des opérations…

 

 

En savoir plus :

 

Les grands axes du programme de Debout La France :

1)  Une France indépendante, des français libres : NDA veut renouer avec la Vème République telle que la voulait le Général Charles de GAULLE en associant  les Français sur les grands sujets par référendum (Union européenne, immigration, réforme du Code Pénal). Il souhaite faire entrer les Français à l'Elysée.

En outre, il est prévu de mettre en place le RIC déclenché à partir de 500 000 signatures, retour au septennat avec un référendum révocatoire à mi-parcours, si 20 % du corps électoral le demande. 

2) Récompenser le travail 

- Hausse des salaires de 8 %, soit un mois supplémentaire, entièrement financée par la suppression des fausses cartes Vitale,

- 75 % de la commande publique réservée aux produits fabriqués en France,

- Diviser par deux les impôts sur le bénéfice pour les entreprises qui investissent en France,

- Indexation des retraites, des salaires des fonctionnaires et du livret A sur l'inflation.

3) Reconstruire les services publics

- Réouverture d'un hôpital ou d'une maternité par département (un projet financé par les neuf milliards de trop versés à l’Europe car l'objectif est que le coût de contribution à l'Union soit ramené à un milliard comme sous Jacques CHIRAC),  

- Renforcer les apprentissages fondamentaux,

- Renationalisation des autoroutes et suppression des péages en cinq ans,

4) Rétablir l'ordre

- Tolérance zéro : une peine sera appliquée à chaque condamnation pour délit,

- Expulsion des délinquants étrangers,

- Contrôle des frontières, sortie de Schengen,

- Suppression du droit du sol.

5) Engager une écologie humaine et pragmatique

- Pratiquer une protection de l’environnement non sectaire,

- Il y aura zéro éolienne sur la durée du mandat. L'argent qui sert à les financer sera investi pour doubler les aides à l'isolation thermique des habitations pour réduire la facture d'énergie,

- Crédit d'impôts Produit en France afin de favoriser l’incitation des entreprises à rapatrier les productions et les emplois en France,

- Réduction de la pollution.

 

Thierry BRET

 

 


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Les Français n’ont jamais autant épargné depuis la pandémie. Un trésor convoité par l’Etat et les entreprises. Bercy table sur les dépenses des ménages, prises sur les économies réalisées durant la crise sanitaire pour relancer les marchés. Un pari, certes dangereux, mais possible. Nos concitoyens seront-ils enclins à consommer davantage alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur l’évolution de l’épidémie ? L’enjeu est primordial pour la relance. Un vrai casse-tête pour l’Etat !

 

TRIBUNE : Si on souhaite booster la consommation, il faut alors offrir une rémunération d’épargne peu attractive ! Livret A et livret LDDS totalisent fin octobre 2021 un encours de plus de 500 milliards d’euros (source : Caisse des Dépôts). Le fabuleux « trésor de la COVID 19 » attise donc des doux rêves pour l’Etat et les entreprises !

Quant au livret A, il a toujours la cote malgré une faible rémunération. Le taux d’intérêt fixé à 0,5 % sera revu à la hausse le 01er février prochain. Cela a été annoncé par le ministère des Finances.

Mais, les spéculations vont bon train : 0,8 % ou 1 % d’intérêt ? Ce n’est pas tant la rémunération qui doit interpeller mais la raison d’être de ces placements « à vue ». De l’argent disponible !

Le plafond du livret A est de 22 950 euros. On peut toutefois dépasser ce seuil grâce à la capitalisation des intérêts. On se souvient des 8,5 % offerts en 1981 mais avec une inflation à près de 14 % ! Un gap de taux livret/inflation très défavorable mais tout le monde était content à l’époque : c’est ce que l’on appelle l’incidence psychologique de l’inflation !

 

 

Les attributions précises du livret A et du LDDS…

 

Au total, sur les dix premiers mois de l'année 2021, la collecte nette du livret A et du LDDS s'élève en cumulé à 20,64 milliards d'euros, indique la Caisse des Dépôts. L'encours total sur les deux produits atteint 468,9 milliards d'euros à fin octobre, soit une hausse de 5,9 % sur un an.

Rappelons que le LDDS, le Livret de Développement Durable et Solidaire possède les mêmes caractéristiques (rémunération et fonctionnement) que le livret A, hormis son plafond : 12 000 euros. Les deux livrets sont cumulables.

Centralisés par la Caisse des Dépôts, les fonds collectés sur les livrets A servent à financer le logement social et urbain. Les banques généralistes n’ayant pas accepté cette disposition réglementaire, se sont vus refuser la délivrance de ce produit d’épargne.

Pour les LDDS, anciennement appelés CODEVI, les dépôts financent la préservation de l’environnement par des travaux d’économie d’énergie dans les bâtiments anciens.

 

Panorama des autres livrets du paysage bancaire…

 

Le LEP (Livret d’Epargne Populaire) offre à son possesseur une disponibilité de l’argent en permanence. Avec une rémunération de 1 % (net d’impôts), le plafond est fixé à 7 700 euros. Au total, on peut avoir 33 650 euros sous forme de liquidités disponibles en cumulant les trois livrets que sont le A, le LDDS et le LEP.

Chez les moins âgés d’entre nous, le livret Jeune s’ouvre de 12 à 25 ans. La rémunération étant librement fixée par les banques, sans pouvoir être inférieure à 0,5 %. Ainsi, il faut faire jouer la concurrence. Le plafond est de 1 600 euros. Mieux vaut prioriser le livret A tant que son plafond n’est pas atteint.

Du côté du livret ou compte d’épargne logement (CEL), même un mineur peut être titulaire d’un CEL. Avec un versement initial au minimum de 300 euros, les versements successifs ne doivent pas dépasser le plafond fixé à 15 300 euros. Le taux d’intérêt est de 0,25 % mais la rémunération est soumise à l’impôt forfaitaire de 30 % !

Depuis 2018, la prime d’Etat versée en cas de demande de crédit (résidence principale uniquement) est supprimée. Même si les taux des prêts « épargne logement » demeurent privilégiés, la chute vertigineuse des taux pratiqués sur les prêts immobiliers donne au CEL un faible intérêt.

 

 

L’indéboulonnable Plan d’Epargne Logement toujours au sommet de sa forme…

 

Quand un banquier rencontre un notaire : ça a donné un jour la naissance du PEL ! C’est dire la complexité de ce placement, qui lui aussi perd de son intérêt tant que les crédits immobiliers classiques demeurent à des taux très bas.

Retenons tout de même les principes de son fonctionnement : 225 euros de dépôt initial minimum, 540 euros au minimum dépôt annuel, un plafond maximum estimé à 61 200 euros, la durée minimale du PEL est de quatre ans, rémunération de 1 % soumise au prélèvement forfaitaire de 30 %. On peut obtenir un prêt maximum de 92 000 euros au taux de 2,2 %.

Les conditions d’obtention de prêt, les critères techniques concernant la phase « épargne », les possibilités de cession des droits à des tiers… sont à étudier avec le banquier en fonction d’un projet immobilier précis.

Le seul intérêt que l’on peut trouver au PEL c’est qu’il peut entrer dans l’évaluation de l’apport personnel…

J’ai eu l’occasion d’accorder un prêt « épargne Logement » pour financer un bateau qui constituait la résidence principale de l’épargnant. A méditer…Pour les plus marins d’entre vous !

 

Jean-Paul ALLOU

 

Fin de la première partie de cette tribune.

 


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Huit. C’est le chiffre porte-bonheur de ce mouvement associatif très spécial, un incubateur de leaders citoyens qui contribuent à changer les paradigmes de notre société. Ce nombre correspond aux membres du bureau d’une pépinière de talents déjà confirmés n’ayant plus grand-chose à prouver quant à son efficience mobilisatrice sur le terrain. La JCE Auxerre vient de placer Jean-Baptiste HORTON au sommet de la pyramide organisationnelle. Pour le meilleur et surtout pas pour le pire…

 

AUXERRE : Fidèle à ses principes fédérateurs, la Jeune Chambre Economique locale entame l’an neuf en brassant les cartes de la responsabilité individuelle en interne. Histoire d’offrir un maximum d’opportunités et de prises d’initiative en matière de développement personnel pour ses membres (ils sont désormais trente-quatre à avoir adhéré dans l’une des plus puissantes structures de la région si ce n’est de l’Hexagone) préparés à cet exercice du pouvoir.

Toutefois, il ne faut pas se méprendre sur les intentions réelles de ces jeunes gens, à la tête bien pleine et inféodés à la caste encore heureuse des trentenaires, voire de la décennie inférieure.

 

S’appuyer sur de belles pépites intellectuelles et enthousiastes…

 

Ici, le pouvoir ne se traduit pas par une supériorité écrasante, insolente et manifeste sur l’autre. Il se partage de façon collégiale en concertation participative au sein d’un bureau et de commissions bien structurés où chacune et chacun y va de sa petite note musicale, suivant la partition interprétée rubis sur ongles par un chef d’orchestre, le président de l’entité.

Incontestablement, le nouvel impétrant à s’asseoir dans le fauteuil présidentiel cette année (Jean-Baptiste HORTON) pourra compter sur le déterminisme, la volonté et l’implication sans borne d’une équipe aux trois-quarts féminins !

La JCE deviendrait-elle une affaire de jeunes femmes prêtes à en découdre avec leurs armes et leurs atours face à tous les maux incohérents et stupides observés au sein de notre paysage sociétal ?

Toujours est-il que le successeur de Valentin MARTIN pourra s’appuyer sur quelques belles pépites intellectuelles et entreprenantes pour naviguer à vue et sans l’aide d’une boussole vers les rivages de la réussite, identifiée par moult projets en perspective.

 

Une année cruciale avec l’organisation de la Convention nationale en juin…

 

D’autant que l’an 2022 s’annonce crucial pour l’organisme icaunais qui accueillera du 23 au 26 juin la Convention nationale où convergeront à Auxerre et dans sa périphérie plusieurs centaines de congressistes en quête de retrouvailles constructives judicieuses. L’évènement est à la hauteur des attentes de ce nouveau team très soudé qui possède du dynamisme à revendre.

Preuve que ce système immersif au cœur des problématiques actuelles de la société à résoudre par des solutions enthousiastes fonctionne bien à Auxerre : une dizaine d’observatrices (encore elles !) et d’observateurs (enfin !) frappent déjà à la porte, prêts à s’investir et à s’impacter positivement sur le territoire, à travers une kyrielle de projets ébauchés lors des travaux des commissions.

 

 

« Tous les VINgt du mois » fait des émules ailleurs en France…

 

Pour mémoire, citons l’enseignement des gestes qui sauvent auprès du public scolaire en partenariat avec l’Education nationale et le SDIS 89, la promotion du tourisme icaunais via une application, la création de liens sociaux intergénérationnels, la récupération des déchets, la formation des jeunes décrocheurs, l’organisation d’olympiades juniors afin de promouvoir les Jeux de Paris 2024 et la pratique sportive auprès des enfants…

Ce panégyrique à l’initiative et à l’enthousiasme des membres de la JCE ne serait pas complet si l’on ne mentionnait pas parmi les actions quasi régaliennes du mouvement la fameuse opération « Tous les VINgt du mois », qui favorise les retrouvailles en moyenne de trois cents convives désireux de découvrir un domaine viticole du cru. L’animation a même fait des émules parmi les clubs aux quatre coins de notre contrée, voire d’un peu plus loin !

 

Priorité au développement des actions et des compétences en 2022…

 

Reste Jean-Baptiste HORTON. Entrepreneur, il exerce le métier de géomètre-topographe, le jeune homme connaît à la perfection les arcanes de la structure. Depuis 2018, date à laquelle il a rejoint les rangs de la JCE, multipliant les postes à responsabilité, en étant tour à tour vice-président de la formation, trésorier et vice-président du développement. Son intérêt dans plusieurs commissions lui ont permis de peaufiner des dossiers importants comme « Sun Quais » et les « Gestes qui sauvent ». Un seul mot d’ordre pour lui avec ce nouveau mandat : l’action dans la continuité au service des différents projets déclinés sur l’Auxerrois.

 

En savoir plus :

 

Le bureau de la JCE Auxerre 2022 se compose de :

Jean-Baptiste HORTON, président,

Valentin MARTIN, immediat past-président et vice-président aux membres,

Laurianne BELLIER, vice-présidente aux partenariats,

Maud DUSSOL, vice-présidente aux actions,

Esther VITO, vice-présidente au développement,

Inès SOMMET, vice-présidente à la communication,

Florian SOBIERAU, vice-président à la formation,

Margot BONNAIRE, trésorière et secrétaire.

 

Thierry BRET

 


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Ils ont jusqu’à ce soir pour rejoindre les rangs de la grève ou pas. Remontés tels des coucous suisse contre les décisions gouvernementales dans la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école, les enseignants ont déposé par le biais de leurs syndicats (SNUipp, FSU, SNE, CGT, UNSA, Sud Education, FO…) un préavis pour ce jeudi 13 janvier. Ce mouvement sera suivi par les fédérations de parents d’élèves et par les scolaires eux-mêmes…

 

AUXERRE : Pagaille en perspective dans les rues des grandes villes de l’Hexagone, ce jeudi, mais pagaille qui vient surtout mettre l’accent sur la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école.

Devant une situation épidémique qui flirte avec les sommets en ce mois de janvier du fait de la virulence des variants de la COVID (le nombre de contaminations explose chaque jour un peu plus chez les élèves et leurs enseignants), les syndicats de l’Education nationale appellent ces derniers à faire grève pour s’insurger contre le protocole sanitaire en vigueur, jugé « inacceptable » et « ingérable ».

L’Yonne ne devrait pas déroger à la règle de cette mobilisation, souhaitée par une intersyndicale regroupant tous les acteurs sociaux de l’éducation. Le secrétaire départemental de la  FSU 89 Philippe WANTE le confirme pour expliquer ce nouveau mouvement de grève : « la situation n’est plus tenable ».

Lors de l’audience qui a été demandée auprès de la DASEN (direction départementale des services de l’Education nationale de l’Yonne) et sans doute accordée, la délégation intersyndicale ne se privera pas de faire connaître ses nombreuses doléances auprès de ses interlocuteurs.  

 

Un ministre de l’Education qui reste sourd aux doléances du terrain…

 

« Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER continue de faire le choix de maintenir les écoles ouvertes selon le principe du « quoi qu’il en coûte, précise Philippe WANTE au nom de l’intersyndicale, il allège les mesures protectrices notamment sur les fermetures de classe et l’isolement des élèves, désorganisant totalement l’école… ».

Ce qui provoque un profond désarroi et une extrême lassitude de la part des personnels mais aussi des familles et des élèves qui devraient s’inviter dans les cortèges.

Considérant que le ministre reste sourd à toutes les sollicitations de la base, alors qu’il a enfin admis lors des questions au gouvernement au Sénat mercredi dernier que les difficultés étaient bien réelles, les syndicats de l’éducation mais aussi les fédérations de parents d’élèves (FCPE) et les mouvements de collégiens/lycéens, ont décidé une fois de plus de descendre dans la rue afin de protester et de se faire entendre. Il y va aussi du respect et de la protection des enseignants, en souffrance professionnelle face à ces mesures d’une rare complexité.

 

Thierry BRET

 

 


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Indécence. Irresponsabilité. Scandale. Les qualificatifs ne cessent de s’accumuler autour de la cérémonie des vœux de la Communauté de l’Auxerrois et de décrier l’évènement, maintenu en date du 20 janvier malgré le contexte sanitaire. Unie comme les cinq doigts de la main, à l’exception des deux élus de la liste « Auxerre Ecologie », l’opposition à la gouvernance actuelle y va de sa diatribe, exigeant l’annulation sine die de ce rendez-vous.

 

AUXERRE : Vent debout, les élus de l’opposition auxerroise ! Mais, à l’unisson ou presque, pour critiquer de manière acerbe et sans retenue la décision de la municipalité de maintenir coûte que coûte un évènementiel qui interpelle de plus en plus la presse hexagonale à travers ses manchettes : à savoir la cérémonie des vœux de l’Agglomération auxerroise.

D’autant que les recommandations préfectorales, intimées par le gouvernement, étaient on ne peut plus claires dès la fin décembre, suite aux propos tenus sans ambiguïté aucune par le Premier ministre Jean CASTEX, de ne pas les prévoir au calendrier 2022.

A ce titre, un courrier datant du 23 décembre, signé de la main du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, confirmait cet état de fait, invitant au passage les élus de notre territoire à annuler purement et simplement les cérémonies des vœux en présentiel.

De la pure logique, car ces rendez-vous conduisant inévitablement à des rassemblements et à des brassages de la population, voire à des instants de convivialité, alors que dans le même laps de temps, les effets de la nouvelle variante de la COVID-19 (la fameuse déclinaison OMICRON) font des ravages en termes de contagiosité.

 

Des vœux qui se transforment en « grand barnum »…

 

Mais, la persistance de l’exécutif auxerrois à vouloir accueillir dans l’enceinte du parc des expositions d’Auxerre cet évènement a mis le feu aux poudres du côté de ses opposants. Ces derniers ne contestent pas le principe factuel d’une tradition républicaine.

« Nous sommes très attachés à la cérémonie des vœux du maire, expliquent en chœur et par voie de communiqué de presse les élus Mani CAMBEFORT, Mathieu DEBAIN, Sophie FEVRE, Maud NAVARRE, Farah ZIANI, Isabelle POIFOL-FERREIRA ou encore Rémi PROU-MELINE. Elle permet de favoriser un échange direct entre les élus municipaux et la population, de faire le point sur ce qui a déjà été fait et d’évoquer les projets qui rythmeront la nouvelle année… ».

 

 

Non, là où le bât blesse véritablement, outre le maintien de la manifestation en pleine période de recrudescence épidémique, c’est l’aspect spectacle, façon « grand barnum » qui est conféré à l’évènement. D’autant que la cérémonie sera animée selon les caractéristiques d’un journal télévisé par l’ancien présentateur vedette du « 13 heures » de TF1, l’inoxydable JPP, alias Jean-Pierre PERNAUT.

 

Dans le viseur, la cérémonie des vœux mais également les dépenses de l’exécutif…

 

« Dans le contexte sanitaire critique que tout le monde connaît, cette démarche s’avère clairement irresponsable ! » selon les conseillers de l’opposition.

Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls à le penser dans le microcosme de l’Yonne où bon nombre d’acteurs économiques, institutionnels et de représentants des milieux associatifs ont cru bon de mettre ces dernières semaines la clé sous le paillasson en enterrant leurs illusions de pouvoir présenter leurs vœux en public cette année.

Dire que la venue de l’ancien présentateur du JT provoque l’ire de l’opposition auxerroise serait par ailleurs totalement réductrice. Les signataires du communiqué de presse enfoncent une porte ouverte en prenant pour cible les dépenses « somptuaires » du premier élu de la place.

« Le train de vie du maire-président augmente sensiblement avec une indemnité confortable de 8 000 euros par mois pour le cumul des deux fonctions auxquels se sont ajoutés des frais de représentation annuels qui s’élèvent à 4 000 euros. Sans omettre les frais de réception qui sont passés de 100 000 à 350 000 euros à la Ville et à l’Agglomération… ».

Une hausse qui avait été dénoncée lors des derniers conseils municipal et communautaire par l’opposition.

Celle-ci s’insurge contre cette débauche d’argent public à l’heure où tant de personnes vivent leur quotidien dans le dénuement et la précarité.

« Tout cela nous paraît indécent, concluent les élus contestataires, alors que Cressent MARAULT vient de se faire condamner pour prise illégale d’intérêt à dix mille euros d’amende, huit mois de prison et un an d’inéligibilité avec sursis… ».

Le seul mot d’ordre qui vaille à leurs yeux pour clore ce dossier n’est autre que l’annulation sine die de cette cérémonie des vœux qui tient déjà le haut du pavé au niveau des commentaires et des invectives sur les réseaux sociaux.

 

Thierry BRET

 


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