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La pose photographique se veut solennelle sur le perron de la mairie. Logique ! Ce n’est pas tous les jours que le représentant de l’Etat, à savoir le préfet de l’Yonne Pascal JAN, consacre un peu plus de temps que d’ordinaire pour visiter les aspects attractifs d’une agglomération. Le maire de Chevannes avait inscrit au programme de cette immersion, vécue le 19 décembre, deux temps forts sur le terrain : le chantier de la maison de santé et la découverte du laboratoire artisanal du maître boulanger/pâtissier Laurent BISSON.

 

CHEVANNES : Accueilli par Dominique CHAMBENOIT, premier élu de la localité périphérique d’Auxerre, le préfet de l’Yonne Pascal JAN a pu prendre le pouls de cette bourgade, implantée à quelques encablures de la capitale départementale, membre de facto de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Un rendez-vous officiel, qualifié de « riche et de constructif » par le maire, qui était depuis longtemps biffé sur l’agenda de ce dernier.

 

A la rencontre d’un maître artisan de la boulangerie/pâtisserie…

 

Le haut fonctionnaire eut droit en guise de préambule (et peut-être pour se mettre en appétit !) à la visite de la boulangerie/pâtisserie de Laurent BISSON, maître artisan de la double spécialité de ces métiers de bouche qui font toujours recettes auprès des villageois dans nos campagnes.

Outre la découverte du laboratoire où s’affairent au quotidien les équipes du couple qui régale les habitants de leurs savoureux produits, il aura été question aussi de la situation économique de ces professionnels de l’artisanat en proie aux crises successives de la COVID – qui ne se souvient pas des interminables périodes de confinement ? –, de la crise énergétique qui nous guette avec le renchérissement du gaz et de l’électricité, et des problématiques inhérentes à l’emploi et au recrutement.

Puis, le préfet, accompagné de son « guide » municipal, prirent la direction du chantier de la maison de santé, un projet dont le terme est prévu d’ici la fin du premier trimestre si toutes les conditions sont réunies.

 

 

 

Etat des lieux sur le chantier de la future maison de santé…

 

L’édifice, toujours en construction, une fois sorti de terre, accueillera sur un espace d’environ 400 mètres carrés plusieurs cabinets de praticiens, notamment des généralistes ainsi que deux dentistes. Un projet de belle envergure – une enveloppe budgétaire de près d’un million d’euros TTC – qui avait été soutenu à l’époque par l’ancien député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, et conçu par Benoît BAZEROLLES, l’une des têtes pensantes du cabinet d’architectes auxerrois, ATRIA.

Parmi les financeurs, outre la Région et le Département, il y avait aussi l’Etat à hauteur de plus de 275 000 euros TTC, au titre de la fameuse DETR, la Dotation des Equipements des Territoires Ruraux.

La dernière partie du déplacement préfectoral où se ralliaient également les conseillers départementaux du canton Delphine BILLON et Pascal HENRIAT devait se conclure dans le bureau du maire.

Il y fut abordé notamment le toujours très délicat dossier se rapportant aux gens du voyage et les projets d’aménagement d’aires de grand passage sur l’Auxerrois, conformément aux textes législatifs en vigueur.

On n’en saura pas davantage sur le contenu de ces échanges, certes passionnants, mais privatifs…

 

Thierry BRET

 


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Il fait toujours bon se promener dans le joli petit village de Saint-Bris-le-Vineux, enserré de vignes - notamment celles du cépage sauvignon, souvenir de l'AOC obtenue en 2003 ! L'on s'y sent bien, tout simplement. Ce marché de Noël – il se tenait antan aux proches « Caves de Bailly » - n'échappera pas à cette règle perpétuelle de la convivialité…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Bienvenue chez Marie-Jeanne, Philippe, Pierre, Romaric, Thomas...et tous les autres ! L'accueil dans les domaines est aussi chaleureux que sympathique (sur ce plan, privilégions plutôt les coteaux auxerrois que la prestigieuse côte de Beaune !) et permet souvent de découvrir de belles nouveautés, telle la cuvée de sauvignon gris du domaine PETITJEAN.

La gourmandise est aussi de mise. Florian le jeune boucher sort quelques escargots bien chauds et impeccablement assaisonnés. Quant à la réputée boulangerie-pâtisserie PARIS, toute récemment refaite, elle ne désemplit pas.
Dans les cours souvent pavés des domaines vignerons, de belles huîtres de Normandie, ou des accras pimentés rendant hommage à notre nouvelle Miss France, et autres hamburgers (ils sont composés de produits villageois artisanaux) font passer un agréable moment au public venu nombreux, même avec ce froid saisonnier.

 

 

 

Il ne serait pas impossible que cet attachant village voit prochainement le retour d'un petit restaurant (nous en reparlerons comme de bien entendu, tout comme des vingt ans de cette jolie AOC !) dans nos colonnes.

Alors, à bientôt à Saint-Bris ! Bonnes fêtes de fin d'année, et à l'an prochain !

Gauthier PAJONA

 

 


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L’amplitude kilométrique, du nord au sud de la deuxième circonscription de l’Yonne, représente tout de même plus d’une centaine de kilomètres. Difficile, d’assurer une présence physique régulière pour le parlementaire de l’Yonne qui est confronté à autant de distance pour rencontrer élus et citoyens ! L’ouverture d’une deuxième permanence, après celle d’Avallon, trouve ainsi sa pleine légitimité au cœur de Migennes.  

 

MIGENNES : Un peu délaissée de la circonscription, la partie septentrionale ? « Affirmatif », de l’avis même de son parlementaire, le député André VILLIERS. L’ancien chef de file de l’UDI, rallié à la cause d’Edouard PHILIPPE et de son nouvel appareil politique, « Horizons » - l’un des socles de la majorité présidentielle - depuis plusieurs mois, a donc décidé de conjurer le sort qui maintenait ce secteur géographique un peu trop éloigné de l’épicentre politique d’Avallon à son goût.

Déjà en 2017, l’idée d’ouvrir une seconde permanence au nord de ce territoire – point névralgique pour rayonner au plus près des élus, citoyens et autres acteurs de la vie institutionnelle et économique – lui avait effleuré l’esprit. Mais, cette fois-ci, en 2022, sera donc la bonne.

« J’ai décidé de lever ce handicap qui pénalisait ce secteur de la circonscription, précise l’élu de l’Yonne, en y installant un lieu de rencontre avec du personnel permanent… ».

 

 

Une équipe à l’écoute des citoyens du territoire…

 

Les familiers du toujours très vaillant agriculteur/éleveur prolixe lors de ses interventions y retrouveront Marie-Françoise MALCUY, une fidèle d’entre les fidèles qui avait accompagnée dès 2017 l’ancien président du Conseil départemental de l’Yonne lorsque ce dernier avait en responsabilité les rênes de l’organe institutionnel depuis l’hémicycle auxerrois.

Une autre recrue complète l’équipe : le jeune et très prometteur Yassin KOUACH, promu es qualité d’attaché parlementaire.  

Le garçon sera particulièrement sollicité par le pensionnaire du Palais Bourbon, puisqu’il naviguera entre les deux permanences distantes d’une centaine de kilomètres, l’une de l’autre. Quoi de plus naturel, en somme, puisque les voyages, chacun le sait, forment la jeunesse !

Disposant de ce local, bien aménagé et plutôt fonctionnel pour y accueillir du public, André VILLIERS prendra attache avec les administrés de sa circonscription – une population sur la partie nord estimée à près de 60 000 habitants – uniquement sur rendez-vous. Sachant que Marie-Françoise MALCUY et Yassin KOUACH bénéficieront d’un trois quart de temps à se partager sur chacun des deux lieux choisis par l’élu.

 

 

Multiplier les échanges en prenant le pouls du terrain...

 

Etre au plus près du terrain représente la marque de l’engagement politique du nouveau porte-étendard du parti porté par l’ancien Premier ministre Edouard PHILIPPE.

« C’est indispensable de pouvoir rencontrer les personnes qui vivent sur la circonscription, reconnaît André VILLIERS, adepte du tutoiement facile, de la poignée de main chaleureuse et de la proximité.

Optimiste de nature, sans être plongé dans la béatitude, le député de l’Yonne a pleinement conscience des difficultés vécues à l’heure actuelle par la nation hexagonale. Tout en relativisant les choses lorsqu’il évoque en aparté le contexte international si complexe.

Un André VILLIERS, fier d’être Français, qui en bon « morvandiau » aura su décorer sa nouvelle permanence d’un sapin illuminé de boules et de guirlandes dans le pur esprit de Noël.

Comme une offrande apportée aux habitants du nord de la deuxième circonscription qui trouveront désormais portes ouvertes pour faire part de leurs sollicitations et de leurs doléances en prenant rendez-vous avec leur parlementaire…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Le 15 août 2021, le retour des talibans à Kaboul, deux décennies après l’intervention occidentale ayant provoqué leur chute, s’est mué en une onde de choc mondiale. Tout le monde a en mémoire ces milliers d’Afghans terrorisés, se ruant dans une tentative désespérée vers l’aéroport pour quitter le pays, prenant d’assaut des avions, s’y accrochant parfois au décollage, avant que leur corps ne s’écrase sur la piste… Ambassadeur de France en Afghanistan à l’époque, David MARTINON a clôturé le cycle des « Conversations d’automne » à l’Abbaye Saint-Germain pour faire le récit de ces deux semaines de chaos, devant un public conquis par le sujet et par l’orateur…

 

AUXERRE : C’est en mai 2007 que les Français découvrirent cet énarque de 36 ans, lors de sa nomination par le nouveau chef de l’Etat, Nicolas SARKOZY, au poste de porte-parole de l’Elysée, avant un parachutage raté un an plus tard à Neuilly-sur-Seine avec pour objectif la conquête de la mairie.

Un échec qui fit retourner David MARTINON au Quai d’Orsay, pour un poste de consul à Los Angeles, avant sa nomination en 2018 comme ambassadeur de France en Afghanistan. Si la fonction est l’une des mieux rémunérées de la République (l’on évoque le chiffre de 30 000 euros par mois), c’est aussi l’une des plus dangereuses, dans un pays gangréné par la corruption, la guerre et les attentats terroristes visant notamment les diplomates étrangers. Avec toutefois à l’époque, des espoirs de développement économique et une relative émancipation des femmes : « au début, j’ai vraiment cru que l’on pouvait continuer à bâtir la démocratie, aider à la construction d’un Etat de droit et à la création d’une société un peu plus développée techniquement… ».  

 

Des cartes politiques rebattues avec l’élection de Donald TRUMP…

 

L’élection de Donald TRUMP a rebattu les cartes, le nouveau locataire de la Maison Blanche ayant promis lors de sa campagne de mettre un terme aux « guerres sans fin de l’Amérique ». A peine l’accord pour un retrait des troupes américaines signé, David MARTINON avertissait ses autorités supérieures sur la nécessité d’envisager la fermeture de notre ambassade à Kaboul : « dès ce moment, je savais que c’était foutu et qu’après le départ du dernier soldat étranger, la victoire des talibans serait totale. J’ai eu quinze mois pour préparer tout ça, avec l’idée de quitter proprement Kaboul… ».

Notamment en évacuant vers la France, pour ceux qui le souhaitaient, les employés afghans de l’ambassade. Plus de 600 personnes purent ainsi en deux mois, quitter le pays. Un scénario peu suivi par les autres pays européens, qui mirent beaucoup plus de temps à envisager la politique du pire. Pas plus d’ailleurs, précise l’ancien ambassadeur, que nos ressortissants présents dans le pays : « l’avion prévu les ramener en France le 17 juillet, n’était rempli qu’à moitié. Les Français de l’étranger sont comme ça, avec un rapport à l’autorité souvent empreint de désinvolture. Liberté, liberté chérie… ».

Arrive le 15 août et ces jours paroxystiques qui suivirent : « nous étions très préparés, mais ce n’est pas parce que vous l’êtes que vous êtes prêts ! Une crise est toujours marquée par l’imprévu… ».

 

 

Une exfiltration en hélicoptère à la « Top gun » !

 

L’heure pour David MARTINON, après 33 mois de présence en Afghanistan, de se muer en chef de guerre avec pour objectif de ramener sain et sauf « à la maison », tout le personnel de l’ambassade est devenue une évidence. Au fil des minutes, les évènements s’accélèrent et se bousculent en permanence. Sans réelle résistance de la part de soldats afghans désabusés, les talibans sont aux portes de Kaboul. L’ancien « Sarko-boy » a le pressentiment qu’il faut faire vite, une façon de raisonner qu’il tient explique-t-il de ses années d’apprentissage auprès de son ancien mentor : « il a toujours eu une sorte de sens du timing et dans ces moments-là, c’est fondamental. Moi je sentais que les choses allaient s’accélérer et j’ai donc donné instruction à l’équipe de se préparer à partir très vite le lendemain pour aller dans la zone verte sécurisée… ».

A peine le temps de brûler les derniers dossiers et détruire à la masse ce qu’il reste de matériels électroniques et les rotations vers l’aéroport s’enchaînent, dans un chaos indescriptible. Le moment aussi de prendre des décisions ayant valeur de vie ou de mort, comme d’autoriser l’ouverture du portail de l’ambassade pour éviter que la foule qui s’y pressait ne se fasse écraser par les véhicules des talibans. Surnommé par certains « l’ambassadeur courage », David MARTINON a dû aussi essuyer à postériori quelques critiques, notamment pour s’être mis en scène sur les réseaux sociaux, se filmant dans l’hélicoptère qui l’exfiltrait de Kaboul, façon Tom CRUISE dans « Top gun ». Il n’empêche qu’il a « fait le job » et à Saint-Germain, c’est tout ce que les personnes présentes souhaitaient retenir de lui.
La nuit est tombée. Le froid de décembre pique les joues, il est temps de rentrer. L’hiver va bientôt s’inscrire au calendrier, ne reste qu’à rêver au printemps prochain. A Kaboul, l’hiver sera long, si long, trop long, sans espoir de jours meilleurs…

David MARTINON se veut lucide : « pour faire simple, il n’y a pas de bonnes nouvelles arrivées de Kaboul ces quinze derniers mois. Les talibans modérés, ça n’existe pas ! »

 

Dominique BERNERD

 

 


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Principe de base élémentaire de la rencontre, faire connaissance. Sous l’égide de la concertation citoyenne, chère aux trois animateurs de la session : soit la conseillère régionale Isabelle POIFOL-FERREIRA et les deux élus de l’opposition auxerroise, Sophie FEVRE et Mani CAMBEFORT. Lors de cette seconde séance publique de « Vivre l’Auxerrois », différentes thématiques seront abordées. L’examen des missions et compétences ainsi que leurs répartitions entre la communauté d’agglomération et la municipalité. Mais aussi, le bilan de ce qui se fait et de ce qui se dit au sein de ces deux organes institutionnels…

 

AUXERRE : Partant du simple postulat qu’il n’existe guère d’opportunités aujourd’hui de pouvoir s’exprimer librement entre les organes décisionnels de la Ville, de l’Agglomération et les administrés – une vision qui est soutenue par les représentants de l’opposition de la majorité actuelle à l’origine de ce concept -, « Vivre l’Auxerrois » a été portée sur les fonts baptismaux à l’automne 2021.

Arguant qu’il est bon de retrouver les principes de la démocratie participative – elle s’exerçait lors du mandat précédent sous l’ère du socialiste Guy FEREZ par le biais des conseils de quartier désormais supprimés -, il a donc été créé cette structure associative, ouverte à tous, reposant sur la défense des solidarités, de la citoyenneté et de l’écologie.

 

Un laboratoire d’idées et de réflexions ouvert à bien des domaines…

 

Une association qui s’inscrit résolument dans la case politique du fait qu’elle s’occupe de la cité. Mais, nullement dans le sens « politique » politicien du terme que l’on connaît si bien. Dont les trois chefs de fille sont la conseillère régionale Isabelle POIFOL-FERREIRA, ancienne adjointe de la Culture à la Ville d’Auxerre – elle appelle de ses vœux à l’alternance politique en 2026 -, Sophie FEVRE, élue communautaire et municipale d’opposition ainsi que Mani CAMBEFORT qui présente un profil similaire. Ce dernier lors de sa présentation s’alignera sur les propos tenus par la conseillère régionale de divers gauche en rappelant que cette nouvelle entité apparue il y a peu dans le paysage de la réflexion citoyenne locale pouvait représenter un véritable creuset de suggestions et d’idées nouvelles à défendre en vue d’une éventuelle alternance.

Face aux trois interlocuteurs, une trentaine de personnes écoutait attentivement les éléments informatifs transmis lors de cette séance. En premier lieu, il fut question des conseils communautaires et municipaux en explorant les grands items qui y sont traités régulièrement. A savoir la hausse de la fiscalité, la transition écologique, la mobilité. Le volet économique ne fut pas occulté pour autant. Notamment la vente de parcelles de terrain tant dans la zone artisanale de Venoy que celle d’Appoigny qui suscite bon nombre de réflexions et d’interrogations de la part des élus de l’opposition.

 

Ne pas brûler les étapes même si 2026 est dans toutes les têtes…

 

Un chapitre concernait également le bilan des grandes réalisations de la majorité actuelle depuis son accession au pouvoir au printemps 2020. Provoquant une moquerie volontaire du premier fédéral du Parti Socialiste, Mani CAMBEFORT, pour qui « les sanisettes ne s’inscrivent pas parmi les grandes priorités du mandat ! ».

Parmi les autres thématiques de la soirée, accueillie salle Anna, on relèvera la présentation des missions régaliennes assurées par l’Agglomération et celles de la Ville, afin que chacun des citoyens présents comprenne bien le rôle et les prérogatives de chacun de ces organismes institutionnels.

Des post-it – ces fameux petits bouts de papier jaune ! – circulèrent ensuite parmi l’assistance à la manière d’une réunion affairiste du BNI afin que chacun puisse y écrire un mot selon les vertueux principes d’un exercice collaboratif.

L’objectif étant de récolter des idées collégiales sur le traitement des déchets, le développement économique ou encore la gestion de la petite enfance.

De l’aveu de Mani CAMBEFORT, le cycle de ces réunions participatives va se poursuivre en 2023, au rythme d’un rendez-vous trimestriel, en faisant émerger de nouvelles idées et préconisations pouvant constituer ensuite une liste de données alternatives – la base élaborée d’un programme peut-être – avant les futures échéances électorales des municipales 2026.

Toutefois, devait insister le premier fédéral du PS de l’Yonne, « on est toujours dans le mandat actuel ! ».

Une façon de bien recadrer les choses sans en brûler les étapes. Mais, a contrario, de construire patiemment un réceptacle où toutes les idées et initiatives sont bonnes à prendre, en préparant l’avenir…

 

Thierry BRET

 


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