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Estampillée « Cités de Caractère » et atypique avec ses nombreux monuments patrimoniaux, la localité de Puisaye-Forterre, forte de ses deux cents âmes, peut-elle raisonnablement succéder au dernier lauréat de cette émission audiovisuelle de prestige, à savoir le village du Haut-Rhin de Bergheim ? Oui, selon le premier élu, Jean-Michel RIGAULT, qui fait campagne pour que les Icaunais votent massivement en faveur de la candidature de sa bourgade…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Figurant parmi une sélection de quatorze dossiers afin de représenter la Bourgogne Franche-Comté au niveau national, la commune de Puisaye-Forterre est prête à jaillir des starting-blocks lors de l’édition 2023 de ce « Village préféré des Français », avec la ferme intention de se hisser sur la plus haute marche du podium. Et pourquoi pas de succéder au dernier vainqueur de ce concours très médiatique, suivi par les téléspectateurs de France Télévisions, la commune alsacienne de Bergheim.

Annoncée il y a quelques semaines lors de la cérémonie des vœux, puis confirmée par la publication du bulletin d’information communal, la nouvelle a tôt fait de s’être répandue comme une traînée de poudre auprès des deux cents habitants et de ses environs. Un choix qui est amplement justifié par l’édile du cru, Jean-Michel RIGAULT, qui, en sa qualité de vice-président communautaire en charge du Tourisme et président régional du label « Cités de Caractère », ne pouvait manquer une telle occasion de faire concourir son village de prédilection : c’est-à-dire le sien dans cette épreuve où chaque voix du public sera capitale !

Les motivations à prendre part à une telle expérience médiatique sont multiples. A commencer par les retombées qu’augureraient le succès dans cette aventure hexagonale, fort prisée des Français. Notamment le renforcement de l’attractivité « touristico-économique » qui, de surcroît engendrerait une hausse de la fréquence des visiteurs de France pour le bien des commerces locaux et des différents acteurs professionnels du tourisme. On pensera entre autres aux nombreux gîtes ouverts sur place.

 

 

Première étape : il fallait passer le cap de la sélection régionale…

 

Dans les faits, il n’y a pas d’appel officiel à candidature pour participer à ce concept d’émission, décliné sur les antennes de France Télévisions depuis 2012. Le désir de concourir à ce rendez-vous cathodique annuel émane le plus souvent du maire de la commune, mais aussi des offices de tourisme, voire parfois des habitants eux-mêmes. Il suffit de déposer un dossier de candidature et le tour est joué !

Le maire de Druyes et ses équipes se sont aussi appuyés sur les services de l’Office de Tourisme de Puisaye-Forterre – l’organisme diffuse à date une vidéo présentant les attraits de ce charmant village su pittoresque- mais également ceux de la Communauté de communes – son président, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI s’est dit ravi de l’initiative qui ne peut être que bénéfique pour la notoriété du territoire – et l’association « Cités de Caractère ». Une addition de partenaires afin de créer le buzz dans le landerneau et recueillir ainsi le plus grand nombre de voix, par vote interposé.

 

 

La notoriété du label « Village préféré des Français » induit une nette progression de la fréquentation touristique pour la commune lauréate du trophée.

Dès la fin avril, les équipes de France Télévisions se promèneront dans chacun des villages sélectionnés pour y réaliser de belles prises de vues devant mettre en valeur le patrimoine des prétendants au sésame suprême. Toutefois, la participation à ce concours où les votes par Internet ou par téléphone sont déterminants oblige à quelques aménagements stratégiques : il est nécessaire de repenser les lieux.

 

 

La Bourgogne Franche-Comté n’a jamais gagné le titre…

 

Le maire de Druyes a pensé à la parade. Jean-Michel RIGAULT a décidé d’augmenter le budget fleurissement de la commune et invite les habitants à en faire de même chez eux, voire en restaurant les façades et les volets des habitations afin de les rendre plus agréables et esthétiques. De manière à inciter les votants à se positionner en faveur de la localité icaunaise…

En l’espace de onze éditions, l’Alsace via le département du Haut-Rhin, mais aussi les régions Midi Pyrénées et la Bretagne ont trusté les titres aux cotés de la Normandie, du Centre Val-de-Loire ou des Hauts-de-France.

Jamais, la Bourgogne Franche-Comté n’a terminé sur le podium de ce challenge très complexe à relever.

Et si le petit village de l’Yonne érigé au pied de falaises et d’un promontoire accueillant le château moyenâgeux de la comtesse Mahaut de Courtenay créait enfin la surprise l’été prochain sur l’antenne de France 3 ? Du rêve à la réalité, il n’y a qu’un pas, finalement…

 

 

En savoir plus :

Pour voter en faveur de la candidature de Druyes-les-Belles-Fontaines

Sur le site gratuit de l’émission : www.ftvetvous.fr/levillage

Par téléphone : 3245 (0,80 euro de la minute + prix de l’appel).

On peut voter plusieurs fois par jour, les appels étant anonymes, à partir du 20 février jusqu’au 10 mars 2023.

 

Thierry BRET

 

 


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Pierre PALMADE défraie tristement la chronique aujourd’hui. De nombreux membres du show-biz ont tenu à afficher leur  soutien à leur collègue, dès l’annonce de l’accident. Puis, devant l’ampleur du drame, la mise en cause de l’humoriste et la révolte des réseaux sociaux, qui s’indignaient à juste titre, les édiles du spectacle nous ont joués un remake de « courage fuyons », en retirant leurs tweets… Journalistes, politiques et anonymes sur la toile se sont ensuite acharnés sur celui qui hier, ressemblait plus à une idole, qu’à un épouvantail ! Le cas « PALMADE » ou la complaisance des artistes, des politiques et du monde, pour l’intérêt de la drogue dans le cadre de la création artistique !

 

TRIBUNE : On pense souvent, à tort, que l’argent et la gloire font le bonheur. Pourtant, le milieu artistique est reconnu comme étant l’un des domaines où l’on retrouve le plus de personnes dépendantes aux drogues. Tous ont hélas admis que la prise de drogue est nécessaire à la création artistique. Opium, mescaline, cocaïne, alcool… autant de substances aux effets plus ou moins recherchés, que certains artistes se sont empressés d’essayer à des fins pas toujours médicamenteuses.

Flirtant entre hallucinations et folie, les drogues et leurs effets en ont inspiré plus d’un, à l’instar de Francis PICABIA, les opiacés à l’œuvre, punk avant l’heure, dandy dada puis surréaliste. C’était un provocateur inventif, adepte de drogue en tout genre. Henri MICHAUX, peintre, écrivain et poète de son état, cultivait un faible pour la mescaline ! La substance hallucinogène aux effets synesthésiques.

 

Un moyen éthéré de trouver sa source d’inspiration…

 

Antonin ARTAUD connut la drogue à la folie. Le grand dramaturge du théâtre a noué tout au long de sa vie une addiction profonde pour l’opium et ses déclinaisons exotiques, héritée d’une méningite précoce qu’il combattit en s’oubliant dans les univers parallèles de la chimie. Explorateur infatigable au royaume des substances, Antonin ARTAUD découvre au Mexique une drogue nouvelle, le peyotl, à laquelle des chamanes l’initient. Jeanne SUSPLUGAS ou la  pharmacopée inspirée : on trouve chez elle de « Lexomil », des médicaments à revendre, des boules à facettes moulées à la forme de la structure chimique d’anxiolytiques ou d’anesthésiques, ou des néons à la gloire du « Doliprane »…

Johnny HALLYDAY entre dysfonction érectile et spectacles à gogo, il se gave de cocaïne, d’anabolisants… Johnny n’a jamais caché son addiction à la cocaïne, sans parler de l’alcool !

« Mais comment aurai-je mon opium ?» se serait exclamé Jean COCTEAU en apprenant l'ordre de mobilisation générale de septembre 1939. Écrivain, dramaturge, poète reconnu, cet homme de cinquante ans est aussi un opiomane patenté, qui entretient depuis 1924 avec la drogue un flirt aussi poussé que douloureux.

De grands auteurs ont été tentés par l’opium. Cette drogue qui leur offrirait un monde nouveau. Le génie apparaît là où le talent rencontre la folie. Cette extase emporte l’auteur dans une dimension étrange aux possibilités infinies. Plus de limites au monde ni à la création ! Plus de limites aux mots ou aux images ! Parmi les « addicts » de l’héroïne et du hachich, on peut citer : Baudelaire, Rimbaud, Gérard de Nerval, Verlaine, Théophile Gauthier, Françoise Sagan et bien d’autres…

 

 

 

Le mix substances illicites et alcool du meilleur effet…destructeur !

 

Pour beaucoup, c’est l’addiction à l’alcool qui les gouverne : le chanteur François DEGUELT (« Il y a le ciel, le soleil et la mer ») reconnaît publiquement son penchant pour l’alcool en justifiant son attitude et préciser qu’il ne connaissait pas d’artiste qui ne buvait pas. Pour Gérard DEPARDIEU, c’est aussi un vice qui traduit son mal-être. Que dire d’un Serge GAINSBOURG qui au final n’est invité sur les plateaux TV que parce qu’il est ivre… Une grande question : est-ce que la prise de drogue amoindrit la performance artistique ? A chacun de répondre en son âme et conscience…

Et les politiques dans tout ça ? On se doute que certains hommes politiques ont recours à des substances illicites. Pascal PRAUD affirme sur CNEWS, le 14 février au soir : « Les hommes politiques se droguent aussi ». Telle quelle, cette affirmation est inadmissible, Monsieur PRAUD ! Votre annonce n’est plus de l’information : pas de nom (et pour cause), aucune preuve ou témoignage d’expérience ! Le plus grave, c’est que tout le monde peut aisément l’admettre mais vous jetez l’opprobre sur un groupe qui n’a pas besoin de ça pour l’instant … On notera au passage que nos braves élus mettent en place des contrôles de plus en plus drastiques pour l’alcool mais restent assez timides en ce qui concerne les drogues en tout genre.

Chez les sportifs, il existe une certaine indignation du public pour le dopage. Il aura fallu la mort du cycliste britannique Tom SIMPSON, filmée en directe sur les pentes du mont Ventoux, pour que le cyclisme prenne des mesures drastiques concernant le contrôle antidopage. On pourrait suivre l’exemple du football américain : beaucoup se droguent, aucun contrôle, car cette activité n’est pas cataloguée comme « sport » mais comme « spectacle ». Ce qui induit que les artistes peuvent se droguer…Pour les artistes, les sportifs et les hommes politiques, beaucoup admettent sa dimension incontournable. Certains la tolèrent mais peu la combattent.

 

 

Le trafic de drogue un risque pour notre démocratie…

 

Quelles sont les conséquences des drogues dans la société ? D’abord des risques sociaux avec la marginalisation, les violences commises sous l'effet d'un produit. En cas d'usage répété de substances, les sensations agréables initialement recherchées font place à de l'angoisse, voire à des sentiments de panique et de perte de contrôle de sa consommation. Ce sont aussi des risques sanitaires : les adeptes des drogues en tout genre, et on peut inclure le tabac, ont des effets extrêmement nocifs sur la santé et la prise en charge médicale à un coût non négligeable.

Des risques financiers : aujourd’hui ce sont 4,2 milliards d’euros, selon les derniers calculs de l'INSEE, qui ont été dépensé par les Français en 2020 pour s'approvisionner en cannabis, cocaïne, héroïne, crack et autres produits stupéfiants.

En décembre 2020, le ministère de l'Intérieur dénombrait 4 000 supermarchés de la drogue, ou « fours » dans le jargon des trafiquants. Selon l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le nombre d'amateurs réguliers, s'adonnant en moyenne dix fois par mois à leur goût du cannabis, s'élèverait à 1,4 million. Les adeptes plus occasionnels seraient, eux, 5 millions. Près de la moitié des adultes y auraient déjà goûté. Ces chiffres placent l'Hexagone en tête du classement européen des pays consommateurs, devant le Danemark et l'Espagne.

Les trafiquants aujourd’hui, imposent leur loi et les pouvoirs publics semblent impuissants, et pour le moins limités dans leurs actions possibles !

Des zones de non-droit gangrènent peu à peu le territoire national et des enfants délaissent l’école pour épauler les trafiquants (des guetteurs). Les jeunes adultes préfèrent l’argent facile de la drogue au travail…

Plus inquiétant : l’INSEE intègre le poids de la drogue dans le calcul PIB ! La drogue dope le PIB avec 2,7 milliards engrangés et 0,1 % de la richesse nationale. Sidérant et stupéfiant, sur le plan de l’éthique en politique, mais significatif de la mentalité ambiante. Dans ces conditions, on se demande bien pourquoi l’INSEE refuse d’intégrer la prostitution dans les chiffres officiels !

En définitive, le cas « Pierre PALMADE » va permettre de remettre sur la table les problèmes de la drogue dans sa globalité et de ses interactions. N’oublions pas que  dans notre système, on juge des hommes qui ont commis des actes. Si on ne jugeait que des actes, il serait alors plus simple d’engager dans l’ordinateur, la fiche du délit commis, et la sanction tomberait automatiquement.

Heureusement nous n’en sommes pas là ! Alors, que pour Pierre PALMADE, la justice passe, toute la justice, rien que la justice mais pas la vengeance ! 

En France, tout commence et tout finit par une chanson, alors je ne résiste pas à l’irrépressible envie de plagier une célèbre chanson de SHEILA : « Comme les rois mages en narguilé, fumaient un joint avant d’aller snifer… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Cela fait presque un demi-siècle, quarante-cinq ans précisément, que la famille SAUNIER, consciencieusement et de manière conviviale, nourrit le peuple auxerrois avec gourmandise ! Cela commença en 1978. Année des législatives où l'on pouvait voir le maire auxerrois d'alors, Jean-Pierre SOISSON, affirmer tout de go sur de grandes affiches colorées que « la majorité aurait bien la majorité ! ».

 

AUXERRE : A cette époque, arrivant de Saône-et-Loire, Jean-Pierre et son épouse, Marie-Paule – elle est décédée l'an passé - ouvraient « La Marmite ». Un petit estaminet qui fleurait bon le beurre persillé des escargots, et la sauce meurette recouvrant des œufs à l'impeccable jaune coulant. Leur fille, Claire, encore toute gamine, devait bien y donner parfois un « p'tit coup » de main ! C'est ainsi que naissent les vocations.

Puis, au milieu des années 80, vint le temps du « Maxime », le long des quais de l’Yonne. Changement de style, de braquet aussi, avec le vivier à homards, la rôtisserie...On imagine aisément le prince de Bretagne en version Thermidor, ou bien encore rôti, et nappé suavement d'un jus délicat récolté dans le lèche-frites. Avec un rien d'estragon, puis monté au beurre, hum !

 

 

De succès en succès selon les établissements…

 

C’était aussi la grande époque des banquets post match de coupe d'Europe, de l'AJ Auxerre. Question ballon rond, comme en cuisine avec un grand « C », c'était une autre époque. Puis, Eve va naître. Cette petite sœur de Claire deviendra elle aussi cuisinière !

Changement de cap au nouveau siècle. En 2006, Jean-Pierre, aux fourneaux, et Claire, en salle, ouvrent « Le Rendez-Vous », rue du Pont. Non loin de leur fameuse « Marmite » des années 70 !

Là aussi, le succès est immédiat. Le comptoir y est des plus accueillants, et les mets (jambon persillé, roulade d'œuf au foie gras, gras double à la lyonnaise, églefin au beurre citronné) et le délicat bœuf Wellington, mis au point en version individuelle par le chef - ce plat délicat est d'ailleurs l'un des préférés du sympathique journaliste de RTL, Yves CALVI – régalent les hôtes du lieu.

N'ayons garde d'oublier, l'un des plats symboles de Jean-Pierre : la pièce maturée de bœuf charolais, accompagnée d'une sauce béarnaise d'anthologie. Ce qui lui vaudra même les compliments d'un inspecteur du Michelin, à une époque belle et bien révolue hélas, où les services du célèbre guide passaient dans toutes sortes de maisons, pourvu que l'on y cuisine....

 

 

 

Claire, la digne héritière de son père, Jean-Pierre…

 

Voici quelques mois, l'entreprenant Jean-Pierre raccrocha son tablier, dans une maison marquée par son empreinte et ses légendaires coups de gueule ! A  partir de ce moment-là,  pour Claire, le patronyme SAUNIER ne reposa plus que sur ses épaules. Pas si simple pour elle, mais aussi  pour toute une clientèle de fidèles habitués...

Aussi, tout en conservant quelques fondamentaux de l'ancien parrain de la cuisine auxerroise, le jeune chef Paul - prénom culinaire prédestiné s’il en est...- sut s'émanciper quelque peu, et faire aussi SA cuisine, appréciée lors de ce récent déjeuner. 

 

 

 

 

Des mets préparés avec justesse et qualité…

 

En entrée, le gâteau d'endives - ou chicon en version « ch'ti » !  - au magret de canard est plutôt inattendu, mais il constitue un bel accord. Quant à l'œuf poché au saumon, sauce safranée, c'est un modèle du genre. Une mention pour le pain : merci chers boulangers et boulangères aussi !

En plat de résistance, ayant comme le célèbre cuisinier Cyril LIGNAC un faible pour le curry (un mélange d'épices variant selon régions ou pays asiatiques...), je me suis régalé avec les impeccables aiguillettes de volaille, nappées de cette bonne sauce. Puisqu'il faut bien choisir, c'est un brin à regrets que je n'avais pas pris la poire sauce béarnaise. Même par modeste cliché interposé, avouons que l'on y tremperait volontiers sa cuillère !

 

 

Un « Rendez-vous », antre de la bonne cuisine traditionnelle…

 

En dessert, de jolies interprétations classiques furent proposées  - plutôt un compliment face à certaines approximations actuelles parfois...- avec une belle mousse au chocolat, et une mention spéciale pour l’île flottante, à la consistance prononcée et un brin sucré,  des blancs d'œuf, nappés par une succulente crème anglaise. Comment se  résoudre à ce que cette crème délicieuse ait un qualificatif d'outre-Manche. Shocking, isn't it !

Voilà. Niché en haut de la rue du pont, notre « Rendez-Vous » est toujours là, avec son sens de l'accueil, sa cuisine aussi gourmande que rassurante. Qu'on se le dise, et à bientôt de s'y attabler !

 

 

Contact :

 

Le Rendez-Vous

37, Rue du Pont

89000 AUXERRE

Tel : 03.86.51.46.36.

Sauf samedi midi et dimanche.

Première formule-déjeuner à 25 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Il a de la suite derrière les idées, le « gamin » ! Agé de 17 ans, élève d’une classe de terminale au lycée Jacques Amyot à Auxerre – son penchant pour l’histoire/géo lui a fait choisir cette option si spécifique -, le voilà déjà propulsé dans l’univers médiatique, en étant régulièrement convié à l’émission sportive de France Bleu (« 100 % AJA »). De la pure logique pour ce jeune homme qui souhaite embrasser la carrière de journaliste et qui est à la tête d’un média en format « You Tube », consacré à l’AJ Auxerre…

 

AUXERRE : Personnage principal du « Cid », Rodrigue grâce à la plume imaginative de son créateur, Pierre CORNEILLE, livrera dans l’une des scènes cette formule devenue célèbre : « Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ! ».

Une phrase que devrait reprendre à son compte, Léo AGOPIAN, un Auxerrois de 17 ans, préparant d’ici le terme de ce printemps son baccalauréat, et qui ne rêve que d’une seule chose lorsqu’il se projette dans l’avenir : posséder en bon journaliste qui se respecte sa carte de presse ! Catégorie sportive car telle est sa préférence.

Léo, comme le célèbre surnom de Lionel MESSI, est un inconditionnel de l’AJ Auxerre. Un de ces fervents supporters qui a des choses à dire et qui sait les exprimer lorsqu’il est l’un des invités de nos amis et confrères de France Bleu, dans le cadre de la fameuse émission du lundi soir, « 100 % AJA ».  

Là, pas du tout gêné par son âge encore juvénile, et aux côtés de quelques poids lourds rompus à cet exercice radiophonique de longue date (André TRUFFAUT, Alain GEHIN, Fabien COOL, Lucien DENIS…), le jeune homme, à peine sorti de son adolescence fugace, livre ses commentaires et argumente à qui mieux mieux sur l’état de fraîcheur des troupes auxerroises, la tactique du coach, les espoirs et désillusions entretenus de l’après-match.

 

De l’audace et de la fougue, la jeunesse de Léo plaide pour lui…

 

Le garçon est brillant. A l’oral car, le verbe suit devant le micro. Mais aussi dans la réalisation d’images. Celles qu’il capte au détour d’une interview, d’une rencontre, d’un prétexte pour illustrer l’une de ces courtes vidéos de trois minutes – le format presque idéal d’un reportage télé – qu’il diffuse ensuite sur sa chaîne créée sur « You Tube » et opérationnelle depuis septembre 2020. A date, plus de 850 aficionados qui suivent les péripéties de la future pépite de la presse en redemandent.

On y retrouve des interviews, des portraits de joueurs et de dirigeants, des story de vieilles gloires que la nouvelle génération de suiveurs aurait presque oubliée, des débriefings, des commentaires, des analyses, des statistiques, etc.

Et pour ce faire, le jeune Léo ne manque ni de culot ni de pugnacité pour récolter les impressions d’un Fabien COOL, d’un Lucien DENIS, de « monsieur » Guy ROUX, le pape des coaches français toujours consulté par la presse pour la qualité de ses bons mots et son sens de l’analyse pertinente. Léo AGOPIAN apprend petit à petit ses gammes de futur journaliste qu’il est déjà à la manière d’un « Monsieur Jourdain », pratiquant la prose sans trop le savoir avec les tirades épistolaires de MOLIERE ! Et il n’a que 17 ans !

 

 

 

Un hommage à Marian SZEJA diffusé pour l’anniversaire de sa disparition…

 

D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas : le garçon possède lui aussi le sens de la formule. Car, nommer son média web digital en référence au célèbre buteur tchèque Antonin PANENKA (« PANENK’AJA ») qui réussissait les pénaltys avec sa technique qui lui était bien particulière, en y ajoutant l’acronyme du club auxerrois est déjà une prouesse de la sémantique en soi ! Bravo, à l’originalité !

Un support qui propose avec exigence des contenus vidéos consacrés au club fétiche, avec des zooms et de l'histoire, une affaire humaine, en quelque sorte dévoilée par autant de témoignages…

Léo y met de l’huile de coude pour y parvenir avec brio : le pilotage de la ligne éditoriale, la réalisation des vidéos, la partie montage, mais aussi l’approche démarchage et sponsoring !

Sa prochaine publication, à découvrir dès le 25 février sur « You Tube », retrace la carrière d’une figure quasi oubliée du club bourguignon, le gardien polonais Marian SZEJA, détenteur de l’or olympique obtenu aux Jeux de Munich en 1972, et international une quinzaine de fois en qualité de portier de la grande Pologne des années 70.

Un athlète qui évoluera au FC Metz, avant de rejoindre les rives de l’Yonne, enrôlé au sein de l’AJA. Il y sera finaliste de la Coupe de France 1979, et quittera le club l’année suivante alors que les Auxerrois accèdent enfin à la première division.

Pour l’anecdote, le visage de Marian SZEJA est connu de tous mais dans le plus strict anonymat puisqu’il a interprété le rôle d’un gardien de but dans le fameux film « Coup de Tête », de l’immense Jean-Jacques ANNAUD (« Notre-Dame », « L’Ours ») dont la vedette n’est autre que l’acteur écorché vif, le regretté Patrick DEWAERE.

La diffusion de ce document signé par Léo, à ne manquer sous aucun prétexte, coïncide avec la date de la disparition du joueur, son décès étant survenu le 25 février 2015…

Un clin d’œil de Léo AGOPIAN qui ne doit rien au hasard. La marque évidente d’un futur grand professionnel de la presse, respectueux de ces hommes qui ont fait l’histoire…

 

 

En savoir plus :

« PANENK’AJA »

Média consacré à la vie de l’AJ Auxerre et diffusé sur la chaîne « You Tube »

Réalisé par Léo AGOPIAN

A voir le 25 février, le court métrage sur l’ex-international polonais Marian SZEJA.

 

Thierry BRET

 

 


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Transfuges de Debout La France (DLF), celles et ceux des adhérents du parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN qui n’arrivaient plus à accorder leurs violons avec le leader souverainiste, ont choisi de prendre le large et de créer un mouvement de droite gaulliste, baptisé « L’Avenir Français ». Ralliés aux théories idéologiques exprimées par le Rassemblement National dont ils sont partenaires dans la vie élective, les membres de la fédération de l’Yonne tenaient leur assemblée générale il y a peu…

 

CHEVANNES : Un arbre aux racines puissantes, solidement implanté dans le sol de…France ? L’emblème du mouvement de la droite gaulliste « L’Avenir Français » illustre sans l’ombre d’une ambiguïté les valeurs intrinsèques défendues par les militants et adhérents de ce parti souverainiste qui s’est accouplé avec le Rassemblement National pour faire cause commune jusqu’aux fonds des urnes lors des dernières échéances électorales.

Pourtant, cette jeune formation née du départ de bon nombre de cadres de Debout La France (DLF) – « les meilleurs d’entre nous ! » comme en plaisantera avec allégresse le conseiller régional Pascal BLAISE, désigné par la base nouveau coordinateur départemental sur l’Yonne – sait également jouer sa carte publique en solo, lors de ses assemblées générales.

La dernière eut lieu il y a quelques jours dans une salle communale de la localité périphérique de l’Auxerrois, rassemblant une trentaine de personnes avides d’écouter les propos incisifs et critiques du chef de file icaunais de ce parti envers le gouvernement, appelant à la « France libre ». Un clin d’œil sémantique fait au célèbre personnage inhumé à Colombey-les-Deux-Eglises ?

 

Un jeune loup issu des néo-députés du RN et de ses alliés…

 

Comme invité surprise : le néo-député du groupe RN et Alliés de la quatrième circonscription du Loiret, Thomas MENAGE. Un jeune loup de la politique aux dents acérées qui est membre de la Commission des Territoires, de l’Agriculture et de l’Alimentation au Palais Bourbon. L’une des surprises des législatives chez nos voisins occidentaux.

« Il nous faut démontrer par nos actions et notre implication sur le terrain que nous ne sommes pas qu’un parti protestataire mais bel et bien un parti de gouvernement, devait-il asséner dès sa prise de parole à un auditoire conquis par le dynamisme de l’orateur. Du petit lait à boire à volonté pour étancher la soif de ce public inféodé aux propos de l’intéressé qui évoquera les problématiques du moment, de l’insécurité à la baisse du pouvoir d’achat, des difficultés de la ruralité à la désertification des services de l’Etat.

Mais, auparavant, l’auditoire fut accueilli par les explications de texte fournies par un Pascal BLAISE très en verve, désireux de recréer dans l’Yonne ce qui fut fait jadis avec Debout La France en reprenant à 98 % les idées et les convictions de la formation qui fut fondée initialement par Nicolas DUPONT-AIGNAN.

 

 

« Pour faire plaisir aux Allemands, on porte des cols roulés ! »…

 

Anticipant sur d’éventuelles questions journalistiques se rapportant à l’étroite osmose existante entre le RN et L’Avenir Français, Pascal BLAISE balaiera d’un revers de la main avec malice la légitimité de l’interrogation en rappelant que « c’est bien le Rassemblement National qui a légèrement varié ses positions par rapport aux nôtres ».

Affirmant tout de go, dans la continuité de ses dires, que « le RN est aujourd’hui un parti gaulliste et souverainiste ». Bien loin, donc, des propos extrémistes tenus jadis par son fondateur, Jean-Marie LE PEN. Un parti aseptisé ?

« Celles et ceux qui pensent cela aujourd’hui du Rassemblement National fonctionnent avec un logiciel Windows 3 dans la tête, ironisera l’interlocuteur, parce que si vous n’êtes pas d’accord avec la bien-pensance, on vous targe d’être populiste ! Et si vous n’êtes toujours pas d’accord avec cette même bien-pensance, parce que l’on insiste, vous êtes cette fois-ci complotiste ! ».

Remonté à bloc tel un coucou suisse paré à sonner toutes les heures et les minutes de l’horloge, Pascal BLAISE évoqua ensuite la crise de l’énergie et les incohérences de l’Etat sous l’ère de Lionel JOSPIN – « c’était le roi des privatisations ! » - qui amène désormais aux problèmes funestes observés au quotidien par les artisans et les commerçants.

Prolixe dans ses arguments, l’élu régional enchaîne sur le prix de l’électricité, indexé sur le prix du gaz : « il faut être un technocrate sans aucun bon sens pour arriver à ce résultat en France ! ». Avant de décocher, toujours sur le même item, quelques flèches ravageuses destinées aux Républicains de l’époque Nicolas SARKOZY !

« Ils avaient tous le choix de faire autrement ! Nous avions une souveraineté énergétique en France. Pour faire plaisir aux Allemands, nous en sommes réduits aujourd’hui à porter des cols roulés ! ».

Quant à l’alliance avec le Rassemblement National, elle sera reconduite plus que jamais dans le sillage de Jordan BARDELLA, le nouveau numéro un national. Un jeune plein d’avenir et talentueux, selon Pascal BLAISE. « Nous serons des alliés fidèles mais…des alliés ! ». Une manière d’affirmer davantage l’indépendance d’esprit du mouvement de la droite gaulliste et souveraine qui veut avoir son mot à dire dans le paysage politique hexagonal…

 

En savoir plus :

Le bureau départemental

Pascal BLAISE, coordinateur départemental de l’Yonne,

Jean-Guy BEGUE, coordinateur départemental adjoint,

Pascal ROY, organisateur en charge de l’action militante,

 

Thierry BRET

 


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