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Déjà que de garer son véhicule dans le cœur de ville est particulièrement délicat ce mois-ci avec la multitude de travaux en cours, se rapportant entre autres au long remplacement des réseaux de gaz, vétustes et inappropriés en termes de modernisme et d’efficience, voici que les automobilistes eux-mêmes se mettent à faire du grand n’importe quoi sur les parkings auxerrois. En témoigne cette illustration où le malheureux propriétaire de la petite Kia grise (voire au centre de la photo) pris en tenaille entre plusieurs autres bagnoles a dû ronger son frein longtemps avant de pouvoir quitter son piège !

 

BILLET : On savait que les Français, ces Gaulois réfractaires à toute évolution, faisaient montre d’impolitesse et d’incivisme au quotidien – c’est devenu un véritable sport national, une marque de fabrique tricolore, aussi bien en ville que dans les campagnes, de bon augure avant les Jeux de Paris où nos couleurs seront favorites, c’est certain aux  médailles du plus beau des métaux ! – mais là, il faut presque se pincer le bras en se demandant si tout cela est bien vrai !

Tout le monde se fout de tout et le bon sens, voire la logique pour celles et ceux qui en font encore usage à bon escient avec leurs neurones distraits par les portables et autres mondes virtuels, semble s’être évaporé pour de bon, balayé par les puissantes rafales de vent de ce mois de novembre, enfin automnal.

Imaginez la tête du possesseur de ce petit véhicule gris, d’une marque sud-coréenne placée au centre de notre illustration, lorsqu’il a voulu quitter le parking (un véritable piège d’ailleurs que cet espace de stationnement anarchique situé près du Rond-Point de Paris, dépourvu de la moindre ligne au sol faisant office d’emplacement) d’où il n’a pu s’extraire avec commodité.

 

Courir tout le temps après n’importe quoi…

 

C’est sûr : être coincé entre plusieurs automobiles, l’une devant, l’autre derrière, sans oublier celles positionnées sur les côtés, aura dû s’apparenter à une sinécure inéluctable pour le malheureux conducteur.

Le propriétaire aura dû s’en doute d’armer de beaucoup de patience (vertu que le Français ne possède pas !) et bouillonner intérieurement avant de pouvoir  s’extirper de la nasse dans laquelle on l’y aura mis. De manière involontaire, on ose espérer, ou peut-être pas, c’est à se demander  à y regarder de plus près !

Où sont donc passés les principes élémentaires du Code de la Route qui s’appliquent aux règles de stationnement ? Pressés de poser leurs « caisses » sans crier gare, n’importe où, et n’importe comment, afin de se rendre dare-dare au bureau, faire leurs emplettes, boire le petit ballon de blanc salvateur ou se précipiter sur le premier jeu de grattage venu en espérant toucher le jackpot en devenant millionnaire, nos concitoyens à force de courir après on ne sait quoi (rassurez-vous la mort sera toujours là pour vous accueillir au bout du compte !) et par manque de discernement en sont arrivés à ne plus rien respecter du tout, encore moins de l’existence d’autrui, voire de la leur.

 

 

Il faut être inconscient voire totalement c…pour bloquer un véhicule !

 

Car, tout de même, avec un peu de jugeote, pour l’automobiliste fautif de cette infraction (peu importe de savoir si c’est celui de devant, de derrière ou de côté d’ailleurs qui aura bloqué le véhicule central), ne pas s’apercevoir que l’automobiliste « piégé » ne pourrait pas bouger son véhicule est totalement inconscient. Pour ne pas dire d’autres mots empruntés au célèbre sabir fleuri du regretté Michel AUDIARD !  

Et si ce véhicule encerclé était celui d’un professionnel de santé devant assurer une intervention d’urgence, d’une mère de famille devant s’occuper de ses enfants en bas âge à la maison, de personnes malades devant rentrer à leurs domiciles pour s’y soigner, de personnes en activité devant honorer un rendez-vous capital ? On ose imaginer les conséquences par effet gigogne d’un acte aussi anodin et imbécile…

Qu’importe ! En bon égoïste que nous sommes tous, du moment que nous puissions garer notre bagnole là où il y a de la place, le reste n’est pas un problème en soi. Détrompez-vous, mesdames, messieurs : cet incivisme ordinaire et nauséabond, ce m’en foutisme indigent qui nous gangrène tous les jours dans moult domaines et nous ronge comme un cancer incurable, sera la cause de notre perte…Du moins, celle des gens intelligents et civilisés.

 

Thierry BRET

 


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En ce mois de novembre, période des produits tripiers, notre rubrique culinaire vous emmène déguster l'un des abats préférés des convives icaunais : la tête de veau. Souvent, elle est proposée au menu du jeudi. Le « Restaurant du Pont » à Cry-sur-Armançon n'échappe pas à la règle. Pourquoi ce jour-là ? J'avoue tout de go en ignorer la raison !

 

CRY-SUR-ARMANCON : La France comptait environ un millier de tripiers en 1970. Combien en demeure-t-il désormais ? Deux cents, tout au plus. Dans l'Yonne, on pense aux sympathiques frangins MAGNONI, présents sur nombre de marchés (Pont-sur-Yonne, Sens, Toucy, notamment...).

Au sud-est de notre département, à une portée d'arquebuse de la Côte d'Or, se dresse le joli village de Cry-sur-Armançon (164 habitants environ). Il est bordé de majestueuses forêts. L'Armançon y coule gaillardement.

 

 

Rendre l’hommage qu’ils méritent aux tenanciers de l’établissement

 

Le « Restaurant du Pont » est l'unique commerce villageois. Poussons-en la porte. Antan, avant que les peintures ne soient refaites, des affiches de « La Française des Jeux » indiquaient quelques gains de grattage en francs français. Rappelons en la matière ce chiffre édifiant : seuls, environ 25 % de villages ont la chance de disposer encore d'un ou plusieurs commerces.
Autour du comptoir en formica, ça discute de façon animée. Ce bistrot, c'est LE lieu de rencontres du village, et l'on ne peut que rendre l'hommage qu'ils méritent à ses tenanciers. Le jour venu, pourront-ils trouver un successeur ? En tous cas, le mâcon est gouleyant. Ce que paraît confirmer le gentil chien de la maisonnée.

 

 

La tête de veau, fière représentante du 5ème quartier et des abats blancs

 


La salle du restaurant est toute lumineuse. Elle arbore sa jaune panoplie. Quelques affiches d'albums de l'indémodable « Tintin », dont « L’Etoile mystérieuse » et son énorme champignon, décorent les murs. Les assiettes de la maison sont siglées. En entrée, le feuilleté de boudin est plutôt bon. L'autre proposition, le jambon persillé, est de conception industrielle, comme les desserts d'ailleurs. C'est un peu dommage. Mais, nous sommes venus pour le plat principal qu'est la tête de veau, fière représentante du cinquième quartier et des blancs  abats parmi lesquels les délicats ris, à contrario des abats rouges constitués par foie et autres rognons.

 

 

 

La tête de veau arrive dans des assiettes copieuses plutôt chaudes ! Sa sauce herbée est un rien acide, ce qui est plaisant avec la texture de notre mets. Autour de nous, une petite  cinquantaine de convives semblent communier avec le bel abat, tenant de ces savoureux plats populaires appréciés des connaisseurs ! L'atmosphère est plutôt plaisante en ce jeudi, et la petite fille qui fait le tour des tables est plutôt rigolote. Elle est ici comme chez elle !


Un café et voici l'heure de traverser à nouveau le joli pont de pierre. Et qu'on se le rappelle, jeudi prochain, le 16 novembre précisément, c'est le jour du beaujolais nouveau ! Mais demain à Cry, demeurera-t-il un bistrot, ainsi que  des amateurs de mets tripiers ?

 



En savoir plus :

 

Les - : on aimait ces vieilles affiches en francs français présentés sur ce mur défraîchi. Désormais, c'est plus lumineux, mais...

Les + : bravo aux sympathiques tenanciers de l'unique commerce de ce village.

 

 

 

Contact :

 

Restaurant du Pont de Cry

02 Rue du Moulin

89390 Cry-sur-Armançon

Tel : 03.86.55.73.09.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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On dit qu’il est le révélateur de l’âme. Le regard. Le sien est profond et intense. D’un bleu azuréen, comme gorgé de soleil. Chaud et doux à la fois, à l’image de ces toiles, petits et grands formats, figuratives ou abstraites, aux couleurs éclatantes mais finement choisies que l’artiste icaunaise se plaît à positionner avec sérénité et harmonie sur les cimaises de l’Espace culturel. Jusqu’au 03 décembre, celle qui a fréquenté les ateliers de Montparnasse et de Paris aux côtés des esthètes en la matière va donc prendre racine. Pour y dévoiler sa rétrospective. Logique, quand on a la passion comme elle de la nature et des arbres, sources d’inspiration…

 

GURGY : Elle est très volubile, Odette LACAZE-BERNARD, dans ses explications. Surtout dès qu’elle évoque ses souvenirs d’enfance – particulièrement âpres et difficiles –, sa relation privilégiée entretenue avec sa maman, toujours sa référence pour avancer dans l’existence, et sa vie personnelle, un brin complexe parfois. Son rapport salvateur avec le monde des arts et de la créativité, aussi. Un refuge pour sa paix intérieure. Elle, qui ne se prédestinait pas vraiment à embrasser un jour la carrière d’artiste.   

D’ailleurs, aujourd’hui, la dame – respect, elle fête ses vingt-cinq ans d’imagination fertile en dévoilant cette rétrospective unique en son genre déclinée en une trentaine d’œuvres, certaines colorées, aux constructions éclectiques – est fière du chemin parcouru. Se remémorant ce que lui disait jadis une enseignante du collège qu’elle fréquentait : « n’arrête jamais de dessiner, tu as un don, du talent et tu verras un jour tu t’y remettras… ».

 

 

Une grande liberté dans la richesse créative

 

Une sage prémonition, qui aura permis à la « peintresse » comme elle aime à se définir de travailler avec les maîtres parisiens de l’art pictural.

Paris. Ville lumière qui lui apportera que du bonheur. Elle y a fréquenté pendant de nombreuses années les maîtres compétents, tous auréolés d’un Grand Prix de Rome à l’instar de Me DIEBOLD, mais aussi de VERDEILLE, Mickaele André SCHATT, Ros BLASCO, GERMIGNAGNI…

A leurs côtés, Odette apprend, assimile, travaille, essaie, se teste, esquisse. Son travail évolue d’année en année. Passant de la peinture figurative à l’abstraction que son second époux, hélas aujourd’hui disparu, ne percevait pas trop, voire à l’expressionnisme abstrait. Tel que le conçoit l’école de New York, source d’inspiration. Elle qui affectionne aussi en s’en nourrissant des toiles de PICASSO, BACON, BASQUIAT, ROTKO…Que du lourd dans ce registre des créateurs intemporels !

« J’ai toujours aimé leur impression de force et de vitalité, admet-elle tout sourire, leur grande liberté et leur richesse créative… ».

 

 

Une impérieuse nécessité de fonctionnement

 

La passion, toujours et encore, dont elle ne se départit pas. Même quand elle présente l’un après l’autre ses tableaux en les commentant à quelques visiteurs ayant osé braver leur timidité pour pénétrer dans cette enceinte artistique de renom, que le maire de Gurgy Jean-Luc LIVERNEAUX et sa fidèle collaboratrice, Ludivine ALLIOT, poussent en avant.

« Peindre ou dessiner reste  une impérieuse nécessité de fonctionnement dit cette charmante personne qui adore les chats et vénère la nature.

Une nature à qui elle rend hommage. Sur toile, évidemment. On y voit des troncs léchés par les flammes incandescentes d’un incendie. Sur fond de couleurs orangées. Une façon expressive de dire stop à l’incivilité et au non-respect que l’humain entretient avec la forêt.

L’eau, ressource primordiale pour la vie sur Terre, est également magnifiée par l’artiste, établie dans l’Yonne depuis 1991. C’est beau, franchement poignant, didactique – les deux tableaux de la Garde républicaine placés côte-à-côte en version figurative ont valeur de pédagogie -, émouvant à la contemplation de ce dessin d’un homme qui, attristé sur son sort, pense à la manière du fameux personnage de RODIN et qui regarde l’avenir sur la séquence suivante pour mieux l’appréhender, vivifiant avec ces paysages nimbées de coloris éclatants…

Bref, une exposition à découvrir de suite pour mieux comprendre qu’un artiste se doit ne jamais transiger avec soi-même au risque d’y perdre sa liberté de création. Une liberté imaginative qu’Odette LACAZE-BERNARD a su conserver tout au long de cette belle carrière…

 

En savoir plus :

Exposition vente d’Odette LACAZE-BERNARD

Espace culturel de Gurgy

Du 04 novebre au 03 décembre 2023

Entrée gratuite

Les mercredis, samedis et dimanches de 14h à 18 h

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Sommes-nous tous désormais intoxiqués et dépendants à la technique ? Oui, ce n’est plus un fait établi, c’est une certitude avérée ! D’ailleurs, une étude mené par le centre de recherche de l'institut  Rafael en partenariat avec l'observatoire Santé PRO BTP, l’atteste, chiffre à l’appui : 97 % de nos compatriotes estiment consacrer beaucoup trop de temps aux ordinateurs et aux écrans, en règle générale !

Ouf, voilà enfin une once de jugeote mais cela ne change rien à la problématique du reste ! C’est bien de le reconnaître mais cela n’évite absolument pas cette incurie qui n’est autre qu’une intoxication qui vire à l’indigestion totale, pour ne pas dire à l’addiction complète !

Pensez donc ! Dès potron-minet, quand il ne s’agit pas de la nuit entière – aussi blafarde qu’un écran 22 pouces où les images auraient totalement disparu – et pour le reste de la journée, certaines et certains de nos semblables – ce n’est pas possible, « elles » et « ils » ne nous ressemblent pas à ce point- là ! – vivent, respirent, mangent, travaillent, dorment (s’ils le peuvent encore malgré les maux de tête, les brûlures dans les rétines et des insomnies à n’en plus finir), raisonnent, se meuvent…en technologie numérique !

Purée, cela fait peur ! La France des cerveaux est devenue au fil des décennies la France des robots et des accros qui ne peuvent rien faire ni dire ni agir ni penser sans se soumettre à leur écran d’ordinateur, de tablette, de smartphone, voire encore de leur téléviseur pour les plus anciens d’entre nous. Puisque on le sait, les trentenaires et autres « milléniums » se passent très volontiers de cet ustensile de distraction que l’on appelait jadis une télévision ! C’est vrai, chez certains de ces ados totalement immergés dans leur monde virtuel, une télé n’est autre qu’un Minitel mais en plus grand ! Vu et entendu : aïe, aïe, aïe, bonjour les neurones !

 

 

L’addiction numérique poussée vers l’absurde !

 

C’est pourtant vrai, qu’il est très agréable de se lever le matin en posant le pied gauche de préférence sur le parquet de sa chambre en vérifiant immédiatement s’il y a toujours de la connexion sur le portable – on ne sait jamais, la nuit, certaines entités fantomatiques pourraient se nourrir de cette énergie pour subsister dans leurs hantises ! – afin de découvrir le flot d’informations nébuleuses et mortifères qui inondent à grands coups de notifications sonores ledit appareil, de consulter les yeux encore embuées de sommeil ses messages mails et SMS qui la plupart du temps sont soit un rappel à l’ordre intrusif de votre vie professionnelle qui vous tend les bras pour les heures à venir, soit ne servent strictement à rien, au niveau informatif avant de se mouvoir, encore vêtu de son pyjama, vers la cuisine pour y prendre son petit-déjeuner !

 

 

Remarquez, vous n’avez pas encore franchi la porte de la cuisine que déjà vous vous précipitez vers l’écran du téléviseur dans le salon, cette fois, avant d’en allumer l’une des chaînes en boucle pour mieux pouvoir se gorger d’immondes nouvelles venues des quatre coins de la planète, mauvaises comme de bien entendu à grand renforts de meurtres, assassinats, attentats, guerres, menaces nucléaires, destruction des peuples, catastrophes naturelles, et qui pourraient vous donner la nausée avant d’avaler thé ou café. Dans la salle de bains, on sera accompagné de sa tablette pour y vivre les ultimes péripéties de sa série sur Netflix ou Disney + en cours.

Dis « Monsieur Apple ou Samsung, tu ne pourrais pas les faire waterproof tes tablettes, ordinateurs et autres portables pour que je puisse en profiter à loisir sous la douche ?! »…

Et ceci n’est que le début de la journée, évidemment.

 

 

Un monde dépourvu de supplément d’âme

 

Inquiétant, n’est-ce pas ? Mais, malheureusement, cette sinistre réalité est vécue par 97 % des Français qui considèrent passer trop de temps devant les écrans. Même si – cela pourrait nous rassurer quelque peu – 92,5 % de la population hexagonale possède un accès à Internet.

Moralité, il ne reste plus grand monde dans ce pays qui ne soit pas encore contaminé par le virus numérique qui se répand plus vite que notre ombre et la COVID réunies ! 

Bon, soyons sérieux. A l’heure où la 5G se propage progressivement dans les grandes agglomérations, à l’heure où la nécessaire fibre optique gagne de plus en plus terrain sur l’ADSL, à l’heure où l’intelligence artificielle est capable de ressusciter et purifier la voix de John LENNON pour en faire, associée aux prestations vocales et instrumentales de ses trois autres complices, l’ultime tube des BEATLES à paraître en 2023, à l’heure où les progrès scientifiques puisent leurs ressources dans les miracles de la technologie et des DATA, il serait inconvenant de faire la fine bouche devant tant de prouesses, indispensables à l’humanité.

Toutefois, l’accélération de l’incivilité, de l’individualisme, de la permissivité imputable à l’existence de ces mondes connexes – metaverse – et virtuels ne peuvent qu’engendrer si l’on n’y prend pas garde vers le déclin de la pensée et de l’intellectualisme. La chaleur humaine et la relation à l’autre, aussi. Bref, un monde dépourvu d’âme…

Qu’il s’agisse de réseaux sociaux (« asociaux » serait le terme le plus approprié à utiliser au vu de ce qu’il en découle réellement au quotidien), de jeux de hasard faisant miroiter fortunes et gains à tous les étages, de jeux vidéo qui plongent ses aficionados vers des mondes imaginaires où ils sont parfois les héros surarmés et immortels tuant tout ce qui bouge, des jeux d’argent en ligne où l’appât du gain attire jusqu’aux allocataires du RSA… : il y a manifestement danger à trop les pratiquer.

Pourtant, la France n’est que le quatorzième pays de l’Union européenne à être pourvu en accessibilité à Internet. C’est dire si le problème addictif de l’usage des écrans  est devenu mondial – cela concerne majoritairement les jeunes générations mais pas que – et affole dans leurs alcôves spécialistes de la santé, enseignants, éducateurs, psychologues, ainsi que les parents.

Ce n’est pas tout de constater qu’on use et qu’on abuse de trop d’écrans dans son quotidien, pour y accomplir diverses tâches. Il serait bon d’y ajouter aussi de salvateurs remèdes et sortir de cette frénésie absurde où même les vieux couples se retrouvant dans une salle de restaurant passent plus de temps à pianoter sur leurs smartphones austères et froids sans se dire un mot, que de simplement se parler et se conter fleurette. Où est donc le romantisme d’antan ?!

Ces comportements numériques, addictifs, voire totalement maladifs pour certains ne sont finalement que le reflet de notre société actuelle, dite « civilisée », faite de désamour et de déshumanisation. Un précipice vers l’abîme…

Bonne lecture : moi, je retourne devant mon écran pour y rédiger l’article suivant !

 

Thierry BRET

 


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Et si ce rendez-vous donnait le ton et la tendance de ce que sera l’année 2024 ? Totalement décalée, sans langue de bois, un tantinet humoristique, éthérée, audacieuse…Bon nombre d’acteurs des milieux institutionnels et économiques de l’Yonne (et d’ailleurs) signeraient tout de suite au bas de la page pour que ces douze futurs mois soient placés sous ces excellents auspices ! En invitant l’ancienne ministre de la Santé et des Sports aux vœux 2024 de l’UIMM, MEDEF et de la FFB, Claude VAUCOULOUX souhaite nous offrir un feu d’artifice. Mais, attention, pas son bouquet final !

 

AUXERRE : Pratiquant le jeu du chat et de la souris, il fait durer le plaisir, le délégué général de l’UIMM et du MEDEF de l’Yonne. Prenant son temps dans ses explicatifs, avec une certaine délectation avant de révéler enfin le patronyme de la personnalité qui assurera l’animation de la traditionnelle cérémonie des vœux des milieux économiques.

Déjà, Claude VAUCOULOUX consent à livrer la date de l’évènement. Elle est à biffer sur tous les agendas, dès à présent : le jeudi 25 janvier 2024. Les montres devront être réglées pour 18 heures tapantes, pour le début des festivités !

Surtout, ne tardez pas à vous inscrire ! Les deux cents places que constitue l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise devraient être prises d’assaut par le public pour être aux premières loges et surtout ne manquer aucune miette que l’on suppose déjà savoureuse du « show », proposé ce soir-là.

 

Un Claude VAUCOULOUX disruptif en 2024 ?!

 

Esthètes de la géopolitique, férus de la croissance économique, gourous de l’intelligence artificielle et de la digitalisation à tout crin, adeptes analytiques de la presse qu’elle qu’en soit la forme…, vous ne tiendrez pas en haleine, une fois n’est pas coutume, l’auditoire d’ordinaire très studieux de la Maison de l’Entreprise, cette année !   

« J’avais envie d’autre chose, commente Claude VAUCOULOUX sans qu’il n’ait lâché la moindre bribe informative sur la vedette devant assurer le spectacle, d’aborder l’actualité économique avec plus de mordant… ». Voire de piquant ?

 

 

Diantre, « ils » nous l’auraient changé, le « Monsieur Loyal » de la future soirée ?! Disruptif et insolent, avec ça !

Que l’on se rassure, Claude VAUCOULOUX aime se renouveler à maintes occasions dans les programmations de ces rendez-vous évènementiels. Il sait aussi qu’avec l’humour et parfois l’autodérision, bon nombre de messages, même les plus importants, peuvent être ainsi véhiculés à bon escient et pénétrer les neurones. Tout ce que possède…Roselyne BACHELOT, puisque c’est bien d’elle dont il s’agit !

 

Entre bons mots et banderilles, l'humour est assuré avec la pensionnaire des « Grosses Têtes » !

 

L’ancienne ministre de l’Ecologie et du Développement durable, sous le gouvernement de Jean-Pierre RAFFARIN, puis ministre de la Santé et des Sports sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de François FILLON nous livrera donc ses impressions (prévisions et analyses ?) sur ce que devrait être une année 2024, sur le papier plus que chaotique, tant au niveau de la géopolitique qu’au plan économique, via de nécessaires ricochets.

Bon, on n’oubliera pas que cette Nivernaise de naissance s’est aussi acoquinée de près après son passage ministériel avec le monde des médias et surtout RTL où elle est devenue une fidèle pensionnaire des « Grosses Têtes » animée par le remplaçant de l’éternel Philippe BOUVARD, Laurent RUQUIER !

Maniant la verve humoristique comme le lancer de banderilles si une chose ou quelqu’un ne lui revient pas, l’auteur de « Ma vie en rose » - son autobiographie – a su résumer sa carrière politique dans l’ouvrage truculent, baptisé « 682 jours », paru chez Plon, dont les bonnes feuilles sont à réserver à tous les amateurs de politique ! Des livres qu’elle dédicacera au terme de sa conférence avec le concours du partenaire de la soirée, la librairie « Obliques », il va de soi !

D’ailleurs, résolument décidé à donner un grand coup de pied dans la fourmilière organisationnelle habituelle, Claude VAUCOULOUX prévient : les vœux économiques 2024 réserveront leur lot de surprises et d’improvisations ! Qu’on se le dise ! Ce sera un véritable feu d’artifice mais pas son bouquet final !

 

Thierry BRET

 


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