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Avocat à Paris, Me Carlo Alberto BRUSA est le président-fondateur de l’association « REACTION 19 ». Une structure qu’il a portée sur les fonts baptismaux en 2020. Celle-ci recense à ce jour plus de 52 000 adhérents. L’entité met tout en œuvre, par toutes les voies du droit, des actions juridiques et judiciaires afin de sanctionner et réparer les atteintes portées aux personnes physiques et morales à la suite des mesures de la COVID-19. Il nous a accordé une interview exclusive vidéo-filmée…

TRIBUNE : Me Carlo Alberto BRUSA est un représentant de la filière des métiers du droit et des chiffres. Ancien chargé de cours de droit à l’université de Paris II Assas et de Panthéon Sorbonne, cet avocat a pour zone d’influence la capitale. Mais pas seulement. Il officie aussi en qualité de responsable de l’association « REACTION 19 ».

Cette structure associative, il l’a montée de toute pièce pour collecter les plaintes de ses adhérents, et les formulaires mis en ligne, informations fournies autour des mesures prises au nom de la lutte contre le coronavirus.

On se rend compte aisément que c’est un homme de conviction et courageux. Son degré d’implication dans ce qu’il fait est entier. Avec franchise et honnêteté.

Au titre de son association, il publie régulièrement des vidéos dans lesquelles il explique sa position sur ce qui lui semble dysfonctionner dans les procédures mises en place actuellement par la gouvernance contre la COVID-19.

Il partage ses informations avec force et énergie, montre et commente des documents sur les actions en cours ou à venir ; les publiant sur ce site en toute transparence.

L’homme agit autant en tant qu’homme qu’en tant que juriste. En tant qu’homme, ce qui n’est pas harmonieux et ce qui manque de logique dans les pensées et dans les actes de la crise que nous traversons, le dérange profondément.

 

Comprendre les contradictions dans la gestion de la crise…

 

En tant que juriste, il pense avant tout aux principes d’égalité. La même cause devant produire les mêmes effets, il analyse pour quelles raisons le virus est dérangeant dans certains endroits. Et, pas dans d’autres.

Observateur, il pointe avec insistance sur ce qui se trouve pris dans des contradictions : les métros bondés aux horaires de fin de journée et le paradoxe des salles de cinéma vides. Sans omettre la déshérence culturelle vécue dans les théâtres, désormais dans l’immobilisme et sans spectateurs ou les restaurants, condamnés à un épisode de fermeture sans fin.

Presse Evasion a proposé un entretien filmé à ce professionnel du juridique. Une invitation à mieux comprendre les arcanes d’un dossier sanitaire qui fait la une depuis de tous les médias.

 

Visionner la vidéo :

https://youtu.be/ex60uvI4sgg

 

En savoir plus :

Site : https://reaction19.fr/

Le lien de la page Facebook : https://www.facebook.com/Reaction19Asso

Texte : Hadrien ACELA

Interview vidéo de Daniel BOUKEZ 


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Le négociateur du BREXIT pour la communauté européenne, le Français Michel BARNIER, déclara juste après l’accord : « Il n’y a pas de gagnants, il n’y a pas de perdants » ! Un discours, diplomatique plus proche de la langue de bois que des constats objectifs liés au deal. Le contrat fut conclu in extremis quelques jours seulement avant l’échéance. Pourquoi de tels atermoiements et une telle lenteur avant d’arriver au terme de l’aventure britannique au sein du concert européen ? L’Europe voyait d’un très mauvais œil le départ de la perfide Albion. De crainte que cela ne donne des idées d’émancipation à d’autres pays ?!

 

TRIBUNE : La France a tout fait pour mettre des bâtons dans les roues du carrosse de Boris JOHNSON. Il est nécessaire de démontrer qu’un départ de l’Union européenne est extrêmement nuisible à ceux qui demandent à en partir. Au bout d’un suspens, digne d’un roman d’Agatha CHRISTIE ou de Sir Conan DOYLE, les signatures furent enfin apposées au bas du parchemin. Le sourire arboré par le Premier ministre anglais en disait long sur son degré de satisfaction, et pour cause…

 

Sur biens des points, les Anglais peuvent crier victoire !

 

Les deux mille pages du traité commercial entre l’Europe et le Royaume-Uni ne sont pas encore commentées et bien identifiées mais on subodore déjà l’essentiel. En premier lieu, les Anglais économisent douze milliards d’euros : soit le solde de leur contribution à l’Europe. Mais surtout, ils ont accès au marché commun, sans droits de douane ni quotas. Au passage, ils améliorent de 25 % leurs possibilités de pêche au détriment de l’Europe et particulièrement des Français ! Globalement au niveau des marchés, ça ne change rien, avec ou sans l’Europe !

L’objectif central des Britanniques fut de retrouver leur souveraineté, sans concession à ce que qui a toujours fait partie de leur histoire. Un pouvoir total sur leur destin et l’indépendance dans leurs décisions. Finalement, les grands gagnants sont les souverainistes ! Cette volonté est certainement commune aux 470 millions de consommateurs européens, fatigués et usés par des normes imposées par des technocrates déconnectés des réalités. Les Européens perdent toute confiance dans les femmes et les hommes politiques  de tout bord. Dans le style : « On n’a pas tout perdu », l’Union européenne se donne un droit de regard sur les règlementations sociales ou le dumping éventuel sur les salaires. Quant aux menaces de réactions de l’Europe, les Anglais s’en contrefichent ! Ils ont récupéré leur indépendance, loin des contraintes réglementaires et des normes imposées par Bruxelles !

L’europhobe Nigel FARAGE qui a fait  carrière sur le rejet de l’Union européenne, avait célébré à sa manière la sortie formelle du Royaume-Uni : « Nous pouvons célébrer le fait que nous sommes libres des contraintes de l’UE, nous pourrons retrouver notre place dans le monde. La guerre est finie. Nous avons gagné ! ».

Sur le plan militaire, les Britanniques arrivent au sixième rang des puissances militaires. Ils possèdent la dissuasion nucléaire et sont largement favorables à l’OTAN, comme l’Allemagne, au détriment de la France ! Sur cet aspect, le BREXIT représente une défaite personnelle pour la France. L’OTAN est inféodée aux Américains qui vendent de plus en plus les équipements militaires à l’organisation. En politique étrangère, les experts regrettent la perte des compétences que représente le « Foreign Office », mais ils estiment que Londres ne devrait pas s’éloigner des positions européennes sur les grandes questions comme le nucléaire iranien, la Russie ou le Proche-Orient. On se console comme on peut mais de l’autre côté de la Manche, les décisions ne sont liées qu’aux seuls intérêts…de l’Angleterre et de ses habitants.

Sur le terrain de l’immigration, Boris JOHNSON gagne aussi une totale souveraineté face aux accords de quotas d’émigrés que l’Europe doit accueillir. Pour le Parlement britannique, le blocage de la frontière fut un vrai soulagement, laissant ainsi à la France les étrangers bloqués à Calais et ailleurs.

 

 

Des idées de sortie de l’Europe, mais pour qui ?

 

Si certains pensent que la meilleure solution serait un Bruxelles-exit, plus sérieusement, l’idée d’une « sortie » effleure de nombreux pays. A commencer par la France, qui compte des partisans d’une France hors de l’Europe. Si nous faisions aujourd’hui un référendum le « oui » (favorable au départ) l’emporterait sûrement.

Le président Emmanuel MACRON a tort quand il affirme que les Français sont pro-européens et qu’ils ont affirmé leur adhésion dans tous les référendums ! Faux et archi-faux ! Volonté de manipulations ? Si le traité de Maastricht fut approuvé par seulement 51 % des votants, le traité de Lisbonne de 2005, établissant une constitution européenne fut rejeté, infligeant ainsi un véritable camouflet à Nicolas SARKOZY. A telle enseigne que grâce à l’artifice de règles constitutionnelles, ce dernier parapha le traité au nom de la France ! In fine, qu’est devenue la volonté du peuple ? 

Les plus grands contributeurs nets au budget européen restent l’Hexagone, l’Allemagne, l’Italie et avant le BREXIT, le Royaume-Uni. Dans un degré moindre, le Danemark, la Suède, la Finlande et l’Irlande contribuent plus modestement.

 

 

Si nous excluons d’un Brexit, les pays qui reçoivent plus de monnaie de Bruxelles qu’ils n’en donnent, encore appelés « les bénéficiaires nets », nous retrouvons pour les plus significatifs : la Pologne, la Hongrie, la Roumanie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce… Ceux qui parient que tous les pays bénéficiaires ne pourront jamais quitter l’Europe se trompent lourdement. Certains pays souhaitent ardemment retrouver leur autonomie et leur indépendance vis-à-vis de l’Europe : la Hongrie et la Pologne en tête. Il suffirait de très peu de choses : une volonté de déstabilisation de l’Europe du côté de POUTINE et de la Russie par exemple.

Que dire d’une Chine omniprésente en Afrique qui contribue aussi à la désunion de l’Europe.  Les Russes engagent actuellement un rapprochement avec l’Allemagne sur un vaccin anti-COVID !

 

 

Contourner les incohérences aberrantes du système…

 

Mondialisation oblige, plus besoin de l’Europe pour faire circuler les capitaux et les biens sans contraintes. En ce qui concerne les normes, la réglementation française impose des conditions plus rudes que pour les autres membres.

A titre d’exemple, on peut citer la culture bio. Même si le ridicule ne tue pas, on peut également faire référence à des règles absurdes qui entament notre libre arbitre : « l’escargot de Quimper » a empêché la construction du stade de Brest ! A cause d’une espèce protégée par Bruxelles. La construction de l’autoroute A 28 fut retardée de dix ans à cause de la présence du scarabée « Pique-prune », présent sur le tracé et protégé par la Convention de Berne (1979).

Des contraintes qui trônent parmi les plus de 400 000 règlementations administratives nationales !

Quitter l’Europe, pourquoi pas ? Mais, nous pouvons rester en imposant de nouvelles règles aux pays qui ne jouent pas le jeu : le dumping salarial des Polonais, des Espagnols ou des Roumains qui sous-payent leurs employés et ouvriers et faussent ainsi la concurrence. L’Allemagne, qui préfère imposer l’OTAN et l’appui américain afin que les Français ne reprennent pas la suprématie militaire avec l’arme nucléaire et le Rafale. Une question s’impose : qui sont réellement nos Alliés ?

De quelle Europe parlons-nous ? Celle qui nous impose des quotas d’accueil d’émigrés comme on désigne des fruits ou des légumes ? Une Europe où la frontière appelée « espace Schengen », devient une vraie passoire ? Pour l’accueil d’émigrés, certains pays ont par ailleurs refusé de ratifier l’accord…

Quant à la pandémie actuelle, elle n’a rien démontré quant à l’unité médicale d’une Europe  capable de répondre d’une seule voix aux solutions à mettre en œuvre. Si, on peut noter l’unanimité pour refuser le vaccin anglais anti-COVID juste pour marquer notre colère au détriment de la vie des gens !

On n’a rien compris de nos amis britanniques. On les accuse d’hypocrisie mais aussi dignes d’un humour décapant. Cette histoire décrit parfaitement la mentalité anglo-saxonne : que dit un Anglais quand il entre par mégarde dans une salle de bains ou il y a une femme nue ? En refermant la porte il déclare : sorry, Sir…

Alors « messieurs les Anglais tirer les premiers » en refermant la porte et à votre suite, attention le mot de CAMBRONNE est, en Europe, sur beaucoup de lèvres !

Jean-Paul ALLOU

 


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C’est déjà l’heure d’un premier bilan au centre hospitalier d’Auxerre. Au terme de la journée initiale de vaccination ouverte aux personnes âgées de 75 ans et plus. Malgré l’horaire avancé (il est plus de 17 heures) et la stricte contrainte à observer avec le drastique couvre-feu, plusieurs patients rongent encore leur frein dans la petite salle d’attente avant de recevoir la salvatrice injection. Ils ont même la surprise de pouvoir s’entretenir avec le préfet de l’Yonne, présent sur ces lieux…

AUXERRE : Le chiffre tant attendu est annoncé lors de la conférence de presse par le directeur de l’établissement hospitalier Pascal GOUIN. A l’issue de cette première journée vaccinale destinée à accueillir nos concitoyens de 75 ans et plus, cent-vingt-quatre doses du précieux antidote contre le virulent coronavirus ont été administrées ce lundi 18 janvier.

Si on l’ajoute à ce résultat à ceux obtenus dans les trois autres centres d’accueil facilitant cette opération sur la ville (la polyclinique Sainte-Marguerite et le Centre d’examens de santé), ce sont près de 170 de nos aînés qui se sentent davantage sécurisés au soir de cette séance liminaire de soins.

Une tendance révélatrice de la complémentarité fonctionnelle mise en exergue par l’ensemble des acteurs de santé du cru qui satisfait pleinement le représentant de l’Etat.

Le haut-fonctionnaire Henri PREVOST s’est donc rendu en cette fin d’après-midi dans le principal complexe sanitaire de la capitale de l’Yonne. Une légitime prise de température pour le porte-parole de l’Etat, garant de la réussite de cette action indispensable à la sortie de crise.

 

 

 

Sensible amélioration de la crise dans l’Yonne après les fêtes…

 

S’immergeant parmi les différentes zones permettant de prodiguer les soins et la gestion de l’attente de la patientèle, Henri PREVOST a pu constater de visu que le mode opératoire s’avérait très fonctionnel.

Jamais avare dans ses échanges relationnels, il a pu échanger quelques mots de courtoisie avec des seniors ravis de bénéficier avec soulagement de ces produits thérapeutiques si attendus.

Accompagné de l’élue auxerroise en charge de la santé, des affaires sanitaires et sociales le docteur Maryline SAINT-ANTONIN, le préfet a écouté avec intérêt les ultimes informations de la journée  fournies avec moult détail par la déléguée départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) Eve ROBERT.

Première observation : la situation sanitaire dans l’Yonne semble quelque peu s’améliorer. Une surprise presque divine alors que beaucoup craignaient le pire et s’attendaient à enregistrer la recrudescence du nombre de contaminations au lendemain des fêtes de fin d’année.

Pas d’effet rebond de la COVID-19 en tout état de cause sur notre territoire, un secteur qui fut pourtant au plus mal au niveau du taux d’incidence fin novembre.

Aujourd’hui, cet indicateur de référence se situe en dessous de la moyenne nationale. Environ deux cents personnes (190 avec exactitude) bénéficient des services de soins dans les hôpitaux du département dont une quinzaine d’entre elles sont placées en surveillance accrue en réanimation.

 

 

 

Toutefois, prudent, le préfet appelle toujours à la plus grande vigilance. Car, le virus circule toujours dans notre contrée, certes avec moins de virulence que sur l’ensemble du territoire régional.

Sur un plan pratico-pratique, le représentant de l’Etat invite la population à privilégier les réservations vaccinales par Internet (plateformes DOCTOLIB, KELDOC…) plutôt que de se concentrer uniquement vers les centres d’appels téléphoniques.

Même si ces derniers sont opérationnels et mobilisent le personnel administratif des unités hospitalières. Une manière concrète de réduire les temps d’attente afin d’obtenir le précieux rendez-vous d’ici les prochaines semaines.

 

Déjà 2 500 personnes vaccinées dans l’Yonne au 16 janvier….

 

Quant au rythme d’approvisionnement des vaccins, il est en phase d’accélération tant dans l’Hexagone de manière générale que sur notre secteur géographique.

Selon les prévisions optimistes de l’Agence régionale de Santé, le nombre de doses à acheminer vers les différents centres de soins devrait doubler d’ici le mois de mars, passant ainsi de 500 000 flacons à plus d’un million de contenants par semaine.

Il est vrai que l’autorisation de nouveaux agréments (on pense en particulier aux nouveaux remèdes conçus par l’américain MODERNA et au consortium suédois-britannique ASTRA ZENECA plus flexibles à manipuler dans leur conditionnement) enrichira le panel de solutions monopolistiques actuelles en suppléant l’offre unique du laboratoire PFIZER. La seule à être délivrée aujourd’hui.

Deux mille cinq cents personnes avaient déjà reçu la première des deux injections à la veille du  dernier week-end dans l’Yonne.

L’ARS table sur un premier panel raisonnable de neuf mille patients d’ici la fin du mois. Sachant que trente-deux mille seniors âgés de 75 ans et plus vivent à leur domicile dans le département. Une statistique qu’il est bon d’accroître en y ajoutant celles et ceux de nos aînés qui coulent leur retraite dans les établissements d’accueil.

Bref, on le voit, il faudra tout de même s’armer encore de beaucoup de patience pour recevoir le produit anti-coronavirus, synonyme de protection.

 

Thierry BRET

 

 


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Le projet d’implantation de cet établissement aux PIEDALLOUES fait déjà couler beaucoup d’encre parmi le microcosme médiatique local. Comme le témoigne la manifestation des mouvements écologistes ce samedi (voir article consacré à ce sujet) qui protestait contre une hypothétique installation du site dans ce parc naturel urbain. Pour autant, le projet, soumis à un appel à manifestation d’intérêt at-il une réelle chance d’aboutir ? Pas si sûr, si l’on s’en réfère à l’élu de l’opposition LREM Mathieu DEBAIN à l’origine de l’idée…

AUXERRE: Trop mince et pas suffisamment étayée en argumentations pour être crédible aux yeux des décideurs de l’appel à manifestation d’intérêt la réponse fournie par la Ville d’Auxerre ? C’est ce que pense à l’heure actuelle le conseiller municipal d’opposition La République en Marche (LREM) Mathieu DEBAIN à propos de ce dossier qui a fait la une de l’actualité après la manifestation de ce week-end par les forces écologistes de la place.

L’ancien responsable du collectif « S’engager pour l’Auxerrois » exprime ses craintes quant aux chances de succès de ce dossier soumis à candidature par les services de la ville aux responsables de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

Comprenant seulement une dizaine de pages, les réponses faites à ce projet auraient justement peu de velléités à être retenues in fine en haut lieu « parce qu’il ne vante pas assez les qualités de notre territoire pour gagner la considération des responsables de la BNF ».

Et l’élu de l’opposition de se fendre d’un communiqué de presse daté du samedi 16 janvier où il explique sous la forme d’un tacle plutôt rugueux asséné à l’équipe de Crescent MARAULT que, selon lui, « cette dernière devrait montrer davantage de motivation et d’ambition pour espérer convaincre et accueillir ces projets d’envergures importantes qui sont favorables au développement de notre territoire ».

 

 

Des emplois à créer autour de la valorisation du patrimoine écrit national…

 

Pourtant, l’élu de l’opposition est à l’origine de cette candidature opportune. Lors du conseil municipal en date du 29 septembre, Mathieu DEBAIN avait présenté lors de sa prise de parole devant ses condisciples la nature plutôt alléchante de par sa physionomie dudit dossier.

Il était question en cas de réalisation de celui-ci de conserver et de numériser la bagatelle de 247 000 ouvrages de presse, consultables par des visiteurs aussi disparates que peuvent l’être les chercheurs, les étudiants, les journalistes. Un projet à vocation économique, également, puisque porteur d’une centaine d’emplois à la clé à créer sur notre territoire.

 

 

« Ce projet ambitieux me semblait intéressant pour notre ville avec ces retombées indirectes au plan économique pour l’Auxerrois, confie Mathieu DEBAIN, il aurait également donné une image positive de notre ville comme étant la ville qui conserve la mémoire du patrimoine écrit français… ».

 

Le site des PIEDALLOUES n'est ni une zone d'accueil ni une ZAD…

 

Dubitatif quant au dénouement positif du dossier, l’élu de La République en Marche rejoint en revanche les avis de Florence LOURY et de Denis ROYCOURT. De ne surtout pas implanter ce futur conservatoire sur le parc naturel urbain des PIEDALLOUES.

« Sans concertation aucune, l’équipe municipale a décidé de bâtir ce projet dans ce secteur d’Auxerre, précise-t-il, mais ce site doit rester une zone naturelle… ».

Rejetant ainsi l’idée de facto que ce quartier, considéré comme un petit village dans la ville, ne devienne un jour une zone d’activités.

Seul bémol divergent avec ses deux coreligionnaires de l’opposition municipale, Mathieu DEBAIN ne croit pas que les Auxerrois souhaitent la création d’une Zone à Défendre (ZAD) sur ce terrain.

Sans doute, le tumultueux et triste souvenir de celle de Notre-Dame-des-Landes qui fit la une régulière des manchettes de la presse demeure-t-elle encore trop vivace dans les mémoires collectives.

Mathieu DEBAIN propose sa propre vision alternative sur ce sujet : la mobilisation générale pour que le lieu d’implantation de ce concept unique et prometteur qui demeure toujours à l’état hypothétique, soit modifié.

Sans pour autant avoir recours à des moyens extrêmes…

 

Thierry BRET

 


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Franchement hivernales, neige à l’appui, les conditions météorologiques n’étaient pas les bienvenues pour organiser un rassemblement populaire en extérieur ce samedi en début d’après-midi à Auxerre. Nonobstant, cela n’aura pas empêché les défenseurs de l’espace naturel des PIEDALLOUES d’y prendre part avec pugnacité, répondant ainsi à l’appel des élus d’Auxerre Ecologie, d’Europe Ecologie Les Verts ou de l’association ADENY.

AUXERRE: La température ambiante ne s’y prêtait absolument pas. Pire, des flocons de neige blanchissaient progressivement le lieu déjà fort humide point d’ancrage de ce rassemblement revendicatif. Pourtant, de l’avis des organisateurs, ce fut in fine une très belle réussite.

Plus de quatre-vingt personnes, des courageux de tout âge et mobilisés à la cause osaient braver les frimas rigoureux de l’hiver pour y faire entendre leurs voix. Et surtout leur désapprobation contre le projet d’implantation sur la zone des PIEDALLOUES du futur Conservatoire national de Presse de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

Une construction qui prendrait la forme d’un bâtiment occupant selon des informations fournies par la Ville d’Auxerre environ 2,5 hectares sur les dix hectares existants. Un édifice qui ne serait d’ailleurs pas le seul à surgir de terre sur cet espace naturel que souhaite sauvegarder coûte que coûte les habitants.

 

 

Le Conseil départemental de l’Yonne ayant également précisé son intention de bâtir une structure lui permettant d’accueillir ses archives sur le même périmètre. Soit une amputation supplémentaire de deux autres hectares de terrain.

Une double décision devenue inacceptable pour les mouvements écologistes du bassin concerné. Non seulement, ce serait la moitié de ce parc urbain naturel qui serait rognée à brève échéance de sa superficie légitime. Avec le risque de le voir disparaître totalement des écrans radar en devenant une zone à 100 % urbanisée.

 

 

 

 

 

Une zone essentielle à la conservation de la faune et de la flore…

 

 

Pas touche à ce poumon vert au cœur de la ville ! Les mouvements écologistes n’ont donc pas tardé à réagir aux côtés des habitants de ce quartier auxerrois pour manifester contre ce projet à la puissance double.

Considérant que cette zone est primordiale à la préservation des végétaux et de la faune, Auxerre Ecologie, Europe Ecologie Les Verts, l’association ADENY et les collectifs regroupant les habitants du quartier ont déclaré ce secteur géographique comme devenant de facto une Zone à Défendre.

Une ZAD pour celles et ceux qui se reconnaissent dans cet acronyme populaire qui fait florès dans l’Hexagone depuis des années !

 

 

 

Munis d’une cinquantaine de pancartes symbolisant des lettres de l’alphabet, les opposants à ce projet ont pris position dans la zone des PIEDALLOUES lors de cette action visuelle et sonore avec la prise de parole de ses instigateurs. Rappelant au passage qu’il existait des alternatives différentes pour accueillir la construction de ces bâtiments de la discorde : la fameuse zone d’activités d’Aux R Parc, vide de toute réalisation à l’instant « t », et la zone de la SERNAM, près de la gare ferroviaire où les services de la Bibliothèque Nationale de France pourrait acheminer ses volumineuses archives via le train. Une manière sans équivoque de dire avec insistance que sur ce dossier, on peut aussi y joindre l’utile aux vertus du pragmatisme !

 

Thierry BRET

 

 

 


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