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Plus que jamais, la biodiversité est menacée. Chaque année, ce sont des milliers d’espèces qui disparaissent ainsi de la surface du globe. Comme en Australie lors des terribles incendies qui ont ravagé le centre du pays. La principale cause de ce désastre est imputable à l’homme. Ce nuisible qui ne respecte ni l’environnement ni les espèces animales et végétales qui y vivent. Mais, que serait donc l’homme sans la biodiversité ? Une question qui trouvera des réponses lors de la conférence-débat proposée par le Cercle Condorcet de Sens et la Ligue de l'Enseignement 89…

SENS : L’homme sera-t-il bientôt seul au monde face à son destin ? Au train où vont les choses dans la destruction massive des espèces animales et végétales qui ne cesse de s’amplifier, on peut penser que cette situation qui n’a rien de kafkaïenne se produira un jour ou l’autre.  

Biologiste, naturaliste, spécialiste de la protection des grands primates en Afrique et en Asie, Emmanuelle GRUNDMANN – elle est également journaliste-reporter – étayera de ses réponses éclairées toutes nos interrogations sur ce préoccupant sujet de société.

La présidente de l’association AWELY, structure qui cherche à réduire les conflits existentiels entre les hommes et les animaux partout sur la planète, sera l’exceptionnelle invitée du Cercle Condorcet de Sens, ce jeudi 11 février.

Un rendez-vous proposé de manière virtuelle sur ZOOM à suivre dès 18h30 pour mieux appréhender les grands enjeux de demain.

Auteure d’un ouvrage intitulé « Demain, seuls au monde ? » (Edition Calmann-Lévy), Emmanuelle GRUNDMANN, exégète de l’univers animalier, rappellera des évidences avant de nous faire comprendre la véritable valeur de la biodiversité.

Quid de la pollinisation des fleurs sans la présence bénéfique des abeilles ? Comment se nourrir de protéines animales indispensables à notre survie sans les poissons et autres crustacées ? Pourrons-nous soigner les maladies sans les thérapies médicamenteuses issues de plantes tropicales et du savoir botanique des peuples forestiers ? Comment recycler les monceaux de déchets que nous rejetons autour de nous sans les micro-organismes ?

Dans le contexte sanitaire du moment, ces questions méritent d’être enfin posées. Afin d’inverser la tendance et de placer la nature et ses espèces sur ce vrai piédestal qu’elles n’auraient jamais dû quitter…

 

 

 

En savoir plus :

 

Conférence débat organisé gratuitement par le Cercle Condorcet de Sens

Inscription obligatoire sur Zoom :

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

   

Thierry BRET

 


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Sur le fond, la situation n’aurait pas déplu à KAFKA. Ne pas pouvoir remplacer un homme par une femme pour reprendre le poste de premier adjoint au sein d’un conseil municipal en cas de vacance de celui-ci semble irrationnel dans son application. Mais, sur la forme, le doute n’est plus permis à la lecture de l’article 29 de la loi N°2019-1461 applicable au 27 décembre 2019. Ce texte du Code général des Collectivités territoriales pourrait engendrer des conséquences inattendues au sein de la municipalité auxerroise…

AUXERRE : Les lignes extraites du Code général des Collectivités territoriales à lire ci-dessous revêtent désormais de la plus haute importance pour tenter de résoudre une équation pour le moins ubuesque dans le landerneau politique auxerrois !

Celle qui se pose après la démission du premier adjoint de la Ville d’Auxerre Gilles PEYLET, qui à la surprise générale avait rendu son tablier le 25 novembre dernier.

« Quand il y a lieu, en cas de vacance, de désigner un ou plusieurs adjoints ; ceux-ci sont choisis parmi les conseillers de même sexe que ceux auxquels ils sont appelés à succéder…. ».

La référence est la suivante : il s’agit de l’article 29 de la loi N° 2019-1461 promulguée le 27 décembre 2019 et relative à l’engagement dans la vie locale et à la proximité de l’action publique qui modifie l’article L. 2122-7-1 du Code général des collectivités territoriales.

Certes, il existe bien un antécédent de ce type. Précisément, dans la commune de Basse-Terre en Guadeloupe, où la première adjointe démissionnaire, Maryvonne RICHARD, avait été remplacée après un vote du conseil par Roland GENDREY, le huitième adjoint municipal.

Or, le préfet de ce département d’Outre-Mer devait faire part de son refus sous la forme d’un rescrit préfectoral pour invalider ce vote. Et surtout ne pas donner suite à la demande de l’édile André ATALLAH de substituer la première adjointe femme par un premier adjoint homme. Conformément au texte de loi, précédemment cité.

La seule solution qui était acceptable pour le représentant de l’Etat se résumait à faire monter d’un cran toute la liste d’adjoints. Ce qui eut pour conséquence directe de permettre à Bernard GUILLAUME, initialement placé en seconde position, de prendre du galon en endossant la vêture de premier adjoint in fine !

 

Des points d’achoppement pour deux élues de l’opposition…

 

« Ceci nous a bel et bien été confirmés par voie téléphonique puisque nous avons pu nous entretenir avec la proche collaboratrice du maire de Basse-Terre lundi 08 février aux alentours de vingt heures (heure de Paris) expliquent les deux conseillères municipales d’opposition, Maud NAVARRE et Farah ZIANI. 

Lors du conseil municipal du jeudi 04 février, les deux élues de l’opposition ont interpellé le maire d’Auxerre Crescent MARAULT. Motif de leurs interventions : connaître la position de ce dernier au sujet du remplacement de Gilles PEYLET.

Le poste de premier adjoint demeurant toujours vacant depuis la fin novembre.

Même si le choix du successeur n’a pas encore été officialisé, un nom revenait en boucle depuis quelques jours dans le sérail.

Celui de la huitième adjointe en charge du développement touristique, du rayonnement de la Ville et des relations internationales, Carole CRESSON GIRAUD.

 

 

Un nom qui n’est pas le fait du hasard pour tenir ce poste éminemment stratégique puisqu’il aurait été désigné après une décision émanant de la majorité. 

Mais, ce choix est d’ores et déjà contesté par le tandem féminin qui portait l’une des deux listes écologiques des « Printemps pour Auxerre » lors de la dernière campagne électorale. Sur la base de ce fameux article 29, empêchant un homme d’être remplacé par une femme en cas de vacance d’un poste !

Autre point d’achoppement qui suscite des critiques de la part de l’opposition : le délai pour procéder à l’élection du nouvel élu après la vacance du premier adjoint démissionnaire.

Eu égard à ce fameux Code général des Collectivités territoriales (décidément très épluché à l’heure actuelle !), il est obligatoirement de quinze jours. Or, le remplacement de l’élu démissionnaire ne s’est pas effectué dans cet intervalle.  

Le maire d’Auxerre avait choisi une toute autre option en réduisant l’exécutif municipal, amputé d’un membre, en le passant de onze à dix adjoints. Une orientation qui avait été entérinée par un vote en date du 17 décembre lors de l’ultime conseil municipal de 2020.

 

 

 

Le poste de premier adjoint aurait dû revenir à Céline BAHR…

 

Or, si les choses s’étaient déroulées selon le respect stricto sensu de cette procédure, cela aurait dû entraîner automatiquement la désignation de l’adjoint placé en seconde position au sein du conseil municipal, à savoir Céline BAHR.

Bref, partant de ces différents postulats, Maud NAVARRE et Farah ZIANI semblent formelles dans leurs analyses : Carole CRESSON GIRAUD ne peut plus prétendre se substituer à Gilles PEYLET en ces circonstances.   

A moins qu’un autre scénario ne s’esquisse pour débloquer la situation. Celui de choisir la chef d’entreprise auxerroise en qualité de première adjointe en procédant à une nouvelle élection générale des adjoints. Un scrutin qui entraînerait de facto la fin de leurs mandats actuels sans qu’il soit nécessaire pour autant d’obtenir leurs démissions.

Complexité subtile qui pimente un peu plus ce scénario s’il était retenu : le conseil municipal devrait procéder au remplacement du premier adjoint démissionnaire en convoquant un conseil municipal pour un vote organisé à bulletin secret dans les quinze jours suivant l’acceptation de la démission par le préfet.

« Si ce scénario était celui choisi, précisent les deux élues de l’opposition, nous aurons alors à étudier avec intérêt cette nouvelle liste d’adjoints : le nombre exact, les personnes présentes et leur rang dans la liste… ».

Précisons que la situation d’urgence sanitaire n’empêche nullement la tenue d’un conseil municipal en présentiel. Une affaire qui devrait trouver son dénouement dans les prochains jours ?

 

Thierry BRET

 


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Fin 2021, la plateforme logistique de 57 000 mètres carrés de l’entreprise qui emploie plus de 27 000 collaborateurs dans le monde et qui réalise un chiffre d’affaires annuel de plus de 500 millions d’euros sera close à Savigny-sur-Clairis. La nouvelle a fait l’effet d’une bombe en fin de semaine dernière ! Plongeant les 230 employés du site icaunais dans la tourmente. Et stimulant certains élus qui exigent de véritables explications…

SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : La réunion se déroulera à la salle des fêtes de la commune du Gâtinais ce mercredi 10 février à 14h30. En présence des représentants syndicaux de la CFDT et de la CGT.

Mais, aussi des élus qui en sont les instigateurs. A l’instar de la députée de la circonscription Michèle CROUZET, commissaire aux affaires économiques et de Jean-François CHABOLLE, président de la Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne, et édile de Vallery.

L’objectif est simple. Faire toute la lumière autour de cette nouvelle mort annoncée d’une entreprise dans l’Yonne. Et, pas n’importe laquelle, en vérité. Il s’agit de la plateforme de FM LOGISTIC qui embauchait encore en 2017 à tour de bras ses salariés pour rejoindre les effectifs devant s’affairer dans les rayonnages des cinquante-sept mille mètres carrés d’entrepôt. Un site d’exception sorti de terre il y a peine trois saisons !

 

 

Déplorant le manque d’informations générales sur la situation, les deux élus de l’Yonne, auxquels se sont ajoutés l’ancien ministre et sénateur Henri de RAINCOURT et la maire de la commune sinistrée, Louise CARTIER, veulent comprendre de quoi il en retourne exactement dans ce dossier plutôt ténébreux.

Alors que FM LOGISTIC qui emploie plus de six mille personnes dans l’Hexagone a réalisé l’an passé 510 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Cette table ronde permettra-t-elle d’y voir un peu plus clair sur la situation ? En tout cas, une chose est sûre : les élus de notre territoire ne veulent pas rester les deux pieds dans le même sabot. Ils en appellent désormais l’Etat et les autres de leurs camarades à les rejoindre pour défendre d’une seule et unique voix les intérêts des 230 salariés menacés par la perte de leur emploi…

Thierry BRET

 

 


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A l’unanimité, les élus de la localité périphérique de l’Auxerrois se sont prononcés favorablement pour rejoindre le collectif de défense des urgences et des secours dans l’Yonne. Ce n’est en soi guère une surprise tant la mobilisation des collectivités de notre territoire ces dernières semaines est importante contre le projet de fermeture du fameux centre 15…

APPOIGNY : Sur le plan sanitaire, il n’y a pas que le volet de la COVID-19 et sa campagne de vaccination qui mobilise à l’heure actuelle les collectivités de l’Yonne.

Tout aussi épineux et pas moins inquiétant, un autre dossier suscite beaucoup d’intérêt et de réactions auprès des élus locaux. Celui qui se rapporte au projet de fermeture du 15, le centre de réception et de régulation des appels d’urgence à Auxerre.   

La mobilisation bat son plein. Dernier élément en date : l’adoption, à l’unanimité après un vote, du soutien au collectif départemental de défense des urgences et des secours par le conseil municipal d’APPOIGNY.

Le sujet était inscrit à l’ordre du jour de la dernière séance plénière assurée en présentiel à l’Espace Culturel par l’édile Magloire SIOPATHIS.

Rappelons que le 15 ainsi que le service héliporté du centre hospitalier d’Auxerre sont menacés de disparation dans le cadre du projet de regroupement mené par l’Agence régionale de Santé (ARS).

 

 

Dans les faits, si ce schéma de l’organisme sanitaire régional était appliqué, la capitale de l’Yonne perdrait de manière définitive ce service éminemment capital pour la qualité des soins de proximité sur notre territoire. Le 15 verrait alors ses services se délocaliser vers Dijon et ce, avant 2022.

Or, plusieurs élus de l’Yonne sont très vite montés au créneau pour protester contre cette décision. Ils ont créé le 05 décembre un collectif de défense des urgences et des secours à l’initiative du député LR Guillaume LARRIVE, soutenu dans la démarche par Patrick GENDRAUD, président du conseil départemental, Crescent MARAULT, président de l’Agglo de l’Auxerrois et maire d’Auxerre et Christophe BONNEFOND, conseiller département et président du SDIS 89.

Avec la lecture de la motion qu’il soumettait à son conseil municipal, Magloire SIOPATHIS devait rappeler le bien-fondé de cette démarche qui n’a rien de partisane au plan politique. D’autant que près de deux cents communes de l’Yonne se sont déjà engouffrées dans la brèche en apportant leur soutien à ce collectif protestataire.

Quelques instants après avoir expliqué les tenants et aboutissants de ce dossier, les élus se prononçaient à main levée en faveur du soutien de leur commune à ce collectif de défense. Sans surprise, APPOIGNY rejoint donc les rangs des localités qui ne veulent pas de ce déménagement du 15 à Dijon.

Thierry BRET

 


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La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Fort de ce postulat juridique, l’attaché parlementaire de la députée Michèle CROUZET, spécialiste en droit privé, a choisi de déposer plainte auprès du procureur de la République de Sens  mercredi 03 février. Cible identifiée par cette action en justice : deux élus du Grand-Sénonais et conseillers départementaux, auteurs de commentaires « diffamatoires » à son égard sur les réseaux sociaux. Du rififi en perspective dans le landerneau politique local ?  

SENS : C’est par l’entremise de Me Magali DUBREUCQ-TRUDDAIU, avocate au barreau de Sens que le bras droit de la députée MoDem de la troisième circonscription de l’Yonne a fait appel à la justice cette semaine pour pointer d’un doigt réparateur les nuisances diffamantes qui peuvent circuler d’ordinaire sur les réseaux sociaux.

Juriste de son état, Steve CAMPAGNE ne tolère plus les propos acerbes à la limite de la décence que véhicule la toile depuis plusieurs jours à son encontre. Des invectives qui émanent de la sphère politique locale et que l’intéressé considère comme « calomnieuses et diffamatoires ». Ces écrits qui fleurissent sur les comptes Facebook sont pour lui, « indignes des responsables politiques qui en sont les auteurs ».

Partant du simple postulat que la toile n’est pas une zone de non-droit, le jeune homme à la tête bien pleine ne veut pas se laisser intimider et insulter par des messages publiés par écran interposé.

« C’est là tout le problème avec les réseaux sociaux, explique-t-il dans un entretien accordé à la presse où il présente les dessous de l’affaire, on n’a pas pris la mesure de ce que sont ces outils de communication, de leur pouvoir et ce qui peut se dire ou s’écrire réellement… ».

Arguant que le droit s’applique partout y compris sur les canaux offerts par le numérique et que l’immunité zéro n’existe pas, l’attaché parlementaire de Michèle CROUZET a décidé de se lancer dans la bataille, tel un chevalier blanc qui souhaiterait pourfendre les aficionados de cette pratique somme toute usuelle par les temps qui courent, pour porter l’affaire devant la justice.

« Je le fais aussi au nom de toutes ces personnes qui souffrent en silence des méfaits de ce cyber harcèlement et des menaces anonymes qui sont diffusées régulièrement sur le multimédia, concède-t-il en présence d’un énorme Dalloz qui trône en majesté son bureau.

 

Accepter le principe de la liberté d’expression et de la transparence…

 

Quant aux faits, ils remontent au 22 janvier dernier. Désireux d’éclaircir quelques points interrogatifs qui l’interpellent, Steve CAMPAGNE sollicite le conseiller départemental et maire de Saint-Denis-les-Sens Alexandre BOUCHIER pour que ce dernier lui fournisse des explications détaillées sur son bilan et aborde le cumul de ses rémunérations en qualité d’élu.

Pour l’attaché parlementaire icaunais : il ne s’agissait là que d’une simple question d’ordre politique s’inscrivant dans la pure transparence citoyenne.

« C’est un devoir aujourd’hui de connaître les rémunérations de nos élus, précise Steve CAMPAGNE, cela s’inscrit dans la droite ligne de la démocratie. Si les élus ne s’appliquent pas à eux-mêmes les règles élémentaires de l’expression et de la transparence, on peut alors s’interroger sur les principes même de cette liberté d’expression dans ce pays ! ».

 

 

La réponse de l’édile de la commune périphérique de Sens ne tardera pas à être connue mais par le biais de la page Facebook des Républicains. Où Alexandre BOUCHIER compare la demande de l’attaché parlementaire à des « méthodes de mafieux ».

Un terme proprement indigeste et insultant pour Steve CAMPAGNE qui qualifie dans la foulée ces propos de « diffamatoires » ! Se promettant de ne pas en rester là en les faisant constater par un huissier !

« Je m’attendais à une toute autre réponse de la part de cet élu, ajoute Steve CAMPAGNE, mais pas ce genre d’insultes. Certes, la politique n’est pas un débat aseptisé. Mais, il faut savoir accepter le principe de la discussion. On a donc le droit de faire bouger les lignes en posant les bonnes questions. Y compris celles qui dérangent. Et de répondre aux interrogations lorsque celles-ci sont posées : cela s’appelle le courage politique… ».

 

Un combat mené au nom de l’exemplarité et du droit…

 

Affecté par ce qualificatif aux références siciliennes qui remet en cause sa probité personnelle et professionnelle, le plus proche collaborateur de Michèle CROUZET décide alors de contre-attaquer. En ayant recours à la justice.

D’autant qu’une seconde salve, émise sur le même canal d’expression numérique par la conseillère départementale Clarisse QUENTIN en soutien à son homologue du Sénonais, apportera un second souffle sur des braises déjà ardentes.

« Les mots possèdent un sens, souligne l’attaché parlementaire, et j’entends bien remettre cette notion à l’ordre du jour du débat public. On ne peut pas tout dire au nom de la liberté d’expression. Traiter ma méthode de « mafieux » fait allusion à un réseau criminel organisé. Oui, agir dans la sphère politique constitue bien une appartenance à un réseau. Mais, il manque alors le critère de référence à la criminalité : on n’a donc pas le droit de comparer mon intervention à celle de Cosa Nostra ! ».

Dès lors, Steve CAMPAGNE ne laissera plus le moindre interstice qui faciliterait la circulation de propos diffamatoires ou mensongers autour de lui. Y compris sur les réseaux sociaux.

La poursuite juridique se systématisera à l’avenir. Devenant un glaive acéré pour couper les fils de certaine forme de communication usitée par ses détracteurs. Un combat que le garçon souhaite mener au nom de l’exemplarité et du droit.

 

Thierry BRET

 


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