Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La Saint-Valentin, fête des amoureux, se marie-t-elle avec les saveurs sucrées et la texture onctueuse du chocolat ? Peut-elle être le prétexte à l’organisation d’un événementiel unique à Auxerre qui permettra aux adorateurs de la fève de cacao travaillée sous toutes ses variantes de se réunir dans le cadre d’une découverte insolite de nouveaux produits ? C’est l’enjeu de ce premier rendez-vous concocté par les équipes de marketing et de communication d’AUXERREXPO avec la création de ce salon parrainé par quelques pointures de la discipline chocolatière…

AUXERRE : Invitation à l’éveil des sens et des papilles, mais aussi à la découverte d’un produit mythique universellement reconnu et apprécié, ce rendez-vous alléchant pour les épicuriens et autres gourmands en tout genre pourrait s’avérer être une belle réussite pour ses organisateurs.

Articulée autour de la présence physique d’une trentaine d’exposants (confiseurs, artisans chocolatiers, fabricant de nougat mais aussi créateurs de bijoux, fleuristes et producteurs de champagne et de vins…), cette manifestation ne se destine pas uniquement aux aficionados du petit carré de pur cacao à 90 % ou de succulentes ganaches fondant en bouche.

Des références de la filière présentes à Auxerre

On l’aura compris en mixant le chocolat à la traditionnelle fête des amoureux les concepteurs de l’évènement souhaitaient allier symboliquement Cupidon aux maîtres de la chocolaterie, fervents défenseurs des arts de vivre et de cette suavité tranquille du bien-être qu’ils représentent, et qui se décline entre parfaits connaisseurs.

Conçue avec l’œil avisé de l’un des fleurons de ce métier artisanal, Sébastien METOYER, cette première à Auxerre où curieusement aucun salon du chocolat n’aura été proposé par le passé, réunira des valeurs sûres de la corporation : l’ancien champion du monde de pâtisserie Mickaël AZOUZ, titré en 1989 et Guy ROUX, rien à voir avec le célébrissime entraîneur de football, lui-même titulaire du titre de champion de France de pâtisserie 2004 et vice-champion du monde dès l’année suivante.

Outre les causeries instructives sur les origines de ce noble produit dont raffolaient tant les pairs du royaume de France à l’époque où il fut introduit, un défilé de mode occupera le temps de plusieurs représentations les points essentiels de ce rendez-vous. La nouvelle Miss Yonne 2017, Anoushka BALAJ et les naïades qui l’accompagneront sur scène, exposeront leurs jolis minois dans des parures intégralement conçues par des orfèvres en la matière selon les codes vestimentaires empruntés aux robes de soirée version chocolatée.

Le concours du meilleur gâteau au chocolat désignera l’amateur de pâtisserie qui aura su mettre l’eau à la bouche et retenir l’intérêt d’un jury composé de professionnels avertis, découvreurs de nouveaux talents.

D’accès gratuit, ce premier Salon du chocolat débutera ce vendredi à 14 heures. Il durera tout le week-end de 10 à 19 heures et laissera d’excellents souvenirs au palais et pour l’odorat à tous ces amoureux qui auront célébré la Saint-Valentin un peu en avance…et de façon goûteuse.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Applicable dès le 01er mars, ce nouveau dispositif sanitaire concernera les assurés sociaux de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne qui procèdent de manière régulière à un bilan de santé (anciennement les examens périodiques de santé). Coordonnée en collaboration avec le Centre hospitalier d’Auxerre, cette mission visant à lutter efficacement contre certaines pathologies infectieuses aura pour objectif de contrôler et surtout d’actualiser le carnet de vaccination de ces personnes. Une statistique intéressante a justifié cette stratégie de précaution encouragée par le Centre d’examens de santé de la Caisse primaire d’assurance maladie : avec près de 8 500 bilans de santé réalisés chaque année, il s’est avéré que 1 500 assurés consultants n’étaient pas à jour de leurs vaccinations. A l’instar de près de 60 % des adultes vivant dans notre pays…

AUXERRE : Vingt-quatre mille cas de rougeole ont été décelés en France pour la seule année 2017. Six cents malades ont souffert de coqueluche alors qu’ils auraient pu éviter cette infection si leurs rappels de vaccins avaient été respectés. Ces observations se multiplient de plus en plus dans l’hexagone, plongeant dans l’inquiétude les praticiens de la médecine généraliste qui souhaitent changer les mentalités, et surtout éradiquer les « a priori » contre les vaccins.

Or, grâce à de simples injections, beaucoup de maladies se sont raréfiées sur la planète. Mais, d’autres pathologies subsistent encore. L’efficience des vaccins prend son salut dans la récurrence de ces injections grâce à des rappels proposés à des tranches d’âge précises : la petite enfance, à 25 ans, à 45 ans et à 65 ans.

Mais, une large majorité d’adultes passent le plus souvent à travers les mailles du filet sanitaire par ignorance, par insouciance, voire par oubli. Et pour certains, par une volonté farouche à ne pas s’y soumettre.

Le bilan de santé, étape obligatoire menant à la vaccination

C’est au moment du bilan de santé (un examen pris en charge par la CPAM et proposé dans les locaux du CES) que le patient bénéficie d’un état des lieux exhaustif  de sa situation sanitaire à l’aide de différents examens. A Auxerre, ils sont cinq médecins qui déclinent leurs sciences dans cet exercice. Schématiquement, c’est au cours de l’une de ses consultations que le médecin vérifie le carnet de santé afin de pallier aux manques. Diphtérie, rubéole, tétanos, polio, oreillons, coqueluche, rougeole…si le carnet de vaccination recèle des carences, elles seront réparées sur le champ avec l’accord du patient.

« Naturellement, explique le docteur Saïd BROUCHE, médecin-chef du Centre d’examens de Santé d’Auxerre, la vaccination est intégrée au bilan de santé et requiert simplement une inscription de la part du patient. La priorité sera donnée aux personnes vivant en situation précaire… ».

Cependant, le déroulé de ce rattrapage vaccinal ne se limitera pas uniquement aux actions menées dans les services de soins du Centre d’examens de santé. Les unités mobiles interviendront dans les territoires en déficit de généralistes, sur les secteurs d’Avallon, de Sens et de Tonnerre.

Cette nouvelle offre de services sera accessible gracieusement. Même s’il en coûte de 5 à 6 euros pour l’acquisition d’un vaccin à l’unité. Un budget intégralement financé par la CPAM.

Pour l’heure, ni le docteur BROUCHE, ni Etiennette BERROUET, sous-directrice de la Caisse primaire d’assurance maladie de l’Yonne, ne savent exactement combien de personnes régulariseront leur carnet de santé dès le premier mars. Une estimation circule néanmoins dans la bouche du médecin-chef du CES qui annonce le chiffre de 700 personnes pouvant constituer le contingent initial de ces futurs vaccinés.

La population en situation difficile intègre les priorités…

Créé en 1969, le Centre d’examens de l’Yonne accueille plus spécifiquement des personnes en précarité dans ses services.

« Notre rôle porte sur le dépistage et la prévention envers les personnes qui ne peuvent accomplir leurs parcours de santé. Lorsque ces patients procèdent au bilan de santé, ils bénéficieront de plusieurs examens de type biologique, des recherches sérologiques, un examen dentaire, de la biométrie, des tests d’acuités visuelles et auditives, etc. ».

Parmi le public ciblé de manière prioritaire, on retrouvera les bénéficiaires du RSA, les chômeurs de longue durée, les jeunes âgés de 16 à 25 ans en insertion, mais aussi les enfants et les personnes âgées en situation sociale délicate.

Cette action préventive à long terme sera mesurée par ailleurs d’ici une décennie pour en connaître les véritables effets sur la santé publique.

Respectueuse de la procédure mise en œuvre depuis le 01er janvier 2016 par la convention nationale, cette campagne vaccinale de rattrapage constitue l’un des éléments moteurs enclenchés cette année par la Caisse primaire d’assurance maladie afin d’optimiser et d’élargir les services de soins à l’ensemble de la population.

Dès l’automne, la généralisation du DMP (dossier médical personnalisé) prendra le relais au plan médiatique avec la ferme intention de suppléer le fameux carnet de santé et sa mouture initiale de 1992 qui n’ont jamais su s’imposer dans le quotidien fonctionnel des Français.

Ce nouvel outil aux contours judicieux résoudra peut-être l’absence chronique de vaccination dès que nos concitoyens entrent dans l’âge adulte…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les chiffres clés de la délinquance ont été dévoilés par le préfet de l’Yonne Patrice LATRON au cours d’une conférence de presse organisée dans ses bureaux. Si ces données statistiques traduisent une relative embellie pour notre territoire avec une diminution du nombre des délits enregistrés sur l’exercice 2017, il est néanmoins important de les nuancer de l’avis du représentant de l’Etat. Le total des infractions globales survenues sur le département est inférieur à 15 000 faits (14 995). Ombres qui ternissent le tableau : la hausse des atteintes aux personnes sous la forme d’agressions progresse de 11 % par rapport à 2016 tandis que la violence sexuelle enregistre un net développement avec 27,9 % de cas. Quant à la baisse des cambriolages, elle se réduit de 8,6 %, sur les résidences principales mais pas sur le résidentiel secondaire ni les cabanons de jardin, décidément au cœur de l’actualité.

AUXERRE : Alors que le dispositif de participation citoyenne devrait connaître un nouvel essor cette année dans plusieurs communes du territoire et que la complémentarité entre la gendarmerie nationale et la police s’en trouve renforcée, le préfet de l’Yonne Patrice LATRON a procédé à un exercice de synthèse face aux médias en commentant les derniers chiffres concernant l’épineux dossier de la délinquance.

Celle-ci amorce un sérieux recul de 8,8 % au niveau départemental en 2017 par rapport à l’année antérieure et situe l’Yonne en deçà de la moyenne nationale. Le taux de délinquance s’établit à 43,9 pour mille habitants alors que les statistiques nationales plafonnent à 51,2 pour mille habitants. Un moindre mal pour le département bourguignon qui occupe une position un peu plus confortable eu égard à certains de nos voisins.

Les explications concernant cette baisse proviennent d’une meilleure occupation du terrain par les forces de l’ordre et surtout de la montée en puissance de dispositifs préventifs.

Un état des lieux exhaustif de la délinquance…

Si à l’échelle du département, les forces de l’ordre ont constaté 1 746 cambriolages en 2017, ces infractions ont connu une baisse de 7,7 %, sauf au niveau des logements (8,6 %), sur l’ensemble de l’année. Toutefois, les relevés fournis sur le quatrième trimestre (+ 22,9 %) inquiètent sérieusement les acteurs du volet répressif. Près de la moitié de ces méfaits visaient des résidences principales tandis qu’un tiers des cambriolages étaient perpétrés dans des locaux professionnels, voire associatifs.

« Nous allons systématiser les informations et renforcer la coopération et la coordination de ces deux forces de sécurité intérieure en matière de lutte contre le cambriolage, ajouta Patrice LATRON très déterminé, en développant des analyses communes, en menant des opérations de portée départementale et en communiquant de façon concertée et proactive… ».

Sans qu’il s’appesantisse de trop sur la thématique qui fera l’objet d’une autre conférence de presse en février, le préfet de l’Yonne a évoqué la délinquance routière qui demeure un point noir sur ce département. « Il n’y a rien à redire, devait-il constater avec amertume, mais les chiffres sur l’accidentologie restent mauvais dans l’Yonne… ».

Laissant la parole à la procureure de Sens, Marie-Josée DELAMBILY, cette dernière aborda le nombre de plaintes et de procès-verbaux déposés l’année dernière dans l’Yonne : entre 11 500 et 12 000 dossiers, toutes procédures pénales confondues.

« Le trafic de stupéfiants aura occasionné des peines lourdes cette année, précisa-t-elle, avec dans le cas de prises importantes (400 grammes de cocaïne (évalués à 28 000 euros) et même de l’héroïne), des peines d’emprisonnement pouvant osciller entre 18 mois à cinq ans ferme… ».

La proximité avec l’Ile de France où se greffent d’importants trafics montre la porosité de notre territoire qui ne peut éviter de telle situation.

Au niveau des comparutions immédiates avec l’ouverture d’informations judiciaires, quelques gros dossiers de cambriolage ont mis en émoi tous les services de l’Yonne en 2017, notamment la fameuse affaire de l’effraction d’un bar-tabac à Sens qui entraînera pour les auteurs du délit de 2 à 4 de prison.

Du côté des violences intrafamiliales (30 à 40 % des gardes à vue), de nombreuses comparutions immédiates auront envoyés les auteurs de ces actes répréhensibles sous contrôle judiciaire, avec dans certains cas, l’éviction du conjoint violent.

Depuis l’affaire WEINSTEIN, la parole des femmes s’est libérée…

Quant aux violences observées sur les policiers et les gendarmes, elles peuvent conduire à une réponse pénale sans appel avec à la clé de deux à trois ans de prison ferme.

« Ce sont des faits inadmissibles et non acceptables, s’est insurgé Patrice LATRON, rien que sur l’exercice 2016, on a relevé 45 cas dont 42 ont entraîné des poursuites... ».

Signe de temps : les sapeurs-pompiers ne sont désormais plus à l’abri de ces incivilités, voire des agressions à leur endroit : huit d’entre eux en ont été victimes l’année dernière. Quelques cas sont déjà à signaler pour 2018.

Directeur départemental de la sécurité publique, le commissaire Thomas BOUDAULT rappela que ses services avaient déploré 5 779 faits divers, engendrant par rapport à l’année dernière une baisse de 5 %. « Nous nous situons en dessous de la barre des 6 000 infractions… ».

Si l’atteinte aux biens, et prioritairement le vol d’automobiles, se stabilise avec moult interpellations, les cambriolages ont enregistré une baisse sur les résidences principales, grâce aux vertus de la participation citoyenne et la sensibilisation de la population occasionnée via le nouvel outil numérique, Facebook Police, fonctionnel depuis peu. Les actes crapuleux et non crapuleux (+ 15 %) sur les femmes et les enfants se maintiennent. Mais, l’explosion des violences sexuelles (+ 120 % de viols et une progression de 15 à 33 délits) reste sous surveillance. « La libération de la parole des femmes depuis l’affaire WEINSTEIN est indéniable… ».

Si la hausse autour des stupéfiants progresse de 10 %, la police judiciaire aura réussi à démanteler des réseaux très structurés.

Intervenant pour présenter les statistiques de la gendarmerie, le colonel Rénald BOISMOREAU rappela de prime abord que 11 500 faits avaient été enregistrés cette année dans l’Yonne, situant notre territoire comme ayant enregistré la plus forte activité en Bourgogne Franche-Comté. Mais, il devait préciser que l’Yonne se classait à la 42ème place au niveau national.

Le centre opérationnel de la gendarmerie devait enregistrer 90 000 appels (via le 17) pour 15 500 interventions. La résolution des affaires aura été exposée par le colonel : 5 524 faits ont ainsi été résolus l’an passé. Signalons aussi que 34 procédures pénales permettant la confiscation d’avoir se seront soldées par une rétention de 734 819 euros de biens.

Que fera l’Etat en 2018 ?

Reprenant la main, le préfet de l’Yonne détailla ensuite le rôle de l’Etat à travers différentes actions.

« Le plan départemental de lutte contre les cambriolages aura pour conséquence d’améliorer la feuille de route opérationnelle entre la gendarmerie et la police. Avec plus d’échanges informatifs. Le développement de nouvelles méthodes, celles déclinées par la police technique et scientifique, se systématisera. Dorénavant, il sera question de relever les empreintes, de pratiquer les tests ADN, de procéder à des enquêtes de voisinage à chaud, et dans un second temps, d’initier une seconde enquête. Quant à l’orientation et l’organisation des patrouilles, elles seront revues dans le temps et l’espace... ».

Ces nouvelles mesures de coordination des deux forces seront placées sous l’autorité du Préfet. S’exprimant sur la participation citoyenne, Patrice LAFON réaffirma sa profonde conviction en son efficacité pour améliorer le lien social, le repérage et la cohésion sociale sur le département.

« C’est une excellente opportunité pour démultiplier les liens entre les habitants d’une commune ou d’un quartier, leurs yeux et leurs oreilles dans les villages. Mais, attention, tempère-t-il, les conditions de fonctionnement sont cadrées par la loi et supposent des conventions de partenariat signées avec les maires… ».

En 2018, il sera question de multiplier par trois le nombre de ses conventions qui ont déjà été validées par trente-et-une communes.

L’amélioration des liens avec la police municipale, dans une vingtaine de localités qui en possèdent, sera accentuée. Là aussi, cela supposera la mise en exergue de conventions de fonctionnement. Des réunions régulières à Auxerre entre la police nationale et la police municipale ont déjà permis de tisser des liens ténus.

La violence faite aux femmes induit une création de poste

Le recrutement d’une déléguée aux droits des femmes, ayant comme tâche de réaliser des missions préventives, devrait se finaliser ces jours-ci. Cette personne orientera son activité en lien étroit avec les procureurs d’Auxerre et de Sens.

Reste le volet de la radicalisation. Un sujet ô combien délicat et suivi sur le fil du rasoir par les services de l’Etat.

« La radicalisation concerne toujours une dizaine d’individus sur notre territoire. Nos services organisent des réunions régulières où nous échangeons des informations strictement confidentielles sur ces personnes. Ce suivi se réalise de manière étroite avec la justice et les services de police parisiens. Cette démarche s’inscrit dans le cadre de nos opérations réalisées avec le centre national de la prévention de la radicalisation qui recueille tous les appels placés sous la plateforme spécifique à ce dossier… ».

En guise de conclusion, le préfet de l’Yonne termina par la délinquance sportive inhérente aux débordements occasionnés par certains supporters de football.

« Les violences autour des matches de football sont limitées et nous avons pour objectif de les contenir, compte tenu des équipes reçues à l’Abbé Deschamps. Aujourd’hui, sept personnes sont interdites de stade pour une durée de six mois suite à de fortes consommations d’alcool. Le 26 janvier dernier, l’interpellation de trois individus qui avaient introduit du matériel pyrotechnique et des bouteilles d’alcool dans l’enceinte sportive aura été menée avec grande sévérité… ».

Une volonté de fermeté qui sera le leitmotiv du préfet Patrice LATRON en 2018 pour que la baisse de la délinquance se poursuive…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Avec l’obtention de cette nouvelle récompense parmi le firmament de la gastronomie française, le groupe Bernard LOISEAU place ses quatre établissements dans les étoiles ! Un accessit qui crédibilise le savoir-faire et la maestria du jeune chef Maxime LAURENSON à la tête de ses équipes depuis 2016. Celui-ci a su insuffler au restaurant parisien situé à dix mètres de l’Assemblée nationale une inclinaison culinaire novatrice dans son décor élégant et feutré. Puisant son inspiration auprès des producteurs français, travaillant des produits qui fleurent bon le terroir et respectueux de la saisonnalité des ingrédients, la jeune toque auvergnate s’est fait le chantre du regretté Bernard LOISEAU : « pas plus de trois saveurs par plats ». Un credo qui lui vaut sa première distinction aujourd’hui…et qui offre son cinquième éclat étoilé à la prestigieuse maison bourguignonne.

PARIS : Un seul leitmotiv anime la carrière de ce jeune chef, élu « Jeune Talent de la gastronomie 2018 » par le guide Gault & Millau : la satisfaction du client. Et ces derniers ne sont jamais déçus lorsqu’ils s’installent avec envie dans ce restaurant de très belle facture, ouvert par Dominique et Bernard LOISEAU en 1999.

Autrefois appelé le « Tante Marguerite », le site se débaptise en 2016 pour devenir le « LOISEAU RIVE GAUCHE » afin de parfaire l’harmonie marketing déclinée dans l’ensemble du groupe qui comprend d’autres établissements en Côte d’Or, Beaune, Dijon et Saulieu.

Ici, dans le septième arrondissement de la capitale, on y passe d’agréables moments. A la fois gourmand et cossu en admirant la vaste salle de restaurant ornée de boiseries blondes qui épousent à merveille quelques notes décoratives contemporaines.

Une cuisine de terroir aux goûts authentiques…

Le lieu, du fait de sa proximité avec le Palais Bourbon, y reçoit moult personnalités politiques, économiques et journalistes. Tous bénéficient de l’accueil irréprochable et professionnel du directeur de l’établissement, Erick DONZEAU. En fonction depuis 2009, ce manager qui se réjouit de voir un jeune apprenant conclure son stage avec le sourire et les yeux qui pétillent, est le pygmalion de cet antre raffiné où les saveurs gustatives sont mises en lumière par le chef auvergnat.

« J’ai obtenu carte blanche pour exprimer l’identité de ma cuisine du terroir, confie-t-il, mon métier représente une passion dont je ne peux me passer. J’ai beaucoup de respect pour la grande tradition, notamment les sauces et les jus, et j’essaie de sublimer la force aromatique du monde végétal et des herbes. En fait, résume-t-il, mes assiettes possèdent des goûts vifs, acidulés, précis et contrastés ».

L’alliance insolite et originale des mets

Ses spécialités se dévoilent sous la forme de succulentes recettes dont on ne lasse jamais : escargots de Bourgogne servis de petits pois et févettes agastache, turbot de Bretagne sauce à l’ache des montagnes et céleri, pommes de ris de veau au sautoir sur du jus à la réglisse de jeunes carottes mais aussi canards de Challans. Une cuisine festive au palais, où les oignons blancs des Cévennes, reine des prés, sureau et jasmin agrémentent volontiers les assiettes qui gagnent ainsi en coloration et en saveurs.

Le tout sera dressé à l’instinct par ce chef qui aime composer des alliances insolites et surprenantes. Sans doute des réminiscences de ce goût immodéré pour les produits du terroir aux saveurs authentiques qu’il a connu jadis au contact de son grand-père.

Entre modernité et tradition, simplicité et gourmandise, la cuisine de Maxime LAURENSON a su subjuguer par cette créativité si débordante les représentants de l’inénarrable guide Michelin, ravis d’une telle découverte gastronomique…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Membre de la délégation des 17 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté qui ont eu le privilège d’être immergés du 09 au 12 janvier au Salon international de l’électronique à Las Vegas (le fameux « Consumer Electronic Show »), le dirigeant de la société IDXPROD à Auxerre a fait montre de valeurs altruistes en conviant la semaine dernière une trentaine d’entrepreneurs de l’Yonne à découvrir les évolutions technologiques qui se concoctent au niveau planétaire par des start-ups imaginatives. Didactique dans ses propos et incitatif par son geste ouvert à la mobilisation, l’initiative impulsée par le président de la structure « YONNE NUMERIQUE » aura permis à chacun de se faire une idée précise sur les grandes tendances high-tech de demain…

AUXERRE : Manifestation annuelle à la renommée internationale, le C.E.S. de Las Vegas (Etats-Unis) fait figure d’étape incontournable pour les acteurs de la filière électronique. L’édition 2018 n’aura pas dérogé à la règle des rendez-vous antérieurs avec sa grandiloquence coutumière liée à ses infrastructures logistiques et à son avalanche de nouveautés issues des têtes bien pensantes qui rivalisent chaque année d’ingéniosité à travers leurs start-ups.

Robotiques, réalité augmentée, véhicules se conduisant de manière autonome, images numériques, réseaux, jeux, technologies émergentes, audiovisuel…les plus grandes innovations autour de l’intelligence artificielle, des objets connectés ou de l’impression 3D y auront trouvé grâce : elles auront émerveillé les visiteurs se promenant dans les allées qui avec leurs regards de gamin ont eu la sensation de vivre une réalité onirique…A l’exemple de Yannick DAVOUSE, l’entrepreneur Icaunais à la tête de sa société IDXPROD…

Avec le concours de la Région Bourgogne Franche-Comté, le dirigeant auxerrois a eu l’opportunité de se rendre en Amérique du Nord en compagnie de seize autres chefs d’entreprise, tous adhérents comme lui du cluster numérique régional, Bourgogne Franche-Comté Numérique. Les décideurs économiques ont pu parcourir les travées de ce maelström technologique indéfinissable où ils auront côtoyé les génies de la technologie du futur, soit 4 000 exposants en provenance de 150 pays pour une affluence de 170 000 personnes.

Une vision approfondie d’un marché de 120 milliards de dollars…

A Auxerre, dans ses bureaux qu’il occupe au sein de la pépinière d’entreprises de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Yannick DAVOUSE a su créer le climat propice pour résumer ce qu’il avait vu sur place. Et évoquer en substance et en l’illustrant de la manière la plus visuelle possible ce que seront les tendances consuméristes issues de ce CES 2018 en matière de technologie.

Commentant la réalité économique de ce marché à fort potentiel, Yannick DAVOUSE ne lâcha qu’un seul chiffre mais de taille : 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires obtenus d’ici quelques années ! Toutefois, certains freins au développement de nouvelles gammes de produits pouvaient ralentir leur croissance.

« Prenons l’exemple de la réalité augmentée, lança-t-il en guise d’explications, au bout d’une vingtaine de minutes, l’utilisateur peut ressentir des sensations nauséeuses et un mal-être qui peuvent induire des vertiges. Pourquoi vit-on cela ? Parce qu’il y a un phénomène incommodant pour l’être humain. Le cerveau ne peut pas tout absorber d’où ces problèmes engendrés au niveau des sensations visuelles. Mais aujourd’hui, les grands leaders de ces marchés injectent beaucoup d’argent pour résoudre cela… ».

Les nouvelles technologies du futur en cinq tendances…

Puis, tour à tour, et en cinq grands chapitres, Yannick DAVOUSE détaillera les axes stratégiques de ces grandes tendances technologiques qui se présentent à nous.

A l’instar de l’AI (intelligence artificielle) qui est désormais abondamment employée dans le monde de l’automobile avec la présence de système de caméras embarquées. Elles facilitent la lecture des panneaux qu’elles identifient avant le passage du véhicule.

A l’instar aussi du « CHATBOT », un robot aux vertus novatrices qui, grâce à un logigramme, accomplit des tâches de plus en plus intelligente telles que l’analyse des informations en utilisant des formules polies, directes, construites.

« Ces appareils pratiquent la reconnaissance d’objet : on prend les colis sous le contrôle d’une caméra et cela va générer des habitudes de courses, à partir de listing et de base de données, tout en s’adaptant aux besoins des consommateurs. En fait, preuve d’une interconnexion importante, les objets vont connaître toutes vos habitudes… ».

Avec le « Voice Contrôle », on s’exprime via une interface à un appareil muni de micros qui répond. La voix devient dominante dans la relation que l’humain entretient avec la machine. C’est la porte ouverte au marché de l’économie du son telle que l’envisage déjà le programme économique régional DEFISON.

Le quatrième item expliqué par Yannick DAVOUSE fera référence à l’IoT, c’est-à-dire « Internet of Thing ».

« Tous les objets sont connectés entre eux, depuis la cafetière jusqu’à la voiture, en pensant par la domotique. Tous ces appareils sont reliés à l’ordinateur et au cloud. « IoT» : c’est une connexion au monde. BIG DATA en est aussi une illustration tangible…Argument différenciant : c’est la sécurité qui est au centre des enjeux pour rassurer les gens ».

Reste le point 5 : le « Smart Building », c’est-à-dire la migration vers les services.

« De plus en plus, on se situe sur des notions de confort et de partage des informations entre nous. Par exemple, dans le domaine de l’automobile, on achète plus le véhicule. On le loue avec de la maintenance et de la tranquillité sans être propriétaire. Dans le bâtiment, on achète des usages du service, de la fonctionnalité et de la capacité… ».

Ne plus être des chefs d’entreprises français complexés…

Aujourd’hui, poursuivit l’entrepreneur Icaunais, « on parle de moins en moins de start-up (vendre de la technologie avec une maîtrise particulière) mais de « smart up » pour vendre du service et de l’intelligence… ».

Ainsi, dans le milieu agricole, les tracteurs se négocient avec des cellules GPS qui pilotent l’engin et en assurent la parfaite mobilité. Pendant ce temps-là, l’agriculteur peut assumer d’autres fonctions dans ses champs.

Rappelant que le territoire de l’Yonne possédait une très belle cote au niveau du numérique, Yannick DAVOUSE a voulu donner de la positivité et de la dynamique en partageant ses connaissances ramenées depuis Las Vegas.

Il incite déjà les entrepreneurs locaux à se rendre au salon ISE d’Amsterdam prévu en 2019 et pourquoi pas de représenter comme lui, les 320 entreprises françaises de la French Tech invitées aux Etats-Unis en janvier prochain.

« Cessons d’être complexés ! Ne nous posons plus de questions alors que les autres pays s’engouffrent sur le marché mondial. Il nous faut changer de mentalité et faire triompher le savoir-faire de nos entreprises, start-ups et PME, qui n’ont absolument rien à envier à celles des autres nations… ».

Le message de Yannick DAVOUSE, on l’imagine, aura été reçu cinq sur cinq.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil