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Parce que le territoire icaunais enregistre une très forte baisse du nombre de professionnels de santé, qu’il s’agisse de médecins généralistes, de spécialistes et de paramédicaux, la Communauté de communes du Grand Sénonais a pris l’initiative de se mobiliser aux côtés des acteurs institutionnels de la région et du département. Avec une seule et unique idée en tête : le faire en faveur d’une spirale sanitaire vertueuse, en avançant de manière collective et au bénéfice des 60 000 habitants de ce territoire…

SENS : Face à une situation de crise sanitaire qui ne cesse de s’aggraver au fil des mois, il faut parfois prendre des mesures appropriées en unissant les efforts de chacun des interlocuteurs, concernés par la thématique. C’est en substance le message clair et sans fioritures qu’a voulu communiquer aux professionnels de santé la présidente du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT, à l’occasion de la signature du Contrat local de Santé.

L’adoption de ce document aura permis aux différents partenaires, associés à ce projet de mutualisation sanitaire, de pouvoir s’exprimer publiquement auprès des acteurs des milieux de la santé. Préfecture, Département de l’Yonne, Région Bourgogne Franche-Comté, Agence régionale de Santé (ARS) se retrouvaient ainsi en première ligne à la table officielle, expliquant les enjeux sanitaires du territoire.

Les référents de la filière santé prenaient part, eux-aussi, à cet exercice d’explication de texte très utile, à l’instar des représentants de la Caisse primaire d’assurance maladie, du Centre hospitalier de Sens, du Centre hospitalier spécialisé de l’Yonne ou de la clinique Paul PICQUET.

Apporter de l’amélioration à une situation sanitaire complexe par manque de moyens et d’effectif au service de chacune des personnes vivant sur ce secteur géographique (60 000 habitants répartis sur 27 communes) représentait le principal leitmotiv des signataires. Ils purent ainsi exprimer leurs propres convictions autour de cet engagement fort et citoyen.

La lutte contre le renoncement aux soins, la prévention auprès des jeunes et le renforcement des soins de proximité constitueront les axes essentiels de ce nouveau Contrat local de santé, bénéfique à terme à l’ensemble de la population du Sénonais.

« Le temps n’est plus aux effets de langage mais à l’action… »

Observant l’extrême fragilité vécue par la filière santé sur notre territoire, l’édile de Sens devait lourdement insister sur le bien-fondé de ce paraphe aux caractéristiques officielles et aux conséquences importantes. Le nord de l’Yonne connaît une forte baisse du nombre de médecins généralistes. Une chute dans les effectifs à laquelle il est nécessaire d’y ajouter les praticiens spécialistes, un état de fait qui occasionne de sérieux déséquilibres territoriaux.

« Avec le doublement de la population des personnes âgées de plus de 85 ans d’ici 2020, l’intensification des soins devient une priorité à laquelle nul ne peut se soustraire, précisa Marie-Louise FORT, le temps des effets de langage est donc révolu ; celui des actes est devenu impératif pour éviter tout risque d’isolement de ces personnes âgées… ».

Nonobstant, des dispositifs existent. Le maire de Sens ne manquera pas de saluer leur rôle. Les maisons de santé et les centres de soin offrent déjà des alternatives encourageantes. Mais, renchérira la présidente de la Communauté de communes lors de son intervention, « cela ne peut résoudre les problèmes humains… ».

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Une panoplie de possibilités et d’outils pour inverser la tendance…

Signée pour une durée de cinq ans, la nouvelle génération de Contrat local de santé répond à plusieurs objectifs. De prime abord, réduire les inégalités territoriales et sociales de santé.

Dans sa phase applicative et pragmatique, l’outil vise à coordonner de manière optimale les actions entreprises sur les territoires, considérés comme vulnérables. Grâce aux effets de levier de la contractualisation. Mais, aussi, en accentuant la cohérence opérationnelle de tous les acteurs qui exercent ensemble leurs compétences sur le parcours de santé.

Ces efforts de coordination doivent se retrouver entre les champs sanitaires, la prévention et la santé environnementale, agrégés aux aspects médico-sociaux et sociaux afin de répondre au mieux à la complexité de la prise en charge.

Entamée dès 2016, la concertation devant conduire à la signature définitive de ce concept aura été ponctuée de rendez-vous, égrenés au fil de ces derniers mois.

Les orientations de ce plan seront multidirectionnelles mais a fortiori très complémentaires : le renforcement de la prévention sanitaire auprès du jeune public (alcoolisme, tabagisme, addictions…), l’amélioration de la santé environnementale (qualité de l’habitat, dénonciation de l’insalubrité des logements…), le renfort de l’accès aux soins à destination des précaires ou encore une meilleure coordination entre les acteurs des milieux de la santé.

Gageons que ce contrat local de santé puisse changer avec efficience le devenir de ces Sénonais (un sur cinq) qui ne possèdent pas de médecin traitant pour les suivre dans leur parcours de vie.


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La ratification de la charte commerciale qui unit désormais les membres du CAPI de l’Yonne n’aura pas manqué d’originalité dans sa configuration scénographique au terme d’une soirée événementielle mettant en lumière ce club fédérateur des artisans de l’industrie. Tour à tour, la quinzaine de professionnels, issus de ce secteur encore trop méconnu en France, ont apposé leur paraphe sous le logo de leur entreprise adhérente, à même un document mural de grande taille. Grâce à cette convention partenariale, leurs auteurs, à savoir les représentants Icaunais de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté, souhaitent en faire un véritable label…

AUXERRE : Responsable du pôle développement des entreprises et des territoires au sein de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, Corinne TOURLIER aura joué le rôle de grande prêtresse lors de cette cérémonie protocolaire, vécue dans l’amphithéâtre de l’organisme consulaire auxerrois.

La signature de la charte de mise en exergue de la pratique commerciale au sein du Club des Artisans de la Production industrielle de l’Yonne (CAPI) aura servi de prétexte constructif à une manifestation où étaient présents les acteurs clés de la chambre départementale, le président Jean-François LEMAITRE et Isabelle DUMONT, en charge de la gestion administrative et opérationnelle de l’institution.

D’inspiration nationale, le CAPI a vraiment pris son envol il y a cinq ans dans l’Yonne. Son objectif, louable, repose sur la convergence d’intérêt de ces artisans de l’industrie (à l’instar de ceux qui exercent leur savoir-faire professionnel dans la métallurgie) et à les faire partager parmi eux.

Bref, créer un réseau dans le réseau est devenue une priorité pour ces entrepreneurs qui ont eu, une fois n’est pas coutume, une belle  opportunité de tenir la vedette au cours de cet évènementiel organisé par la chambre consulaire.

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Une charte comprenant les valeurs fondamentales de l’entrepreneuriat…

Opérationnel depuis 2013, ce groupe de travail où se retrouvaient les spécialistes de la sous-traitance et des services à l’industrie, n’a pourtant pas chômé pour autant durant cette période.    

Le programme des activités s’est très vite avéré copieux avec visites d’entreprises, formation à raison d’une séance mensuelle et surtout des échanges qualifiés de constructifs. Des statistiques, énoncées par Corinne TOURLIER, sont venues étayer les bienfaits de cette structure informelle. 43 réunions d’information ont déjà été dispensées, dix découvertes de société, six séances de formation dites sur mesure, et même trois présences remarquées aux RIDY, les Rencontres régionales de l’industrie, concoctées par l’autre organe consulaire de poids dans le landerneau de l’économie, la CCI.

Présent sur les réseaux sociaux, le CAPI veut désormais se projeter davantage vers l’avant grâce à ce club, animé par Mathilde VUILLERMOZ, en charge de son développement au sein de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat.

Quant au contenu de la charte commerciale à laquelle souscrivent désormais les quinze entrepreneurs signataires, il s’articule autour de cinq grandes composantes. Ce sont des valeurs fondamentales de l’entrepreneuriat, s’arc-boutant sur les principes de la coopération, de la qualité, de la complémentarité des compétences, de la proximité et de l’esprit cocardier inspiré positivement par le « made in Yonne ».

Une somme de critères qualitatifs qui confère à cette convention la dimension d’un véritable label de référence…


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La réception du Paris FC à l’Abbé Deschamps représente une nouvelle source de motivation pour le coach franco-uruguayen de l’AJA. Malgré un effectif amoindri par les blessures de plusieurs joueurs, l’entraîneur auxerrois aborde cette rencontre déjà cruciale pour l’avenir du club ce vendredi soir en plaçant le curseur de la victoire comme une obligation impérative. La défaite est interdite !

AUXERRE : Balayant d’un revers de la main la fameuse formule conditionnelle, « avec des si, on referait le monde… », Pablo CORREA n’envisage aucunement la défaite ce vendredi soir face à Paris FC, dans le cadre de la douzième journée du championnat de Ligue 2.

Pugnace, le coach auxerrois ne se fixe qu’un seul et unique objectif à quelques heures d’une rencontre, pourtant déjà délicate face à la 7ème équipe de ce début de saison, la victoire. Nette et sans bavure. Avec si possible, et il n’y a rien d’optionnel, la manière. Histoire de redorer le blason du groupe face à des supporters mécontents qui ont sorti les banderoles parmi les travées du stade afin d’exprimer leur exigence.

Certes, plusieurs prétendants à l’équipe type devront encore ronger leur frein sur les bancs de l’infirmerie. Mais, le succès retrouvé, après une longue période de doute et d’atermoiement, face à l’AS Béziers, sur un score de deux buts à rien, est susceptible de redonner, quelque peu, de l’espoir pour la suite de l’épreuve.

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Vers un nouvel élan plus optimiste…

Se concentrer sur le match à venir. C’est le credo continuel de l’ancien entraîneur de l’AS Nancy Lorraine, qui est venu poursuivre une carrière de bel aloi en terre icaunaise au milieu de la saison dernière. La volonté et le style de Pablo CORREA sont inchangés. L’homme est respectueux de chaque adversaire. Néanmoins, il faut savoir saisir sa chance sur le terrain pour jeter le trouble d’un adversaire qui présente nécessairement des forces et des faiblesses.

Déterminé à profiter d’une dynamique positive, au moins jusqu’à la trêve des confiseurs, le coach de l’AJA ne veut plus que ses garçons soient crisper face à l’équipe adverse. « Notre récent succès devrait nous permettre de bénéficier d’un élan favorable. A nous de le travailler tant sur le plan physique que mental pour cela nous soit profitable le plus longtemps possible… ».

Renverser la vapeur, passe par des attitudes, des gestes, des échanges constructifs et de la psychologie. Tout ceci se vit dans l’intimité du vestiaire.  

« Je sens mes joueurs très impliqués, précise Pablo CORREA, je ne vois pas d’autres manières que de les mettre en situation d’enchaîner des résultats si ce n’est en leur insufflant l’envie et la passion… ».

Un adversaire de poids qui veut accrocher le podium…

Le défi à relever est donc important. Paris FC demeure une formation complexe à manœuvrer, disposant de joueurs de belle facture, avec de réelles ambitions pour clore cette compétition au plus près du podium. Quitte, peut-être, à grimper dessus ! Il sera nécessaire de puiser dans ses plus lointaines ressources pour trouver le mental indispensable à la dynamique de la victoire. Et de renouer ainsi avec le succès par le prisme de ce spectacle sportif, préféré des Français.

 


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Initiée au 1er mai 2018, la Plateforme d’intervention départementale pour l’accès aux soins et à la santé (PFIDASS) se révèle déjà très utile pour les assurés sociaux de notre territoire. Près de deux cents d’entre eux intègrent le dispositif d’accompagnement leur permettant de renouer avec les soins thérapeutiques. Trente-et-une personnes ont ainsi pu bénéficier des précieux remèdes médicaux. Des indicateurs très positifs pour le directeur-adjoint de la Caisse primaire de l’assurance maladie, Jocelyn PIBOULEAU…

AUXERRE : « Les points forts de ce processus d’accompagnement que nous avons développé depuis le printemps se résument ainsi, constate le cadre supérieur de la CPAM de l’Yonne, faire bénéficier l’assuré social d’un accord CMUC/ACS ou d’une aide au choix d’un contrat mutuelle adaptée. Car, cette absence d’une prise en charge par une complémentaire de santé représente le premier frein à la réalisation de soins… ».

Ainsi, accueilli par une conseillère pour l’accès aux soins et à la santé, l’assuré se sent écouté et considéré. Un ajout d’humanisation dans une société qui laisse de plus en plus d’individus sur le bord de la touche.

« Le fait de recevoir un accompagnement personnalisé et adapté à chacun, poursuit Jocelyn PIBOULEAU, redonne de la confiance aux assurés. Jusque-là, ces personnes se sentaient perdues dans leurs démarches, voire exclues socialement du fait de la non-réalisation de certains soins. Notre mission est de nous sentir utile en apportant notre aide à certains assurés en difficulté à cause d’une méconnaissance de notre système de santé et des droits auxquels ils ne peuvent prétendre… ».

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 126 accompagnements toujours en cours dans l’Yonne…

Ce suivi minutieux assuré par les professionnels de la Caisse primaire de l’assurance maladie, préalablement formés à ces nouvelles missions sociétales, ne peut excéder un délai de 90 jours. Autant dire que les équipes de la CPAM de l’Yonne jouent de réactivité afin de trouver les opportunités adéquates pour résoudre l’ensemble des problèmes.

« L’enjeu est simple, confie le directeur-adjoint de la CPAM de l’Yonne, nous devons ramener ce public qui avait renoncé aux soins vers le parcours des séances de dépistage réservées à certaines pathologies (cancer, asthme, diabète). Sans omettre de les orienter vers l’accès de soins primaires (dents, vision). Les chiffres révélés par l’enquête que la CPAM a initiée dans l’Yonne sont révélateurs de cette carence. 12 % des personnes interrogées affirment se priver de soins chez l’ophtalmologue. 9,5 % ne consultent plus de spécialistes. 9,2 % n’assurent plus d’examens biologiques. 8 % se dispensent des séances de rééducation chez le kinésithérapeute. Depuis septembre, l’introduction de la télémédecine, facilitant les consultations à distance auprès de praticiens spécialisés, se développe dans notre département. C’est l’un des moyens qui nous permettra de résorber à terme cette situation délicate vis-à-vis des personnes éloignées des Maisons de santé… ».

Les étudiants intègrent aussi cette catégorie de personne en disette de soins. Deux mille d’entre eux ont par ailleurs été réintégrés dans le régime général de base. Ils peuvent profiter d’offres de prévention spécifiques avec des programmes liés aux comportements à risque (tabac, alcool, addiction) et soins bucco-dentaires.

 


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Le soufflé est retombé. L’affaire du prélèvement à la source, c’est déjà du passé ! Pourquoi ? Parce que ça n’a pas encore commencé, tout simplement. Jusqu’à aujourd’hui, c’était du « buzz médiatique », tandis que dans les coulisses de l’exploit les équipes ardentes de notre ministre des Comptes Publics s’affairaient pour être prêtes en 2019. Une fois de plus, nous pouvons être fiers de notre administration séculaire.

LYON (Rhône) : Néanmoins, pour les contribuables, tout reste à voir, ou plutôt, à faire. En effet, toute personne qui, sur le plan professionnel, doit passer de la théorie à la pratique, sait que ça ne se passe jamais comme prévu au départ. Et c’est normal. On ne peut pas, on ne pourra pas en tenir grief aux équipes du ministère et à notre ministre, Gérald DARMANIN. Car, c’est la vie même…

C’est lors de la mise en œuvre du prélèvement à la source que l’on saura si ça fonctionne ou pas. Auguste DETOEUF a déjà corrigé le vieux dicton : « C’est au pied du mur qu’on voit  le maçon ». Non, « c’est au sommet du mur’ ». Donc, attendons et revenons-en au principe du « Prélèvement à la source ».

Vous êtes-vous posé ces deux questions au sujet du prélèvement à la source : quel est en est l’intérêt pour moi ? Quel est en est l’intérêt pour le pays ?

Selon le sondage de la société ELABE, les deux-tiers des Français soutiennent le prélèvement à la source. Tant mieux ! C’est si rare de voir les Français soutenir quelque chose dans une telle proportion.

Néanmoins, il y a des réserves. Le principal sujet d’inquiétude, ce sont les « bugs » ». 50 % des Français s’en inquiètent. Précisons cette donnée : il y a en France 37,4 millions de foyers fiscaux et seulement 17,1 millions de contribuables qui sont imposés à l’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques. C’est-à-dire moins de la moitié des contribuables français. Voilà qui relativise les sondages sur la position de nos concitoyens en matière de prélèvement à la source. En fait, environ 8 millions de ménages français sont inquiets.

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Plus de mille milliards de prélèvement…

Poursuivons notre analyse grâce à ELABE. 53 % des Français estiment qu’ils n’ont pas été assez informés. A l’heure où l’on parle communication à tout crin, c’est inquiétant. Pourtant, les Français passent en moyenne 3 heures 42 par jour devant leur poste de télévision. Sans oublier désormais Internet et les réseaux sociaux. C’est regrettable car, lorsque les « bugs » arriveront, les Français diront : « On ne savait pas. Si j’aurais su… ». Là, pas d’inquiétude, on connaît la réponse : « le Gouvernement ne vous demande pas de savoir mais de payer… ».

Et venons-en au fait essentiel : combien rapporte l’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques ? 76 milliards d’euros ! Et les prélèvements sociaux, soit le couple CSG/CRDS ? 125 milliards d’euros. Et la TVA ? 185 milliards d’euros. Au total, l’essentiel de ces impôts sur les personnes et leurs biens s’élève à 386 milliards d’euros. L’Impôt sur le Revenu des Personnes Physiques dans cet ensemble représente …, représente … 19,7 % !

Et le total des prélèvements s’élève à combien ?  A 1 038 milliards d’euros. L’IRPPP représente 7,3 % de cet « Himalaya » de prélèvements. Tout est dit.  Shakespeare avait raison.

La semaine prochaine, nous vous présenterons le deuxième chapitre sur le prélèvement à la source. Cette fois sous l’égide non plus du poète et écrivain britannique, mais de Lénine : « Une contradiction interne ».

Emmanuel RACINE


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