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Enormément sollicités ces derniers jours, les services de livraison de la marque de prêt à déguster des FESTINS ont du mal à joindre les deux bouts. Tant la hausse des commandes est significative, voire exponentielle en cette période de gestion de crise sanitaire…

AUXERRE : Plus que jamais, et malgré le contexte actuel particulièrement délicat dans lequel nous sommes confrontés, le service de livraison TOQTOQUE est mobilisé afin de garantir l’acheminement dans les conditions optimales requises des déjeuners en entreprise et au bureau.

C’est ce que vient de confirmer le directeur du développement commercial et marketing de la marque propre aux FESTINS de Bourgogne, Matthieu CHAPUIS. La structure doit faire face avec célérité à une très nette augmentation de ses commandes de la part de celles et de ceux qui continuent à œuvrer au niveau professionnel pour le développement économique de notre territoire.

Alors qu’à Sens, le point de vente qui était ouvert le soir à la gare ferroviaire de Sens a été mis entre parenthèse afin de mieux se recentrer sur les services à proposer dans la zone industrielle des Vauguillettes face à la Chambre de Commerce et d’Industrie au Village d’entreprises, l’activité poursuit son essor à Auxerre.

Depuis son lancement il y a déjà deux saisons, la marque déclinée par le spécialiste des réceptions et du service traiteur en Bourgogne propose une formule repas qui s’articule autour de trois plats : l’entrée, le met de résistance et le dessert.

Sachant qu’une sélection est naturellement possible parmi cinq recettes différentes par plat qui se renouvellent ainsi chaque semaine.

 

 

Une marque décomplexée pour sensibiliser le monde des start-up…

 

Des cinquante couverts journaliers qui étaient réalisés jusque-là chaque midi dans la capitale de l’Yonne en période normale, les demandes ont été très nettement revues à la hausse depuis le début de la crise imputable à la propagation du coronavirus COVID 19.

Deux véhicules à l’estampille de la marque sillonnent ainsi les zones d’activité d’Auxerre afin d’y livrer les repas consommés sur place par les salariés des entreprises.  

Côté emploi, la marque TOQTOQUE rétribue trois personnes à temps complet et une apprentie en période normale. Jouant avec volontarisme la carte de la digitalisation afin de décomplexer sa présence vers les start-up, FESTINS a su grâce à cette marque spécifique du prêt à déguster sur le lieu de travail s’ouvrir vers une nouvelle clientèle.

 

 

 

 

Plus à même de découvrir une cuisine gastronomique à coûts accessibles. Aujourd’hui, la tendance en termes de résultat se symbolise par une forte croissance à deux chiffres.

Les évènements actuels traduisent avec pertinence et réalisme le bien-fondé de son usage au quotidien pour celles et ceux qui travaillent et doivent se nourrir…

 

 


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Et maintenant ? Que faire ? Beaucoup d’argent a été perdu en bourse en très peu de temps. Une seule interrogation : quelles perspectives pour l’avenir ? Il est nécessaire de cesser les polémiques et de visualiser celui-ci avec réalisme. Mais, avec un peu plus d’optimisme malgré ce paysage apocalyptique. L’histoire jugera les erreurs des uns et les aberrations des autres. La crise économique, on peut parler de récession, est déjà présente. Le krach boursier prolonge les convulsions économiques. La bourse plonge, le pétrole s’effondre, l’or chute et l’immobilier est rempli d’incertitudes…

TRIBUNE : Où mettre son argent ? Nous insistons sur la béatitude du financier sage : bienheureux le détenteur du Livret A ! A la différence de 2008, la crise d’aujourd’hui est d’abord économique.

La bonne question à se poser est la suivante : j’ai besoin de quoi ? Un complément de ressources ? Donc, il me faut un placement qui rapporte des intérêts, sans aucun risque. Un capital pour l’avenir et dans l’immédiat ? Je n’ai pas besoin de complément de revenus ? Donc, il faut opter pour un placement qui ne rapporte rien…d’autre que le maintien du pouvoir d’achat de mon capital ! L’erreur permanente faite par les salariés est de prendre une fiscalité sur des intérêts dont ils n’ont pas besoin.

Quant au troisième objectif de l’épargne, il est, rappelons-le, la facilité de la transmission de mon patrimoine vers mes descendants. Imaginons simplement un épargnant qui souhaite solder un placement retraite aujourd’hui. C’est tout bonnement impossible puisque cela n’engendrera que des pertes.

La retraite par capitalisation est à proscrire, tout comme l’assurance-vie. Sauf si on doit à tout prix obtenir des liquidités : il ne faut pas vendre les valeurs en chute libre (les portefeuilles de titres, les SICAV, FCP, SCPI…).

Dans un premier temps, il est préférable de suspendre les versements mensuels vers ces placements à hauts risques ! L’orientation de l’épargne, c’est l’objectif assigné. Observons de cette constante : la rentabilité élevée d’un placement s’accompagne d’un risque élevé.

 

Des placements à réaliser avec sagesse et discernement…

 

Ceux qui proposent des placements à 12 ou 15 %, alors que sur les marchés on trouve des taux négatifs, sont des escrocs ! Les placements purement bancaires rapportent peu. Soit, mais ils sont sans risques. Si l’on veut protéger son épargne : la chute de l’or est de courte durée et on peut estimer que les cours repartiront à la hausse.

Certains spécialistes pensent qu’acheter l’once d’or en dessous de 1 400 dollars US, c’est faire une bonne affaire pour l’avenir. Et si ma banque venait à faire faillite ?

Retenons que les comptes de chèques sont garantis jusqu'à 100 000 euros, par personne et par banque. Si vous avez 250 000 euros : optez pour la formule suivante, ouvrez trois comptes dans trois banques différentes. L’assurance-vie est garantie jusqu’à 70 000 euros par personne et par compagnie. La première démarche pour les plus jeunes est d’acheter avec du crédit, sa résidence principale.

Dans l’avenir, les banques seront plus restrictives dans l’octroi des prêts. A la différence de 2019, elles vont se figer sur la règle de remboursements inférieurs au tiers des revenus de l’emprunteur.

Certains conseillers proposent d’acheter en bourse, d’acquérir des options de vente… La sagesse doit conduire à fuir, pour l’instant, tout placement en lien avec les marchés financiers.

Faire confiance aux conseillers financiers des banques requiert de la modération, voire de la prudence ! Au niveau des réseaux, l’expertise juridico-financière des conseillers de clientèle est à écouter par deux fois. 

Un boulanger n’est pas nécessairement un excellent pâtissier et un spécialiste de la confiserie et du chocolat. Pourtant, il propose à ses clients l’ensemble des produits liés à ces spécialités !

Idem pour la banque : on propose des produits bancaires, financiers, d’assurances, d’assistance en sécurité des personnes et des biens, du téléphone mobile, du service de conseils fiscaux et de transmission de patrimoine, sans une compétence éprouvée dans tous ces domaines. Demain, ils nous proposeront peut-être des masques et du gel hydro allergénique !

 

Vivre en autarcie ne serait-il pas recommandable à l’avenir ?

Pour tous les aspects de la transmission du patrimoine, il est impératif de faire confiance au notaire !

Alors, « Adieu, veau, vache, cochon, couvée… comme le disait Perrette munie de son pot de lait dans l’une des fables de Jean de LA FONTAINE ? Pas forcément. On peut imaginer une relocalisation d’un patrimoine emprunt, de bon sens, vers davantage de sécurité, d’autonomie sans le stress de la fluctuation des cours de la bourse.

Visualisons une propriété (plus ou moins importante) avec une surface boisée (fabriquer ses propres granulés de bois aux fins d’alimenter sa chaudière), un maximum de panneaux solaires, un verger (autonomie fruitière), un grand potager (réalisation de conserves stérilisées), un puits, un étang pour le poisson, des poules (qui ne seront surtout pas de luxe !)…, ne serait-ce point le rêve ?

Bref, pouvoir vivre en autarcie, au cas où ? Après la crise du coronavirus, plus rien ne sera jamais comme avant ! Donc, rappelons-nous la formule chère à l’humoriste Pierre DESPROGES : «  L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense donc tu suis » ! » ! A ne jamais oublier de nos esprits !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Dans leur globalité, les consignes de sécurité sont pour l’heure respectées sur le département de l’Yonne. Toutefois, cela n’empêche pas quelques irréductibles « Gaulois réfractaires » à faire fi d’esprit de citoyenneté et de civisme. Comme d’habitude, comme le précise la célèbre ritournelle ! La présence des forces de l’ordre, gendarmes et policiers, ne semble pas encore intimider les moins disciplinés d’entre nous…

AUXERRE : Les Icaunais sont respectueux à une très large majorité des mesures de confinement mises en œuvre par le gouvernement pour tenter d’endiguer le fléau du coronavirus qui s’abat au-dessus de nos têtes depuis plusieurs semaines.

Même si, au dernier pointage, sur plus de 12 000 contrôles effectués par les forces de l’ordre, gendarmerie nationale et police, trois cents quinze procès-verbaux avaient été délivrés à des inconscients.

Catégorique sur les procédures à tenir en pareille circonstance (celui du non-respect des mesures de confinement), le colonel Rénald BOISMOREAU qui commande le groupement de gendarmerie de l’Yonne n’en démord pas : les contrôles devraient porter leurs fruits car ils vont s’intensifier dans les jours à venir, sans doute à la suite des nouvelles directives préconisées par le gouvernement ce lundi.

Le son de cloche est identique au niveau des zones urbaines où interviennent les équipes mobiles (patrouilles à pied ou en cycle) de la police nationale. Celle-ci est d’ailleurs épaulée dans ses missions par les représentants de la police municipale.

Côté gendarmerie, ce sont cent-soixante-deux militaires qui sont ainsi sur le qui-vive pour faire respecter ces mesures qui peuvent protéger et sauver des vies.

 

 

 

L’emploi de drones n’est pas d’actualité dans l’Yonne…

 

Pour l’heure, il n’est pas encore prévu d’utiliser des drones sur notre territoire. A contrario de la Nièvre où un de ces petits engins a été testé avec succès ce week-end au-dessus de la ville de Cosne-Cours-sur-Loire.

Si ces appareils volants repèrent très vite les attroupements des contrevenants, ils permettent aussi de diffuser des messages relayés par haut-parleur qui invitent tous les individus à rentrer chez eux.

Reste l’usage des masques : ils ne sont pas d’actualité pour protéger les forces de l’ordre.

« Nous respectons les consignes de distanciation, précise le colonel BOISMOREAU, lors de nos contrôles, nous appliquons le principe des gestes barrières et nous nous tenons à distance de nos interlocuteurs. Les masques concernent spécifiquement le personnel soignant et les praticiens qui en ont un besoin urgent… ».

 

 

 

 


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Dans une ambiance étrange et quasi surréaliste puisque seuls trois députés par groupe étaient autorisés à siéger physiquement au Palais Bourbon, les travaux de l’Assemblée nationale se sont déroulés en cette matinée du jeudi 18 mars. L’occasion nous a été donnée de faire le point sur les mesures économiques d’urgence adoptées par les parlementaires avec le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui a voté par procuration du fait de son absence de l’hémicycle…

 

PARIS: Comment s’est tenue cette séance de travail ?

 

Nous nous sommes organisés pour travailler en nous coordonnant, par téléphone, par courriel, de la manière la plus efficacement possible. Les votes peuvent aussi s’effectuer par procuration. Ce qui a été le cas aujourd'hui...

 

Allez-vous opter en faveur des mesures de soutien économique proposées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances rectificatives ?

 

Je ne peux que les approuver. Le choc sanitaire du coronavirus est aussi un choc économique qui implique des prévisions de croissance négative : avec une récession d’au moins – 1 % du Produit Intérieur Brut en 2020 contre une croissance de + 1,3 % prévue initialement.

Cela va entraîner de fait une augmentation du déficit public (- 3,9 % du PIB en 2020 contre – 2,2 %) et une perte de recettes fiscales d’au moins 10 milliards d’euros.

Tous les secteurs économiques, toutes les entreprises, toutes les activités sont touchées. Certains plus durement encore en raison de leur nature, à l’exemple du tourisme, de l’évènementiel. D’autres, du fait de la concentration de leur chiffre d’affaires sur la période correspondant au confinement (activité saisonnière, horticulture) vont perdre beaucoup.

 

Justement, ce contexte impose de créer de nouvelles aides en urgence pour éviter les faillites en cascade et des pertes de revenus extrêmement préjudiciables pour de nombreuses entreprises et de nombreux salariés. Quelles seront-elles ?

 

Le gouvernement a proposé un plan de 45 milliards d’euros pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie. 35 milliards d’euros correspondent à des mesures de soutien à la trésorerie des entreprises (report de 8,5 milliards d’euros de charges dues au 15 mars et de 13 milliards d’euros pour les charges dues au 05 avril).

Deux milliards d’euros seront consacrés à la prise en charge des arrêts maladie, à l’achat de masques et à la rémunération des personnels soignants. En outre, un fonds de solidarité d’un milliard d’euros sera dédié aux petites entreprises. Enfin, 5,5 milliards d’euros seront réservés à l’indemnisation du chômage partiel, dans la limite de 4,5 SMIC.

S’y ajoute la mise en place d’une garantie exceptionnelle et inédite de l’Etat, dans la limite de trois cents milliards d’euros pour tous les nouveaux prêts octroyés par des établissements de crédits entre le 01er mars et le 31 décembre 2020 à des entreprises immatriculées en France. Cette garantie des emprunts sera gérée par BPI France.

Ce dispositif doit nous permettre de maintenir ouvert le canal du crédit aux entreprises pour les accompagner dans la gestion du choc qu’elles subissent, et les maintenir dans des conditions suffisamment bonnes pour qu’elles puissent rebondir une fois le choc passé sans licencier ou réduire leurs activités.

 

Vous avez signé les amendements préparés par votre collègue, Eric WOERTH, président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale. A quoi se rapportent-ils ?

 

Ils concernent les points suivants : l’ouverture de ce nouveau Fonds de solidarité pour les entreprises à toutes celles qui ont perdu, en mars 2020, au moins 50 % de leur chiffre d’affaires ; à la mise en place d’un crédit d’impôt de type « PTZ coronavirus », en complément de la garantie bancaire pour alléger au maximum les charges d’intérêts qui pèsent sur les entreprises ; à créer un nouveau régime exceptionnel inspiré du régime des catastrophes naturelles mais pour les catastrophes sanitaires du type de celle que nous connaissons actuellement, ce qui entraînerait la création d’un fonds exceptionnel dédié, financé par une imposition et des dotations de l’Etat (ce fonds permettrait d’assurer une indemnisation en complément du jeu de la garantie assurantielle des pertes d’exploitation ; de créer un crédit d’impôt au profit des bailleurs de locaux professionnels, sur qui va peser la charge financière du report du paiement des loyers prévus dans le cadre de l’habilitation prévue par le projet de loi d’urgence pour faire face à l’épidémie de COVID 19 et en dernier lieu, envisager l’extension du dispositif d’activité partielle aux personnels contractuels de la fonction publique territoriale.

 

Par quels biais, les entreprises de l’Yonne peuvent-elles se faire connaître pour bénéficier de ces aides ?

Sachant que la mise en œuvre de ces mesures doit intervenir sur le terrain le plus rapidement possible, les entreprises de notre département qui désirent être accompagnées dans leurs démarches peuvent se rapprocher de la DIRECCTE, soit par courriel (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et par téléphone, au 03.86.76.29.38.

 

Existe-t-il d’autres mesures ?

Parallèlement, le Sénat examine aujourd’hui l’autre texte de loi d’urgence qui concerne notamment les questions d’organisation des collectivités territoriales. Il sera examiné vendredi à l’Assemblée…

 

 


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La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, a confirmé la participation immédiate de la collectivité à hauteur de dix millions d’euros à renouveler si nécessaire en cas de prolongation de la crise sanitaire à un fonds de solidarité. La décision fait suite à la visio-conférence que la responsable de l’exécutif régional a eu ce mardi 17 mars avec les autres présidents de région, rassemblés à l’invitation du Premier ministre Edouard PHILIPPE…

DIJON : L’engagement sera soumis au vote des élus. Selon des modalités qui restent encore à définir eu égard à l’évolution du contexte sanitaire.

Mais, une chose est d’ores et déjà sûre : l’institution régionale apportera bel et bien sa pierre à l’édifice constitutif de ce fonds de solidarité national pour soutenir les TPE et les entreprises individuelles en proie à de sérieuses difficultés.

Dès la fin de ce mois de mars, un versement de mille cinq cents euros sera adressé à plus de vingt mille entrepreneurs du territoire qui sont fragilisés par la baisse de leur activité, imputable à la propagation du coronavirus sur l’Hexagone.

Pilotées par les directions départementales des finances publiques, ces subsides concerneront les entreprises qui réalisent moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires et qui emploient moins de dix collaborateurs.

 

 

 

 

Une condition, toutefois, pour y prétendre : seront éligibles uniquement les sociétés qui ont vu leur activité stoppée ou leur chiffre d’affaires réduit de 70 % sur la période de ce mois de mars, par rapport à mars 2019.

Ce fonds de solidarité, évoqué par le président de la République Emmanuel MACRON lors de son intervention audiovisuelle le 16 mars, doit permettre de préserver le tissu économique dans les régions. Composé en Bourgogne Franche-Comté à 80 % de toutes petites entreprises (TPE).

Au niveau national, ce fonds de solidarité sera doté d’un milliard d’euros. Il concerne aussi les microentreprises et les entrepreneurs indépendants.

 

 

      


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