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Composée de huit organisations (ADENY, ALTERNATIBA Yonne, ARPENT, ASEF, C3V Maison Citoyenne, Coquelicots de Joigny, Lucytoyens et SOS Forêt Bourgogne), l’entité a fait connaître sa position suite au rapport du commissaire-enquêteur, rendu public la semaine dernière. Un retour d’analyse qui s’est fait dans un contexte de crise sanitaire particulièrement lourd. On le sait : cette synthèse donne un avis favorable à la mise en application du Plan de servitudes aéronautiques de l’aérodrome d’Auxerre-Branches. Des idées contraires aux desiderata du collectif…

AUXERRE : L’une des craintes essentielles du Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches qui se bat bec et ongles depuis plusieurs mois pour que ne disparaissent pas les trente-trois hectares de bois menacés en lisière de l’aérodrome, est qu’une décision capitale ne survienne au cours de cette période si particulière de crise sanitaire.

Certes, l’inquiétude et le respect des mesures de confinement actuelles éloignent pour un temps les priorités données à ce délicat dossier qui perturbe l’existence des riverains évoluant autour de ce complexe aéronautique depuis de nombreux mois.

A la lecture du rapport d’enquête de ce PSA, les membres du collectif sont formels : le sujet de l’aérodrome d’Auxerre-Branches fera à nouveau l’objet de confrontations et de débats, dès que la normalisation du contexte sociétal le permettra. Evidemment, l’angle économique et sa relocalisation devront être pris en considération parmi les solutions de l’après…

Pour l’heure, le collectif qui a déjà recueilli à ce jour plus de 7 500 signatures sous la forme d’une pétition, n’en demeure pas moins sur sa réserve et dans le respect d’une extrême vigilance.

Un communiqué de presse,  publié le 26 mars, le confirme. Tout en précisant que d’ores et déjà, les représentants des huit associations signataires au principe de ce collectif de défense interpelleront les candidats en lice au second tour de scrutin des échéances municipales.

Sachant que pour l’heure, la projection la plus évidente de la tenue de ce vote au goût d’inachevé pourrait être le 21 juin, selon les préconisations du Premier ministre Edouard PHILIPPE.

Mais, le collectif ne se bornera pas à solliciter les élus du seul scrutin municipal. Il veillera aussi à poursuivre son engagement et à faire part de son entière détermination pour que ne soient pas détruits les arbres des trente-trois hectares de la forêt auprès des futurs élus communautaires qui en découleront sur l’agglomération auxerroise après coup.

 

Les élus concernés par le dossier vont devoir justifier certains points…

 

Quant au rapport d’enquête effectué par le commissaire-enquêteur, le collectif en a pris bien légitimement connaissance. Il a constaté que ce dernier s’était appuyé scrupuleusement sur une analyse inhérente à la conformité technique et réglementaire du dossier. Rappelant de fait que l’objet de l’enquête n’était pas d’en démontrer ni l’intérêt économique ni l’intérêt environnemental.

On peut lire ainsi, un peu plus loin, sur le communiqué de presse le point suivant : « en faisant mention des arguments en défaveur de ce projet (459 observations défavorables sur les 572 recueillies, 18 sans avis déterminant, 42 sans lien direct et 53 favorables), le rapporteur d’enquête indique que la question n’est pas purement technique mais surtout politique dans le traitement de ce dossier… ».

Fort de cela, le Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches précise que cette enquête ne peut servir d’alibi aux promoteurs du dossier pour éviter de rendre compte aux populations concernées et justifier leur décision de classer l’aérodrome en catégorie 3.

Au nom de quoi, les élus concernés par le projet sont sommés de se justifier sur une série d’items fondamentaux aux yeux du collectif où leurs réponses apparaitront comme déterminantes.

Parmi les sujets évoqués, citons le solde comptable des années passées qui se rapportent aux charges totales d’exploitation hors fonction régalienne, retombées économiques et touristiques locales tangibles et vérifiables ; le plan de financement pour 2023 date à laquelle la réglementation européenne imposera de ne plus financer le délégataire ; la définition que les élus ont des concepts d’aménagement du territoire et de la mobilité quotidienne ; enfin, de leur volonté de contribuer au dérèglement climatique pour le bien-être des habitants du territoire.

On le voit, en effet, une fois la sortie de crise sanitaire passée, l’épineux dossier de l’aérodrome d’Auxerre-Branches refera surface tel un serpent de mer dans ce qui apparaît comme l’un des enjeux essentiels du second tour du scrutin municipal sur l’Auxerrois.

 

Rapport complet à consulter sur : https://cutt.ly/atnkvod

 

 


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Parmi les professionnels du secteur automobile qui sont encore autorisés à poursuivre leurs activités malgré la pandémie de coronavirus, citons les centres de contrôle technique. Contribuant à optimiser la sécurité sur nos routes de manière très favorable, ces entreprises accueillent de la clientèle en respectant les consignes de protection. Cependant, une tolérance est prévue sur les délais pour réaliser ces opérations…

PARIS : L’information émane du ministère de la Transition écologique et solidaire, dirigée par Elisabeth BORNE, et du secrétaire d’Etat chargé des Transports, Jean-Marie DJEBBARI.     

Les centres de contrôle technique demeurent opérationnels dans l’Hexagone malgré la période de confinement. Assimilés aux activités d’entretien et de réparations des véhicules automobiles (poids lourds et bus également), ils ont reçu les autorisations d’usage pour continuer de recevoir la clientèle. Dans le respect des mesures sanitaires en vigueur.

Toutefois, des délais ont été accordés pour réaliser lesdits contrôles afin de concilier les enjeux de sécurité et les besoins de circulation pour assurer la continuité des services et de la vie économique.

Ainsi, une tolérance de trois mois est possible pour le contrôle technique des véhicules légers. Ce dispositif s’applique également aux délais prévus par la règlementation dans le cadre des contre-visites de ces mêmes véhicules.

 

 

 

 

Quant aux poids lourds et aux véhicules de transport en commun, le contrôle technique continue, compte tenu des enjeux de sécurité. Mais, là aussi, les ministères ad hoc ont adopté un profil de souplesse, accordant des délais supplémentaires de quinze jours afin de  pouvoir réaliser les opérations auprès des centres officiels.

Rappelons que bon nombre de véhicules doivent circuler dans les prochaines semaines sur les routes de France. A commencer par ceux qui vont assurer l’approvisionnement des denrées alimentaires, la livraison des gaz médicaux indispensables au bon fonctionnement des respirateurs artificiels, la livraison de carburants, mais aussi le transport en commun de personnes ou des particuliers qui doivent se rendre sur leur lieu de travail.

L’ensemble des centres de contrôle technique ouverts en France pour les poids lourds et les bus sont également recensés sur le site de BISON FUTE.

 

 

 

 


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Le casse-tête n’est plus chinois : il est devenu planétaire. L’économie de l’Hexagone est ainsi frappée de plein fouet par ce nouveau tsunami en provenance d’Extrême-Orient qui balaie tout sur son passage et ne laisse que très peu de répit aux soignants…et aux entrepreneurs. L’exemple de Thierry JALLON, un cas parmi tant d’autres malheureusement, est très significatif de ce que vivent au quotidien les gérants de société individuelle dans l’Yonne. A bord de son foodtruck, opérationnel depuis octobre, le chef d’entreprise se fait un sang d’encre pour son avenir…

AUXERRE : Cet hiver, ses potages si goûteux et appétissants ont sustenté avec bonheur, tels de petits pains bénis des dieux, la clientèle de particuliers et de professionnels qui s’affairaient autour de son véhicule.

Ce mélange du chou-fleur à la vanille ou le fameux duo de carottes et patates douces accommodé au curry auront ravi les papilles des plus réfractaires à ce mets liquide si réconfortant par froide température.

Oui mais voilà : sera-ce d’ici quelques temps un lointain souvenir culinaire ? Car aujourd’hui, la préoccupation primordiale du président de la SAS, « O BISTROT MOBILE », n’est pas de concocter de nouvelles recettes de soupes à sa griffe mais bel et bien de survivre au jour le jour malgré le tourbillon économique indescriptible qui s’abat sur le monde.

Alors que 35 % des activités économiques partent à vau l’eau depuis une semaine en France, la jeune entité apparue en octobre 2019 n’a d’autres alternatives que de poursuivre vaillamment sa mission professionnelle. Pour ne pas mourir après un dépôt de bilan.

Seul à bord de sa camionnette, Thierry JALLON assure toujours les livraisons de repas qu’il a réalisé de lui-même à base de produits frais au plus près des zones de travail des Auxerrois mais aussi vers les personnes âgées, vivant à domicile, qui en établiraient la commande.

Mais, depuis lundi, c’est le néant total ou presque en matière de ventes réalisées. Une cinquantaine d’euros seulement ont été glanées par l’artisan entrepreneur. Trop peu pour survivre. Une misère pour espérer en vivre.

 

 

Un démarchage auprès des professionnels de santé demeuré stérile…

 

Afin d’honorer ses créances régulières auprès de ses fournisseurs et rembourser le reliquat d’un emprunt qui s’élève encore à 31 000 euros, Thierry devrait réaliser une rentrée quotidienne de 380 euros chaque jour. Histoire de rester confortable et de ne pas à avoir la tête sous l’eau.

Or, depuis une dizaine de jours, le scénario de la montée en puissance positive imputable à son lancement à l’automne dernier a viré soudainement à la catastrophe sans nom.

Plus rien ne rentre ou presque dans les caisses de la société : un véritable désastre.

 

 

Depuis le début du confinement, ce cuisinier de profession (il en possède les diplômes et le talent), accompagné par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, soutenu par l’association INITIACTIVE 89 (obtention d’un prêt d’honneur de 8 000 euros) multiplie les démarches de référencement auprès des professionnels de santé et des laboratoires de la place afin de se faire connaître. En vain…

La plupart disposent déjà de leurs propres fournisseurs en matière de restauration. Même si les formules de menus (entrée, plats et dessert) sont alléchantes à leur lecture sur le papier.

 

 

Obtenir enfin les réponses adéquates à sa situation…

 

Pour l’heure, le partenaire financier originel, la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, ne met pas en péril l’existence de la structure. Mais, Thierry JALLON s’interroge sérieusement sur son devenir. Quand le couperet lui tombera-t-il sur la tête ?

« Bien sûr se profile à l’horizon une aide potentielle de mille cinq cents euros délivrée aux entrepreneurs individuels, explique-t-il en proie aux doutes, mais rien ou presque n’a été réellement annoncé dans le cas des gérants de société individuelle qui ont développé leur affaire depuis moins d’un an et qui ne peuvent pas par ricochet produire un comparatif avec le mois de mars 2019 où seront pris en compte les entreprises ayant perdu 70 % de leur chiffre d’affaires… ».

Devant cette situation confuse et cornélienne, le gérant d’O BISTROT MOBILE espère obtenir enfin les réponses adéquates qui lui manquent cruellement.

Ne serait-ce que pour le rassurer sur ce qui l’attend demain si le pire devait persister.

 

 

 

Pour occuper le temps, faute de clients venant acheter ses repas, il se propose d’organiser des livraisons dont il prend les frais à sa charge dans un rayonnement autour d’Auxerre pour livrer les personnes âgées, confinées à leur domicile qui en exprimeraient le besoin.

Une vraie démarche citoyenne en attendant mieux et surtout qu’on vienne lui tendre la main…

 

 

 

 

 


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« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ». La citation de Jean de LA FONTAINE sied très bien à l’état d’esprit actuel du double champion du monde de canoë-kayak auxerrois. Déçu de ne pouvoir vivre ses quatrièmes Jeux Olympiques à Tokyo en juillet prochain afin d’y briguer un podium, le sociétaire de l’OCKA s’en remet à la sagesse pour compenser le manque. Lucide et solidaire, ses pensées vont bien au-delà de la chose sportive en cette période de confinement où dit-il, « il faut savoir faire preuve d’altruisme pour endiguer le fléau… »

 AUXERRE: « Même si la situation est grave, je crois qu’il faut savoir prendre du recul, l’accepter et adopter les bonnes mesures en sachant s’adapter aux changements… Mais, au bout du compte, nous surmonterons cela !».

Craignant depuis plusieurs jours que ne tombe la décision inéluctable du Comité international olympique (CIO), Cyrille CARRE accuse tout de même le coup. Normal ! Vivre une nouvelle aventure sportive sur le toit de l’Olympe au Japon cet été, il en rêvait depuis des mois. 

Auréolé de son titre de champion du monde de short race, le kayakiste Icaunais recherchait une énorme performance aux Jeux Olympiques cet été. Un rendez-vous qu’il n’aurait manqué pour rien au monde. D’autant que le bateau avait obtenu les quotas obligatoires, synonymes de qualification.

Récemment, Cyrille qui suivait l’évolution du dossier avec la régularité d’un métronome, avait déclaré « qu’il n’était pas nécessaire de prendre des décisions trop radicales et hâtives qui auraient pu s’avérer contre-productive pour les athlètes… ».

Mais, les choses ont évolué depuis. Jusqu’à la prise de décision définitive cette semaine, la mort dans l’âme, du Comité international olympique de décaler à l’année prochaine l’évènement planétaire.

« C’est vrai au vu du contexte, cela sentait vraiment le roussi, précise le sapeur-pompier professionnel, plusieurs délégations avaient fait part de leur intention de ne pas envoyer de compétiteurs aux Jeux, menaçant d’un boycott pur et simple les épreuves. Même si c’est un crève-cœur pour le monde du sport : le choix du CIO est raisonnable et surtout équitable vis-à-vis des sportifs qui ne pouvaient pas tous décemment préparer ce rendez-vous dans des conditions optimales… ».

L’avalanche d’annulation observée autour des compétions nationales et européennes ne fait que confirmer les dires du champion. Le programme de stages et de courses officielles s’évaporait de jour en jour du calendrier : séjour au Portugal du 22 au 31 mars disparu, open d’avril supprimé, championnat de France de fond reporté, manches de la Coupe du monde du mois de mai enlevées… Bref : Cyrille CARRE n’avait plus rien à se mettre sous la dent pour parfaire sa condition physique et accroître son mental avant de disputer les épreuves nippones.

 

Le plus dur est de se projeter dans les douze à quinze mois à venir…

 

Le problème pour le garçon qui continue de s’entraîner d’arrache-pied afin de se maintenir en forme (la commune d’IRANCY lui a mis une salle confinée à disposition) est le manque absolu de visibilité sur la suite de la saison. Une saison dépouillée du moindre rendez-vous officiel même si l’accumulation du report des épreuves sur le second semestre n’est pas une garantie.

Le plus dur est de se projeter de nouveau vers un objectif à atteindre dans douze à quinze mois. Car pour l’heure, le Comité international olympique n’a arrêté aucune date au calendrier. Mettant un point d’orgue à finaliser les Jeux avant l’été 2021.

« Je vais profiter de ce temps de repos contraint pour souffler quelque peu, confie le surdoué du kayak, d’autant que la nouvelle saison à l’automne dernier avait démarré sur les chapeaux de roue… ».

Désigné sportif Icaunais de l’année 2019, Cyrille CARRE avait avalé avec un appétit d’orque les compétitions hivernales comme celles organisées à Vaires-sur-Marne où le garçon avait multiplié les performances : 2ème en K4 500 m et K2 1000 m, 4ème en K1 1000 m, 7ème en K1 4000 m, et 17ème en K1 200 m.

Une mise en condition optimale qui préfigurait une saison exceptionnelle…

Faisant montre de relativisme par rapport à la situation, le sportif bourguignon pense surtout au contexte actuel que traverse le monde. En mettant les incertitudes sportives de côté, pour ne se consacrer qu’à l’instant présent…

 

 

 


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Les nouvelles mesures prises par la société anonyme à capitaux publics ne sont pas figées dans le temps. Bien au contraire, elles s’ajusteront au fil des jours, compte tenu du contexte sanitaire vécu sur l’ensemble du territoire. C’est surtout la distribution du courrier, celle des colis et la continuité de certains services qui seront principalement impactées par ces décisions ayant pour but de protéger la santé des personnels…

DIJON : Pas facile de chambouler un mode opératoire plutôt bien huilé d’ordinaire. Surtout quand l’entreprise se nomme La POSTE. Et qu’elle gère au quotidien 17 000 points de contact. Ceux-ci reçoivent par ailleurs 1,3 million de clients.

Il aura suffi de la propagation insolente d’un virus à la taille microscopique pour constituer le grain de sable imprévu venant gripper les rouages de cette belle mécanique.

Mais, faisant fi de ces considérations événementielles complexes, les dirigeants de l’entreprise ont su réagir à chaud en déployant leur plan de bataille. Il se calque au plus près de ses missions essentielles, dans le respect bienveillant de  la protection sanitaire de ses collaborateurs. Une adaptabilité qui a été définie en concertation avec les autorités de référence de la santé, la médecine du travail et les organisations syndicales.

Ainsi, le temps de travail de chaque agent courrier/colis sera progressivement réduit sans qu’il n’y ait la moindre conséquence financière sur la paie. Dès lundi 30 mars, le nouvel emploi du temps sera applicable sur la base de trois jours de travail hebdomadaire.

La réduction du nombre de personnes présentes sera maintenue selon le principe de ne jamais avoir plus de 50 % des effectifs habituels en même temps sur un site. Naturellement, La POSTE s’engage à respecter, en y mettant les formes et les moyens, les mesures de protection et de distanciation actuelles.

Toutefois, certains services de proximité demeurent fonctionnels à l’instar du portage de repas aux seniors, celui de médicaments, de produits sanitaires nécessaires aux personnels soignants.

Si les services essentiels restent sur un mode opératoire, La POSTE demande néanmoins à ses clients de concentrer leurs commandes et leurs envois sur ce qui leur est strictement nécessaire.

 

 

 

 

Mille six cents bureaux encore ouverts dans la région...

 

Afin de limiter le plus possible l’exposition de ses agents au public, l’entreprise a fait le choix de concentrer son activité sur une cible de mille six cents sites encore ouverts. Au plan organisationnel,  chaque bureau est adapté localement avec des systèmes de rotation des équipes, un jour sur deux.

Ce qui entraîne de facto une réduction de la présence des agents au travail avec un temps partiel qui sera sans impact sur leur rémunération.

Parmi les services essentiels qui seront priorisés dans ces points d’accueil : citons le retrait d’espèces au guichet et automates, le dépôt d’espèces sur automates, les dépôts de chèques, la remise de fonds commandés par la Direction générale des Finances Publiques. D’autres services pourront faire l’objet d’une extension, si cela s’avère possible, bureau par bureau.

La POSTE rappelle enfin à sa clientèle que les déplacements en bureaux ne doivent être faits que s’ils sont strictement nécessaires. Il existe de multiples moyens de réaliser ses opérations à distance, par téléphone ou via les sites et applications numériques propres à l’établissement et à la Banque Postale.

 

 

 


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