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La présence d'un rucher au sein d’une entreprise est loin d’être inconcevable en soi. Le phénomène qui n’a rien de modal s’amplifie d’ailleurs en France depuis plusieurs années. Et lorsque l’on dispose de onze hectares de terrain, où la nature a presque repris ses droits, il est facile d’y intégrer des colonies d’abeilles à son environnement ! L’unité de production sénonaise de la filiale du géant de la chimie, BASF, a sollicité des spécialistes de l’apiculture pour réussir cette implantation. Une manière intelligente et coordonnée de réaliser des choses favorables à la sauvegarde et à la préservation de la nature…

SENS : Un poids lourd de l’industrie chimique qui agit en faveur de la protection de l’environnement ? Ce n’est pas un pléonasme. Mais, bel et bien la réalité parfaitement maîtrisée au sein de la filiale de la société allemande, BASF, le groupe CHEMETALL.

Sur les quatorze sites implantés dans l’Hexagone, onze d’entre eux sont déjà engagés dans cette démarche environnementale très louable. Nouvellement en poste à Sens, Patrick GRUBERT, directeur de l’unité de production de l’Yonne, ne pouvait rester indifférent à ce message fort, véhiculé au sein du groupe.

Ni se soustraire à suivre les traces déjà bien profondes marquées sur le terrain local par son prédécesseur, M. FOUCAUD. Ici, dans cet espace pourtant à risques et classé SEVESO, la biodiversité tient sa place.

Il suffit pour s’en persuader de se promener aux abords des bâtiments industriels et de contempler avec surprise une nature verdoyante où s’ébattent des représentants de la faune sauvage. A commencer par les oiseaux et les ragondins ! Ils vivent en nombre aux abords de la petite rivière qui coule parmi ses parcelles de terre en friche.

C’est ici que seront installés dans quelques jours les ruchers. Dans un endroit retiré de la vie industrielle et à l’abri des regards de la présence humaine. L’enjeu est important pour Patrick GRUBERT qui ne le trouve absolument pas chronophage.  

Autour de cet espace, des jachères fleuries faciliteront l’implantation des colonies d’abeilles en faisant office de réservoir nourricier. Il est souhaitable que les insectes pollinisateurs disposent d’un territoire où la nourriture soit abondante. C’est là qu’entre en jeu l’apiculteur qui aidera au développement de ces colonies. En fonction de ses analyses, il apportera le complément alimentaire nécessaire aux besoins vitaux des abeilles.

 

 

 

Une présence insolite de la faune sauvage et de plantes sur le site…

 

Construit en 1930, ce site industriel assure une production annuelle de 30 000 tonnes par an. Des produits à la toxicité lourde qui servent au traitement de surface (lessivage, dégraissage, protection anticorrosion…) et sont utilisés auprès des groupes industriels de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie métallurgique.

Il n’empêche que la prolifération de martin-pêcheur, de poissons dans le ru qui s’écoule en arrosant les joncs et les plantes aquatiques, offre un contraste étonnant. Il existe bel et bien un biotope à préserver dans ce lieu qui aurait pu paraître hostile sur le papier.

 

 

 

 

Le programme d’implantation des ruches débutera en avril. C’est l’association des apiculteurs de l’Yonne qui en assurera la manœuvre technique. En respectant le cahier des charges de la responsable du projet biodiversité au sein de CHEMETALL France, Sandrine LEBLOND.

Cette dernière possède l’expérience requise et un véritable recul analytique sur le sujet. Le groupe industriel a déjà exploité le filon sur l’un de ses sites à Clermont de l’Oise où une production de 150 kg de miel a été obtenue en 2018 sur une zone de  43 hectares, bondée de cervidés et d’animaux de la faune sauvage.

 

 

 

 

Un mariage entre industrie et nature plausible…

 

Déployé en mai 2011 à l’échelle hexagonale, ce programme d’optimisation de la biodiversité sert de référence à la filiale française de BASF. Rappelons que le poids lourd de la chimie internationale possède trois cents unités industrielles et emploie plus de 110 000 collaborateurs !

Cet ancrage vers le développement durable aura fait l’objet d’une signature de convention partenariale dans le cadre du concept « ACT FOUR NATURE » par le président de BASF France en personne, Thierry HERNING.

Près de soixante-dix entreprises et une vingtaine de structures partenaires y réfléchissent avec assiduité à la sauvegarde de l’environnement. A l’aide de fiches techniques, chacun des projets est consciencieusement étudié. A l’instar de la faune, de la flore, des insectes qui occupent ces zones.

En 2019, alors que soixante-et-une personnes étaient impliquées sur les projets environnementaux développés par les onze sites de CHEMETALL, 176 heures de formation furent données et 26 actions de communication avec la présence de onze partenaires extérieurs furent réalisées.

Aujourd’hui, ces observateurs atypiques de la nature ont dénombré 172 espèces végétales répertoriées sur les onze sites à l’étude, et comptabilisées des nichées d’oiseaux et d’hirondelles.

Comme quoi, le mariage entre le monde industriel et la nature se révèle tout à fait plausible grâce à de telles initiatives.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 

 


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Acteur séculaire dans le domaine du portail et de la fermeture, l’entreprise ROTHE possède plus d’une idée géniale dans sa besace. Dirigée en binôme par le couple Marie et Pascal ROTHE, la structure a ajouté en guise de violon d’Ingres une marque créatrice de nouveaux produits en matériel d’équitation en 2016. « EKESTRE » est son nom subtil de baptême. Un concept singulièrement empli de pertinence et d’innovation qui est né de diverses réflexions occasionnées par les problématiques soulevées par les utilisateurs en matériel équestre lors de concours…

CHENY : C’est l’art et la maîtrise de la diversification poussée à son paroxysme ! Le spécialiste du portail et des produits de fermeture en aluminium et PVC, ROTHE, s’est pris de passion pour la cause équestre depuis 2016. Date à laquelle la PME a investi le milieu parfois hermétique des écuries et des carrières !

Signataires de la griffe « French Fab », un label de fiabilité de la conception de produits manufacturés 100 % dans l’Hexagone (on pourrait même parler de made in Yonne !), les deux dirigeants de la structure, Marie et Pascal ROTHE, qui emploie aujourd’hui une dizaine de collaborateurs, ont décidé de proposer leur savoir-faire, leur service et leur technicité à la cause équine.

C’est simple : ayant de la suite dans les idées, ces créatifs pur jus ont même déposé leurs produits auprès de l’INPI.

 

 

Encouragée sur cette voie synonyme de nouvelles parts de marché par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne qui suit avec grand intérêt son essor, la marque « EKESTRE » (il fallait y penser côté sémantique !) décline une kyrielle de produits où l’aluminium, véritable fer de lance de la PME, ne manque pas de briller !

Via des porte-selles, des chandelles et chandeliers, des barres, taquets d’équitation, podiums modulables et oxers que les cavaliers se doivent de franchir avec aisance et agilité sans faire tomber le moindre plot par terre lors des concours de saut.

 

 

Une structure d’équi designer sur un segment porteur…

 

Le particularisme de cette gamme s’apprécie à la fois dans son design, la variété de ses coloris mais aussi à son ergonomie. Quant à la résistance, elle a été éprouvée dans le temps. Ces fabrications, réalisées uniquement en aluminium, bénéficient de couches de peinture époxy.

Aujourd’hui, le pari initié il y a quatre ans semble conforter le couple dans ses choix stratégiques. Le Comité départemental d’équitation de l’Yonne fait confiance à la jeune marque pour habiller de ses obstacles ses parcours pour cavaliers émérites. Permettant ainsi l’introduction de plus en plus nette de l’aluminium au lieu du bois lors des épreuves officielles.

Se définissant comme une marque d’équi designer, « EKESTRE » offre à sa structure mère une griffe décalée mais opportune pour la nourrir intelligemment…

 

 

 


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L’histoire est belle. Faite de rencontres fructueuses, elle se compose de moments intenses au plan émotionnel. Car, à l’issue de ce parcours pédagogique si riche et abouti, les participants y trouvent leur compte. En rejoignant le milieu de l’intérim. Débutée en novembre, cette initiation à la vie professionnelle se terminera le 25 mai. Grâce à l’altruisme solidaire de plusieurs entreprises de l’Yonne, partenaires indéfectibles de ce projet…

AUXERRE : Le programme se nomme « HOPE ». « Espoir » en anglais. Mais, c’est aussi un acronyme qui signifie Hébergement Orientation Parcours vers l’Emploi. Porté par SYNERGIE, l’un des acteurs du travail temporaire.

Ouvert aux migrants, demandeurs d’asile, réfugiés et protégés subsidiaires (des personnes qui courent un risque dans leur pays), il offre une diversité didactique optimisant les facteurs de réussite à l’insertion sociale.

Dans l’Yonne, ce copieux menu a été enclenché le 25 novembre. A l’instar de ce qui a été décidé à l’échelon régional. Durant huit mois, cet accompagnement vers les métiers du bâtiment, de l’automobile et de l’industrie s’applique sans relâche aux 127 réfugiés sélectionnés sur le territoire.

Ils sont une douzaine à en bénéficier sur notre seul département. Parmi les partenaires institutionnels : Pôle Emploi, la Direction régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion sociale, l’Office français de l’immigration et de l’intégration ou encore l’AFPA.

Les entreprises ne sont pas absentes de cette initiative louable et solidaire. Plusieurs d’entre elles, positionnées sur le segment de l’industrie cautionnent cette déclinaison intelligente de ce parcours de formation. C’est le cas de FRUEHAUF, AD METAL, FIMM, ANTHALYS, TPMS, CONIMAST ou encore PRATEC.

 

Le CAP soudeur qualification visée à l’AFPA Migennes…

 

En janvier, à la date du 22, stagiaires et entrepreneurs ont pu se présenter et échanger lors d’une rencontre conçue sous la forme d’un job dating. Une réussite, manifestement, selon les premiers retours. Ce fut une belle opportunité de casser les codes habituels autour des migrants, et de vivre une grande leçon de vie.

Si les stagiaires ont déjà vécu une période d’immersion en entreprise, ils y retourneront du 20 au 30 avril avec un réel enthousiasme. Notamment pour y mettre en pratique ce qu’ils ont appris autour du métier de la soudure durant ces heures d’apprentissage motivantes.

En effet, au terme des quatre cents premières heures de cours consacrées à la compréhension grammaticale du français, les apprenants ont poursuivi par une formation qualifiante d’un métier. L’objectif in fine étant l’obtention d’un CAP (Certificat de compétence professionnel) reconnu par le ministère du Travail.

Le 25 mai, le bilan final de cette opération sera donné dans les locaux de l’AFPA de Migennes. Sans doute, devrait-il être positif. Et annonciateur d’une poursuite de ce programme…

 

 


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Le concept se nomme « madocBOX ». Opérationnel depuis plusieurs mois, il est l’œuvre d’un entrepreneur de l’Yonne, Joël CHAUDY qui possède plus d’une idée dans sa besace en matière d’innovation et d’ingéniosité. Simple d’accès, utile dans son usage au quotidien, d’un coût modéré selon les besoins et sécurisé, le produit pourrait à brève échéance révolutionner la sauvegarde et l’archivage des documents. Ceux qui sont indispensables dans les entreprises, certes, mais aussi parmi les cellules familiales…

NEUVY-SAUTOUR : Quelle est aujourd’hui votre orientation professionnelle sur le territoire ?

Je me spécialise depuis quelques années dans le développement d’applications métiers sur-mesure (tableaux de bord, deviseurs, EDI, calculateurs, CRM, GED, interfaçage de données, etc.).

 Au départ, l’idée est venue d’une demande d’un client que j’accompagnais depuis plusieurs années. Il cherchait une solution pour un deviseur spécifique. Comme il ne la trouvait pas, je lui ai dit « faisons-le ! ». Le bouche-à-oreilles a fait le reste. Il m’a permis de développer depuis beaucoup d’outils et d’applications métiers en interfaçage avec des logiciels et bases de données déjà existantes dans les entreprises.

Dans le développement spécifique, il n’y a pas de limites ni contraintes et quasiment tout est possible ! Mes clients n’avaient pas idée qu’il était possible de leur créer une solution « logicielle » compatible multi plateformes (PC, tablette et smartphone) par leur entreprise locale.

Parlez-nous de cette nouvelle application MadocBox initiée depuis peu ?

Le concept est parti de discussions avec plusieurs de mes clients, notamment des cabinets d’assurances qui recherchaient une solution alliant le partage de documents, une sauvegarde externalisée grâce à un outil simple d’utilisation sur le principe du glisser-déplacer.

Cette solution accessible sur PC/tablette/smartphone, compatible tout environnement (PC ou Mac), possède un hébergement dédié et sécurisé pour totalement protéger leurs données. Par les nombreuses fonctionnalités, il intègre un système d’auto-classement des documents, un système de notification par mail lors d’un dépôt ou d’une modification d’un document, un stockage de n’importe qu’elle type de documents (fichiers ou formulaires), un interfaçage avec leur base de données clients, une plateforme évolutive pour y ajouter ultérieurement des modules métiers, une solution économique sans coût de licence utilisateur,…

Bref, vous comprendrez qu’au départ, cela peut faire penser à une solution de GED (Gestion électronique de documents) mais que « madocBOX » va bien au-delà au niveau fonctionnel qu’un simple classeur documentaire.

Quelle différence existe-t-il avec une GED ?

Le produit a été conçu pour répondre aux besoins des personnes qui n’avaient pas encore trouvé la solution qu’elles recherchaient : intuitive, rapide, sécurisée, évolutive et personnalisable.

Par exemple, à ma connaissance, seule « madocBOX » permet la fonction du glisser-déplacer de documents depuis le bureau Windows vers la GED, de la GED vers le bureau et de la GED vers elle-même. « madocBOX » vous permet de transporter les données de votre entreprise lorsque vous êtes en déplacement avec la possibilité de consulter, ou d’ajouter un document en utilisant votre téléphone comme un scanner et de notifier les personnes que vous voulez. Il s’interface avec votre base de données clients et permet ensuite de créer des espaces sécurisés pour chacun. C’est une solution économique sur un principe d’abonnement uniquement basée sur une quantité de stockage sans tenir compte du nombre d’utilisateurs ni du nombre de documents stockés.

A qui s’adresse ce nouveau concept ?

La gamme « madocBOX » se décline aujourd’hui en trois versions : famille, pro, et premium : pour répondre aux attentes d’un usage domestique (centralisation et partage sécurisé de tous les documents administratifs d’une famille entre tous les membres), associatif (centralisation et partage des documents relatifs à la structure entre les membres du bureau mais aussi des adhérents), TPE ou PME (solution de GED avec une plateforme dédiée, personnalisable et évolutive, avec un propre nom de domaine et un certificat SSL).

A titre d’exemple, elle intègre déjà des modules additionnels développés spécifiquement pour les cabinets d’assurances (auto-classement de contrats, devis, sinistres, édition de cartes vertes en masse, accès à la fiche de chaque client avec toutes les coordonnées cliquables depuis les téléphones : SIRET, adresse, téléphone).

Pourquoi harmoniser et classer ses documents est-il aussi important de nos jours ?

A mon sens, la centralisation des documents d’une entreprise a toujours été vitale pour gagner du temps lorsqu’un employé doit rechercher un document dont il ne se souvient plus Si celui-ci se trouve dans un de ses propres mails ou si c’est son patron qui l’avait reçu ou encore si le document ne se trouve pas sur le serveur de l’entreprise mais encore faut-il savoir à quel endroit !

Ce scénario est quotidien dans la plupart des entreprises et le temps cumulé perdu (non productif) à rechercher est considérable. En réalité, les documents sont quelque part mais le problème est de savoir où. Et cela s’avère d’autant plus vrai lorsque vous êtes chez un client et que celui-ci vous demande son contrat ou bien vous donne sa pièce d’identité que vous allez devoir conserver et être en mesure de la rechercher ultérieurement…

Cela concerne-t-il uniquement les pièces essentielles de notre quotidien ?

Non. Cela concerne également tous les documents nécessaires à conserver pour des raisons légales, des documents techniques utiles occasionnellement, des photos, des liens URL, etc.

Comment de manière pragmatique cela fonctionne-t-il ?

Le concept est accessible depuis n’importe quel navigateur Internet et depuis n’importe quelle plateforme PC, Mac, tablette ou smartphone. Une fois l’authentification passée, l’interface se présente sous forme de dossiers, sous-dossiers et des documents avec prévisualisation du contenu, rotation des visuels et droits d’accès à personnaliser par dossier et document par personne.

Par défaut, un document ajouté hérite des droits du dossier parent et vous pouvez notifier la personne que vous voulez pour qu’elle en soit informée. Vous pouvez déplacer des documents ou dossiers par une simple application du glisser-déplacer.

Quels sont les traits avantageux de ce dispositif ?

Un accès simple, rapide et sécurisé aux documents de l’entreprise. Mais aussi, un auto-classement des documents scannés dans les dossiers clients. C’est la possibilité de créer un document PDF regroupant plusieurs documents existants dans différents dossiers, en le personnalisant par un code couleur.

La recherche sur les noms, descriptions et mots-clés des documents comme des dossiers est facilitée. De même, une corbeille permet de garder une copie des documents ou dossiers supprimés On peut avoir un aperçu des documents PDF ou images. Quant à la sauvegarde, elle est externalisée avec possibilité d’importation et d’exportation.

Quelles sont les cibles prioritaires développées par la société JCONSEIL ?

En version PREMIUM, le concept est adapté à toutes les entreprises de plus de dix salariés souhaitant disposer d’une plateforme d’échange de documents connectés à leur base client avec une possibilité d’intégrer des modules complémentaires propres à ses processus métiers.

Quel en aura été le budget et les aides pour l’avoir créé ?

Ce projet a été financé à 100 % par JCONSEIL et représente plus de 600 heures de développement. L’entité prend également en charge 150 heures de développement chaque année pour faire évoluer le service et y ajouter des fonctionnalités demandées par les clients.

Quelle sera la stratégie de commercialisation et marketing pour le faire connaître autour de soi ?

La stratégie de commercialisation est basée sur la recommandation des clients et un réseau d’agents commerciaux indépendants.

Quels sont les premiers retours auprès de la clientèle à ce jour ?

Le produit est déployé notamment chez des agents d’assurances, des sociétés informatiques, des artisans, des professionnels qui globalement ont tous les mêmes retours à l’utilisation : simplicité, rapidité, fluidité, mobilité et productivité. « madocBOX » PRO et PREMIUM réduisent considérablement les échanges de mails pour demander ou s’envoyer des documents en toute sécurité.

Mais le plus bénéfique et important que je peux constater concerne la productivité. Grâce à un gain de temps et surtout une sérénité collective, il permet de disposer des documents nécessaires à chaque fonction de l’entreprise.

Enfin, précisons que la version familiale centralise tous les documents de la maison et les partage entre tous les membres qui peuvent y accéder à n’importe quel moment et n’importe où : pièces administratives (cartes d’identité, mutuelle, passeport, permis de conduire, RIB, données médicales), documents à conserver (copies des factures ou photos en cas de sinistre), etc.

 

 

 


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Pensionnaire de nationale 2 depuis une décennie, l’équipe icaunaise nourrit de belles ambitions sportives à l’entame de ce nouvel exercice. Celles-ci ont été dévoilées lors d’un rendez-vous spécial qui a réuni de nombreux sponsors. Bien que le budget annuel soit de l’ordre de 200 000 euros, les dirigeants de ce club cycliste espèrent en obtenir davantage afin de placer leurs jeunes pousses en orbite, tout en optimisant le confort de l’apprentissage de ce dur métier qui mène à la professionnalisation…

AUXERRE : Créé en 2008, le Vélo Club de Toucy fait figure de structure incontournable à la pratique sportive de la « petite reine » dans l’Yonne. La formation a accueilli par le passé de sérieuses pointures de ce cyclisme hexagonal de province qui fleure bon les courses et critériums révélateurs de talents.

On peut citer, entre autres et à titre d’exemples, quelques brillants spécimens de ces coureurs qui firent parler la poudre côté palmarès sur les routes de France et d’Europe : David HAN, Jérémy MAISON (63ème du Tour d’Espagne 2017) ou encore Melvin RULLIERE, devenu aujourd’hui le directeur sportif de cette équipe aux envies exaltantes.

Affilié à la Fédération française de cyclisme (FFC) et à UFOLEP, le VCT dispose dans ses rangs de solides gaillards, parés à partir à la conquête de n’importe quel trophée. L’homogénéité semble être la règle de base de cette équipe qui n’a pas hésité à s’appuyer sur le concours de rouleurs, sprinters et grimpeurs, venus d’Outre-Manche pour affirmer ses prétentions.

On dénombre ainsi parmi les effectifs quelques fleurons naissants de ce cyclisme britannique en verve depuis bientôt une dizaine d’années. Qu’ils soient anglais, gallois, voire irlandais : ces jeunes gens ayant déjà vécu une vingtaine de printemps ont traversé le Channel pour s’émanciper sportivement, loin de la tutelle parentale, et accroître leur capital confiance au contact des meilleurs spécialistes français de la discipline.

 

 

Une stratégie de développement en trois points…

 

Au terme de l’année 2015, le club de l’Yonne concluait sa saison de la meilleure façon qu’il soit : en terminant deuxième ex-aequo de la Coupe de France. Mais, faute de budget suffisant (il manquait alors 125 000 euros dans les caisses pour y parvenir), il ne put prétendre accéder à la division supérieure. Au grand dam de son président, l’inamovible Philippe GERBAULT.

« La mobilisation des partenaires est nécessaire, expliqua celui-ci, elle démontre que tout est possible à condition que le club ait les compétences requises pour satisfaire ces derniers… ».

D’où l’animation qui a été concoctée ce vendredi 06 mars dans les locaux de l’un des généreux donateurs, déjà bien ancrés dans la philosophie altruiste du cyclisme au plan national : GROUPAMA Paris Val-de-Loire. Comme le rappelèrent le directeur d’établissement pour l’Yonne, Jacques BLANCHOT et l’administrateur de la caisse locale de Toucy, Damien CUVELLIER.

Devant une douzaine de partenaires attentifs à la moindre information, Philippe GERBAULT exposa sa vision stratégique qui s’articule autour de trois projets majeurs : le sportif en faisant évoluer par le biais de la pédagogie des espoirs en nationale 2, l’économique en renforçant les partenariats avec la sphère entrepreneuriale, et le territorial qui permet d’inclure la présence volontariste des institutionnels de l’Yonne mais aussi de Bourgogne Franche-Comté.

Tour-à-tour, les témoignages de personnalités dont ceux du représentant de la Région, Gilles DEMERSSEMAN, du Conseil départemental, Pascal BOURGEOIS et de la municipalité de Toucy, Michel KHOTOVCHIKHINE, confirmèrent l’impact et l’intérêt accordés aux exploits du Vélo Club de Toucy dans le microcosme sportif de notre territoire.

 

 

 

Accroître la visibilité du cyclisme sur le département…

 

Si Yves JEANNIN, du groupe concessionnaire automobile éponyme, Christian COLOMBAT, de Bourgogne Produits Frais ou David PARIZOT (OXO 89) – il est également le responsable de la structure business du Rugby Club Auxerrois -  apportèrent de l’eau au moulin en expliquant leurs engagements aux côtés de l’association, la manifestation se termina par la présentation individuelle de chacun de ces espoirs du cyclisme hexagonal et international sous la houlette du dynamique Jean-Michel QUERE.

Donner plus de visibilité à ce club constitue un élément essentiel de la communication que souhaitent déployer les responsables de la structure cette année. Ils aimeraient atteindre cet objectif en associant sport loisir et sport santé. Tout en élargissant leur activité sur le département, peut-être en contribuant à l’organisation d’une épreuve nouvelle sur l’Auxerrois à laquelle réfléchit l’ancien coureur professionnel Jérémy MAISON…

 

 


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