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Le B.N.B. serait-il un principe utopique ? Une belle promesse électorale de plus ? Un rêve inaccessible ? Une réalité qui ne s’applique qu’au Bhoutan ? En France, comme partout ailleurs, on se focalise sur le P.I.B. (Produit intérieur brut). Soit la somme des richesses qui est créée par les acteurs économiques nationaux. Seul Nicolas SARKOZY a évoqué en son temps ce fameux « bonheur national brut » au cours de son mandat. Alors illusion ou opportunité ?

TRIBUNE : Depuis, la seule évolution concrète, c’est la création d’un système de climatisation gratuit dans nos ministères. On répartit d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous privent d’air !

Du « vouloir vivre », on exprime de plus en plus le « vouloir être », les « ardents » selon THEILLARD de CHARDIN. Dans sa propédeutique de la spiritualité, ce dernier les oppose aux « pessimistes » et aux « jouisseurs ». Quelle est la place de l’homme dans les choix économiques et dans l’évaluation des pays ?

En France, on recense neuf millions de pauvres, quatre millions de mal logés, 150 000 sans domicile fixe. Rien qu’en 2018, 600 SDF sont morts tristement dans la rue. De simples faits au regard de la mesure du P.I.B. !

On compare les pays grâce au sacro-saint P.I.B. Mais que vaut réellement un pays, encore mieux que vaut l’individu ? La mesure est la suivante : le PIB par habitant s’élève à 43 000 dollars américains en France. Il est de 600 $ en Centrafrique, 126 000 $ au Qatar…et 3 000 au Bhoutan.

 

Le Bhoutan, petit pays d’Asie vertueux ?

 

Ce pays de l’espace himalayen a décidé de reléguer le PIB bien après le bonheur de ses habitants. Ainsi, le B.N.B (bonheur national brut) fût décidé en 1972 par l’ancien Roi, Sigme Singye WANGCHUK. C’est une approche transversale et holistique dans les domaines concernés. Elle se base sur les techniques qui couvrent neuf domaines (vitalité, éducation, bien-être psychologique…). Trente-trois indicateurs et cent-vingt-quatre variables déclinent ces domaines.

La place de l’économie au Bhoutan est centrée prioritairement sur l’écologie (Bilan carbone négatif). L’évaluation du B.N.B. se fait par enquêtes et chaque loi doit être validée par la commission ad hoc. Celles-ci permettent de s’intéresser à la population non encore heureuse : celle dont le seuil de suffisance est atteint dans moins de six domaines et définie par un pourcentage.

 

 

 

Ledit pourcentage est donné par X. On étudie ensuite l’ampleur des insuffisances : c'est-à-dire le pourcentage des domaines en insuffisance dans cette population. Ledit pourcentage est appelé Y. La formule magique pour calculer la valeur du B.N.B. est celle-ci : 100 % - (X) (Y)]. Afin d’améliorer l’indice, il faut donc diminuer X et Y !

 

Il est grand temps de changer de paradigme…

 

On peut étudier des modèles mis en pratique qui semblent pertinents ! Le beurre oui, mais pour l’argent du beurre, il faut attendre un peu. Le Bhoutan a la réputation d’être le pays le plus heureux de la planète mais il reste très pauvre.

Pour une transposition dans nos pays, il faudra se poser la question centrale : qui est légitime pour définir ce qui compte le plus pour évaluer le bonheur du citoyen ?

Changer de paradigme, c’est transformer nos modèles et les orienter  vers une meilleure répartition des richesses. Les freins à notre bonheur sont les inégalités sociales, la crise écologique…

Autant de thèmes qui appellent de toute urgence un changement des mentalités et du cadre de référence. Le B.N.B. rappelle l’article 1 de la constitution du 24 juin 1793 : c’est-à-dire le but de la société, « le bonheur commun » !

Il n’y a pas de déductions hâtives à avoir : le chanvre pousse comme du chiendent au Bhoutan, certes, mais ce n’est pas pour autant que les bhoutanais fument du cannabis pour exprimer leur bonheur !

 

Jean-Paul ALLOU 

 

 


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Le renouvellement de la convention-cadre établie entre le Conseil départemental de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) ne fut que pure formalité entre ses signataires, ce vendredi 20 février à Auxerre. Tant l’évidence primait sur l’acceptation d’un accord déjà bien ancré dans la pratique de ce partenariat depuis 2008. Vingt-cinq agents de la collectivité territoriale en sont les bénéficiaires. Avantage suprême : leur employeur institutionnel leur autorise du temps pour qu’ils puissent se former et agir lors de missions dévolues à leurs tâches…

 

AUXERRE : 80 % des actions enclenchées dans le cadre de la sécurité civique reposent sur le principe éthique du volontariat. Autant dire que pour le corps des sapeurs-pompiers, il est inconcevable de négliger une telle matière première dont il est bon, avec la constance régulière d’un métronome, de raviver la mémoire et raffiner la quintessence altruiste de ces bonnes âmes lors de manifestations spécifiques.

Pensé en 2017, le Plan d’action visant à recruter des sapeurs-pompiers volontaires, voulu par Gérard COLLOMB, ministre de l’Intérieur de l’époque, n’est pas passé inaperçu dans le sérail local. Présentant un intérêt inéluctable pour les soldats du feu et les structures institutionnelles qui sont inféodées à leur mode de fonctionnement. A l’instar du Conseil départemental de l’Yonne.

Il est donc logique, voire légitime, que l’organe représentant le pouvoir politique exécutif de notre territoire fasse usage d’exemplarité dans la promotion de ce dossier vertueux.

Depuis 2008, et bien avant les opérations nationales menées à grand renfort de communication, un certain nombre de collaborateurs de la structure avait fait connaître leur intention de s’engager en faveur de cette noble et valeureuse cause. Au service de leurs concitoyens.

 

 

Elles et ils sont désormais vingt-cinq de cette vénérable maison à offrir de leur précieux temps pour renforcer les équipes de professionnels déjà en place au sein des différents centres d’intervention de l’Yonne.

Devant cet engouement volontariste à la déontologie dénuée de toute ambiguïté, le Département ne pouvait rester insensible à ces engagements salvateurs pour les services de secours de notre territoire.

D’où l’idée que l’on puisse accorder du temps supplémentaire à prendre sur sa présence au travail afin d’accroître ses connaissances techniques à la suite de formations ou pour épauler les équipes en intervention.

 

 

Un principe gagnant/gagnant pour les secours et les employeurs…

 

Très tôt, les résultats se sont avérés positifs. Si en 2017, trente-neuf sapeurs-pompiers volontaires exerçant leur activité professionnelle dans une vingtaine de sociétés publiques et privées avaient paraphé ce document (l’accord tripartite entre l’employeur, le SDIS et le Département), leur nombre devait dépasser toutes les espérances en ce début d’année.

Cent-quarante personnes, salariées dans soixante-quinze entreprises, ont rejoint les effectifs des sapeurs-pompiers volontaires (SPV) de notre territoire.

A la grande satisfaction du président du SDIS, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département, et du directeur de l’instance sécuritaire, le colonel Jérôme COSTE. Ce dernier était accompagné pour la circonstance lors de cette cérémonie officielle par le colonel Pierre BEPOIX et le commandant Gilles ROGUIER.

 

 

 

Grossir les rangs des sapeurs-pompiers volontaires demeure la priorité du Département et de son président, Patrick GENDRAUD, y compris auprès de ses propres collaborateurs. A ce jour, l’Yonne en dénombre plus de mille trois cents cinquante. L’objectif est de gagner encore de la visibilité auprès des employeurs et de leurs salariés.

La mise à disposition par l’entreprise de cinq jours consacrés aux aspects pédagogiques et théoriques peut inciter les personnes intéressées à franchir le cap. Celui de l’engagement en faveur d’un acte citoyen qui peut vite devenir profitable pour l’entrepreneur lui-même si un sinistre ou un incident de travail venait à se déclarer dans ses locaux.

A bon entendeur, pour les chefs d’entreprises ou directeurs de service, qui auraient encore des doutes sur la pertinence déontologique d’une telle initiative…

 

 


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Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !

Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.

Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.

A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.

 

 

Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…

 

Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !

A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.

L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.

 

 

Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.

La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.

La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…

Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !

 

 

 


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Ce n’est pas un secret : les Offices publics de l’habitat de France et de Navarre appliquent à la lettre les éléments de la loi Elan, adoptée par les parlementaires le 23 novembre 2018. Le texte législatif rend obligatoire leur regroupement. Ceux, en particulier, qui assurent la gestion de parcs de logements comprenant moins de douze mille unités. Dans notre contrée, trois structures (DOMANYS, ORVITIS et Grand Dole Habitat) ont décidé, dès l’année dernière, de convoler en justes noces. Ce 17 février, leur hyménée a pris la forme d’une société de coordination : celle-ci a été rendue publique…

DIJON (Côte d’Or) : Il aura fallu la réunion de l’assemblée générale constitutive pour formaliser de façon officielle ce qui avait été entrepris depuis un peu plus d’une année. C’est-à-dire le fruit d’une longue période de concertations entre les trois acteurs au centre de ce projet.

Constituée sous la forme juridique d’une société anonyme à directoire et conseil de surveillance, la structure IDELIANS, puisque tel est son nom de baptême, est désormais opérationnelle en Bourgogne Franche-Comté.

Elle fédère trois offices publics de l’habitat, la jurassienne Grand Dole Habitat, celle de Côte d’Or, ORVITIS et l’icaunaise, DOMANYS. Leur rapprochement trouve sa légitimité dans la déclinaison concrète du texte de la loi Elan, votée à l’automne 2018.

Ce lundi 17 février, dans la capitale des ducs de Bourgogne, l’objectif de la réunion constitutive n’avait autre vocation que d’installer l’ensemble de la gouvernance, le conseil de surveillance et le directoire de ce nouvel organe. Une assemblée importante à laquelle prenait par le responsable de l’exécutif du Département de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, en sa qualité de président de DOMANYS.

 

 

 

 

François-Xavier DUGOURD et Yves MAGDELAINE en tandem complémentaire…

 

Une fois le conseil de surveillance désigné (Pascal HENRIAT y représentera la collectivité territoriale de l’Yonne ; Sonia PATOURET, Hervé COUTEILLE et Marc SAVEAN y siègeront en représentant les intérêts de l’office public de l’habitat DOMANYS), l’élection de son président et du vice-président devint une judicieuse évidence.

Le poste de président échoit à François-Xavier DUGOURD, actuel président d’ORVITIS, l’office public de l’habitat de Côte d’Or. La fonction de vice-président –en l’occurrence de vice-présidente - revient à la conseillère départementale de l’Yonne, Sonia PATOURET. Le président de Grand Dole Habitat, Mathieu BERTHAUD, étant nommé second vice-président.

Le conseil de surveillance a procédé ensuite à la nomination des trois membres du Directoire qui assumera la direction collégiale de la structure. Ce sont les trois directeurs des offices, à savoir Karine LASCOLS, pour DOMANYS, Christophe BERION, pour ORVITIS et Yves MAGDELAINE, de Grand Dole Habitat qui assureront la gouvernance.

Sachant que le dernier nommé officiera en qualité de président du Directoire.

L’intégration du quatrième partenaire, l’office public de l’habitat de Haute-Marne, HAMARIS, approuvée en décembre 2019, se déroulera durant l’été.

De fait, l’entité interrégionale recensera plus de 31 000 logements sur son périmètre d’intervention.

 

 


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Le président de la FNAIM Ile-de-France approuve les propos tenus par le président fédéral de la FNAIM, Jean-Marc TORROLLION. Mais pour éviter toute réaction hâtive et épidermique, il souhaite rappeler via cette tribune certaines choses qui ont amené la FNAIM à envisager la création de ce fichier des incidents de paiement des loyers. Le but n'est pas d'être totalement pour ou contre. Mais plutôt de travailler au « comment » et au « pourquoi ». C'est le souhait évident de l’organisme immobilier…

TRIBUNE : Ces dernières années, le nombre de bailleurs privés n'a cessé de diminuer et donc d’amplifier les difficultés pour trouver un logement en tant que locataire. Il est bon de rappeler qu'un bailleur sur deux est propriétaire de deux logements maximum.

Pour un grand nombre d'entre eux, ils ont emprunté dans l'espoir d'améliorer leur future retraite. Il ne faut pas les considérer comme « d'affreux capitalistes », profitant de « pauvres locataires ». Car, par leurs investissements, ils jouent un rôle social de premier ordre : le logement. Ils appartiennent à la société moyenne.

Il est aisé de comprendre que ces propriétaires ont besoin d'avoir la garantie d'être payés des loyers pour pouvoir rembourser leurs prêts. Or, ces moyens ont été amputés au fur et à mesure des années et des politiques successives. Nous pouvons citer : le dépôt de garantie ramené à un mois (lequel sert trop souvent à tort à payer le dernier mois), la suppression du cumul de garantie des loyers impayés et cautionnement personnel, le rallongement des délais de procédure, etc.

Les conséquences actuelles sont que certains bailleurs préfèrent ne plus mettre leur bien en location. Ils ont recours à des plateformes type « RBNB ». Celles-ci ne répondent pas au même besoin de logement.

La FNAIM déplore cette situation. Elle n'est pas du fait des professionnels, mais des politiques successives mises en place.

Comment peut-on exiger que des bailleurs privés prennent tous les risques financiers en cas de non-paiement et deviennent le curseur social de politiques inadaptées ?

  

La crainte pour les bailleurs de ne pas être payés…

 

C'est à l'Etat et aux services sociaux, et bailleurs sociaux, de répondre aux situations dramatiques de certains locataires.

Ce fichier, s'il voit le jour, dans le respect des règles édictées par la CNIL, ne serait qu'à la disposition des professionnels détenteurs d'une carte professionnelle.

Il existe bien un fichier à la Banque de France concernant les personnes ayant eu des incidents bancaires. Pour éviter les situations de surendettement. En quoi cela serait-il choquant qu'une sorte d'équivalent existe pour les locataires ?

 

 

 

 

Jean-Marc TORROLLION l'a rappelé clairement : « l'enjeu n'a jamais été de ficher les accidents de la vie… ». La raison principale qui fait qu'aujourd'hui bon nombre de bailleurs ne veulent plus investir et même parfois, vendent parfois leurs biens, c'est la crainte première, et totalement justifiée, de ne pas être payés.

Donc, si nous voulons améliorer l'accès au logement pour nos concitoyens, il faut que chacun y mette du sien, y compris le gouvernement et le législateur en premiers.

Il faut arriver à recréer une situation de confiance entre bailleurs et locataires. On ne peut imaginer qu'au moment de s'engager, une partie cache à l'autre un élément essentiel pour contracter.

Oui, le président fédéral de la FNAIM a jeté le pavé dans la mare. Il est évident que les choses vont devoir évoluer. Le slogan de la FNAIM est depuis très longtemps : « Agir pour le logement ». Elle ne change pas de cap.

 

Guy BRUGGEMAN

Président de la FNAIM Ile-de-France

 


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