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Elle a pris le temps de discuter avec chacun des candidats en recherche d’un emploi. Ce fut un échange constructif à bien des égards pour la sous-préfète de l’Avallonnais Cécile RACKETTE. Etonnée parfois des choix déjà bien arrêtés chez certains de ces jeunes gens lorsqu’ils se projettent dans leur vie active. Mais, au-delà d’une présence symbolique, le message véhiculé est clair : l’Etat n’oublie pas la jeunesse, avenir du monde professionnel !

 

AVALLON : Quelques mots sont prononcés pour réchauffer les âmes. De larges sourires s’affichent ensuite sur les visages de ces jeunes adultes en quête de travail. L’un après l’autre, les participants du premier rendez-vous en présentiel concocté depuis longtemps par la Mission Locale entament la conversation avec la représentante de l’Etat.

Ici, c’est une jeune fille, quelque peu prostrée les coudes nonchalamment posés sur la table. Là, c’est un garçon au regard volontaire qui du haut de ses dix-sept printemps souhaite embrasser la carrière de soignant. Pour accompagner les seniors dans leurs soins palliatifs, dit-il avec certitude. Admirable !

Discuter avec cette jeunesse permet à Cécile RACKETTE de prendre le pouls au plus près de la réalité du terrain. La sous-préfète a répondu par l’affirmative à l’invitation du directeur de la Mission Locale de l’Avallonnais et du Tonnerrois Radouan GSSIR. Mieux comprendre la jeune génération pour mieux la guider ensuite sur le chemin de l’emploi ?

« Nous devons apporter un maximum de leviers pour accompagner chaque jeune dans sa recherche d’un emploi, précise-t-elle, à ce titre, le rôle de la Mission Locale est primordial pour y parvenir. Tout comme peut l’être celui de Pôle Emploi… ».

 

Un contact privilégié avec des acteurs des ressources humaines…

 

Des initiatives comme ce « job dating » préparé soigneusement en amont sont utiles. Elles favorisent le suivi individuel de ces prétendants à une vie meilleure, une fois intégrés dans l’activité professionnelle.

Faire parler ce public est capital. Pour savoir ce qu’il désire véritablement selon ses appétences et ses capacités. Par rapport aux différentes filières qui existent sur le champ du travail. Afin de le mettre en relation avec le tissu entrepreneurial, porteur de solutions.

Ce fut le cas, ce mercredi en matinée au premier étage de la Mission Locale, totalement mobilisée pour la réception de cet exercice.

Plusieurs bureaux furent ainsi réservés pour accueillir les entretiens individuels nécessaires entre un responsable des ressources humaines et ce public.

Ce fut le cas avec le représentant du groupe de distribution SCHIEVER. Il avait dans sa besace une kyrielle de postes à pourvoir pour renforcer les effectifs de ses magasins. Mais aussi, de l’un des spécialistes du travail intérimaire : ADECCO.

Remarque pertinente de la sous-préfète d’arrondissement : « Opter pour de petits contrats réalisés lors de missions d’intérim, c’est déjà poser le premier pied dans l’emploi, y acquérir de l’expérience et y nouer des contacts indispensables pour la suite de sa carrière… ».

 

Recréer du lien social par le biais de ces opérations…

 

Alors, revaloriser la fonction travail, unique source de développement de la relation humaine dans cette société perturbée par la COVID et le couvre-feu, n’est-il pas la plus belle des missions à entreprendre auprès de la jeunesse à l’heure actuelle ?

Sans doute ! Au-delà de la simple quête d’un emploi, la trentaine de jeunes gens ayant participé à cette expérience aura pris plaisir à discuter ensemble et à renouer ce fil parfois distendu de la relation à l’autre. En créant ce lien social fédérateur dont la société a grandement besoin.

« D’ailleurs, conclut Cécile RACKETTE à l’issue des différents entretiens avec un zeste d’humour, personne ne m’a dit qu’il rêvait de pratiquer le télétravail lorsqu’il pensait à sa vie professionnelle ! ».

Un signe, donc, qu’il y aura toujours une solution tangible à apporter à ces jeunes qui veulent croquer la vie active à pleines dents ! Comme l’atteste la réussite du plan gouvernemental, « Un jeune, une solution » qui depuis son lancement en novembre dernier a fait ses preuves auprès de cette frange de la population.

 

Thierry BRET

 


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Trente-sept communes de notre territoire bénéficient à l’heure actuelle et, à raison d’une halte d’une demi-journée mensuelle, des avantages multiples de ce service itinérant imaginé par le Département. Jeudi 11 mars, aux alentours de 09 heures, place de la mairie, le véhicule fera une halte à Courson-les-Carrières. Il y sera accueilli par Patrick GENDRAUD qui rencontrera les personnels…

 

COURSON-LES-CARRIERES : Accompagner les Icaunais dans leurs démarches administratives est la vocation première de ce service ambulant qui est accueilli à ce jour dans près d’une quarantaine de communes de l’Yonne.

Partant du postulat que 83 % des localités de moins de mille habitants souffrent de l’éloignement des services publics, le Conseil départemental a trouvé judicieux de répondre à cette véritable problématique en optant pour le joker de l’itinérance programmée.

A bord de cet utilitaire (le véhicule n’a jamais aussi bien porté son nom !), une dizaine de partenaires de l’organisme départemental apportent leur valeur ajoutée. CNAV, CNAM, CAF, Pôle Emploi…y déclinent leurs précieuses informations, utiles lorsqu’il s’agit de renseigner des actifs, des jeunes, des personnes âgées, voire celles en situation de handicap.

Opérationnel depuis peu (le bus s’est arrêté récemment à VENOY dans la localité du vice-président du Département Christophe BONNEFOND ravi de ce service supplémentaire octroyé à ses administrés), cet auxiliaire des Services Publics presque à domicile a pour objectif d’accroître son potentiel d’accueil afin de sortir de leur isolement celles et ceux qui sont éloignés de tout.

Le président Patrick GENDRAUD profitera de l’étape de Courson-les-Carrières pour présenter les fondamentaux de cette mission et saluer le personnel qui y est embarqué.

 

Thierry BRET

 


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La journée de ce vendredi 05 mars restera à jamais gravée dans les annales de la ville d’Auxerre. Et de manière plus globale dans celles de la Bourgogne Franche-Comté. C’est à dix heures précises que le ministre délégué en charge des Transports Jean-Baptiste DJEBBARI assistera à la signature du bon de commande des premiers trains à hydrogène devant circuler à terme sur notre territoire. Une première nationale…

 

AUXERRE : « C’est une excellente chose pour notre territoire ! ». C’est à brûle-pourpoint le premier commentaire que devait livrer le député Les Républicains Guillaume LARRIVE, dès qu’il a pris connaissance de l’excellente nouvelle ce mercredi après-midi.

La commande originelle des fameux trains à hydrogène sera donc effective en cette veille de week-end. Elle sera actée de manière très protocolaire dans la capitale de l’Yonne ce vendredi à la gare SNCF. Une capitale départementale qui est amplement concernée par l’essor de ce mode d’alimentation novateur pour le transport ferroviaire en France.

D’autres régions ont décidé d’emboîter le pas de la Bourgogne Franche-Comté. Elles sont aujourd’hui au nombre de trois : Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est et Occitanie.

Toutefois, la nôtre peut se targuer d’être la première des régions à décliner un écosystème territorial complet pour son exploitation.

C’est ce que ne cesse de marteler depuis longtemps et à raison le premier vice-président de la Région en charge de ce dossier Michel NEUGNOT. Il n’a pas tort dans les faits. Une station favorisant la production de ce gaz sera construite à Auxerre d’ici quelques mois. L’infrastructure répondra à de multiples objectifs : alimenter le train, certes, mais aussi le réseau de bus communautaire, des bennes à ordure, et aussi les moyens de locomotion fluviaux.

 

 

Un bon de commande de près de 52 millions d’euros…

 

Précisons que la mise en circulation des cinq premiers bus à hydrogène est programmée avant le terme de cette année. Tandis que la phase de tests de ces appareils sur le ferroviaire est envisagée dans l’intervalle 2022/2023 : ce sera le prélude à leurs mises en circulation un an et demi plus tard par la SNCF.

Instruit par l’ancienne municipalité, alors pilotée par l’édile socialiste Guy FEREZ, le dossier de candidature d’Auxerre avait été retenu à cette époque lors d’un appel à projet européen en faveur du développement de l’hydrogène.

Les rames de ce type, des TER, devraient desservir les gares des lignes Avallon-Auxerre, Corbigny-Clamecy-Auxerre et favoriser la liaison entre Auxerre et Dijon.

Le bon de commande paraphé ce vendredi en présence de Jean-Baptiste DJEBBARI, ministre délégué en charge des Transports, équivaut à une enveloppe de 51,9 millions d’euros.

Le représentant du gouvernement sera accompagné de Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie.

Par ailleurs, le ministre aura entre-temps signé une convention entre l’Etat et la Région sur le  devenir des petites lignes ferroviaires.

Il aura visité également la gare de triage de Gevrey-Chambertin aux côtés de Jérôme GRAND, directeur territorial de SNCF Réseau.

Avant de clore ce déplacement par la Nièvre où on lui aura présenté les vertus de la navette gratuite électrique « Coursinelle » qui circule à Nevers.

 

Thierry BRET

 


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Entre ces poids lourds de la sphère économique, il était dans la logique des choses que leurs actions conjointes se traduisent tôt ou tard sous la forme d’une convention dûment paraphée par leurs responsables. Officialisé ce mardi 02 mars, ce partenariat a pour dénominateur commun le développement de l’attractivité territoriale via le prisme de l’économie et le soutien inconditionnel aux entreprises. Question de logique quand on se nomme la CCI et la Banque Populaire !

  

AUXERRE : Retrouver autour de la même table le président de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne et le directeur départemental de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain n’est en fait pas une réelle surprise en soi.

Surtout lorsqu’il s’agit d’entériner de manière concrète une convention de partenariat établie sur les douze prochains mois avec la possibilité d’une tacite reconduction à l’issue.

La surprise n’est donc pas de prendre acte de cet accord de saine réciprocité dans les faits entre les deux parties mais plutôt de constater que ce partenariat coulant de source n’ait pas été formalisé beaucoup plus tôt.

A l’instar de Monsieur Jourdain pratiquant la prose tout en l’ignorant, la chambre consulaire et l’établissement bancaire n’en sont pas à leur coup d’essai en matière de rapprochement et de convergence d’intérêts.

Depuis de nombreuses années, ces incontournables du sérail économique collaborent à la conception de projets dont certains se traduisent par des vitrines visibles auprès du grand public telle que l’animation « Monte ta boîte » destinée aux futurs créateurs.

Alors, cette signature de convention apparaît-elle comme une simple formalité d’usage entre ce couple parfaitement compatible ? Certainement. Mais, la rencontre entre Alain PEREZ, porte-étendard de l’activité consulaire sur le territoire et le directeur de la banque mutualiste, Yann NUNES, n’en demeura pas moins intéressante.

 

 

Des partenaires sur la même longueur d’ondes…

 

Echanges de points de vue conjoncturels, analyses économiques de la situation, préconisations à initier pour soutenir les créateurs et les repreneurs de société dans leurs projets… : le patchwork des idées étalées sur ladite table occupa les esprits un long moment de ce rendez-vous protocolaire. Avec des pistes et autres suggestions à l’appui qu’il sera souhaitable d’essayer d’ici quelques semaines !

Ravi d’apposer sa griffe au bas des pages de ce document, Alain PEREZ rappela que cette convention a pour objectif d’initier une dynamique réelle à l’accompagnement des créateurs et repreneurs d’entreprises. L’adhésion à ce projet représente le socle de la future mandature qui débutera à l’aune de 2022. Au sein de la chambre, le suivi de ce dossier incombe désormais à Lisa CHANUT. Celle-ci s’attèlera à sa réussite.

Promettant de faire le relais auprès de ses équipes collaboratrices au nom du sacro-saint principe de l’acronyme RSE dont il devait expliquer sa propre définition (Rapide, Simple et Efficace !), Yann NUNES, de son côté, évoqua l’engagement historique de son réseau bancaire pour demeurer leader de la création d’entreprises dans notre contrée.

« La gestion et le suivi des professionnels constituent la base de notre cœur de gamme, devait-il souligner, c’est notre ADN ! ».

Outre le suivi des entreprises déjà installées (elles sont plus de 140 à fréquenter les sept pépinières gérées par la CCI sur notre département), la Banque Populaire du fait de cette convention, sera de facto associée étroitement aux divers évènementiels qui feront florès au cours de la saison (ou de la suivante) dès que les conditions sanitaires iront vers le beau fixe. Tout en proposant aux dirigeants en herbe ou confirmés une gamme de produits profitables à la vie de leurs entreprises.

 

Thierry BRET

 


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La crise de la COVID-19 a débuté en France il y a presque un an. Des vies ont été profondément bouleversées. Les restaurants et les bars, notamment, ont été fermés pour préserver la santé d’autrui. Ces fermetures n’ont pas été sans conséquence. Et ce, pour les étudiants. Perte de jobs, perte de logement, décrochage scolaire : comment parviennent-ils encore à subvenir à leurs besoins ?

TRIBUNE: D’après l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), 21,8 % des jeunes français âgés de 18 à 25 ans se sont inscrits au chômage au troisième trimestre 2020.

Au total, sur un an, le taux de chômage a progressé davantage pour les jeunes (+ 2,6 points) que pour les autres classes d’âge. Ces chiffres se lient avec la crise sanitaire actuelle. Le chômage chez les jeunes a donc un impact important et ce d’autant plus lorsqu’ils sont étudiants.

Ces derniers doivent alors jongler entre les cours des universités et leurs besoins physiologiques si nous suivons la pyramide du psychologue Abraham MASLOW. Avec la perte d’un job étudiant, les cinq besoins de cette pyramide sont remis en cause. Leur environnement devient rapidement anxiogène. 

Depuis le #étudiantsfantomes, beaucoup se sont mobilisés. Un groupe de travailleurs du numérique a décidé de créer un site Internet : Etudiantsfantomes.fr ainsi qu’une page sur les réseaux sociaux tel que Twitter et Instagram afin que les étudiants puissent témoigner anonymement ou non pour partager leurs sentiments.

Ils se confient par ailleurs : « Globalement, ce qui revient majoritairement, ce sont des incertitudes et de l'anxiété face à celles-ci. On est tous dans cette situation-là plus ou moins, mais pour les étudiants c'est encore plus lourd à supporter parce qu'il y a une pression concernant la réussite scolaire. Et ça s'ajoute à la précarité financière de certains et à l'absence de contacts humains qui sont vraiment primordiaux pour les jeunes de 20 ans aujourd'hui. »

« Sans job étudiant, je ne sais même pas si je pourrais payer le loyer du mois de mars sincèrement. » https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/ted/

Autre témoignage recueilli un peu plus loin :

« Je galère à payer mon loyer et toutes les factures qui vont avec. Je maigris car je ne mange quasiment rien et ça a grandement affecté les études l’année dernière. Je  devais trouver un travail pour réussir à payer mon loyer : je donnais des cours particuliers. Cela m’a permis d’arriver limite à la somme requise par mois avec les APL mais maintenant je n’ai plus rien ». https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/anonyme-25/

 

 

 

Une mobilisation nécessaire des milieux associatifs et syndicaux…

 

Les associations et les syndicats se mobilisent pour aider ces jeunes en détresse. Des distributions alimentaires sont organisées pour leur redonner un peu d’espoir.

Par ailleurs, quatorze syndicats appellent à une journée de mobilisation le 16 mars. Dans un communiqué, ils font le point sur la situation avant de revendiquer onze idées qui selon eux doivent être mises en place.

Ils déclarent : « De plus en plus d’étudiant·e·s sont obligé·e·s de se tourner vers des organismes de distribution alimentaire toujours plus surchargés ou renvoyé·e·s à une solidarité familiale ». Ils y ajoutent : « Les jeunes sont les premier·ère·s à subir les effets de la crise économique sur l’emploi. »

D’autres associations agissent pour aider les étudiants. Ô Cœur de la Rue distribue de la nourriture aux sans-abris.

Voyant que les étudiants vivaient une situation de plus en plus précaire, ils ont décidé d’avoir une seconde cible.

Anissa MEDDEB, une des deux fondatrices de l’association, se livre : « 70 % de nos bénévoles sont justement des étudiants car nous avons actuellement un partenariat avec l’EM de Strasbourg. En échangeant avec eux, ils nous ont confié qu’ils ne pouvaient pas manger à leur faim. Certains d’entre eux venaient marauder le soir en ayant avalé qu’un seul repas de la journée par difficulté financière. »

Aujourd’hui, la situation est très précaire pour certains d’entre eux. Ils essayent de survivre tant bien que mal en allant à des distributions alimentaires. Ou, en tentant de retrouver du travail. Pas si simple, en vérité…

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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