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Désormais, un trophée symbolisera l’obtention des aides accordées par l’Etat dans le cadre du plan « France Relance ». Dirigeant de la société TMS (Tôlerie Mécanique Service), Thierry LAFARGE est le premier des entrepreneurs de notre département à recevoir cette nouvelle distinction. Elle lui a été remise par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa visite en fin de semaine dernière...

 

STIGNY : D’ici quelques jours, moins d’une semaine assure le chef d’entreprise Thierry LAFARGE, une nouvelle machine occupera l’espace qui lui est réservé dans l’un des ateliers de la société TMS.

Il s’agit d’une poinçonneuse de dernier cri. Un appareillage ô combien stratégique pour assurer la pérennité et l’essor de la PME du Tonnerrois.

Bénéficiaire de  la dotation financière du plan « France Relance », Tôlerie Mécanique Service est l’une des quatre structures industrielles de l’Yonne à profiter de ces subsides suite à sa candidature à l’appel à projet du volet territorial.

Au total, 950 000 euros ont été versés pour un investissement global de plus de 7,3 millions d’euros. TMS, quant à elle, a présenté un projet d’un montant total d’investissement de 516 000 euros. Elle a obtenu in fine une subvention de 250 000 euros.

Cette manne qui n’a rien de providentielle puisque un dossier de candidature a été transmis arrive à point nommé pour la PME. Le renouvellement de son matériel répond ainsi à deux objectifs qui intègrent la stratégie de son dirigeant : le développement de son outil de travail avec de potentielles embauches à la clé à terme et surtout la diversification de son offre lui donnant l’octroi de nouveaux marchés.

 

 

 

 

L’entité, l’un des bras armé du groupe de Côte d’Or MDR (Métal Déployé Résistor) localisé à Montbard, conçoit des résistances de puissance ainsi que des rayonnages.

Présente dans la commune à la plus grande joie de son édile Anne DOLLIER depuis 1996, TMS ne se focalise pas uniquement sur une clientèle régionale. Son rayon d’action couvre allègrement le grand quart est de l’Hexagone. Une vingtaine de salariés travaille en son sein. Quant à son chiffre d’affaires, il s’élève aujourd’hui à près de 3 millions d’euros.

C’est aux côtés du député de la circonscription André VILLIERS et de l’édile de la localité Anne DOLLIER que le représentant de l’Etat Henri PREVOST a remis le précieux trophée au dirigeant d’entreprise Thierry LAFARGE.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il n’est pas question pour le Grand-Sénonais d’abandonner l’organisation de la Semaine de l’Entreprenariat et de l’Emploi à cause de la crise sanitaire ! L’évènement se déroulera du 29 mars au 02 avril. Demandeurs d’emploi et entrepreneurs auront donc la chance de rencontrer les acteurs de l’économie cette année. Toutefois, l’évènement reste soumis à des règles strictes et sera entièrement virtualisé.

 

SENS : La présidente de la CAGS (Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais) Marie-Louise FORT s’inquiète de l’avenir économique et social du territoire. Elle souhaite que chacun dans son domaine soit fin prêt lors du redémarrage post-épidémique.

L’intercommunalité poursuit ainsi ses efforts en termes de formation et d’emploi, notamment par une continuité de son partenariat avec Pôle Emploi, l’AER (Agence Economique Régionale), la CCI (Chambre de Commerce et de l’Industrie) ainsi que les spécialistes de l’insertion professionnelle.

A priori, l’élue ne saurait également tolérer une nouvelle année blanche pour la tenue de la Semaine de l’Entreprenariat et de l’Emploi. Un moteur essentiel pour les demandeurs d’emploi et les porteurs de projets de création d’entreprises.

« On voudrait, à terme, faire suffisamment du développement économique de façon à limiter l’évasion des Sénonais qui vont travailler à Paris et ailleurs, surtout avec le télétravail maintenant… ».

 

Une manifestation virtuelle au contenu plutôt riche…

 

Cette année, les services de l’agglomération ont tout misé sur l’exploitation de supports numériques et audiovisuels afin, tout de même, de permettre à la population de rencontrer les acteurs de l’économie du territoire.

C’est à peu près le seul avantage de cette crise sanitaire : accélérer le développement du digital au sein de l’intercommunalité.

Clarisse QUENTIN, adjointe au maire chargée de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique pense même que ce sera « une grande année car ces temps un peu compliqués poussent à la réflexion ». Pour les demandeurs d’emploi, c’est aussi « l’occasion de se lancer ».

En charge de l’organisation aux côtés d’Emmanuel CROUZET, directeur général du PEIPS (Pôle Economie et Insertion Professionnelle du Sénonais), Magalie CONDUTEAU, coordinatrice de la Fabrique à Entreprendre (FAE) du Grand-Sénonais, précise que cette semaine de rencontre prévoit « un programme différent chaque jour sur des thèmes qui sont vraiment spécifiques ».

En effet, la Fabrique à  Entreprendre a concocté un programme bien fourni. « La communication avec les médias », « Des clés pour votre réussite » ou encore « Les entreprises qui recrutent » sont autant de thèmes abordés lors d’ateliers qui se dérouleront tous les jours de 09h15 à 18h et auxquels le public devra s’inscrire via le site web de la FAE.

Les futurs dirigeants pourront aussi visionner des vidéos portant sur l’économie au sens large comme le commerce et le soutien aux initiatives économiques.

Côté emploi, la journée du 31 mars lui sera dédiée.

« Les premiers inscrits pourront bénéficier de live le jour J » précise Emmanuel CROUZET. Ils découvriront en avant-première sur Youtube des offres d’emploi collectées parmi les 250 entreprises avec lesquelles le PEIPS collabore déjà.

D’autres vidéos seront disponibles en parallèle telles que les portraits consacrés à certains chefs d’entreprises.

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Il faut retenir de ce nouveau concept qui est déployé depuis le 22 février dans l’Yonne l’essence même de l’expression : « aller vers… ». Elle représente la substantifique moelle intellectuelle qui justifie la nouvelle stratégie du Conseil départemental en matière de propagation des services de proximité sur le territoire. Une proximité qui se veut désormais itinérante et mobile dans les zones rurales, véhiculée par un utilitaire bientôt labellisé par l’Etat…

 

COURSON-LES-CARRIERES : 83 % des localités qui composent le paysage communal de notre département accueillent moins de mille habitants ! Autant dire, une forte proportion de personnes vivant en retrait de la technologie à tout crin et de la facilité à bénéficier de l’instantanéité des services ad hoc.

On pense en premier lieu à ceux dispensés par l’Etat ou le Département. Mais aussi à des prestations qui caractérisent les interventions usuelles de Pôle Emploi, de la Caisse des Allocations Familiales, etc.

Trente-sept communes profitent depuis le 22 février de la venue de ce mini bus stationnant une matinée sur une place centrale et accessible à tous. Le choix de ces bourgades s’est effectué sur le sacro-saint principe de l’équité.

Comme le commente le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD : « La sélection de ces communes s’est pratiquée en concertation avec les élus locaux, explique-t-il, afin de créer le maillage le plus judicieux possible pour ne pénaliser aucun de nos territoires… ».

Bien sûr, il aura été tenu compte en amont de la présence des structures pérennes offertes par les maisons « France Services» déjà opérationnelles dans l’Yonne.

Le bus des services de proximité a pour vocation d’intervenir sur des zones sectorielles dépourvues de toute infrastructure.

 

 

 

Un investissement de 80 000 euros au total…

 

De l’avis du président de l’exécutif départemental, l’équilibre est respecté avec cette répartition de communes bénéficiaires de la prestation. Toutefois, leur nombre n’est pas figé dans le temps.

« Selon la fréquentation des utilisateurs, il sera toujours possible de modifier si nécessaire les besoins d’une localité, ajoute Patrick GENDRAUD, ravi de ce dispositif novateur déployé sur son territoire de prédilection.

L’Yonne fait figure de précurseur en Bourgogne Franche-Comté avec ce dispositif mobile. Un cocorico dont est fier Patrick GENDRAUD. Il espère faire des émules dans d’autres départements de l’Hexagone.

Nécessitant une enveloppe budgétaire de 80 000 euros pour sa déclinaison globale (y compris le salariat), le concept devrait recevoir la bénédiction de l’Etat dès le mois d’avril par le prisme d’un label officiel. Celui de France Services.

Cela offrirait l’excellente opportunité pour le Département de percevoir une dotation équivalente à 30 000 euros. Non négligeable par les temps qui courent !

 

Thierry BRET

 

 


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Loin de toute estampille idéologique ou politique, un mouvement citoyen, composé de femmes, d’hommes et d’adolescents, est apparu à Figeac (Lot) en novembre 2020. Sans prétention aucune, il fédère des êtres humains qui se posent aujourd’hui des questions existentielles et de bon sens. Cet élan intellectuel est mû par un immense respect envers l’autre qui a le droit d’être, d’agir et de penser différemment de nous…

TRIBUNE
 : « Un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais… ». Cette phrase pleine de bon sens porte la signature de Nelson MANDELA, l’ancien président charismatique de la république sud-africaine.

Elle est devenue le ciment fédérateur des membres du collectif RESPIRE. Une structure qui a vu le jour dans le Lot et qui semble faire des émules à travers l’Hexagone…

« Nous n’avons aucune leçon à donner car nous ne sommes spécialistes en rien ! Nous n’avons personne à convaincre car aucun d’entre nous ne détient une vérité visant à endoctriner les gens. Nous n’avons pas de volonté de culpabiliser, agresser ou choquer quiconque car les médias s’en chargent déjà, réussissant à diviser pour mieux régner. Ce dont les pouvoirs se réjouissent fort… ».

Ne pratiquant pas la langue de bois, et s’appuyant sur cette forme de pensée, le collectif RESPIRE (la belle appellation) a donc vu le jour par une journée automnale, l’an dernier.

Vouloir léguer aux générations futures un monde dans lequel il fait encore bon vivre est la responsabilité de chacun, selon lui.

Il faut savoir prendre un peu de hauteur pour observer, écouter et mettre à distance tout ce que l’on entend ; quelles que soient les sources d’informations...

D’où un certain nombre d’interrogations élémentaires : le moment est-il venu de s’entraider les uns sur les autres pour éviter de tomber dans une sinistrose morose ? Doit-on se rappeler au quotidien et profiter de cette crise sanitaire sans précédent pour se dire que nous sommes finalement « tous frères et sœurs, locataires sur cette Terre que nous allons léguer à nos enfants et petits-enfants » ?

Le moment est peut-être venu de se lever ensemble pour renouer avec une humanité sensible et bienveillante qui permettra en conscience de reconnecter ses représentants avec des valeurs de vie plus respectueuses du vivant.

Tels sont les axiomes régulateurs de ce collectif dont l’entretien auprès de notre correspondant de presse est à découvrir dans nos colonnes sur le lien suivant :

https://youtu.be/UeD6cniKy8o

 

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Entretien réalisé par Daniel BOUKEZ

 


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Elle a pris le temps de discuter avec chacun des candidats en recherche d’un emploi. Ce fut un échange constructif à bien des égards pour la sous-préfète de l’Avallonnais Cécile RACKETTE. Etonnée parfois des choix déjà bien arrêtés chez certains de ces jeunes gens lorsqu’ils se projettent dans leur vie active. Mais, au-delà d’une présence symbolique, le message véhiculé est clair : l’Etat n’oublie pas la jeunesse, avenir du monde professionnel !

 

AVALLON : Quelques mots sont prononcés pour réchauffer les âmes. De larges sourires s’affichent ensuite sur les visages de ces jeunes adultes en quête de travail. L’un après l’autre, les participants du premier rendez-vous en présentiel concocté depuis longtemps par la Mission Locale entament la conversation avec la représentante de l’Etat.

Ici, c’est une jeune fille, quelque peu prostrée les coudes nonchalamment posés sur la table. Là, c’est un garçon au regard volontaire qui du haut de ses dix-sept printemps souhaite embrasser la carrière de soignant. Pour accompagner les seniors dans leurs soins palliatifs, dit-il avec certitude. Admirable !

Discuter avec cette jeunesse permet à Cécile RACKETTE de prendre le pouls au plus près de la réalité du terrain. La sous-préfète a répondu par l’affirmative à l’invitation du directeur de la Mission Locale de l’Avallonnais et du Tonnerrois Radouan GSSIR. Mieux comprendre la jeune génération pour mieux la guider ensuite sur le chemin de l’emploi ?

« Nous devons apporter un maximum de leviers pour accompagner chaque jeune dans sa recherche d’un emploi, précise-t-elle, à ce titre, le rôle de la Mission Locale est primordial pour y parvenir. Tout comme peut l’être celui de Pôle Emploi… ».

 

Un contact privilégié avec des acteurs des ressources humaines…

 

Des initiatives comme ce « job dating » préparé soigneusement en amont sont utiles. Elles favorisent le suivi individuel de ces prétendants à une vie meilleure, une fois intégrés dans l’activité professionnelle.

Faire parler ce public est capital. Pour savoir ce qu’il désire véritablement selon ses appétences et ses capacités. Par rapport aux différentes filières qui existent sur le champ du travail. Afin de le mettre en relation avec le tissu entrepreneurial, porteur de solutions.

Ce fut le cas, ce mercredi en matinée au premier étage de la Mission Locale, totalement mobilisée pour la réception de cet exercice.

Plusieurs bureaux furent ainsi réservés pour accueillir les entretiens individuels nécessaires entre un responsable des ressources humaines et ce public.

Ce fut le cas avec le représentant du groupe de distribution SCHIEVER. Il avait dans sa besace une kyrielle de postes à pourvoir pour renforcer les effectifs de ses magasins. Mais aussi, de l’un des spécialistes du travail intérimaire : ADECCO.

Remarque pertinente de la sous-préfète d’arrondissement : « Opter pour de petits contrats réalisés lors de missions d’intérim, c’est déjà poser le premier pied dans l’emploi, y acquérir de l’expérience et y nouer des contacts indispensables pour la suite de sa carrière… ».

 

Recréer du lien social par le biais de ces opérations…

 

Alors, revaloriser la fonction travail, unique source de développement de la relation humaine dans cette société perturbée par la COVID et le couvre-feu, n’est-il pas la plus belle des missions à entreprendre auprès de la jeunesse à l’heure actuelle ?

Sans doute ! Au-delà de la simple quête d’un emploi, la trentaine de jeunes gens ayant participé à cette expérience aura pris plaisir à discuter ensemble et à renouer ce fil parfois distendu de la relation à l’autre. En créant ce lien social fédérateur dont la société a grandement besoin.

« D’ailleurs, conclut Cécile RACKETTE à l’issue des différents entretiens avec un zeste d’humour, personne ne m’a dit qu’il rêvait de pratiquer le télétravail lorsqu’il pensait à sa vie professionnelle ! ».

Un signe, donc, qu’il y aura toujours une solution tangible à apporter à ces jeunes qui veulent croquer la vie active à pleines dents ! Comme l’atteste la réussite du plan gouvernemental, « Un jeune, une solution » qui depuis son lancement en novembre dernier a fait ses preuves auprès de cette frange de la population.

 

Thierry BRET

 


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