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Que les éternels râleurs de tout poil se taisent de manière définitive lorsqu’ils incriminent, à l’aide de post circulant sur les réseaux sociaux, le Conseil départemental de l’Yonne de ne pas avoir su prendre à bras le corps le dossier du déploiement de la fibre optique sur notre territoire ! Patrick GENDRAUD l’a encore martelé avec insistance, lors d’un point étape ce jeudi après-midi : le raccordement à la fibre prévu initialement en 2030 sera opérationnel avant le terme de 2023 !

 

AUXERRE : Eh oui, aurait-on la mémoire courte dans notre département en matière de déploiement de la fibre optique ? L’échéance initiale qui avait été fixée dès l’amorce de ce projet par les services de l’organisme institutionnel départemental, encore peu inféodés à cette technologie novatrice, ne prévoyait in fine qu’une couverture totale de notre secteur géographique qu’en…2030 !

De l’eau aura donc coulé en abondance sous les ponts pour le plus grand bonheur des foyers, des entreprises et des collectivités de l’Yonne puisque ce délai a été raisonnablement ramené à…2023 ! Soit un delta temporel de sept ans de bonheur en mieux !

Une date qui a bel et bien été confirmée par le président de l’exécutif territorial Patrick GENDRAUD, lors d’une conférence de presse, ce jeudi, faisant office de bilan étape à une quinzaine de mois de l’échéance finale.

Dès 2018, le critère d’attractivité que représentait l’apport de cette technologie révolutionnaire à bien des usages se distillait durablement dans les pensées des faiseurs d’ordre. Les forçant à modifier la feuille de route initiale et en l’accélérant de manière constante !

 

Un déploiement où le Département a investi financièrement…

 

Cela supposait aussi injecter 55 millions d’euros à la réalisation de ce projet ambitieux dans le cadre du réseau d’initiative publique interdépartemental piloté par la SPL BFC Numérique. Un déploiement de réseau dont le cofinancement sera assuré d’ailleurs par le Département de l’Yonne à hauteur de 42 %, l’ensemble des communautés de communes et d’agglomérations de l’Yonne, les EPCI (10 %), la Région Bourgogne Franche-Comté et l’Union européenne.

Sachant que ces investissements couvraient 20 % des prises optiques qui auront été installées sous maîtrise d’ouvrage par le Département avant le terme de 2021.

Avec SLP BFC Numérique, le cahier des charges prévoyait la construction de 44 500 prises à répartir sur 65 communes. A date, 35 211 de ces prises ont été réalisées, soit 79,1 % de la totalité. 24 535 sont aujourd’hui commercialisées. Ce qui offre la possibilité à 6 230 abonnés de bénéficier déjà des avantages d’une technologie qui gagne en rapidité d’exécution.

 

 

Des travaux devant se terminer en 2023…

 

Mais, ce n’est pas tout ! Le Conseil départemental de l’Yonne, dans le cadre d’une délégation de service publique, s’est également engagé à déployer la fibre optique pour 60 % des prises sur ses fonds propres en trois ans. Via YCONIK, une filiale du groupe « ALTITUDE INFRA ». Montant de l’investissement : 190 millions d’euros, tout de même, « ce qui n’est pas rien » confiera Patrick GENDRAUD.

Un gain de sept ans, au bout du compte pour le Département, certes, que celui-ci entend bien faire respecter en clôturant les travaux de ce déploiement en 2023.

Auxerre et Sens, les deux villes phares de notre département, sont quant à elles gérées dans le cadre de la zone d’appel à Manifestation d’Intention d’Investissement (AMII). Une prise en charge qui est assurée par l’opérateur ORANGE, prenant sur ses fonds propres, le déploiement de la fibre. Soit un total de 20 % des prises sur les 225 000 qui seront déployées sur notre territoire pour couvrir l’ensemble du département.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Forcément, il s’attendait à une réunion quelque peu conflictuelle, voire houleuse avec les élus de l’Yonne. Le président de la Commission transports et mobilité de la Région BFC Michel NEUGNOT le sait très bien : dès que l’on aborde le délicat problème de la mobilité – surtout quand celle-ci se décline sous son aspect ferroviaire ! -, on touche du doigt le nerf à vif du problème. « C’est comme si on s’attaquait à la montagne mais avec des points de vue différents, confiait-il au terme d’un long exposé à Auxerre. Une montagne qui a accouché d’une souris selon ses opposants ?

 

AUXERRE : Il n’aura cessé de le marteler durant toute son intervention face à une assistance parfois hostile, à l’écoute patiente dans l’hémicycle de l’hôtel du Département où il proposait cette rencontre informative sur le nouveau cadencement des trains dans l’Yonne : la Région Bourgogne Franche-Comté traite de manière globale le sujet des mobilités. L’un de ses nombreux domaines de compétences, par ailleurs.

Effectuant le déplacement depuis Dijon, le vice-président de l’organe institutionnel régional et président de la Commission des transports et des mobilités n’est donc pas venu en terre icaunaise pour y rencontrer les édiles concernés par le devenir des liaisons ferroviaires les mains vides.

« Nous avons une réponse à apporter sur le territoire septentrional de la Bourgogne parce que la desserte nord de l’Yonne n’est pas satisfaisante dans son mode de fonctionnement actuel. C’est d’ailleurs la seule que l’on n’ait pas encore travaillé sur notre territoire, non pas par manque de volonté mais parce qu’elle est en lien direct avec l’Ile-de-France… ».

 

 

Un accord historique avec l’Ile-de-France et voté unanimement à la Région…

 

 

Une desserte spécifique et plus complexe qui représente bon an mal an dix mille voyages (l’équivalent de cinq mille usagers effectuant des allers/retours entre l’Yonne et la capitale) alors que la région francilienne traite dix millions de passagers.

En avril 2021, le Conseil régional statuait par un scrutin l’accord historique porté par Marie-Guite DUFAY, présidente de l’exécutif BFC, et son homologue, Valérie PECRESSE, à la tête de l’Ile-de-France.

« Un vote qui est revenu unanime de la part des élus de l’assemblée régionale, souligne avec malice Michel NEUGNOT, même si certains contestent aujourd’hui le contenu de cet accord alors qu’ils l’ont voté ! »

De quoi provoquer quelques éruptions cutanées et verbales lors de la séance explicative où Michel NEUGNOT ne se sera pas privé de tancer le président du groupe régional du Rassemblement National, Julien ODOUL, opposé au projet évoqué par l’élu socialiste.

Pédagogue, prenant le temps de dérouler tout le cheminement de la mobilité nécessaire à sa compréhension en l’expliquant, Michel NEUGNOT et l’équipe de techniciens qui l’accompagnaient se seront parfois heurtés à l’impatience manifeste de certains élus icaunais, pressés d’en savoir davantage sur les phases évolutives et concrètes de cet épineux dossier.

 

Des budgets conséquents pour améliorer les dessertes…

 

« Il était nécessaire de dévoiler les différentes étapes qui ont mené à ce processus depuis quatre ans, renchérit Michel NEUGNOT, un travail réalisé en concertation avec les services de SNCF Réseau et d’Ile-de-France Mobilités, des structures qui ont œuvré d’arrache-pied pour arriver au dispositif qui a été présenté ce jour… ».

Et le vice-président de la Région d’ajouter sur ce qu’il considère comme un travail « colossal » : « aucune région qui jouxte l’Ile-de-France n’a essayé de travailler le sujet comme nous le faisons ! »

Partant du simple postulat que la régularité des trains – du matériel à la limite de la vétusté – est mauvaise et peu adaptée aux flux actuels, la Région a donc décidé de mettre les pieds dans le plat en rectifiant tout cela. Injectant au passage une enveloppe de 300 millions d’euros à l’achat de matériel roulant de nouvelle génération. Dont un train six caisses qui sera doublé en deux unités et qui offrira une capacité optimale pour accueillir davantage de passagers pour treize millions d’euros.

 

 

Pas de perte de temps malgré les ruptures de charge…

 

L’idée d’accroître le nombre de trains sur cette desserte est devenue une évidence pour les services techniques de la Région. Un bénéfice pour le nord de l’Yonne, c’est-à-dire le Sénonais, mais pas que puisque la capitale départementale, Auxerre, sera impactée par cette stratégie. Légitime pour Michel NEUGNOT qui tresse des lauriers à la nouvelle cité de l’hydrogène…

S’inspirant du modèle suisse – Michel NEUGNOT participait encore à une réunion à Neufchâtel il y a quarante-huit heures -, l’élu régional en a tiré les enseignements nécessaires en se référant à la méthode des ruptures de charge.

Concrètement, les voyageurs passent d’un moyen de transport à un autre. C’est ce qui va être proposé dans la nouvelle configuration ferroviaire déclinée dans l’Yonne avec des nœuds d’interconnexion entre plusieurs trains depuis les gares de Sens et de Laroche-Migennes.

Des changements pour les usagers qui ne grèveraient pas trop leur timing parfois serré – cinq minutes de battement pour embarquer dans le nouveau train après l’échange – et qui permettrait in fine de se rendre avec plus de rapidité vers Dijon et Lyon pour la partie sud.

Un travail lent et de fourmi qui commence, selon Michel NEUGNOT. Un travail où toute la lumière n’avait pu se faire jusque-là faute d’avoir réuni l’ensemble des éléments informatifs. Du pur réalisme, aux yeux de l’élu régional, qui évoquera ensuite les transports par car – et non par « bus » puisque ce terme ne s’emploie uniquement pour le transport collectif urbain ! – en version interurbaine, faisant office en parallèle de transport scolaire.

« Nous nous sommes aperçus que sur les trois lignes qui étaient soumises à la nouvelle concurrence, il n’y avait que des scolaires dedans, hormis deux à trois passagers supplémentaires. On s’est dit qu’il valait mieux privilégier le tout scolaire dans ces cars et que l’on remette uniquement du car en correspondance avec les gares, notamment sur Sens, sur Avallon et sur Tonnerre. Pour faire en sorte que des voyageurs puissent prendre le car, ensuite le train le matin et le soir. Chose qui n’était pas possible auparavant… ».

En effet, les temps de parcours de ces lignes adaptées aux circuits scolaires étaient très consommatrices en temps. A titre d’exemple, pour effectuer un trajet de 55 kilomètres, il fallait compter près de deux heures de transport ! Pas étonnant qu’il n’y avait plus un passager à bord de ces cars serpentant la contrée icaunaise !

 

 

L’élu régional n’est pas venu annoncer la suppression de trains…

 

Puis, s’intéressant à la fréquentation actuelle, les équipes techniques de la Région se sont penchées sur la question. Qu’ont-ils constaté ? Réponse de Michel NEUGNOT :

« On a des trains qui sont omnibus sur l’Ile-de-France où l’essentiel des utilisateurs à 90 % voyagent dans la région francilienne. Ca semblait intelligent de les laisser en Ile-de-France et de procéder à une rupture de charge à Montereau (Seine-et-Marne), dans un temps maîtrisé et avec du nouveau matériel aux capacités de vitesse plus performantes pour les autres… ».

Evidemment, l’aspect financier fut abordé par le représentant de l’exécutif régional.

« Quand on parle de tarifs, cela permettra avec ce nouveau système que les usagers aient des avantages financiers, ajoute l’orateur, parce qu’ils auront un temps très court de frais de transport sur la partie Bourgogne Franche-Comté, avec le Pass Navigo qu’ils ont déjà en possession, et cela réduira d’environ 150 euros la facture ! ».

Tout reposera sur le degré de temps que l’on souhaitera consacrer à son transport. Un vrai compromis au niveau du choix, comme l’a qualifié Michel NEUGNOT.

« Ceux qui veulent aller plus vite bénéficieront de davantage de trains mais ils auront un coût supplémentaire, le coût actuel. Et puis, ceux qui veulent bien prendre dix minutes et changer de train en pratiquant cette rupture de charge, pourront économiser de 150 ou 180 euros suivant la distance qu'ils parcourent…. ».

Jamais à court de pirouettes humoristiques – « Quand Michel NEUGNOT vient dans l’Yonne, c’est pour annoncer la suppression des trains ! » -, l’élu régional aura au contraire confirmé le maintien des dessertes de l’Avallonnais, celles de Clamecy ou de Corbigny. Un vrai soulagement pour certains élus de ce secteur présents dans la salle du Conseil départemental.

« Nous ne demandons pas aux élus que nous rencontrons d’être d’accord ou pas sur ces prises de décision, on demande simplement aux élus qu’ils nous comprennent ! On expliquera, on innovera, on se trompera et on rectifiera ! C’est ça le projet démocratique que nous portons, Marie-Guite DUFAY et moi-même par délégation. L’essentiel est d’expliquer comment on doit travailler ensemble… ».

Au vu des réactions des élus de l’opposition régionale (à découvrir dans un prochain article) au terme de cette explication de texte, il n’est pas si sûr que ces représentants politiques aient envie de le faire et suivre les décisions à la lettre de la Région sur ce très lourd dossier. Une « montagne à multiples facettes », en somme, qui aurait seulement accouché d’une souris après cette rencontre côté conviction ?

 

Thierry BRET

 

 


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On ne parle plus de COVID. Ce qui est proprement salutaire de l’avis de Sébastien FUENTES, directeur du parc des expositions d’Auxerre, une structure sous la tutelle de Centre France Evénements. Par conséquent, la programmation de ce nouvel exercice 2022/2023 ne devrait pas connaître les affres de cette pandémie qui aura perturbé les loisirs de l’Auxerrois. La foire exposition en est une singulière illustration. Elle va se dérouler dans un esprit joyeux et serein. Qu’on se le dise…

 

AUXERRE : Il retrouve enfin le sourire, le responsable du parc des expositions auxerrois. Après moult péripéties qui sont venues impacter le schéma organisationnel de ses évènements au fil des vingt-quatre derniers mois. Exit la COVID ! Place aux réjouissances et à la légèreté. Il était temps car la morosité prenait le pas sur l’allégresse. La reprise des activités, dans le domaine de l’évènementiel, ne semble pas être un épiphénomène. Sébastien FUENTES aborde la 92ème édition de la traditionnelle grand-messe commerciale avec davantage de sérénité qu’au cours des deux saisons précédentes. Personne ne s’en plaindra parmi la fine équipe d’AUXERREXPO qui phosphore depuis plusieurs mois pour peaufiner le meilleur des programmes.

 

 

Le « made in Yonne » mis à l’honneur sur 1 000 m2…

 

Ces retrouvailles avec les aficionados de la manifestation s’effectueront sous le sceau de la nouveauté. Cette année, l’organisation a décidé de faire la part belle à la richesse éclectique du territoire icaunais, créant ainsi un nouveau pavillon, baptisé explicitement « 100 % Yonne » !

De quoi s’agit-il ? De réunir sur un espace de mille mètres carrés, un mix de producteurs, d’artisans, de collectivités, de spécialistes du tourisme mais aussi de sports et de culture originaires de notre terroir. En jouant sur l’identification territoriale à la façon d’un « made in France » !

Bref, comme le précise Sébastien FUENTES, la découverte de pépites locales – elles sont légion dans bon nombre de domaines ! – présentant des projets favorables au développement du territoire.

Un grand coup de booster sur les milieux institutionnels et économiques, en vérité. Logique, car la foire exposition reste avant tout une vitrine appréciable d’un savoir-faire, celui des artisans, commerçants et autres professionnels qui ont des choses à montrer, et surtout à vendre !

Au-delà de ce pavillon, fleurant bon le terroir icaunais, les visiteurs – on en attend plus de 20 000 durant lors de ces quatre jours de manifestation – auront la faculté de déguster les variantes culinaires de la gastronomie hexagonale ; de s’immerger au cœur de la problématique énergétique liée à l’habitat et à son isolation ; de rencontrer une multitude de concessionnaires dans le village de l’automobile ; de profiter des aires de jeux devant accueillir les enfants dans le parc géant de structures gonflables ; de voyager au gré des recettes exotiques issues des départements et territoires d’Outre-Mer bien représentés avec leurs spécialités savoureuses…

 

 

L’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne : une valeur sûre de la tradition culinaire…

 

Les habitués ne manqueront pas de se poser sur le stand de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne. Une association de chefs, aujourd’hui présidée par Jean-Marie LAMOUREUX qui a succédé à l’excellent Daniel AUBLANC en début d’année.

Fidèles à leurs habitudes, les toques de l’Yonne mettront les petits plats dans les grands avec démonstrations et ateliers à l’appui : de quoi faire saliver les épicuriens de passage sur leur espace.

Signalons également la présence de l’exposition de photographies aériennes, sous l’égide de la Communauté de l’Auxerrois, qui est consacrée à des prises de vues de ce bassin géographique depuis le ciel. Elle sera inaugurée par les autorités officielles le vendredi à 13h30.

 

 

 

En savoir plus :

 

Foire d’Auxerre

Plaines de l’Yonne AUXERREXPO

Du 16 au 19 septembre 2022

De 10h à 19 h sauf le lundi de 10 à 18h

Entrée gratuite,

Parking gratuit,

Animations gratuites.

Renseignements

Auxerrexpo.com/

Facebook.com/auxerrexpo/

https://www.instagram.com/auxerrexpo.89:?hl=fr

 

Thierry BRET

 


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Somme toute, la date du déménagement est déjà inscrite à l’agenda des personnels de la chambre consulaire de l’Yonne. Ce sera le 27 octobre 2022. Ce jour-là, les services généraux de la CCI quitteront définitivement l’emblématique bâtiment de la rue Etienne Dolet qui leur faisait office de siège, situé au bord de l’Yonne. Direction le boulevard Vauban dans les locaux qu’occupaient jusque-là Action Logement et l’ADIL 89.

 

AUXERRE : Du mouvement en perspective pour la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne en ce début de cette saison, c’est sûr ! Avec au programme, l’installation des services généraux sur le lieu de leur nouvelle affectation qui est située boulevard Vauban près du rond-point de la rue de Paris, et ce, à compter du 27 octobre.

Voilà ce qui se profile, en partie, sur l’agenda chargé du président de l’honorable institution, Thierry CADEVILLE, qui a fait un point ces jours-ci avec la presse sur ces différentes opérations, devant chambouler les emplois du temps de chacun.

Si le pôle formation – il occupe l’une des ailes de l’actuelle CCI – ne devrait quitter l’édifice qu’au printemps 2023, il n’en est plus de même pour le service d’appui aux entreprises qui a intégré ses nouveaux bureaux à la pépinière d’entreprises il y a peu. Le pôle formation le rejoindra ultérieurement une fois les espaces d’accueil aménagés pour le recevoir.

 

 

L’UMIH et l’AER suivront le même mouvement…

 

En revanche, les services généraux et la direction de la chambre consulaire vont migrer vers un autre secteur de la ville, beaucoup plus proche du centre, boulevard Vauban.

Quant à la pépinière qui accueille de nombreuses entreprises, pour certaines, en phase d’envol, elle va subir un sérieux lifting en termes de travaux au vu de la vétusté de la plupart des bâtiments.

Le prévisionnel budgétaire concernant la première tranche – il y en aura d’autres – s’élève à 5 millions d’euros.

 

 

Dans sa besace, lors de ce déménagement prévu à la fin octobre, la CCI emmènera avec elle par effet gigogne deux structures qui étaient accueillies jusqu’alors dans ses murs, l’antenne icaunaise de l’UMIH (Union des métiers de l’industrie hôtelière) tenue par Corinne ROGUIER et celle de l’Agence Economique Régionale (AER), incarnée dans l’Yonne par Angélique FAVIER.

Pour l’heure, la CPME de l’Yonne, autre entité institutionnelle qui bénéficiait de bureaux au siège social de la rue Etienne Dolet réfléchit encore à son positionnement quant à son futur emplacement géographique.

 

Des anciens locaux destinés à la dynamisation du port de plaisance ?

 

Du côté d’Action Logement – la structure a cédé son bien immobilier à la CCI avant de s’implanter dans un nouvel espace -, son personnel restera encore quelques temps sur place avant de déménager.

Les services de l’ADIL (Agence départementale d’Information sur le Logement) se sont déjà installés eux depuis le mois de mars, rue du Moulin-du-Président sur la rive droite.

L’ancien siège social de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne de 3 500 mètres carrés a été racheté par l’entité régionale d’EPF (Etablissements Publics Fonciers) au profit de l’Agglomération de l’Auxerrois.

Un choix immobilier qui peut s’avérer éminemment stratégique pour la collectivité en vue de la dynamisation du port de plaisance, qui est implanté à quelques encablures de là…

 

Thierry BRET

 

 


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Pour les épargnants de l’Hexagone, la pierre demeure une incontestable valeur refuge. Et plus que jamais, en période de crise économique ! Le dispositif PINEL reste donc un très bon investissement pour réduire son imposition et se constituer une future retraite. De plus en plus de personnes se lancent aujourd’hui dans une acquisition en « loi Pinel ». Toutefois, attention, les évolutions de cette mesure sont dans les tuyaux dès le 01er janvier 2023…

 

TRIBUNE : Les montages juridico-financiers en matière d’investissement immobilier permettent de se constituer un patrimoine, préparer sa retraite, obtenir des compléments de ressources, générer des avantages fiscaux, faciliter la transmission du patrimoine…

Mais attention, si comme un bon nombre d’investisseurs vous envisagez de profiter de ce système phare, mieux vaut passer à l’acte avant la fin de l’année.

Ce qui est encore possible en 2022.

La loi PINEL est destinée aux propriétaires qui s’engagent à mettre leur logement (neuf, en l’état futur d’achèvement, réhabilité ou rénové) en location durant six ans minimum. Le loyer doit être inférieur au prix du marché. Jusqu’à fin 2022, investir via ce dispositif permet de bénéficier d’une réduction de l’impôt sur le revenu : 12 % pour six ans de location, 18 % pour neuf ans et 21 % pour douze ans. Le tout est calculé par rapport au prix d’achat du bien et des travaux, s’il y en a. L’investissement immobilier doit être de 300 000 euros au maximum, par an et par foyer fiscal ; le prix du mètre carré de 5 500 euros maximum. Ainsi, la défiscalisation peut aller jusqu’à 63 000 euros pour 300 000 euros d’investissement.

 

 

2023 : la défiscalisation sera moins avantageuse…

 

A compter du 01er janvier 2023, l’actuel dispositif PINEL sera remplacé par un « Pinel à taux réduit ». Pour le même investissement que celui réalisé en 2022, la réduction d’impôts sera moins intéressante : 10,5 % au lieu de 12 %, 15 % au lieu de 18 % et 17,5 % au lieu de 21 %. Attention, le taux de défiscalisation dépendra également de certains critères de confort ainsi que du DPE (Diagnostic de Performance Energétique).

A partir de 2023, seuls les biens qui atteindront au moins la classe « B » du DPE, pourrons prétendre au nouveau dispositif. De plus, une surface habitable minimum sera à respecter selon la typologie du logement (28 m2 pour un T1, 45 m2 pour un T2…). Un extérieur privatif sera obligatoire : 3 m2 minimum pour un T1. Les T3, T4 et T5 devront bénéficier d’une double exposition. Ajoutons qu’il y a sûrement de la braderie dans l’air pour les logements « PINEL » encore en stock…

 

 

L’Etat veut favoriser la construction de logements neufs…

 

Les nouvelles contraintes imposées au bénéfice de la réduction PINEL ne peuvent orienter l’investisseur que vers une construction adaptée à la loi. Certains promoteurs réalisent ainsi des logements neufs parfaitement adaptés aux critères de la loi Pinel. Il est clair que les nouveaux critères permettent de tendre vers des logements plus confortables, moins énergivores et plus respectueux de l’environnement. Cependant, on peut être certain qu’ils impacteront également les prix d’achat. Une raison de plus pour profiter du dispositif avant le 31 décembre 2022 !

Les notaires et les agents immobiliers seront à même de conseiller utilement les investisseurs. Enfin, dernier conseil aux investisseurs immobiliers : il est judicieux de maintenir un bon niveau de liquidités en proportion du patrimoine immobilier. Ne pas oublier la carte du jeu de Monopoly : « Faites des travaux dans vos maisons… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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