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Le nucléaire, c'est définitivement de l'histoire ancienne en Allemagne. Les trois derniers réacteurs, encore en activité, viennent d’être mis à l’arrêt. C’est donc la fin d'une ère avec la fermeture des centrales nucléaires, malgré le contexte de guerre en Ukraine et le délicat problème de la dépendance aux produits fossiles de la Russie. Une révolution de palais de l’autre côté du Rhin ? Sans aucun doute…

 

TRIBUNE : Le gouvernement allemand leur avait accordé un sursis de quelques semaines, par rapport à l’arrêt initialement fixé au 31 décembre 2022. Mais, sans remettre en cause la décision de tourner la page, la première économie européenne ouvre ainsi un nouveau chapitre de son histoire énergétique, mise au défi de se sevrer des énergies fossiles, tout en gérant la crise gazière déclenchée par la guerre en Ukraine.

« Les risques liés à l’énergie nucléaire sont définitivement non-maîtrisables », a asséné la ministre de l’Environnement Steffi LEMKE. Ils inquiètent ainsi de larges pans de la population et ont cimenté le mouvement écologiste. Greenpeace avait organisé au pied de la porte de Brandebourg à Berlin, un adieu à l’atome, symbolisé par une dépouille de dinosaure vaincu par le mouvement antinucléaire. « Enfin, l’énergie nucléaire appartient à l’histoire ! », proclame cette ONG.

L’invasion de l’Ukraine aurait pu tout remettre en question. Privée du gaz russe dont Moscou a interrompu l’essentiel des flux, l’Allemagne s’est retrouvée exposée aux scénarios économiques les plus noirs (noir charbon ?). L’hiver s’est finalement passé sans pénuries ; la Russie a été remplacée par d’autres fournisseurs de gaz mais le consensus autour de la sortie du nucléaire s’est effrité. Dans un récent sondage pour la chaîne de télévision publique ARD, 59 % des personnes interrogées estiment qu’abandonner le nucléaire dans ce contexte n’est pas une bonne idée. L’Allemagne doit « élargir l’offre d’énergie et non la restreindre davantage », a déploré le président des chambres de Commerce, Peter ADRIAN, dans le quotidien « Rheinische Post ».

« C’est une erreur stratégique, dans un environnement géopolitique toujours tendu », a affirmé Bijan DJIR-SARAI, le secrétaire général du parti libéral FDP, pourtant membre de la coalition gouvernementale aux côtés des sociaux-démocrates et des écologistes.

Un avenir énergétique dans le flou artistique absolu…

Le choc énergétique lié à la guerre en Ukraine, qui a fait temporairement exploser les prix de l’électricité et forcer le pays à relancer quatorze centrales à charbon polluantes pour garantir son approvisionnement, a redonné des arguments à celles et ceux qui jugent depuis longtemps que la décision allemande de se passer de l’atome est une erreur. En Allemagne, le plus gros émetteur de Co2 de l’Union européenne, le charbon représente encore un tiers de la production électrique, avec une hausse de 8 % l’an dernier pour faire face à l’absence de gaz russe.

« La relance de l’énergie fossile pour compenser la sortie du nucléaire ne va pas dans le sens de l’action climatique portée au niveau européen, a tancé le ministère français de la Transition énergétique. La France, avec 56 réacteurs, reste le pays le plus nucléarisé par habitant. Au niveau européen, les divergences sont vives entre Paris et Berlin sur le rôle de l’atome. L’Allemagne préfère se concentrer sur son objectif de couvrir 80 % de ses besoins en électricité grâce aux énergies renouvelables dès 2030, tout en fermant ses centrales à charbon en 2038, au plus tard. Mais là, l’incertitude règne. Où et comment l’énergie renouvelable va-t-elle être produite ?

 

 

 

Energie : un accord franco-allemand a été trouvé…

 

« Notre sujet, c'est que l'Allemagne soit capable de nous livrer de l'électricité quand nous l'appelons et que nous soyons capables de lui livrer du gaz quand elle nous appelle... » dixit Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre française de la Transition énergétique. C’est un accord de dupes. On ne voit pas comment l’Allemagne, après la fermeture de toutes ses centrales nucléaires, pourra dépanner la France, si hélas, nous devions être en pénurie d’électricité. Pour cela, l’Allemagne devra accroître sa production de charbon ! La France exporte de l’électricité en Allemagne, en Suisse et en Italie. Compte tenu des mises en sommeil (pour cause de nombreux travaux) de ses réacteurs nucléaires, l’Hexagone, en 2022, a importé de l’électricité d’Allemagne, de Grande-Bretagne et d’Espagne.

Malgré toutes ces interactions énergétiques entre les pays, le prix de l’électricité varie tous les jours et fait l’objet de « contrats à terme », donc de spéculations. Des fausses nouvelles ont circulé sur les réseaux sociaux, hélas, parfois relayé par certains médias, arguant que la France revendrait de l’électricité à 49 euros pour la racheter à 1 000 euros (le MWH : l’énergie maximale qu’une installation peut produire en une seconde). Faux et archi faux : même si les consommateurs d’électricité ont pu constater une augmentation substantielle de leur facture ! On importe et on exporte. Il est évident que ces aller-retour font le jeu de la spéculation et participent à l’inflation.

 

 

Cela bouge aussi en Pologne côté charbon !

 

Plus du tiers de nos amis Polonais se chauffent au charbon, et face à la fin des importations de charbon consécutives à la guerre en Ukraine, des mines illégales et clandestines fleurissent à travers le pays. Le gouvernement fait semblant de s’en offusquer, afin de préserver la paix sociale. Mais, le nucléaire a encore de beaux jours devant lui.

La France sort tout de même son épingle du jeu grâce au nucléaire et en dépit des écologistes qui seraient prêts à imposer la fin du nucléaire au profit… de quoi au fait, d’ailleurs ? Le nucléaire est rentable : plus le pétrole sera élevé, plus les centrales nucléaires seront rentables. L’effondrement du prix du baril (et la chute du cours du dollar) provoquerait la faillite de tous les pays occidentaux. Soyons rassurés, dans ces conditions, personne ne souhaite la chute du prix de l’or noir ! Dans ce contexte de pénurie possible : quid de notre électroménager, de nos voitures électriques… de tout ce qui marche à l’électricité ?

Aujourd’hui, les classes les plus défavorisées se restreignent sur la nourriture. Toute la population est appelée à diminuer fortement sa consommation d’énergie et d’eau. Les Terriens appauvrissent les ressources naturelles ; seule la France se bat encore pour savoir si la retraite doit être portée à 64 ans…

Une expérience de mon passé de banquier, enfin, me laisse aujourd’hui songeur : après le décès d’une gentille mamie, les héritiers sont fébriles devant l’ouverture du coffre à la banque. Ils salivent, se bousculent, les comptes bancaires étaient vides mais le coffre faisait partie des plus grands de l’établissement. Roulement de tambour : la porte s’ouvre devant eux : le coffre contenait deux boîtes de petits pois, cinq kilos de sucre et pas moins de trente bougies d’éclairage ! Une femme qui avait sans doute connue les restrictions de la Seconde Guerre mondiale, et donc prévoyante. Je pose la question : qui n’a pas dans ses placards des bougies, un stock de moutarde, et de nombreux paquets de pâtes et de riz ? La prévoyance fait partie de la sagesse…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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De l’emploi, il y en aurait presque à foison sur le territoire du Florentinois ! Il suffisait non pas de traverser une simple rue mais de se rendre sur la place Dubost à Saint-Florentin, jeudi, pour découvrir ces offres. Du moins, c’est ce que précisaient la douzaine d’entreprises présentes lors de ce premier forum, conjointement mené par la Communauté de communes Serein et Armance et le Pôle Formation 58/89. L’animation se poursuit aujourd’hui…

 

SAINT-FLORENTIN : Exposer les besoins des entreprises du secteur industriel en matière de recrutement. Telle était la vertu cardinale de ce premier forum de l’emploi, qui était accueilli en plein air, jeudi, sur l’une des places centrales de la localité florentinoise.

Une animation concoctée avec le concours de la Communauté de communes Serein et Armance, permettant ainsi de faire rayonner l’évènementiel bien au-delà des limites de la seule ville principale de cette zone géographique.

Occupant une grande partie de l’aire de stationnement, dépouillée de fait de ses automobiles, ce forum se composait d’une quinzaine de stands réservés à certaines belles références industrielles du canton. On peut citer entre autres France GALVA, CONIMAST, AMH, DUC, ALSTOM ou encore DAVEY BICKFORD.

Les représentants des services ressources humaines de ces entreprises n’étaient pas venus sur le site les poches vides. Mais, bel et bien, agrémentés d’offres d’emploi dans leurs besaces, qui étaient prêtes à être pourvues si la demande se faisait ressentir en face.

 

 

L’usine virtuelle 4.0 en vedette pour la plus grande joie des scolaires…

 

On notait aussi la participation de la Mission Locale ou de l’ITII (Institut des techniques d’ingénieur de l’industrie), structure accueillie au sein de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, à Auxerre. Preuve que la formation n’est jamais éloignée du recrutement…

Profitant d’un soleil radieux et de températures quasi estivales – plutôt de bon augure pour une manifestation devant se dérouler à l’extérieur ! -, ce sont les scolaires du cru – collégiens en substance – qui ouvrirent le bal de la découverte de ce show spécial emploi et carrière, à découvrir dans la filière de l’industrie. Un secteur à la pointe de l’actualité – la France doit se doter de nouvelles forces industrielles à moyen terme pour sortir de toute dépendance aux pays asiatiques entre autres -, créant ainsi une nouvelle bulle d’employabilité évidente à brève échéance. Du pain bénit pour les jeunes pousses en quête d’une orientation fiable et d’un métier vraisemblablement assuré !

Forcément, la vedette du jour ne pouvait être aux yeux de ce public juvénile que la flamboyante remorque du poids lourd, maquillée en « Fabrique 4.0 », une unité mobile de formation ludique et éducative consacrée aux métiers de l’industrie technologique !

 

 

 

Un poids lourd et sa précieuse remorque qui n’ont pas fini de bouger !

 

Une manière de marier astucieusement et sans être rébarbatif les métiers industriels d’aujourd’hui (les offres des entreprises présentes) et les métiers de demain. Entre robotisation, jumeaux numériques et usine du futur.

Une connaissance qui fut partagée bien au-delà des scolaires puisque ce forum était également ouvert à la population et aux entreprises elles-mêmes, susceptibles de s’immerger dans le saint des saints de cette information à délivrer – ce fameux poids lourd ! – auprès des personnes en quête de reconversion professionnelle, voire en recherche d’emploi.

L’an passé, le Pôle Formation 58/89, dirigé par Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, avait déjà réalisé une opération similaire sur l’Avallonnais. L’usine virtuelle était également présente en début de semaine dans le Sénonais sur le site industriel de TUBAUTO. Il semblerait que ce camion au contenu un peu spécial n’ait pas fini de se balader sur le territoire de l’Yonne !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Tremplin, ENEDIS, ORANGE, Panneau Pocket… : une quinzaine de structures institutionnelles et entrepreneuriales était à la fête, mercredi après-midi, lors d’un évènement qui leur était entièrement consacré sous l’égide de l’Association des Maires Ruraux de France de l’Yonne. Une « Journée » spéciale afin de faire connaissance, d’en savoir davantage sur les prestations et services proposés et surtout de renforcer les liens entre les représentants des collectivités rurales et des acteurs clés qui contribuent à la réussite de leurs projets.

 

APPOIGNY : C’était une première ! Illustrant la volonté de la présidente de l’AMRF de l’Yonne, Dominique CHAPPUIT, de provoquer des échanges utiles et constructifs avec celles des structures institutionnelles et entrepreneuriales du territoire qui peuvent apporter beaucoup de leur savoir à la réalisation de projets émanant des élus des collectivités locales. Une première qui en appellera d’autres ?

On ne le sait pas encore, vingt-quatre heures après la clôture de l’animation. Il faudra attendre sans aucun doute l’heure des bilans à l’occasion d’un débriefing à venir pour juger de la reconduction d’une opération relationnelle et didactique qui n’aura pas atteint ses pleines capacités d’accueil. Une chose est sûre : ce ne fut pas la grande foule, malheureusement, pour les instigateurs de ce rendez-vous qui avait déjà le mérite d’exister sur le papier !

 

 

Une manifestation qui a eu le mérite d’être créée…

 

Depuis la crise sanitaire, au vu d’un contexte conjoncturel particulièrement morose et en dents de scie côté moral de nos concitoyens, on s’aperçoit de fil en aiguille qu’il est de plus en plus difficile pour les organisateurs de mobiliser dans l’Hexagone les personnes lors de manifestations publiques qu’elles soient institutionnelles, économiques, associatives, voire culturelles. Il n’y a peut-être, et encore que, les seuls évènementiels sportifs qui fassent converger les foules. Ou les manifestations dans la rue selon l’actualité sociale !

Ceci dit, cette « Journée des Partenaires » de l’AMRF 89 eut l’opportunité de faciliter les échanges entre différentes structures qui prodiguent conseils et préconisations, tout en proposant des services ad hoc permettant à l’élu et à ses équipes de pouvoir honorer son mandat dans les meilleures dispositions. Ce qui n’est pas rien, en l’état actuel des choses où de plus en plus d’édiles de communes rurales envisagent de rendre leurs tabliers, de se retirer du circuit (parfois avant même le terme du mandat) plutôt que de vouloir rempiler pour un second exercice, synonyme de casse-tête chinois et de tracasseries permanentes, tant avec les administrés de plus en plus irascibles qu’avec l’administration et sa complexité coutumière d’arrière-garde. Un comble à l’heure de la dématérialisation et de la digitalisation à tout crin !

 

 

 

Un panel de personnalités qui avait des choses à dire…

 

Dominique CHAPPUIT n’a cependant pas caché sa relative déception. Elle n’est pas insurmontable, certes. Mais, sur les 230 adhérents que compte l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – un indicateur de bonne santé, nonobstant pour la structure -, à peine soixante de ces élus qui avaient biffé sur leur agenda la date de cette réunion, accueillie à l’Espace culturel, ont in fine investi les lieux. Un peu faiblard, tout de même, au niveau de la représentativité !

Pour débuter la matinée, le conseiller départemental, communautaire et maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS ouvrira les travaux, ne manquant pas de faire l’éloge de sa localité, une place forte en devenir de l’attractivité économique de l’Auxerrois, du fait de la présence de sa zone d’activités qui vient de s’enrichir d’une nouvelle entreprise, le groupe toulousain CARRERE qui devrait y implanter un parc d’activités de type « Hivepark » destiné aux PME/PMI et artisans.

On y verra aussi la sénatrice Dominique VERIEN – elle fut dans un passé récent l’animatrice en chef de cette association d’élus de territoire lorsqu’elle siégeait encore dans le fauteuil de maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye -.

 

 

On y entendra la sous-préfète d’arrondissement d’Avallon, Naima RAMALINGOM s’y exprimer – voir l’article à ce propos à paraître -, soucieuse d’être à l’écoute des élus de proximité.

On y écoutera une Dominique CHAPPUIT, totalement investie à sa mission de présidente et fière de l’être. Elle est aussi la vice-présidente nationale de la structure, secondant au cordeau le Vosgien Michel FOURNIER depuis 2020. Un binôme qui ne pratique jamais la langue de bois quand il s’agit de dire les choses, même en haut lieu ! Un duo qui se retrouvera fin septembre lors de l’assemblée générale hexagonale du côté des sommets de l’Alpe d’Huez.

Une ruralité dont il faut défendre ardemment les valeurs prégnantes – 97 % de la superficie de l’Yonne, a contrario de la France (88 %), est rurale, soit 44 communes sur les 423 qui y sont implantées - : cela représente 66 % de la population icaunaise. Bien loin des 33 % de la population française qui intègre cette catégorie.

 

Thierry BRET

 

 


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Sous le signe de la joie. Et surtout de l’ambiance ! La 94ème Foire exposition de Sens sera inaugurée de manière très officielle ce vendredi 28 avril aux alentours de 19 heures. Une première, en sorte. Une façon inhabituelle pour l’une des plus anciennes manifestations commerciales de France, si l’on y ajoute sa période moyenâgeuse, d’ouvrir les festivités en présence du public mais aussi des exposants et forains, déjà à pied d’œuvre depuis le 22 avril…

 

SENS : L’idée vient de lui. Dans un souci d’apporter une note de fraîcheur et un désir de renouvellement à ce rendez-vous séculaire, tout en y imprimant sa propre griffe, à ce qui demeure l’une des manifestations phare de la vie économique et commerçante de la capitale septentrionale de l’Yonne (voire de tout le territoire icaunais par sa fréquentation) : sa traditionnelle foire exposition.

Paul-Antoine de CARVILLE, édile de Sens, voulait une évolution pour cette première rencontre en qualité de maire avec cet évènement incontournable. Légère, certes, sur le papier mais qui casse néanmoins les codes avec le processus habituel de la phase inaugurale. A savoir, placer cette cérémonie d’ouverture, non pas en matinée comme il était pratiqué jusque-là, mais bel et bien en…début de soirée en l’ouvrant largement au public ! Une version des choses applicable aux alentours de 19 heures, à la manière d’un « after work » géant !

 

Une ouverture officielle en musique et dans la convivialité…

 

« J’ai souhaité qu’il y ait une véritable cérémonie d’ouverture cette année, devait-il confier dans les colonnes de plaquette officielle aux rédacteurs émanant des services de communication de la ville - ceux-ci, par leur travail, ont dévoilé les dessous de cet évènement nonagénaire, placé sous le signe des Jeux olympiques de Paris 2024 -. Une cérémonie devant regrouper tous les acteurs de cette édition, 94ème du nom, qu’ils soient visiteurs, mais aussi exposants et élus… ».

C’est donc sous la Canopée – concept esthétique astucieux protégeant des gouttes de pluie-, place des Héros, que seront accueillies les premières animations de cette foire ; celle qui reste et de très loin l’une des plus populaires de la région en nombre de visiteurs et en présence d’exposants.

Dans les faits, un concert lancera les festivités en fin d’après-midi. On pourra y applaudir des interprètes, instrumentistes et autres groupes bien connus des Sénonais, à l’instar de la talentueuse Ophélie JONES ou de « THERAPIE BLUES », un combo qui s’était déjà illustré la saison dernière à pareille époque au même endroit ! Cette manifestation est évidemment ouverte à tous les vents et à tous les publics, dans un esprit joyeux. Un démarrage que l’on pourrait qualifier de bon enfant où la municipalité offrira même le verre de l’amitié. Sollicitant aussi les associations sénonaises de devenir le cœur battant de ces retrouvailles, grâce notamment à un second point de restauration qui leur sera dédié, situé Cours Tarbé.

 

 

En savoir plus :

Ouverture officielle de la 94ème Foire exposition de Sens 

Sous la Canopée, place des Héros 

A partir de 18h45/19 heures avec une programmation musicale...

 

Thierry BRET

 

 


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Tendres. Moelleuses à souhait les mini-pâtisseries délicatement chocolatées, qui sont offertes à la dégustation sur le petit plateau de bois. Certaines de ces douceurs proposent de la noix de pécan. D’autres mettent en relief le goût à peine teinté d’amertume de l’amande. La saveur de la noisette parfume l’une de ces gourmandises dont on ne lasse pas. Tout sourire, Elodie JACQUES contemple son œuvre pâtissière. Une véritable réussite, agréable à l’œil, fondante en bouche et onctueuse au palais. Pas étonnant que ses ateliers culinaires suscitent autant d’intérêt. Chez les petits comme chez les plus grands !

 

HERY : Cela bouillonne dans sa tête. Des envies de créer à la pelle qu’elle envisage de partager avec ses « élèves ». Du plus petit au plus grand ! De l’enfant à l’adolescent, parce que ce public cible n’est pas insensible à la chose culinaire. Surtout quand il s’agit de confectionner des gâteaux et autres confiseries appétissantes !

De petits choux, du cake à base de citron à la saveur meringue, des mini réalisations toutes aussi délicieuses les unes que les autres. Bref, nos jeunes pousses s’improvisent le temps d’une séance de travail dans l‘immense cuisine flambant neuve qui les accueille, en véritables chefs pâtissiers !

 

 

Laisser libre cours à ses envies derrière un fourneau…

 

Native de Strasbourg, Elodie a toujours voulu s’initier aux joies de la pâtisserie. Depuis sa prime jeunesse puisque ses grands-parents exerçaient le noble métier de boulanger-pâtissier. Des souvenirs pleins la tête (gustatifs, olfactifs, visuels…), la jeune femme vit presque un rêve éveillé depuis deux saisons, à la suite de la création de son auto entreprise, baptisée « ELLE O DELICES ». On y retrouve dans cette approche sémantique et commerciale tout ce qui la caractérise, en fait : proposer de bonnes choses pour se sustenter – le délice de ces savoureux gâteaux aux vertus irrésistibles – et sa propre identité. C’est bien « Elle » qui a décidé de créer cette structure pour y nourrir sa passion.

Un projet qu’elle partage intellectuellement (et parfois un peu plus !) avec son époux, Geoffrey, le premier à déguster les nouvelles créations. Un projet où il est avant tout question de transmettre, d’expliquer, de concevoir, de laisser libre cours à ses envies. Du moment que cela puisse occuper le fond d’une assiette et se déguster à satiété !

 

 

La transmission d’un savoir avant tout…

 

Dans le civil, la maman de deux jeunes enfants enseigne en sa qualité de professeur des écoles maternelles. Susciter le désir et la stimulation auprès des plus jeunes, elle en connaît un rayon, la cheffe d’entreprise !

Se consacrant deux fois par mois à l’apprentissage culinaire des enfants (mais aussi des adultes, voire des seniors), Elodie JACQUE a fait de cette passion culinaire avérée un aboutissement professionnel dont elle est très fière. Créer sa propre entité entrepreneuriale n’est pas chose aisée. Il lui a fallu de la pugnacité, du volontarisme, de la motivation. Du plaisir, aussi, mais ça, elle l’avait déjà chevillé au corps…

Un concept prend racine. « Ce soir, c’est moi qui cuisine ! » : les enfants en raffolent, prenant ainsi l’initiative de réaliser dans sa totalité le menu familial, avec entrée, plat de résistance et dessert. En sus, cela ne se cantonne pas à une unique recette ! Elodie aime varier les ingrédients et apprend à ses jeunes ouailles âgées de six à quinze ans de multiples possibilités culinaires.

D’un sourire qui éclaire son visage, la jeune femme lâche tout de go : « j’aime transmettre un savoir… ».

 

 

 

Un élargissement plus net vers le monde de l’entreprise…

 

Pour mener de manière optimale ses affaires à la réussite, le couple n’a pas hésité à métamorphoser ce qui était autrefois un garage standard, attenant à la maison, en un superbe espace d’accueil avec cuisine et ilot central intégrés ! Au bas mot, une enveloppe de 75 000 euros injectés à la mise aux normes de l’édifice pour que le site puisse accueillir le public, personnes en situation de handicap compris !

Mieux, « ELLE O DELICES » s’est ouverte au monde de l’entreprise. A l’aide d’un partenariat des plus originaux qui aura permis au groupe BIGMAT GOURMAND de recevoir en ses murs, et ce durant plus d’un an, un atelier démonstratif à raison de rendez-vous deux samedis matins par mois à Auxerre, dans son show-room. Succès garanti mais qui a pris fin il y a quelques mois !

C’est précisément vers le concept du « team building » que désire s’orienter davantage à l’avenir l’excellente pâtissière. Amener la pâtisserie et ses gourmandises, pourquoi pas après tout en guise de salvateur en-cas à l’heure du goûter, au cœur des milieux économiques ?!

De même, dans ce prolongement de projections économiques envisageables, l’entreprise pourrait privatiser ses locaux en les louant dans le cadre de séance de shooting de produits ou par le biais de cours qui seraient assurés par des diététiciens. L’activité mariage n’est pas oubliée, du reste. S’ouvrir aux autres en proposant ses services aux sociétés de « wedding planning » figure aussi au catalogue des probables opportunités.

 

 

En savoir plus :

Les ateliers culinaires à thèmes comme à la maison

60 euros les 03 heures pour les adultes

30 euros les 02 heures pour les enfants

Le tout avec un kit de recettes et d’astuces à connaître…

 

Thierry BRET

 

 

 


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