Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Après un joli parcours de maisons étoilées et un titre de « Meilleur Ouvrier de France », décroché en 2015, c'est un retour aux sources pour l'enfant du pays, Guillaume ROYER, au pied du canal de Bourgogne. Dans ce cadre champêtre, ce sympathique cuisinier semble à l'aise comme un poisson dans l'eau, toute proche. L’adresse fait partie de la sélection bourguignonne au « Michelin 2023 »….

 

VANDENESSE-EN-AUXOIS (Côte d’Or) : Sur ce séculaire mur de pierre, les lettres noires de « L’Auberge de Guillaume » se détachent au loin, face à la mairie. Juste à côté, antan, comme l'atteste encore une impeccable enseigne peinte, se tint la supérette locale multi-services : de l'étoffe aux articles de pêche en passant par les réparations automobiles.

En tous cas, c’est une belle bâtisse que cette auberge. Au rez-de-chaussée, il y a une jolie salle avec une cheminée dont la chaleur doit être appréciable en saison. Mais, en cette fin avril, la terrasse jouxtant le jardin vient d'ouvrir. Quel plaisir printanier que celui de déjeuner dehors !

Quelques tables sont occupées par de jeunes clients, mais aussi un notaire qui traite plaisamment ses affaires entre deux rasades de Volnay.

 

 

Un hors d’œuvre qui est un modèle du genre…



Diverses formules sont au choix. La première des suggestions est à 37 euros. L'apéritif est accompagné de deux incontournables bourguignons, ici revisités avec gougère et jambon persillé. Le hors d'œuvre est un modèle du genre : ce sont de grosses asperges vertes qui sont impeccablement cuites et surmontées de roquette, parmesan et magret de canard, avec une sauce gribiche délicieuse. 

C'est alors que l'aimable serveuse arrive et nous ajoute une sauce émulsionnée au citron : c'est délicieux ! Même si l'agrume prend alors le pas sur la plus classique gribiche.

Ensuite, se présente une référence de la cuisine printanière constituée par des œufs et morilles, accompagnés d'un odorant jus d'oignons. Le jaune d'œuf nappe alors toute l'assiettée...Il n'y a plus alors qu'à saucer !

 

 

Ah, les champignons de Saint-Georges !

 

Puis vient le tour d'un produit icaunais, avec la truite bio de Crisenon (elle est présente sur moult belles tables bourguignonnes !). Là aussi, le printemps est dans l'assiette, avec ses asperges et petits pois, mais aussi des champignons nommés de Saint-Georges, ayant été ramassés par le chef, comme l'admoneste le serveur ! Une chose est sûre : c'est délicieux !

 

 

 

 

Le « délice de Pommard » : un régal de fromage à base de graines de moutarde…

 

C’est une bonne idée ensuite que ce coq confit au jus de volaille ! Cela change de ses 249 584ème versions au vin ! Dans l'assiette de fromages, figure le « délice de Pommard », un fromage frais qui est accompagné de graines de moutarde. C'est très bon et pas si facile à trouver par chez nous dans l'Yonne : sur les marchés, on en trouve à la crémerie LEROUX.
En dessert, se dévoile une déclinaison autour de l'orange. Elle comprend un très bon sorbet. Mais, l'abaisse de la pâte de la mini tarte est un brin trop épaisse, alors que ce dessert est plutôt léger.

 

Une étape plaisante et paisible en venant par la D 905…

 

Dehors, le village est calme, tandis que le chef – il assure aussi l'encaissement !- discute paisiblement avec un voisin. Cet établissement est une étape plaisante et gourmande à découvrir, en venant par la D905 (dite ancienne route de Dijon dans sa version passée RN5 ou 5 bis). Cette route est aussi paisible qu'agréable. A découvrir ou mieux encore redécouvrir, tout en traversant l'Yonne…

 

 

En savoir plus :

 

Les - : sur la belle carte des vins (j'y avais choisi un délicieux Pouilly-Fuissé), peut-être pourrait-on y trouver deux à trois rosés plaisants, c'est la saison ! Le pain ne m'a pas semblé inoubliable par rapport à la qualité des mets.

Les + : le service est aimable et souriant. En sus, on profite d’une jolie vue bucolique.

 

 

Contact :

 

L'Auberge de Guillaume

4, Place de la mairie

21320 VANDENESS-EN-AUXOIS

Tel : 03.80.49.22.36.

Ouverture au quotidien sauf lundi et mardi.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le site est un vivre ensemble permanent. Bien mieux qu’une ponctuelle et brève fête des voisins qui ne revient qu’une fois l’an. Une ancienne commanderie templière sert désormais de point d’ancrage aux désirs de convivialité de la population, depuis le 06 mai. Et ce, jusqu’au 29 juillet prochain. Un plaisir qui se partage en famille et avec des amis entre victuailles appétissantes du terroir, des nectars du cru des plus sympathiques, une omniprésence artistique qui s’affiche aux quatre coins du bâtiment, y compris à l’extérieur. Quant à l’atmosphère ambiante, elle est limite exotique et entraîne l’imaginaire du côté de Marrakech ou à Montmartre, selon les goûts et l’inspiration…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le clavier du piano se dévoile au premier regard dès que l’on pénètre dans cet antre culturel nimbé d’une certaine pénombre très agréable à l’œil. Parmi le « fatras » volontaire d’objets hétéroclites qui ornementent la grande salle faisant office de lieu d’accueil. De plantes vertes en tableaux picturaux, de céramiques aux œuvres d’art, de prises de vues vigneronnes accrochées à leurs cimaises – il faut prendre le temps d’admirer les jolis clichés de la talentueuse Flavie CULOT, codirigeante de la société VINO UP qui nous a d’ordinaire plutôt habitué à parler de vin à défaut de focale et de photographies ! -, des poufs aux tapis orientaux respirant bon le cuir de l’Atlas du royaume chérifien : on se croirait presque dans la caverne d’Ali Baba, la veille d’une porte ouverte jute avant les soldes !

 

Un plaisir hédoniste juste le temps d’un été ?

 

Que nenni, « ma brave dame » ! Bienvenue dans le nouvel établissement à vocation commerciale de la localité viticole de l’Auxerrois ! Un bar, de surcroît ! Rien d’étonnant à cela surtout si l’on désire découvrir dans les règles de l’art de la dégustation œnologique des crus de ce terroir si prisé des Icaunais. Un bar, oui mais éphémère ! Avec une date de péremption à la clé ne devant pas excéder le 29 juillet, en principe. Etrange et pour le moins curieux paradoxe, par ailleurs, que le choix avéré de cette date butoir alors que la haute saison touristique battra son plein dans ce joli village de Saint-Bris qui porte bien son nom avec sa référence vigneronne gouleyante.

Mais, peut-être que cela évoluera en termes de timing, surtout si le succès est au rendez-vous. Et cela semble être déjà le cas.

L’inauguration officielle du nouvel endroit festif et branché de l’Auxerrois, le 06 mai, l’atteste après le succès observé au niveau de l’affluence. L’initiative prise par deux des habitants de la commune – encouragée à 100 % par le maire Olivier FELIX qui a mis à disposition un bâtiment communal non occupé – de vouloir créer cet espace propice à la détente, au farniente et à l’amusement – présence de musiciens, d’artistes de rue – est probante. Un zeste d’hédonisme qui ne durerait donc que le temps du chant des cigales ? Pas possible, voyons !

 

 

Une contribution collective avec l’implication des villageois…

 

L’établissement, baptisé « L’Eph » - oui, c’est peut-être un tantinet trop simpliste pour en définir sa raison sociale ! -, est promis à de belles et longues soirées estivales devant s’étendre hors les murs jusque dans la rue, au beau milieu de la petite place centrale du village où se concentrent toutes les échoppes stratégiques de la bourgade. Il y a un petit côté Montmartre qui sied bien à l’ensemble, la cohorte de Japonais affublés de leur Nikon en moins !

Le concept se veut collectif. Tout le monde – les villageois – ont contribué à son ouverture en y apportant sa pierre angulaire à l’édifice. Objet décoratif après objet fonctionnel. Ici, des coussins. Là, de vieux meubles qui créent une atmosphère surannée à l’ensemble. Dans un recoin, des transats. Des verres, des lampes, des bibelots, de la verdure naturelle et végétalisée. Il y a aussi des bouquins rangés dans une bibliothèque. On peut se sustenter d’un fromage de chèvre en provenance de la production de Claire GENET – de succulentes réalisations fromagères qui sont souvent primées dans les concours nationaux comme le Salon de l’Agriculture -, découvrir un blanc local – les domaines ne manquent pas -, avaler une pâtisserie en laissant filer le temps. Tranquille et en parfaite sérénité avec sa conscience. Le Graal a porté de main…

 

 

Au nom de la cohésion sociale et de l’attractivité de nos campagnes…

 

La « fée Mélusine » qui a permis cela d’un seul coup de baguette magique avec une bonne dose de volonté à revendre et de conviction profonde se nomme…Anne-Charlotte LAUGIER. Tiens, tiens, l’écrivaine à l’imaginaire si fécond et totalement débridé – la saga dithyrambique de la pétulante « Pétasse » servie à toutes les sauces humoristiques et cocasses de l’existence le prouve – a donc fait une sacrée entorse à son emploi du temps pourtant très serré.

Outre des séances de dédicaces qui la promènent aux quatre coins de l’Hexagone et ce jusque sur la Côte d’Azur – le dernier volet de la trilogie de son caricatural personnage est aussi décapant et irrésistible que les deux précédents opus – elle a eu le temps, en compagnie de l’une de ses connaissances locales, Driss – il est également commerçant à Saint-Bris – de phosphorer sur le concept de ce bar éphémère novateur, décidément ne ressemblant à rien d’autre d’existant dans l’Yonne.

 

 

 

Logique que les médias nationaux et régionaux (France Info, Ouest-France, France 3…) entrent depuis l’ouverture dudit établissement dans cette brèche béante de l’information sensationnelle pour en humer la substantifique moelle nourricière !

Réimplanter un bar avec une telle déontologie et la participation de tous, même de courte durée en zone rurale, ferait presque figure d’évènement hexagonal devant subjuguer les Gaulois réfractaires à la morosité, par Toutatis !

Un concept peu ordinaire qui pourrait d’ailleurs faire des émules dans bien des endroits de nos campagnes, qu’ils soient touristiques ou pas !

Et si le projet initial du bar éphémère se muait en un développement durable de son existence au nom du retour en grâce de la cohésion sociale et de joyeuses retrouvailles au fin fond de la ruralité ?

Personne, c’est sûr, ne s’en plaindrait ; encore moins les empêcheurs de tourner en rond qui ne savent plus apprécier les justes valeurs cardinales de la convivialité…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pour sûr, ce ne sont pas nos artisans-charcutiers Mickaël CLAUDIN et Damien LEGER, ainsi que leur dynamique équipe qui viendraient contredire ce séculaire dicton. Durant la dernière foire de Sens, ensoleillée à souhait (forcément, il avait plu à celle de Montereau quelques jours plus tôt !), ils eurent  pignon sur rue, en bas des promenades, entre des Peugeot 2008 forcément électriques et autres DS futuristes, qui n’ont plus rien de 19 ou encore 21 !

 

SENS: En terrasse, les tables, boisées « made by » le paternel de Mickaël, assurent une réelle solidité. La formule est éprouvée : c’est simple et c’est bon. Cela commence par une planche de charcuteries, faites maison, dont de délicieuses rillettes qui se partagent à l'unisson.

Lors de l’ultime jour de foire, souvent synonyme d'un peu plus de quiétude, le plat du jour est un filet mignon de porc, sauce morilles, accompagné d'un gratin de pommes de terre et de délicieux légumes confits. De trois à quatre degrés en sus à cette bonne assiette n'eurent pas nui à la qualité de l'ensemble !

Ce 94ème rendez-vous des plus réussis se termine côté douceurs avec une tarte au citron, concoctée par la boulangerie-pâtisserie d'Alain FOURNIER. Elle est reconnue pour la qualité de sa fabrication (hum ! les croissants...) Quelques gouttes d'accompagnement à base de champagne de la maison LORIOT, bien connue elle aussi le long des promenades, en période de foire, agrémentent le tout.

 

 

 

 


Pas le temps de s’ennuyer avec les réjouissances estivales…

 


Nos artisans sont à la remballe, à leur tour désormais,  de souffler...très provisoirement s'entend. Entre repas de mariages, saucisses à préparer pour les barbecues (ou les braséros qui deviennent à la mode ces temps derniers...), sans omettre les ponts de mai : il n’y a pas vraiment le temps de s'ennuyer !
Contrairement à la chanson de Patrick BRUEL, point de rendez-vous dans dix ans : juste même lieu, même heure, mais  l'an prochain pour revivre de tels instants ! Longue vie à la foire de Sens. Et vivement 2024...

 

 


Contact :


« Aux Petits Cochons »

1, Bis rue de la République

89100 Saint-Clément

Ouverture du mardi au samedi, plus le marché de Sens.

Téléphone : 03.86.65.17.91.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il fait bon musarder dans le vignoble bourguignon au sud de l'Yonne. La RN6 – oh, pardon la D 606, puisque cette appellation routière traditionnelle de notre pays n’est plus - ce modernisme de mauvais aloi qui considère toute tradition comme néfaste est certainement passé par là, une fois de plus - nous y emmène. Ensuite, la route dite des « Grands Crus » longe les vignes au plus près de Rully et son imposant château dans les côtes chalonnaises, Monthélie qui surplombe Meursault et Fixin la paisible...

NUITS-SAINT-GEORGES : En sortant de Nuits-Saint-Georges, se dresse l'imposante hostellerie « La Gentilhommière ». En 1995, le Michelin y mentionne un jardin avec basse-cour, quelques années plus tard la rivière à truites, au cœur de ce pavillon de chasse du XVIe siècle. Bref, l'endroit en lisière de forêt y est magnifique !

Voici quelques années (2019 ?), j'y avais apprécié une cuisine généreuse au goût du jour. On y percevait la patte d'un chef à l'ancienne, adepte d'une vraie cuisine. C'est donc en toute confiance que voici quelques jours, nous poussons - à tort - la porte de ce bel établissement.   
Nonobstant, la formule déjeuner à 35 euros, la carte est plus chère que bien des étoilés Michelin au déjeuner. Si les bonnes mises en bouche purent provisoirement inciter à l'optimisme, quant à la suite, cette dernière fut plutôt décevante.

 

Les oursins ont eu le mal de mer : pâteux et insipide…

 

En entrée, les polychromes de chou-fleur en texture et son soufflé aux oursins purent sembler une dénomination alléchante. Las, il s'agissait d'une sorte de « gloubi-boulga » et d'un ersatz de soufflé aussi pâteux qu'insipide.

Pourtant, c'est bon l'oursin (souvenir des sublimes brouillades aux langues d'oursins que réalisaient antan le chef Constant dans son « Violon d'Ingres » parisien).

Mais, là, on a comme l'impression d'une cuisine réchauffée de traiteur, lors d'une noce au service interminable...Quant au foie gras (25 euros), mon invité le définit, comme étant trop salé. 

 

 

C’était beaucoup mieux…avant !

 

Ensuite, le  pigeonneau est servi impeccablement rosé comme demandé. Il est accompagné en cette fin avril de panais (légume racine), alors que c'est la saison des carottes primeurs, navets et autres verdoyants petits pois. C’est n'importe quoi ! Du traiteur toujours, mais point d'âme culinaire…
Le fromage est bon - encore heureux ! - et le dessert autour du miel correct.
Mais, le mal est fait, pour un menu autour de 75 euros avec fromage, ce qui est beaucoup trop cher pour cette quelconque pitance.

Ah, la fois d'avant, oui mais ça....c'était avant !

Le service est souriant mais ne peut compenser cette incurie culinaire. 
Au revoir « Chef Coq », nous vous aimions jadis. Quelle injustice d'avoir comme successeur un « chefaillon coquelet », vous méritez mieux que cela !

 

 

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : la cuisine !

Les + : le cadre et la vue demeurent.

 

 

Contact :

Restaurant « Le Chef Coq »,

La Gentilhommière

13, Route de la Serrée

21700 Nuits-Saint-Georges

Tel : 03.80.61.12.06.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Tendres. Moelleuses à souhait les mini-pâtisseries délicatement chocolatées, qui sont offertes à la dégustation sur le petit plateau de bois. Certaines de ces douceurs proposent de la noix de pécan. D’autres mettent en relief le goût à peine teinté d’amertume de l’amande. La saveur de la noisette parfume l’une de ces gourmandises dont on ne lasse pas. Tout sourire, Elodie JACQUES contemple son œuvre pâtissière. Une véritable réussite, agréable à l’œil, fondante en bouche et onctueuse au palais. Pas étonnant que ses ateliers culinaires suscitent autant d’intérêt. Chez les petits comme chez les plus grands !

 

HERY : Cela bouillonne dans sa tête. Des envies de créer à la pelle qu’elle envisage de partager avec ses « élèves ». Du plus petit au plus grand ! De l’enfant à l’adolescent, parce que ce public cible n’est pas insensible à la chose culinaire. Surtout quand il s’agit de confectionner des gâteaux et autres confiseries appétissantes !

De petits choux, du cake à base de citron à la saveur meringue, des mini réalisations toutes aussi délicieuses les unes que les autres. Bref, nos jeunes pousses s’improvisent le temps d’une séance de travail dans l‘immense cuisine flambant neuve qui les accueille, en véritables chefs pâtissiers !

 

 

Laisser libre cours à ses envies derrière un fourneau…

 

Native de Strasbourg, Elodie a toujours voulu s’initier aux joies de la pâtisserie. Depuis sa prime jeunesse puisque ses grands-parents exerçaient le noble métier de boulanger-pâtissier. Des souvenirs pleins la tête (gustatifs, olfactifs, visuels…), la jeune femme vit presque un rêve éveillé depuis deux saisons, à la suite de la création de son auto entreprise, baptisée « ELLE O DELICES ». On y retrouve dans cette approche sémantique et commerciale tout ce qui la caractérise, en fait : proposer de bonnes choses pour se sustenter – le délice de ces savoureux gâteaux aux vertus irrésistibles – et sa propre identité. C’est bien « Elle » qui a décidé de créer cette structure pour y nourrir sa passion.

Un projet qu’elle partage intellectuellement (et parfois un peu plus !) avec son époux, Geoffrey, le premier à déguster les nouvelles créations. Un projet où il est avant tout question de transmettre, d’expliquer, de concevoir, de laisser libre cours à ses envies. Du moment que cela puisse occuper le fond d’une assiette et se déguster à satiété !

 

 

La transmission d’un savoir avant tout…

 

Dans le civil, la maman de deux jeunes enfants enseigne en sa qualité de professeur des écoles maternelles. Susciter le désir et la stimulation auprès des plus jeunes, elle en connaît un rayon, la cheffe d’entreprise !

Se consacrant deux fois par mois à l’apprentissage culinaire des enfants (mais aussi des adultes, voire des seniors), Elodie JACQUE a fait de cette passion culinaire avérée un aboutissement professionnel dont elle est très fière. Créer sa propre entité entrepreneuriale n’est pas chose aisée. Il lui a fallu de la pugnacité, du volontarisme, de la motivation. Du plaisir, aussi, mais ça, elle l’avait déjà chevillé au corps…

Un concept prend racine. « Ce soir, c’est moi qui cuisine ! » : les enfants en raffolent, prenant ainsi l’initiative de réaliser dans sa totalité le menu familial, avec entrée, plat de résistance et dessert. En sus, cela ne se cantonne pas à une unique recette ! Elodie aime varier les ingrédients et apprend à ses jeunes ouailles âgées de six à quinze ans de multiples possibilités culinaires.

D’un sourire qui éclaire son visage, la jeune femme lâche tout de go : « j’aime transmettre un savoir… ».

 

 

 

Un élargissement plus net vers le monde de l’entreprise…

 

Pour mener de manière optimale ses affaires à la réussite, le couple n’a pas hésité à métamorphoser ce qui était autrefois un garage standard, attenant à la maison, en un superbe espace d’accueil avec cuisine et ilot central intégrés ! Au bas mot, une enveloppe de 75 000 euros injectés à la mise aux normes de l’édifice pour que le site puisse accueillir le public, personnes en situation de handicap compris !

Mieux, « ELLE O DELICES » s’est ouverte au monde de l’entreprise. A l’aide d’un partenariat des plus originaux qui aura permis au groupe BIGMAT GOURMAND de recevoir en ses murs, et ce durant plus d’un an, un atelier démonstratif à raison de rendez-vous deux samedis matins par mois à Auxerre, dans son show-room. Succès garanti mais qui a pris fin il y a quelques mois !

C’est précisément vers le concept du « team building » que désire s’orienter davantage à l’avenir l’excellente pâtissière. Amener la pâtisserie et ses gourmandises, pourquoi pas après tout en guise de salvateur en-cas à l’heure du goûter, au cœur des milieux économiques ?!

De même, dans ce prolongement de projections économiques envisageables, l’entreprise pourrait privatiser ses locaux en les louant dans le cadre de séance de shooting de produits ou par le biais de cours qui seraient assurés par des diététiciens. L’activité mariage n’est pas oubliée, du reste. S’ouvrir aux autres en proposant ses services aux sociétés de « wedding planning » figure aussi au catalogue des probables opportunités.

 

 

En savoir plus :

Les ateliers culinaires à thèmes comme à la maison

60 euros les 03 heures pour les adultes

30 euros les 02 heures pour les enfants

Le tout avec un kit de recettes et d’astuces à connaître…

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil