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Le spectre de la réforme des retraites, viendra-il hanter ces Jeux Olympiques de 2024 ? On est en droit de s’inquiéter de mouvements sociaux importants lors de leur organisation. « Pas de retrait de la réforme, pas de Jeux Olympiques à Paris ! », ont prévenu des militants de la CGT ayant envahi le siège du comité d'organisation de Paris 2024 à Saint-Denis. En guise de galop d’essai, nous attendions le comportement desdits syndicats lors de la Coupe du monde de rugby, accueillie en France depuis septembre. A date, rien n’est venu entraver le bon déroulement de l’épreuve !

 

TRIBUNE : Les syndicats en perturbateurs des Jeux de Paris l’été prochain ? A l’aide de mouvements de grèves, manifestations et autres blocages dans la capitale déjà engorgée ? Cette perspective est bien réelle ! D’autant que ces mouvements sociaux pourraient avoir le soutien du public, et ce pour deux raisons !

La première, c’est que les épreuves seront suivies sur des écrans de télévision, de téléphones portables et autres tablettes. La seconde est d’ordre pécuniaire. Depuis le 11 mai et l’ouverture de la deuxième phase de ventes de billets (à l’unité cette fois), les témoignages affluent sur les réseaux sociaux afin de dénoncer les prix exorbitants pour assister à la majorité des épreuves.

Un premier prix frisant les 700 euros pour des sessions d’athlétisme (680 euros), 500 euros pour la natation, 480 euros pour la gymnastique, l’escrime et le judo à guichets fermés. Sans compter les 2 700 euro minimum pour assister à la cérémonie d’ouverture sur la Seine.

Le tout dans un contexte inflationniste dominant ! Mais, pondérons notre propos ! Si vous souhaitez des places entre 24 et 180 euros, il convient d’être adepte de l’haltérophilie. De plus, il existe aussi des places gratuites : se trouver sur le parcours du marathon et du triathlon… Alors de quoi se plaint-on ?!

 

 

Ne pas ternir la célébration de l’universalisme par le sport

 

Pour les Jeux Paralympiques, 500 000 places seront disponibles à 15 euros. Ensuite, on en trouvera à 25 et 100 euros ! Nos sportifs vivent leur handicap avec beaucoup de pureté, d’humilité, et de force ! Ils ont tous les handicaps possibles mais à l’inverse de nombreux bienportants, certainement pas celui du cœur. On peut appeler les syndicats à mettre en retrait leur velléité revendicative lors de cette séquence des Jeux !  

En 2021, Emmanuel MACRON avait reçu les médaillés français des J.O. : « Si la France ramène une trentaine de médailles (en parlant de 2024), ce n’est pas assez… à la maison, il faudra faire beaucoup mieux ». « Beaucoup mieux », en parlant des stratégies du locataire de l’Elysée, c’est ce que pense aussi la majorité des Français !

Il n’y a pas de doute que les Jeux Olympiques et Paralympiques portent l’image d’une fête sportive de caractère mondial, avec l’idée d’un modèle de fraternité et de rencontre des peuples, mis en avant à l’occasion de chaque olympiade...

Espérons que rien ne viendra ternir cette magnifique manifestation sportive. « Si tu veux courir, cours un kilomètre. Si tu veux changer ta vie, cours un marathon » disait le regretté coureur tchèque, Emil ZATOPEK. Méditons cette phrase en souvenir de lui !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Elles sont 217 victimes de la modernisation technologique. 217 personnes qui auront peut-être un jour leurs noms gravés sur une stèle de marbre, blanc comme un linceul, sur l’autel du souvenir passéiste et du travail mémoriel que l’on sait tant cultiver en France ? Sur l’épitaphe, une formule toute trouvée sera inscrite : « disparu par perte et profit dans l’intérêt de la productivité au nom de la sacro-sainte prédominance technologique ! ».

Même Georges ORWELL n’aurait pas fait mieux dans « 1984 », ouvrage à lire et à relire, sans cesse, dont on pourrait méditer longtemps les théories.

 

Les premiers sacrifiés sur l’autel de la dérive technologique

 

L’information est donc tombée comme une lettre très discrète à La Poste avec un timbre facilitant l’envoi au ralenti : une société spécialisée dans la veille médiatique – c’est très inquiétant pour le devenir de ces métiers intellectuels et de réflexion -, originaire de l’Hexagone, malgré son appellation aux références anglicistes (« ONCLUSIVE »), a pris acte de se séparer cette semaine de 217 de ses collaborateurs, sacrifiés sous le sceau de l’adoption de l’intelligence artificielle.

Cette fameuse abréviation, « IA », dont on nous rabâche tant les oreilles depuis des mois et que l’on porte aux nues de la réussite absolue pour mieux révolutionner le monde du travail à grands coups de modernisme asocial s’avère être un…implacable cancer qui va ronger petit à petit et de manière incurable, la plupart des représentants de l’humanité…

Une humanité, tellement vulnérable et bien trop faible pour réagir devant l’inaltérable alors qu’il est encore temps de bouger et de dire stop à toutes ces dérives que l’homme, premier prédateur de l’homme, sait si bien inventer. Une vulnérabilité qui a atteint son paroxysme comme devant le réchauffement climatique, la dérive totalitaire des autocraties, l’absence de maîtrise de l’inflation voulue par les spéculateurs, la perte des libertés et celle des valeurs civiques qui se font égorgées au coin de la rue.

 

Un XXIème siècle de progrès et d’évolutions sociétales !

 

Les premières victimes en France ont donc chuté cette semaine, dans une relative et discrète indifférence médiatique, entre le voyage papal faisant halte au vélodrome de Marseille – il n’y a donc que les supporters de l’OM à croire encore au miracle alors que leur équipe vit une de ses pires crises entre dirigeants ! - et les fastes culinaires permettant aux monarques de Grande-Bretagne de rejouer les grandes eaux de Versailles en se sustentant richement à nos frais.

Mais, symboliquement, les « grandes eaux », ce sont sans doute les pleurs de ces 217 sacrifiés et de leurs familles dont les têtes sont tombées sur le billot du progrès et de la modernisation à tout crin, de la froide rentabilité et des économies à rationnaliser à tous les étages de la société, et surtout dans les moindres recoins de la vie entrepreneuriale. Mais, dans quel monde vit-on ?! Et, on ose parler de XXIème siècle et de ses évolutions !

La statistique fait froid dans le dos, car évidemment, sur ce sujet qui fait saliver d’aise tous ces petits génies de l’électronique, des « big data » et du numérique déshumanisés, le pire est devant nous. Comme l’inexorable fonte des icebergs et des glaciers devant disparaître d’ici une cinquantaine d’années.

 

 

 

La perte de plus de 300 millions d’emplois à moyenne échéance

 

Plusieurs études l’attestent : il est dit que l’intelligence artificielle remplacera 85 millions d’emplois d’ici 2025 de par le monde. Et, les spécialistes, tout de go, d’ajouter que cette même intelligence artificielle au cœur décharné et au sang de navet (!) devrait créer 97 millions d’emplois sur la même période, soit un différentiel en solde positif de 12 millions de jobs à ajouter dans l’escarcelle de la valeur ajoutée.

Oui mais…cela reste naturellement à prouver et ce ne sont pas les 217 premières victimes officielles de France qui diront le contraire lorsque d’ici quelques jours elles quitteront la tête dans les chaussettes et le moral en berne leur lieu de travail avant de se remettre sur le marché de l’emploi, en tentant de se reconvertir tant bien que mal selon les âges ou à défaut d’aller pointer au chômage jusqu’à percevoir le salvateur RSA, synonyme de précarité et de misère!

Dans l’absolu, toutes les projections réalisées par les plus grandes structures de l’économie américaine se rejoignent dès qu’elles anticipent l’avenir de l’emploi. Ce sont au bas mot plus de 300 millions de postes qui devraient être supplantés par l’intelligence artificielle d’ici une génération. Combien de temps, en fait, dix ans, vingt ans, un peu plus ou un peu moins avant que le couperet ne s’abatte sur les gorges offertes au sacrifice ?

Seul point de satisfaction qui pourrait redonner le sourire – il est plutôt jaune citron acide en vérité -, c’est le coup de booster apporté aux entreprises au niveau de la productivité. L’intelligence artificielle pourrait faire augmenter le produit intérieur brut mondial de…7 % !

A la bonne heure pour les multimilliardaires de la planète et autres spéculateurs qui s’enrichissent aux dépens des malheurs des autres et qui en verront les fruits en espèces sonnantes et trébuchantes, n’en doutez pas !

 

 

Deux emplois sur trois impactés par ce fléau technologique

 

Mais alors, quid de toutes ces personnes actives, vous et moi, aujourd’hui menacées par l’expansion inévitable de ces « chatGPT » et consorts de la même veine qui équivalent au quart de l’activité économique mondiale à supprimer ?

45 % des tâches administratives et des fonctions support ne seront plus effectués par des humains à l’avenir dans les entreprises. Cela fait peur ! L’automatisation des processus va gangréner progressivement des pans entiers de l’économie à l’instar des filières de l’industrie, des banques, des assurances, des services, du commerce, de la presse, des arts, de la musique, de la gestion, du droit, de l’agriculture, de l’automobile, de la mobilité, de l’énergie…La liste est loin d’être limitative, sic !

Deux emplois sur trois seront impactés par l’intelligence artificielle, d’après les projections émises par tous les spécialistes. Mieux que le réchauffement climatique, les coronavirus et les menaces belliqueuses des états impérialistes proches de déclencher la Troisième Guerre mondiale, voilà l’IA et son insidieuse déclinaison qui va détruire l’homme dans ce qui lui est le plus cher : son travail, auxiliaire nourricier de toute son existence, et de sa famille…

Tous les métiers dits « intellectuels », condamnés à disparaître, sont les cibles potentielles de ce nouveau fléau des temps modernes, véritable cancer de la société d’aujourd’hui et de demain.

Souhaitez-vous vous laisser guider avec un sourire béat à l’abattoir, sans protester comme des moutons de Panurge ? Il est grand temps de changer de paradigme, de revenir aux fondamentaux des valeurs humaines… et d’arrêter enfin ce jeu de massacre planétaire qui nous guette !

 

Thierry BRET

 

 


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Des mois de préparatifs. Mêlés d’inquiétude, de doute, de stress et d’angoisse ! Sombre tableau, en vérité ! Mais que l’on ne s’y méprenne pas : c’est grâce à la somme de tous ces ingrédients, vrais stimulants pour les organisateurs, pour qu’un tel évènement arrive à produire de l’exceptionnel. Ce sera sans doute le cas en cette journée dominicale du 24 septembre, entre Saint-Fargeau et Toucy, tout au long de 170 kilomètres de course…

 

TOUCY: C’est le troisième acte de cette dramaturgie sportive locale. Un de plus, pourrait-on dire, mais qui va gagner encore en incertitude quant à son résultat final et surtout en qualité, du fait d’un plateau de coureurs très relevé. La plupart viennent de l’Hexagone. Mais pas que ! On dénombre des natifs de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Biélorussie…

De jeunes pousses qui ne rêvent que d’exploits et de triomphes lors de cette épreuve à multiple épisode qui se nomme la Coupe de France cycliste. Celle de Nationale 2, pour être plus précis. Un cinquième opus – le dernier de la saison – qui à l’instar d’une bonne série audiovisuelle va livrer son verdict définitif au soir de ce premier dimanche automnal (mais de surcroît plutôt ensoleillé selon les prévisionnistes de la météo) du côté de Toucy, après s’être disputé au détour de différents endroits de l’Hexagone.

Pour mémoire, et il est toujours important de la saluer, ce rendez-vous en terre de l’Yonne est donc le troisième que l’on doit à l’appellation de « Classique Puisaye-Forterre Souvenir Philippe GERBAULT ». En hommage au regretté ancien président du Vélo Club de Toucy dont il prit les rênes quelques années avant sa disparition accidentelle tragique...

 

 

 

Ce dimanche, ils seront donc 138 coureurs représentants 23 équipes qui s’élanceront à 12h35 précises de Saint-Fargeau. L’épreuve se déroulera sur une distance de 170 kilomètres (pas mal !) dont 118 kms en ligne et 13 kms sous la forme d’un circuit final, soit quatre passages où le public, amateur de cyclisme, pourra applaudir les tentatives d’échappées et les coureurs les plus combatifs.

L’an passé, le Belge Louka MATTHYS avait empoché la mise en coiffant sur le fil deux coureurs français, Justin DUCRET et Kevin LE CUNFF. Qui pour lui succéder cette année ? Sachant que c’est le team de Bricquebec Cotentin qui occupe à date la tête de leader du classement général de cette coupe hexagonale…

En mars, dernier, Jérémy MAISON, ancien coureur professionnel et chef de file de l’organisation de cette course de belle facture avait présenté lors d’une soirée conviviale à ses sponsors et partenaires la physionomie de cette édition 2023. Cette fois, c’est chose faite : les organisateurs sont dans le dur, la course se lancera dans 48 heures !

 

Thierry BRET

 

 


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Elles sont venues d’Allemagne, de Grande-Bretagne, de Pologne ! Ne manquait à l’appel visiblement que la délégation italienne de Greve in Chianti. Qu’importe ! La commémoration des huit cents ans de l’affranchissement de la ville d’Auxerre, que l’on doit à la comtesse Mathilde (ou Mahaut) de Courtenay en 1223, qui est l’unique et même personne, restera comme l’un des temps forts évènementiels de ce début de saison dans la capitale de l’Yonne. Où les festivités furent nombreuses dans le respect des autres et la décence ! Il faut toujours se méfier de ces grands raouts aux contours moyenâgeux !

 

Lundi

C’était un 11 septembre déjà. Il y a juste cinquante ans aujourd’hui… Pas d’avions kamikaze dans le ciel. Juste quelques chasseurs bombardant un palais présidentiel. Pas de tours jumelles s’écroulant sous les yeux horrifiés du monde entier, juste un pays entrant dans la nuit et le début d’une dictature sanglante qui fit plusieurs milliers de morts et disparus. Une nuit qui allait durer près de dix-sept années, après que le 11 septembre 1973, au Chili, un président démocratiquement élu soit renversé par un coup d’état mené par les militaires, sous la tutelle bienveillante des Etats-Unis. Depuis, la soldatesque est rentrée dans ses casernes et il y a longtemps que PINOCHET danse avec le diable. Mais, son fantôme court toujours. Pour preuve, le retour de l’extrême droite chilienne aux dernières élections constituantes, devenue première force politique du pays.

 

Mardi   

On sait depuis longtemps que tout argent est bon à prendre. D’autant paraît-il, qu’il n’aurait pas d’odeur ! Pour autant, n’en déplaise à tous les thuriféraires de Bernard ARNAULT, les dix millions d’euros octroyés aux « Restos du Cœur » pour les aider à boucler leur budget annuel, ne représentent bien que 0,005 % de sa fortune, estimée selon le magazine américain « Forbes », à 190 milliards d’euros. Ou comment une générosité affichée au grand jour et à grand renfort de publicité se transforme en pingrerie, là où il lui aurait été facile, sans mettre à mal sa richesse, de combler le déficit des Restos dans sa totalité. Il aurait même pu le faire dans la discrétion la plus absolue… Méritant alors le titre de « classieux », comme aurait pu dire l’ami GAINSBOURG !

 

 

Mercredi

Ce ne sont que quelques grammes de métal et de bois, fissurés par le temps, lustrés par la main de celui qui la fit danser sur les murs sa vie durant. Une simple truelle, exposée sans emphase dans l’une des vitrines du Musée national de l’histoire de l’Immigration à Paris, qui vient de rouvrir ses portes après trois ans de travaux. L’outil d’un maçon illettré, d’origine italienne, arrivé en France après la Première Guerre mondiale, figure oubliée de ces « gens de peu » qui contribuèrent à faire de la France ce qu’elle est aujourd’hui. Il se prénommait Louis, surnommé « Vidgeon » et avait pour fils, François, qui bien des années plus tard, lui redonna vie par des mots d’amour dans son livre « Les Ritals ». Ils portaient tous les deux le joli nom de CAVANNA. Ils étaient tous les deux des « gens de bien »…

 

 

Jeudi

Mais quelle mouche a donc piqué le député du Nord et patron des communistes français, Fabien ROUSSEL en appelant ses compatriotes à envahir les préfectures « si nécessaire… », pour protester contre l’inflation ? Même Jean-Luc MELENCHON a traité l’initiative de « violente », c’est dire ! Le représentant de la « gauche du terroir », amateur de tête de veau, (ceci expliquant sans doute sa figure d’homme de gauche préféré des milieux de droite !) est un très bon communiquant, maniant très bien les règles du marketing et de la promotion. Un sacré coup de pub à 48 heures de l’ouverture de la Fête de l’Huma. Même Jacques SEGUELA n’aurait pas fait mieux !

 

 

Vendredi

Belle initiative de la municipalité que d’inviter des représentants de comités de jumelage rattachés à Auxerre aux festivités marquant les 800 ans de l’affranchissement de la ville. Une présence saluée par le maire d’Auxerre, Crescent MARAULT en préambule des conférences données ce vendredi soir à l’Abbaye Saint-Germain. A ce détail près qu’après avoir cité les noms de Worms et de Plock, il dut se faire souffler par la salle le nom de la troisième, Redditch. Simple trou de mémoire ou fiches mal révisées ? Il est vrai que la ville anglaise n’est jumelée avec Auxerre que depuis 1956 !

 

Samedi

Un samedi de festivités, ponctué place de l’Hôtel de ville, devant un public enthousiaste, par un superbe spectacle nocturne de la compagnie « Fire Broth », passée maître dans la maîtrise des jongleries enflammées. « Johnny » peut dormir tranquille, la relève est assurée… « Allumer le feu » !

 

 

Dimanche

Alors que le Maroc n’en finit pas de panser ses plaies et se relever d’un tremblement de terre qui a fait près de 3 000 morts, un autre drame s’est joué quelques jours plus tard en Libye, par suite du passage de la tempête Daniel, qui a laissé derrière elle des dégâts considérables, entraînant là encore, des milliers de victimes et un nombre indéterminé à ce jour, de disparus. Mais sur l’échelle de l’émotion et de l’empathie, tous les pays ne se valent pas. Marrakech, Essaouira, Ouarzazate, Fès…, autant de destinations chères au cœur des Français. Là où la Libye sera toujours pour son malheur, entachée du nom de son « guide suprême », le sinistre Mouammar KADHAFI ! 

 

Dominique BERNERD

 

 


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Souriante et affable, Madame la directrice de cabinet du préfet de l’Yonne sait recevoir ses invités dans son bureau, cafés à l’appui ! En l’occurrence, quatre représentants de la presse départementale qui ont convergé vers l’hôtel de la préfecture en début d’après-midi afin de faire plus ample connaissance avec la représentante de l’Etat. Logique et indispensable, tant la fonction incarnée depuis peu par Clémence CHOUTET, représente un élément clef dans l’organigramme du corps préfectoral…

 

AUXERRE: C’est le bras droit du préfet. L’élément indissociable de cette gouvernance étatique, ramenée à l’échelon du territoire départemental et qui permet à l’ensemble des rouages de la grande maison de fonctionner. Une précieuse courroie de transmission entre les services qui collabore en étroite osmose avec la secrétaire générale de la préfecture. Dans le cas présent, Pauline GIRARDOT, sous-préfète d’arrondissement d’Auxerre.

 

Une appétence pour la vie économique

 

Mais, c’est aussi un ou une responsable sécurité qui assiste le préfet (Pascal JAN dans l’Yonne) pour animer et coordonner l’action des services chargés du respect de l’ordre public et de la protection des personnes et des biens, via la police, la gendarmerie et les services de secours.

Bref, on l’aura compris la fonction de directrice de cabinet du préfet est éminemment stratégique au sein de la préfecture. Succédant à Marion AOUSTIN-ROTH – cette dernière a donc troqué désormais ses préférences footballistiques réservées jusque-là à l’AJ Auxerre pour le Pau FC puisque nommée sous-préfète à Oloron-Sainte-Marie ! -, Clémence CHOUTET nous arrive tout de droit de Seine-Saint-Denis où elle devait œuvré en qualité de sous-préfète à la gestion de multiples dossiers se rapportant notamment à la lutte contre l’habitat indigne, le plan France Relance qui lui aura permis de multiplier les contacts avec l’entrepreneuriat et…la future organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Son successeur, Julien AMIEL, jusque-là chef du bureau du système d’information financière au ministère de l’Intérieur, lui emboîtant le pas…

 

 

La bosse des études dans la tête !

 

A l’écoute – elle demandera avant le terme de l’entretien l’avis des journalistes sur la topographie conjoncturelle de l’Yonne d’aujourd’hui -, communicante – en sa qualité d’ancienne directrice de la communication et du marketing au sein d’EXPLEO Group (un spécialiste de l’ingénierie, de la technologie et du conseil) elle alimente la conversation qui se sera rallongée pour notre plus grand plaisir de vingt minutes supplémentaires ! -, posée – elle fut la conseillère en communication de l’actuel gouverneur de la Banque de France François VILLEROY DE GALHAU -, curieuse et affûtée – son vécu comme directrice conseil adjoint de PUBLICIS Consultant -, Clémence CHOUTET possède un sacré cursus qui traduit de belles carrières dans le…privé. Ce qui ne l’aura nullement rebuté à devenir depuis un serviteur de l’Etat !

Diplômée d’un master Affaires Publiques décroché à Sciences Po Paris et de HEC Paris (éducation et fondamentaux de la finance), la jeune femme a la bosse des études avec un passage à l’Université de la Sorbonne à Paris (lettres modernes) et même en faculté de sciences politiques à Copenhague au Danemark, ce qui est peu commun, en vérité !

Maîtrise-t-elle pour autant et à la perfection le danois ? De cela, nous n’en sommes pas sûrs ! En revanche, son appétence pour la langue de la perfide Albion est une certitude !

  

Des attaches icaunaises familiales…

 

Maman de jeunes deux garçons, bourguignonne d’adoption – son époux est originaire de Côte d’Or -, la nouvelle haute fonctionnaire, native de Tours, possède toutefois des attaches familiales dans l’Yonne, du côté de la Celle Saint-Cyr où l’un de ses arrières grands-pères officiait jadis en qualité de médecin. Clémence CHOUTET incarne cette nouvelle génération de personnel attaché aux valeurs de la France, servant à la préfectorale et n’étant pas nécessairement une énarque.

Ici, sur ce nouveau territoire où elle s’est déjà imprégnée de l’ambiance footballistique à l’Abbé Deschamps, la directrice de cabinet sera aussi la référente sécurité routière – on ne transgresse pas avec le Code de la Route ! – et de la sécurité économique, à travers la lutte contre toutes les formes de harcèlement numérique. Une chose est sûre : depuis une quinzaine de jours, elle est déjà à pied d’œuvre !

 

Thierry BRET

 


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