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Dans le langage commun, c’est lui le « Boss ». Le patron, en somme, d’une très belle équipe qui défendra hautes nos couleurs dans l’une des villes les plus prestigieuses de France, catégorie « gastronomie » : j’ai nommé la capitale des Gaules, Lyon ! A l’automne 2024, la cité entre Rhône et Saône, chère au regretté Paul BOCUSE accueillera le concours des WorldSkills, l’équivalent des Jeux olympiques des métiers. Le CIFA de l’Yonne reçoit deux jours durant les épreuves de la sélection définitive de cette équipe qui déterminera notre futur représentant(e).

 

AUXERRE: Quel tiercé ! Mais, il faudra sans doute la photo finish pour les départager en bout de course à l’issue de ces quarante-huit heures vécues en terre icaunaise où vont se dérouler les ultimes épreuves qualificatives pour sélectionner la candidate ou le candidat, ayant l’immense privilège de représenter les couleurs de la France aux « Worldskills » 2024 ! Une fois est devenue coutume, le CIFA de l’Yonne, terreau de l’excellence, accueille de jeunes prodiges de la gastronomie tricolore encore en âge d’étudier et de parfaire leur dextérité auprès de leurs maîtres de stage, dans l’antichambre d’un évènementiel international. Et ce n’est pas n’importe lequel à dire vrai puisque les trois concurrents (Laura, Thibault et Naël) n’ont d’autres objectifs que de gagner l’une des places qualificatives à la finale mondiale de ces Jeux olympiques des métiers – ils se disputeront à Lyon, capitale hexagonale de la gastronomie en septembre prochain -, voire pour le dauphin ayant échoué si près du but dans sa quête du graal à prendre part aux « Euroskills » 2025 (l’équivalent strictement européen de la compétition), accueillis au Danemark.

Trois semaines après la finale nationale de ces championnats des métiers, disputés au préalable dans la grande métropole du Rhône, c’est une sorte de bis repetita qui redémarre pour ces trois jeunes gens – le podium hexagonal – qui repartent avec de nouvelles ambitions et davantage de stress pour tenter de décrocher la lune, ici à Auxerre, dans un centre de formation aux lignes modernistes et aux équipements ultra performants, et son personnel, toujours au petit soin pour mieux cocooner les candidats.

 

Un expert international confirmé pour les accompagner

 

Esthète confirmé de l’enseignement de la cuisine – il exerçait son métier de pédagogue au lycée de la Closerie à Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d’Armor depuis 35 ans -, le Breton Hervé LORANT a été nommé il y a peu coach de l’équipe de France de cuisine, avec pour objectif de briller lors de ces épreuves internationales à Lyon. Un expert international qui nous explique ce que sera l’épreuve de mise en place de cuisine, accueillie au CIFA de l’Yonne, celle du module de pâtisserie, avant la réalisation de la cuisine, à proprement parlé, les connaissances technologiques et l’examen oral en langue anglaise.

La fine fleur du métier est suivie de près par le coach qui espère que ces jeunes pousses arriveront à maturité en septembre prochain pour tenter de lutter avec les meilleurs mondiaux, issus de 85 pays.

A date, les trois prétendants au sésame suprême possèdent déjà 45,5 % des points qui ont déjà été actés lors de la finale lyonnaise il y a trois semaines. 19,5 % des points sont distribués avec les deux épreuves pratiques, le reliquat incombe à la posture et surtout aux qualités émotionnelles des candidats à bien savoir gérer au niveau psychologique, ce type d’épreuve.

 

 

En 2022, Hervé LORANT avait déjà gagné le mondial à Lucerne (Suisse) avec le jeune Paul PIPARD en qualité de coach. Il rêve de réitérer ce coup de génie l’an prochain avec l’un des trois candidats, présents à Auxerre.

Le portrait-robot du futur lauréat nous est brossé par le coach breton : c’est celui qui sera le plus en phase avec la cuisine raisonnée, un concept très dans l’air du temps, à l’heure actuelle.

Quant au CIFA de l’Yonne, Hervé LORANT est admiratif devant la qualité des équipements et de celles et ceux qui s’en servent.

« C’est un outil superbe, l’établissement a reçu l’agrément Worldskills pour trois ans et ne parlons pas de l’accueil que nous réserve le chef Vincent DEHARBE ! ».

Moralité, il y aura un peu du CIFA de l’Yonne dans cette future sélection internationale à venir : alors, cocorico pour l’Yonne et la Bourgogne !

 

Thierry BRET

 


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Il se frotte les mains, Sébastien FUENTES ! Le directeur de Centre France Parc Expo Auxerre aura eu une idée de génie il y a deux saisons de cela en proposant du théâtre de boulevard à son catalogue saisonnier. Résultat des courses : les quatre pièces programmées par Cœur de Scène Productions cette saison devraient voir converger les aficionados de l’humour tonique et déjanté, à l’image de cette savoureuse comédie, « Talons Aiguilles et Poil aux Pattes », interprétées par deux duettistes névrosées à souhait, Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT…

 

AUXERRE : Boire un petit coup, c’est agréable dit la chanson. Abuser de l’alcool peut nuire à la santé. Et surtout vous emmener dans des situations cocasses et ubuesques dont on a plus la moindre souvenance, une fois la gueule de bois passée ! C’est en filigrane ce que vont vivre deux copines de longue date – dans le genre des amies de trente ans ! – Anna et Rose qui trop éméchées la veille au soir ne se souviennent plus de ce qui s’est réellement déroulé dans leur chambre. Sauf que voilà, rien ne semble normal le lendemain matin, après la cuite !

A l’énoncé du pitch, on sent que l’on devrait s’amuser un tantinet lors de ce grand retour théâtral dans l’antre du parc des expositions d’Auxerre qui va accueillir samedi 14 octobre prochain en soirée, le premier des quatre spectacles désopilants (des  comédies, évidemment) proposés par Cœur de Scène Productions, partenaire de cette fête du rire à gorge déployée.

Joué régulièrement depuis trois ans au Festival Off d’Avignon avec toujours le même bonheur, en tournée hexagonale ce trimestre, ce spectacle à l’appellation déjà très équivoque est une quête quasi impossible et loufoque pour retrouver la mémoire. Surtout après l’avoir perdue pour cause d’alcoolisme d’un soir ! Pourtant, les indices dans la chambre des deux jeunes femmes ne manquent pas (coquards, drogue, argent, talons aiguilles, etc.) mais rien n’y fait : le mystère reste entier, pour le plus grand plaisir des spectateurs. On en dira plus sur le résultat des investigations des demoiselles : réponse samedi prochain en fin de soirée !

 

 

En savoir plus :

 

« Talons Aiguilles et Poils aux Pattes » de Lise HERBIN, avec Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT. Mise en scène de Lise HERBIN et Nathalie FOUCAULT.

Centre France Parc Expo à Auxerre à 20h30

Sur réservation.

 

Thierry BRET

 


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Emmanuel MACRON  a présenté  fin septembre les grands axes de sa planification pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant notamment d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur le prix de l'électricité ». Sortie totale du charbon d’ici à 2027, état des lieux des réserves naturelles d’hydrogène, voitures électriques à tout crin ainsi que les RER métropolitains intègrent ce plan. Sans omettre les pompes à chaleur…

 

TRIBUNE : Sans entrer dans des détails trop techniques, une P.A.C (Pompe à Chaleur) est composée d’un compresseur, de deux échangeurs, et d’un détendeur. Pour la transformation de la chaleur extérieure à l’intérieur du logement, le processus se décline de la manière suivante : un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur, elles passent ensuite d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur passe ainsi par le compresseur qui l’expédie à haute pression vers le condenseur.

La P.A.C. est un bon moyen écologique pour chauffer son habitation. L’énergie utilisée est puisée dans des ressources durables et renouvelables (air, eau, sol). La consommation de la P.A.C. est faible en électricité, sous certaines conditions que nous verrons plus avant. Quant aux prix, ils varient de 2 500 euros (se méfier) à des prix moyens de 7 000 à 15 000 euros.

 

Comment investir dans une pompe à chaleur ?

 

L’Etat contribue à l’installation de ces P.A.C. grâce à des primes qui vont de 4 000 à 10 000 euros. C’est aussi l’accès à une multitude d’aides : MaprimeRenov, primes CEE (Certificat d’Economie d’Energie), Eco Prêt à taux zéro, prêt avance rénovation, taux réduit de la TVA à 5,5 %, chèques énergie, aides des collectivités territoriales…

L’un des principaux enjeux économiques du développement des P.A.C. porte sur la construction neuve et la rénovation. Le Président de la République mise sur elle pour la planification écologique. La fabrication d’un million de P.A.C., associée à la formation de 30 000 installateurs, constitue un défi important. La planification écologique prévoit de réduire les gaz à effet de serre de 50 % d’ici à 2030 !

Il existe d’autres leviers dans le cadre de ce plan : la fabrication des batteries et des panneaux photovoltaïques. Pour l’instant les immeubles ne peuvent pas, techniquement, être équipés de P.A.C.

 

 

 

Sept millions de passoires thermiques dans l’Hexagone

 

Le magazine « 60 millions de consommateurs » indique qu’il est important de bien faire calculer la dimension de la P.A.C. En effet, si elle est trop grande, la consommation d’électricité peu annihiler le gain en énergie. De plus, il est inutile d’installer une P.A.C. dans une passoire thermique. Un diagnostic énergétique s’impose et il est indispensable de bien isoler avant tout investissement.

Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), la France compte plus de 7 millions de passoires thermiques ! Et « 60 millions de consommateurs » de poursuivre : il faut se méfier des prix les plus bas comme des plus élevés, et s’assurer de la qualité de l’installateur.

 

 

L’exemplarité de la gouvernance ? Que nenni !

 

En conséquence, il doit être détenteur au moins de la Certification RGE QUALITE P.A.C. Il faut aussi penser à inclure dans le devis le SAV et l’entretien de l’appareil.

Les écueils concernant la P.A.C. alimentent les controverses. Nous sommes très loin d’avoir les capacités industrielles pour fabriquer un million de P.A.C. aujourd’hui.

Produire tous ces appareils, c’est d’abord l’enjeu de notre souveraineté énergique, et c’est loin d’être gagné alors que les coupures de courant nous ont menacées tout l’hiver dernier !

Plus grave peut -être ? L’Elysée a fait remplacer ses vieilles chaudières par des chaudières à gaz ! Notre Président et ses ministres roulent bien-sûr à l’essence. Ils ne font pas confiance à l’électrique. Une remarque : quand on veut assurer la promotion de l’écologie, il vaut tout de même mieux avoir un échantillon sur soi !

On peut encore faire mieux : si on met d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous pompent l’air, on a une climatisation intégrée et gratuite !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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C’est l’un des fleurons industriels de la Puisaye-Forterre. Surtout, la partie Forterre, une petite bande territoriale dont le fief n’est autre que Courson-les-Carrières. En déplacement il y a quelques jours en cet endroit, le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET s’est immergé avec délectation et grand intérêt chez TREMPVER. Une belle pépite industrielle aux 7,7 millions d’euros de chiffre d’affaires annuels qui rayonne bien au-delà de son secteur géographique sur le segment de la verrerie…

 

COURSON-LES-CARRIERES : Il regarde. Il scrute. Il observe. Il hume l’atmosphère ambiante. Saine. Tranquille. D’un pas lent, il s’informe auprès des dirigeants en cheminant dans l’atelier. Regardant les salariés – ils sont au nombre de quarante-huit à l’heure actuelle à exercer leur savoir-faire dans l’entreprise – qui s’affairent près de l’un des nombreux outils de production accueillis dans cet antre du verre trempé. On a beau dire mais vingt-quatre années d’expérience et de progrès technique sur ce secteur d’activité, cela se constate dans les gestes empreints de dextérité des collaborateurs.

Et pourtant, son mandat – le portefeuille comprend le développement économique, les finances, l’emploi, l’économie sociale et solidaire – l’a habitué depuis qu’il en a la charge à visiter bon nombre de structures entrepreneuriales aux quatre coins de notre contrée régionale. Dire que Nicolas SORET est bluffé en ce moment dans ces lieux, il n’y a qu’un pas !

 

Un partenaire majeur de la transmission d’entreprise : la Région

 

S’accordant du temps pour parfaire sa découverte bien loin de Joigny, Nicolas SORET jubile et cela transpire dans son regard ! Normal, en vérité. Car au-delà d’une simple visite de courtoisie, accordé par un élu de terrain ayant des liens directs avec la présidente de la Région – l’institution possède la compétence économique, que diable ! -, Nicolas SORET savoure et approuve ce que le pouvoir exécutif régional est capable de réaliser pour faciliter la transmission d’entreprise.

« Le Conseil régional est un partenaire majeur de ces transmissions d’entreprise, soulignera le président de la CC du JOVINIEN, lors de sa prise de parole, satisfait de la tournure des opérations, rondement menées ici même à Courson-les-Carrières.

Et là, démonstration chiffrée à l’appui, Nicolas SORET explique la véritable raison de sa présence en cette Forterre qui mériterait amplement d’accueillir afin d’optimiser son attractivité d’autres joyaux de l’envergure de TREMPVER.     

« Ce qui est très intéressant dans ce dossier de transmission, précise l’élu régional, c’est que la nouvelle gouvernance de TREMPVER – le successeur du dirigeant fondateur Didier COINDOZ se nomme Christophe WEIBEL – à utiliser plusieurs dispositifs financiers, pensés et développés par la Région… ».

 

 

 

Une intervention directe de la Région via le fonds « Invest Défi 3 »

 

Dans l’absolu, et pour faire simple, le projet de reprise a bénéficié d’un subtil et complexe montage financier, prenant en compte de l’ingénierie financière (fonds de co-investissement, avance remboursable) mais aussi aide d’opérateurs soutenus par la collectivité elle-même. Dans le viseur, notamment l’AER, Agence Economique Régionale ou la structure pilotée par Angélique COEURDOUX, la fameuse association INITIACTIVE 89. De précieux auxiliaires qui vont conseiller et accompagner le futur repreneur dans l’accomplissement de son projet.

Epaulé par le cabinet ARCEANE, rachetant 100 % du capital avec UI Investissement, la société de gestion qui porte les fonds de co-investissement de la Région, Christophe WEIBEL, méthodique, va solliciter une avance remboursable « transmission » auprès de la Région de 200 000 euros.

Mais, ce n’est pas tout ! Et comme un bonheur ne vient jamais seul, l’entrepreneur profite également de l’intervention « directe » de la Région au niveau du financement : grâce au fonds baptisé « Invest Défi 3 ».

Tout est dit ou presque dans l’appellation ! Souscripteur de ce fonds à hauteur de 25 %, la collectivité régionale n’a pas ergoté quant aux moyens à attribuer au projet. 1,4 million d’euros ont ainsi été consentis avec le concours de l’exécutif, pour partie en actions et en obligations convertibles. Une manière adéquate d’entrer au capital de TREMPVER pour une durée de cinq à sept ans, avec le concours de BDR Invest (Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté) et BFC Croissance (le corollaire porté par la Banque populaire régionale et du pays de l’Ain).

Modernisé, automatisé, l’outil de production générateur d’emplois sur ce bassin de Forterre où les industries ne sont pas florès, crée une indiscutable plus-value à l’attractivité territoriale. TREMPVER dispose d’un catalogue de 280 clients professionnels répartis aux quatre coins de l’Hexagone. Ne pas délocaliser était aussi une volonté de la Région qui se bat pour préserver le savoir-faire industriel de notre territoire.

« Nous ne pouvions pas prendre le risque que ce centre de décision puisse quitter la région, estime Nicolas SORET, c’est le sens de notre investissement aux côtés du repreneur… ».

Le spécialiste du façonnage et de la transformation du verre plat – la PME fabrique des parois de douche, des escaliers, des dalles de sol, des écrans de protection – sait s’adapter aux exigences des cahiers des charges de ses clients pro, et entend poursuivre ses activités sur cette voie. C’est la politique managériale que suivra Christophe WEIBEL, heureux propriétaire d’un joyau contenu dans un écrin de verre. Trempé ? Assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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