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Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.

Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.

Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.

Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.

Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.

 

 

 

L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…

Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.

Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.

D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.

Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.

La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.


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L’intelligence artificielle (IA) dont beaucoup d’exégètes de la sphère économique aiment se faire l’écho par voie de presse passionne le cénacle politique dont le député Les Républicains de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. Ce thème aux enjeux sociétaux importants faisait l’objet d’une de ses questions au gouvernement, adressée mi-janvier au ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Notamment sur son application dans le domaine de l’Education nationale. Profitant de la venue à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne de l’un de nos plus brillants économistes, Elie COHEN, l’homme politique icaunais a pris soin d’interroger directement l’érudit sur sa vision personnelle d’une thématique qui pourrait révolutionner à brève échéance bien des aspects fonctionnels de notre monde…    

AUXERRE : Même si les propos de l’économiste lors de sa conférence donnée devant un parterre de chefs d’entreprise ne se cantonnaient pas à l’approche globale de l’intelligence artificielle, il ne pouvait occulter un tel sujet au moment des échanges avec l’auditoire.

Brossant jusque-là, et avec beaucoup de réalisme le panorama d’une situation conjoncturelle plus que délicate pour notre planète, Elie COHEN aborda l’un de ses thèmes de prédilection actuels. Grâce à une perche interrogative que devait lui tendre une de ses « connaissances » en la personne du député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE.

Assis au premier rang et très attentif au moindre mot prononcé par l’interlocuteur durant son long exposé, l’élu de la seconde circonscription fut prompt à poser l’une des questions initiales de cet échange de belle facture. L’intelligence artificielle s’invitant ainsi dans cette conférence où jusqu’alors Elie COHEN avait effectué une vaste circonvolution analytique de notre monde en déliquescence à grand renfort d’arguments empruntés à la géopolitique, aux milieux de la finance et à la macro économie.

Il est vrai que ce sujet de l’intelligence artificielle n’avait rien de décalé dans le débat du jour. Il ponctue l’actualité, parfois à grands coups de manchettes explicatives au détour de la presse spécialisée.

Sériant son intervention, le député de l’Yonne souhaitait en savoir davantage sur l’impact et l’évolution de cette intelligence dite technologique sur la société française et son système économique. Une question précise qui nécessita une réponse qui devait l’être tout autant de la part du conférencier.

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La France accuse du retard sur la Sillicon Valley et la Chine…

Derrière le contexte de la technologie pure, l’intelligence artificielle et son application de plus en plus prégnante parmi notre société induisent nécessairement des interrogations sociétales, voire politiques que tout un chacun est en passe de se poser. Des choix de vie et d’orientation que souhaitent approfondir les décideurs des pouvoirs publics.  

Se référant à une étude récente publiée par l’organisme américain d’analyses sociologiques Mc KINSEY, Elie COHEN n’a pas fait de fioritures pour donner ses éléments de réponse à la question du parlementaire.

La France ne figure pas parmi les cinq pays au monde ayant bien pris en compte les réels enjeux et conséquences de l’intelligence artificielle sur son mode sociétal. Ni même sur les implications économiques.

« C’est un vrai problème que nous observons aujourd’hui, continua-t-il, nous avons sous-investie massivement dans ce secteur et n’avons pas pris pleinement conscience de ses véritables intérêts… ».

Pourtant, Elie COHEN admet que des tas de projets ont vu le jour ici ou là à travers l’Hexagone. Que des « tas de gens s’agitent avec véhémence autour de ces concepts ». Oui, mais voilà : la France ne possède pas la clairvoyance ni le dynamisme de la Sillicon Valley américaine. Ni le système applicatif de grandes firmes chinoises, elles-mêmes soutenues par leur gouvernement, pour obtenir de facto la pleine maîtrise de ce sujet.

« Ne nous y trompons pas, clame l’orateur, les Chinois ont pour objectif d’être les leaders en la matière dans un avenir très proche. Nous autres, Français et Européens, ne sommes pas de la bonne taille pour être à la hauteur des vrais enjeux de demain au niveau de ces technologies. Nous ne convergeons pas vers une vision globale et pratique de leur usage… ».

Il n’est pas certain, au terme de cet échange inattendu entre l’économiste et le politique, que les réponses de l’orateur aient pleinement rassuré ce dernier. Toutefois, et Elie COHEN de le rappeler avec une note d’optimisme, il est vraisemblable, que l’intelligence artificielle aura un impact indéniable sur certains secteurs de l’activité économique, à commencer par celui de la santé. Demain, et grâce à l’utilisation de ces auxiliaires technologiques novateurs, des interactions apparaîtront entre les praticiens et les aides obtenues grâce à l’apport de l’intelligence artificielle. Sans qu’il y ait un recul de l’emploi. Bien au contraire…

 

 


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 Il y a maintenant vingt ans, la société NISSAN allait droit vers la faillite. Un fleuron de l’industrie automobile japonaise prenait le chemin du cimetière des éléphants. Le Japon, comme l’Allemagne, après avoir été dévasté par la guerre, caracolait de nouveau à la tête des nations industrielles dans le monde. La France, elle, continuait son petit bonhomme de chemin, avec une industrie à sa place où depuis des siècles, nous enregistrions de belles réussites…

TRIBUNE : Disposant de belles PME actives, de quelques grands groupes industriels et de régions industrieuses, la France, face aux pays anglo-saxons, l’Allemagne d’abord puis le Japon, n’a jamais fait vraiment le poids. Depuis toujours, le déficit du commerce extérieur demeure un problème lancinant pour nos dirigeants politiques.

La régie Renault, symbole du « Colberto-étato-techno » culturel français, tenait pourtant sa place sur le marché français de l’automobile. Mais, ce système ne brillait guère à l’étranger. Aussi, peut-on être admiratif pour son patron de l’époque, Louis SCHWEITZER, d’avoir osé ce formidable défi : tenter de faire sauver Nissan par la marque aux losanges.

Exactement vingt ans plus tard, l’alliance « Renault-Nissan-Mitsubishi » est devenue le premier constructeur mondial d’automobiles. C’est le pari de Louis SCHWEITZER et l’œuvre de Carlos GHOSN. Le choix de ce dernier est également à mettre à l’actif de Louis SCHWEITZER. Fermez le ban !

Donc, en l’espace de deux décennies ans, un franco-libano-brésilien a su créer le premier groupe automobile du monde à partir d’une entreprise au bord du dépôt de bilan, d’une régie qui ne jouait pas vraiment dans la cour des grands en lui enjoignant un troisième groupe automobile japonais. Petit rappel en quelques chiffres : en 2018, Nissan a produit 5,81 millions de véhicules, Renault en a sorti 3,76 millions de ses usines et Mitsubishi à peine 1,03 million.

Ce n’est pas rien. Mais une évidence saute aux yeux. Dans cet ensemble, les Japonais produisent 6,84 millions de véhicules et les Français 3,76 millions de modèles. Vous avez tout compris...

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Les Japonais veulent bouger les lignes sans ménagements pour leurs partenaires…

Et le champion de tout cela a été arrêté à sa descente d’avion à Tokyo pour malversations financières personnelles. On ne sait pas exactement ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Et ce qu’on lui reproche véritablement…

En revanche, personne de sérieux ne peut croire que les dirigeants de Nissan pouvaient ignorer cela depuis des années. Le Japon, comme chacun sait, est une société encore féodale. Les liens entre les grandes entreprises, les hauts fonctionnaires, et la classe politique forment un réseau inextricable.

Aussi, cette affaire relève du drame shakespearien tel Macbeth. Les Japonais veulent reprendre le pouvoir et tout bousculer sur leur passage. Contrairement à toutes les déclarations sur la pérennité de l’Alliance, le drame shakespearien ne fait que commencer.

Les Japonais veulent changer les choses sans ménagements pour leurs partenaires français. Avec tous les risques que cela comporte…

Quelques chiffres mettent en évidence que cette alliance était devenue au fil des ans déséquilibrée.

Renault détient 43,4 % de Nissan tandis que Nissan ne détient que 15 % de Renault. De plus, l’État français, profitant d’une loi de circonstance, dite loi Morhange, bénéficie de droits de vote double chez Renault. Nissan est donc le deuxième actionnaire de Renault après l’État français.

En contrepartie de cette situation, pour le moins bancale, Renault s’est engagé à ne jamais s’opposer à la direction de Nissan au sein du conseil d’administration de Nissan.

Certes Carlos GHOSN a été frappé par la malédiction grecque : « Zeus rend fou ceux qu’il veut perdre… ». Il a donc trop tiré sur la ficelle des avantages personnels. Mais la question n’est pas là. Quels que soient ses torts sur le plan fiscal et celui de l’éthique. Non, la vraie question reste la vision réelle de l’Alliance qu’ont les Japonais.

Prenons notre place dans ce théâtre shakespearien de l’automobile et voyons la suite de cette pièce en plusieurs actes qui ne fait que commencer, contrairement à tout ce qu’on nous raconte.  Comme le disait le maître de la littérature britannique, ce sera « very exciting » à suivre !

Emmanuel RACINE     

                                                                                                                                                                 


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Unique traiteur de Bourgogne à bénéficier de la certification ISO 20211, la société de Chemilly-sur-Yonne se distingue, une fois de plus, dans le domaine du développement durable en ce début d’année. Ses dirigeant, Evelyne et Didier CHAPUIS, ont décidé de proposer l’intégralité de leurs packagings et consommables à base de carton. Après les assiettes en pulpe de canne, les couverts en bambou ou les verres réutilisables, la PME aux 250 collaborateurs déploie encore un peu plus ses ailes en faveur de la sauvegarde de l’environnement…grâce à des matériaux 100 % recyclables.

CHEMILLY-sur-YONNE : Créé en 1992 par ce couple mythique de la restauration et de l’art de la réception dans l’Yonne, le groupe FESTINS fait figure de modèle entrepreneurial incontournable du paysage gastronomique et festif de Bourgogne Franche-Comté.

Mais aussi, de la région Centre et de l’Ile de France puisque la structure y possède également plusieurs représentations commerciales et unité de production et y a transféré son savoir-faire.

Depuis plusieurs années, FESTINS a choisi de s’engager en faveur du développement durable. Par le biais d’une politique d’achats qui se veut responsable.

Adepte des circuits courts, l’entreprise accorde sa confiance aux producteurs du terroir et favorise l’accès aux produits de saison pour composer ses multiples plats et recettes culinaires. Ceux-ci sont concoctés sous la conduite du chef, Jean-Claude LESAGE, dans l’antre du siège social.

Directeur des achats au sein du groupe, Philippe HELIERE n’a pas hésité à placer la thématique du développement durable parmi ses priorités. Le lancement d’une vaisselle biodégradable et recyclable s’est imposé comme une évidence.

En ce début d’année, le carton vient compléter l’offre déjà éclectique de produits qui conforte FESTINS dans ses choix.

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60 % de fournisseurs engagés dans une démarche environnementale…

Le groupe aux deux boutiques localisées à Paris et une, historique, ouverte en Côte d’Or à Marsannay-la-Côte dès 2001, poursuit sans varier d’un iota son petit bonhomme de chemin vers la voie optimale de la qualité et de la protection environnementale. Jusque dans la sélection de ses fournisseurs.

Celle-ci suppose un cahier des charges drastique en amont. 60 % de ces prestataires ont précisément fait le choix de suivre l’approche écologique et environnementale du couple CHAPUIS. Dont une trentaine est située en Ile de France et en Bourgogne.

Dans le concret, les férus des produits FESTINS retrouvent ces critères de qualité dans la viande d’origine française, les poulets fermiers Label Rouge de Bourgogne, les poissons issus de la pêche durable ainsi que les fromages régionaux.


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Fonctionnelle au plan national depuis le 20 mars 2018, l’association puise ses fondements pratiques sur l’application de la démocratie participative. Initiée par le leader du Nouveau Centre, Hervé MORIN, la structure a proposé, bien avant le principe consultatif du Grand Débat national cher à Emmanuel MACRON, de prendre le pouls de nos concitoyens. Sous le prisme d’un double objectif : identifier les problématiques existantes et tenter d’y accoler en face des préconisations utiles à l’intérêt de la nation. A l’instar de clubs déjà opérationnels dans la Nièvre et en Côte d’Or, l’Yonne dispose désormais de ce nouvel outil de réflexion citoyenne dans son paysage politique et sociétal. C’est le référent départemental du Nouveau Centre, Jean-Philippe BAILLY, adjoint au développement du Commerce de la Ville d’Auxerre, qui en assure l’essor et la promotion…

AUXERRE : « Recenser l’ensemble des problèmes et trouver les solutions les plus appropriées ! ». C’est en guise de préambule l’axiome qui caractérise le mieux les objectifs de ce jeune mouvement, initié par Hervé MORIN, président des Régions de France et président de la Région Normandie.

Rassemblant des citoyens et des élus de l’Hexagone, cet organe associatif ne s’apparente pas à un énième parti politique. Il s’adresse en priorité à celles et ceux, foncièrement convaincus, que la réussite de notre pays s’imprime à celle de nos territoires. D’où son appellation légitime.

Il y a quelques jours (lire l’article correspondant), le chef de file du Nouveau Centre Hervé MORIN était de passage à Chablis. Accueilli par le président du Département, Patrick GENDRAUD, et Mahfoud AOMAR, président de l’AMF 89 (Association des maires de France), l’ancien ministre de la Défense a longuement exposé sa vision personnelle de la politique et de la gouvernance actuelle.

Mais, au-delà de l’analyse conjoncturelle de la situation française, le fondateur du Nouveau Centre y a surtout explicité les principes de fonctionnement de « Territoires ! ». Un outil pratico-pratique dont Jean-Philippe BAILLY, responsable de NC 89, fera écho autour de lui.

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Déjà plus de trois mille adhérents dans le pays…

Conviant tous les citoyens qui partagent des valeurs libérales, humanistes, décentralisatrices et européennes à le rejoindre, le référent départemental du Nouveau Centre espère un grand élan mobilisateur autour de cette refonte d’un nouveau projet politique. Celui-ci s’articule autour de sept chapitres fondamentaux : la transformation numérique, la construction d’une Europe qui protège, le renouvellement du pacte social, la confiance rendue aux territoires, le développement d’une société de progrès, la pérennité d’un avenir durable et la modernisation de l’appareil institutionnel.

« Dans ce modèle d’une démocratie ouverte et participative, expliqua-t-il, il n’y a ni chef, ni cotisation. Simplement, des personnes qui proposent leurs contributions pour bâtir un grand projet et apporter des réflexions sur des thèmes où les partis politiques traditionnels ne vont pas… ».

Et surtout de prendre le temps de se poser les bonnes questions et d’accepter toutes les bonnes volontés exprimées par celles et ceux des citoyens qui veulent y participer.

Parmi les quelques sujets, cités en exemple, on retiendra le poids du digital qui transforme nos constructions personnelles et nos consciences, l’organisation sociale de la société, les relations intergénérationnelles, les conséquences fiscales imputables à ces changements de paradigmes, la réforme des retraites en y incluant la valorisation de celles et de ceux qui participent à la réalisation sociale du pays, etc.

Des thèmes disparates mais ô combien essentiels de notre quotidien qui supposeraient d’en tirer enfin les véritables conséquences sur l’organisation fiscale, sociale, juridique et politique de notre état.

« Nous sommes tous des éléments de la démocratie représentative, devait conclure Hervé MORIN, lors de sa présentation de « Territoires ! », soyons, grâce à cet outil participatif, un facteur d’oxygénation indispensable à la démocratie ! ».

 

 

 


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