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A titre personnel comme au plan politique où elle représentait le député Guillaume LARRIVE, lui-même mobilisé Place de la République à Paris, la vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne et élue de Puisaye-Forterre ne pouvait se soustraire à ce rassemblement citoyen, mobilisateur à Auxerre. Avocate de formation, Isabelle FROMENT-MEURICE qui avait déjà pris fait et cause dans la lutte contre les violences faites aux femmes souhaite que les réseaux sociaux soient davantage encadrés. Sans tomber dans les travers de la censure. Et surtout, que nos concitoyens ne cèdent pas à la peur…

AUXERRE : Prendre part à cet appel à l’union contre l’antisémitisme et les actes discriminatoires représentait beaucoup pour vous en votre qualité d’élue ?

C’était tout bonnement indispensable à mes yeux ! Le président dans l’Yonne de notre mouvement, le député Guillaume LARRIVE était lui, Place de la République à Paris : il m’appartenait donc, en qualité de secrétaire départementale Les Républicains, de représenter notre formation politique. J’y serai allée de toutes façons, car je condamne ces actes antisémites et discriminatoires qui portent atteinte à la République dont nous sommes, nous, les élus, les représentants au sein de nos collectivités respectives.

Et sur le plan personnel ?

Une évidence ! Petite-fille de compagnon de la Libération, avec de surcroît une mère qui a été collaboratrice de Simone VEIL pendant des années au Ministère de la Santé, et justement parce que élue, il est de mon devoir d’assumer mes opinions. Je ne pouvais envisager de rester les bras croisés, sans exprimer publiquement mon indignation et mon soutien à toutes les victimes de ces actes.

Comment analysez-vous cette poussée de violence et de xénophobie qui se banalise depuis plusieurs semaines dans l’hexagone ?

Le sentiment de délaissement d’une partie de la population. Celle qui peuple la France rurale, loin des métropoles et de leur rythme tourbillonnant. Celle victime  de la « fracture territoriale » ou rurale comme l’appelle et l’analyse très justement le géographe Christophe GUILLY, s’est exprimé avec les « Gilets jaunes ». Du moins dans l’essence de ce mouvement, avant qu’il ne soit peu à peu dévoyé par ce que j’appelle les « anti-tout » : anti-élite, anti-élus, anti-journalistes, anti-taxes, qui tapent sur tout ce qui dépasse, tout ce qui réussit et qui attribuent la difficulté du quotidien aux complots mondiaux libéraux et antisociaux…Bref, la vanne s’est ouverte. Et avec elle, toutes sortes de débordements, que certains utilisent, sciemment, pour semer ce climat de violence et de xénophobie.

Légiférer davantage est une chose sur laquelle le Gouvernement souhaite s’atteler plus implicitement ces jours-ci ; en votre qualité de juriste, quelles seraient les parades idéales, selon vous, pour réduire ces intentions malveillantes à l’égard des populations victimes de ces actes odieux ?

L’arsenal législatif est principalement celui mis en place dans le cadre du code pénal et de la loi sur la presse. Cet arsenal permet déjà de poursuivre les auteurs d’incitation à la haine raciale, de harcèlement, d’atteintes au respect dû aux morts (pour la profanation des tombes du cimetière juif de Quatzheinem par exemple), ceux qui enregistrent filment et diffusent des images de violence etc… Mais, cet arsenal ne s’est pas encore adapté aux nouveaux moyens employés par ces auteurs, notamment dès lors que tout cela se fait par les réseaux sociaux… Il faut absolument encadrer la responsabilité des hébergeurs de ces réseaux sociaux, ce qui est un exercice délicat car il ne faut pas non plus tomber dans les travers de la censure… 

Adapter l’arsenal législatif est donc une nécessité. Mais, il est également indispensable que les victimes de ces actes portent plainte. Or par essence, les « minorités silencieuses », surtout quand elles portent encore dans leurs chairs les stigmates du passé, souhaitent avant tout se fondre dans la majorité, et ne pas attirer l’attention sur elles. Et le plus souvent, elles se cachent, honteuses alors que ce sont les auteurs de ces actes qui devraient être honteux.

On a connu la même chose avec les femmes battues, harcelées, violées. Depuis l’affaire WEINSTEIN et le #denoncetonporc, elles sont sorties de l’ombre et ont porté plainte. Je souhaite qu’il en soit de même pour les victimes d’actes d’antisémitisme et plus généralement des victimes d’actes d’incitation à la haine raciale : qu’elles soient encouragées à porter plainte systématiquement, qu’elles soient entendues, écoutées par les forces de police et de gendarmerie quand elles auront le courage de porter plainte, et que, du coup, la justice se saisisse et poursuive les auteurs systématiquement. La honte doit changer de camp !

La France Insoumise et le Rassemblement national n’ont pas été invités de manière officielle par le Parti socialiste, à l’initiative de ce grand rassemblement national, à manifester sa désapprobation contre l’antisémitisme. Est-ce franchement républicain dans l’esprit ?

Rien ne les empêchait de se joindre à ce Rassemblement national, la place était ouverte à tous, personne n’a, que je sache, montré la carte de son parti pour entrer ?

Vous êtes une élue de Puisaye-Forterre. Avez-vous eu vent de phénomènes antisémites sur cette contrée icaunaise ? Craignez-vous des effets boule de neige dans l’Yonne devant l’amplification de ces actes, savamment relayés par les médias ?

Je n’ai pas eu vent d’un acte de ce type en Puisaye. Mais, la Puisaye n’abrite à ma connaissance ni cimetière juif, ni synagogue…  En revanche, un maire s’est fait très violement attaquer, parce qu’il représentait l’autorité, la République, (le maire de Saint-Privé, Jean-François BOISARD), et à l’heure des réseaux sociaux, personne n’est à l’abri.

Vous développez des permanences qui favorisent les échanges et la concertation dans plusieurs localités de Puisaye-Forterre. Prendre le temps de rencontrer les citoyens est-il le moyen de renouer les liens avec la population et de résoudre les problématiques de la société ?

Je n’ai pas la prétention à moi toute seule de résoudre les problématiques de la société ! (rires). J’ai juste constaté que quand on était conseiller départemental de cantons qui sont maintenant assez étendus (24 communes en ce qui me concerne), il était difficile de rester un élu de proximité en recevant les personnes qui le souhaitent dans un bureau anonyme du Conseil départemental à quarante, voire cinquante kilomètres de là. Donc, j’ai souhaité rester à l’écoute, et si possible apporter quelques solutions en ouvrant une permanence à Toucy. Mais, également en en tenant une à Saint-Fargeau et une à Bléneau… Cela me permet de rester à l’écoute, et d’essayer, très modestement, d’apporter des solutions.

Est-ce que la France de 2019 vous fait peur en l’état actuel des choses ?

Avoir peur, c’est déjà se placer dans un état de résignation, et je ne crois pas que cela soit dans mon caractère. Prendre conscience de l’état de la France, écouter, comprendre et travailler chaque jour à essayer d’apporter des solutions, tel est mon état d’esprit...


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Une douzaine de stands itinérants se promènent à travers la France jusqu’au 15 mars, date butoir qui marque le terme du Grand Débat national voulu par la présidence de la République. Depuis le 18 février, une centaine de villes bénéficient de la visite de ce point de convergence, propice à la collecte des idées et de la récolte des préconisations. Ce stand de proximité a fait étape à Auxerre, deux jours durant, où il a été accueilli par le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, et Françoise FUGIER, secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’Auxerre. Cette dernière est aussi la référente « Grand Débat national » pour l’Yonne…

AUXERRE : Installé sur un point névralgique de la ville, le stand de proximité « Grand Débat national » avait pour objectif de collecter la parole citoyenne de personnes qui souhaitaient contribuer à la consultation nationale dont Emmanuel MACRON s’est fait le garant.

Tenu par des étudiants ou des juniors entreprises, sur la simple base du volontariat, le concept, mobile, s’est donc posé 48 heures dans la capitale de l’Yonne. Occupant ainsi la cour centrale de La Poste.

C’est à cet endroit, précisément, que le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, accompagné de la référente départementale « Grand Débat », la secrétaire générale de la préfecture, Françoise FUGIER, leur ont rendu une visite de courtoisie, placée sous le sceau de la découverte et de l’encouragement.

Collectées, ces contributions feront ensuite l’objet d’une numérisation avant d’être analysées par des logiciels spécifiques faisant appel à l’intelligence artificielle. Conséquence : les résultats déboucheront sur des analyses globales nettement plus abouties, permettant in fine de produire des synthèses très précises.

A ce jour, l’Yonne a déjà été le théâtre d’une quarantaine de rendez-vous publics. Beaucoup de participants sont issus des milieux de retraités, de mouvements associatifs, institutionnels et politiques.

La mise en harmonie de ces différentes rencontres à l’échelle départementale a été le fruit du travail de Françoise FUGIER et des services de la préfecture.

 


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Un dossier sur quatre déposé auprès des services de la Banque de France sur le territoire de l’Yonne est la résultante d’une difficulté immobilière. Ce phénomène va en s’amplifiant d’année en année et concerne le plus souvent de jeunes ménages qui ne peuvent plus faire face à leurs remboursements de crédit, contractés sur plusieurs années. Malgré un coût du logement moindre que l’Ile de France, l’endettement immobilier demeure très élevé dans notre département (45,1 %) et se situe bien au-delà du taux observé pour le reste de la Bourgogne Franche-Comté (38,6 %).

AUXERRE : Comment expliquer de tels écarts avec les autres départements de la région Bourgogne Franche-Comté ? Les chiffres à leur lecture parlent d’eux-mêmes. En matière de surendettement, l’Yonne affiche un zéro pointé pour ce qui est du dossier de l’accès à la propriété.

Cibles visées : les néo-propriétaires. De jeunes couples qui se saignent les veines pour honorer les échéances mensuelles de leurs prêts, venant grever de manière automatique leur budget.

A titre comparatif avec l’ensemble des départements de la région, le différentiel se creuse. Soit un écart de 6,5 % en défaveur du département le plus septentrional de la contrée.

De multiples causes peuvent amener à ces situations complexes à gérer. La perte d’un emploi, la mobilité qui engendre des frais supplémentaires, la recomposition familiale, la baisse du pouvoir d’achat.

Le chômage, à titre d’exemple, régresse quelque peu sur notre secteur. Toutefois, il touche encore 8,3 % de la population. Alors que la statistique n’excède pas 7,7 % à l’échelle régionale.

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Un état de fait imputable à de multiples facteurs…

Faudrait-il rechercher les origines de la problématique dans la faiblesse des salaires versés dans notre département et au niveau de qualification professionnelle alors que le nombre d’allocataires bénéficiant du RSA (5,3 %) se positionne là aussi au-delà de la moyenne de la Bourgogne Franche-Comté (4 %) ?

Ce n’est pas pour rien que l’Yonne possède l’un des taux de surendettement les plus élevés de France. Même si la tendance est baissière pour la sixième année consécutive. Une observation qui impacte aussi l’Yonne et ses 1 350 personnes concernées.

Sociologiquement, l’Yonne ne brille pas au niveau de la réduction de son taux de pauvreté et de l’illettrisme, enregistrant des seuils importants (14,6 % de la population), tandis que les données régionales se stabilisent à 13,2 %.

Elément inquiétant à ajouter au dossier : plus de 50 % de ces personnes en situation précaire ne touchent guère que le SMIC en termes de revenus, voire ne disposent pas des capacités financières suffisantes pour honorer leurs remboursements d’emprunts.

Reste le paramètre du coût de la mobilité et des transports. Un facteur aggravant depuis la hausse inexorable du prix des carburants observée au cours de ces dernières semaines.

On le voit, et même si la situation ne s’aggrave pas dans l’Yonne, de nombreux sujets de préoccupation persistent encore selon les rapports officiels de la Banque de France. Le dernier en date se destine aux retraités dont la vie quotidienne se dégrade et qui intègrent dorénavant les paramètres de surveillance de la vénérable institution.


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Présent dans l’effectif de la formation professionnelle icaunaise depuis juillet 2017, le gardien suppléant de l’AJ Auxerre profite de la période des transferts pour rompre son engagement avec son club. C’est une légère anticipation sur la fin de son contrat. Celui-ci arrivait à son terme au mois de juin. Le franco-américain, âgé de 32 ans, évoluera d’ici peu en MLS (Major League Soccer), la première division nord-américaine qui rassemble des équipes du Canada et des Etats-Unis.

AUXERRE : Départ imminent pour les States pour le natif de Suresnes. Un rêve qui devient réalité après l’accord trouvé avec l’AJ Auxerre. Le club de Ligue 2 a accepté de résilier le contrat qui le tenait avec son joueur jusqu’à la fin de cette saison.

Une anticipation réussie qui permettra à Quentin WESTBERG de quitter plus tôt que prévu ses partenaires afin de traverser l’Atlantique et de poser ses valises dans le pays continent d’ici quelques jours.

Là-bas, l’ex-gardien de but de l’AJA (il avait disputé une vingtaine de matches sous le maillot bleu et blanc) entamera une nouvelle carrière sportive. Sans pour autant être dépaysé. En effet, détenteur de la double nationalité, le footballeur connaît bien les USA pour y avoir déjà pratiqué son sport de prédilection dans les équipes de jeunes.

Avant de protéger les cages de l’AJA, Quentin WESTBERG avait officié à Troyes, Evian, Luzenac, Sarpsborg (Norvège) et Tours.

Ce départ profite, par effet gigogne, au jeune international Sonny LAITON. De fait, le garçon grimpe d’un cran dans la hiérarchie des gardiens du club bourguignon.


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Solidarité, civisme et tolérance. Trois mots clés dans la sémantique usuelle employée par les membres de la Jeune chambre économique. A l’instar des cent vingt structures qui fédèrent plus de deux mille adhérents dans l’hexagone, celle de la capitale icaunaise ne déroge pas à la règle. Depuis sa fondation en 1965, l’entité associative fourmille d’idées bénéfiques à la société et à son environnement. Porteuse de projets dont elle lance les fondamentaux avant de passer le témoin à d’autres organismes, la JCE Auxerre occupera cette année encore un terrain propice à l’essor de son inventivité. Avec à sa tête, un nouveau président, Adrien BAILLY, désireux de contribuer à l’avènement d’un monde meilleur…   

AUXERRE : Ecole pragmatique de l’apprentissage citoyen et de la prise des responsabilités, la JCE devrait s’inscrire parmi les étapes obligatoires de l’existence dans le cursus des jeunes générations, prêtes à en découdre avec les enjeux économiques et sociétaux de demain.

Oui mais, voilà, malgré tout le bien-fondé que l’on peut octroyer à juste titre à ce mouvement associatif dont les primes racines nous viennent des Etats-Unis, comme une foultitude de structures équivalentes, aucun texte législatif ne vient imposer cette orientation ô combien épanouissante pour ses représentants.

Reste donc la cooptation et une irrésistible envie de faire bouger les lignes de la société qui nous entoure pour pouvoir prétendre, tôt ou tard, y jouer un rôle significatif avant l’âge fatidique de quarante ans. Un couperet immuable qui met un terme définitif à cette belle aventure humaniste, à moins, pour certaines et certains d’entre eux, d’y jouer les prolongations en qualité de sénateurs et membres ad vitam aeternam.

Un mouvement à la déontologie positive et humaniste…

La quarantaine, Adrien BAILLY, s’en soucie comme de sa première chemise. Le jeune homme qui vient d’être porté au pinacle de la motivation en accédant à la présidence va pouvoir dérouler sereinement le copieux programme dont il a hérité. Un legs de son ami et prédécesseur, Edouard LEPESME, qui dirigeait jusque-là l’antenne auxerroise. Douze mois de mandat : c’est à la fois fort peu et très long à l’échelle du temps.

Insigne de représentant suprême de la structure au revers de la veste, Adrien BAILLY prononça le serment officiel avec quelques zestes d’émotion au fond de la gorge. Pas facile, jeune homme, d’endosser une telle responsabilité !

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Car, la JCE n’est pas un organisme ordinaire. Il se mérite, se décline en une kyrielle de projets et d’évènements, et se gère de manière collective et par la représentativité de chacun au sein de commissions.

Puissant réseau à l’échelle planétaire (112 pays accueillent à l’heure actuelle le mouvement de ces jeunes gens apolitiques et respectueux des différences d’autrui), la Jeune chambre économique est profondément vertueuse. Reconnue d’utilité publique, la structure ne répond qu’à un seul et unique objectif : servir l’intérêt général.

Etre le réseau incubateur des leaders citoyens d’aujourd’hui et de demain…

On l’aura compris, le terrain de jeu de ces bénévoles au grand cœur et à l’altruisme sociétal affirmé est vaste. Tant au niveau de l’aménagement du territoire que de celui de l’environnement. Mais aussi, en matière de développement économique salvateur à l’humain, notamment en favorisant les projets et concepts qui mettent en exergue la pratique de l’économie circulaire, la sauvegarde de la nature, la valorisation d’un modèle social novateur où l’homme ne serait plus livré aux miasmes de systèmes hégémoniques contraires à son éthique.

Récemment, une journée de formation réunissant une cinquantaine de personnes dont le délégué territorial administrateur national a été organisée à Auxerre. Ouverte aux membres du bureau, dont le nouvel organigramme de la JCE locale, elle aura été très fructueuse en permettant à ses hôtes de s’immiscer au cœur de l’univers JCE.

Et surtout de réaffirmer à chacun l’identité propre à ce mouvement universel : être un incubateur de leaders citoyens d’aujourd’hui et de demain. Plus que le credo officiel, énoncé de manière cérémoniale à chaque rencontre, il s’agit d’un vrai sacerdoce dont personne ne peut plus ignorer la symbolique…

 


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