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Ces quatre mouvements politiques, proches ou en soutien de la majorité présidentielle, feront liste commune lors de la campagne des Européennes 2019 à l’échelle nationale. Au niveau de notre territoire, leurs représentants départementaux ont choisi de se positionner sur une stratégie similaire. Engendrant de facto la signature d’une charte de valeurs réciproques en faveur d’une Europe forte…

AUXERRE : Le leitmotiv est simple. Alors que le Vieux continent semble être à la croisée des chemins dans bien des domaines qu’ils soient sociaux ou économiques, les forces politiques de progrès entendent bien relever le défi. Et aller de l’avant en apportant leur lot de réformes au service des citoyens.

Ce ne fut donc point une surprise que d’assister il y a quelques jours à une conférence de presse, réunissant plusieurs cadres et acteurs emblématiques de la politique icaunaise. Tous étaient rassemblés derrière le projet incarné par le président de la République, Emmanuel MACRON, lancé à l’échelle de l’Europe, et baptisé : « Renaissance ».

Outre les représentants des quatre formations signataires de cette charte de partenariat (Patrice José TAMPIED AZURZA- LREM, Pascal HENRIAT -MODEM, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI -AGIR et Elodie ROY - Mouvement des radicaux), l’ancien Secrétaire général de la CFDT et conseiller municipal de Villeneuve-sur-Yonne, Jean KASPAR, se joignit à eux.

Initiateur et rédacteur de la charte de partenariat, ce dernier occupe également la fonction de conseiller politique de La République en Marche.

Dans l’absolu, les leaders charismatiques de ces formations progressistes feront campagne de manière conjointe pour les futures échéances européennes du 26 mai.


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Se confrontant à d’autres candidats dans la catégorie « Innovation commerciale et qualité », le responsable de « l’Ambiance des Halles » s’est vu récompenser d’une distinction suprême. Saluant son professionnalisme et sa pugnacité à vouloir accroître sa dynamique commerciale. Steve BAGOT a reçu son précieux sésame au ministère de l’Economie, en présence du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Alain PEREZ et du vice-président Commerce, Marc MANDRAY…

PARIS : Conçu chaque année depuis 1974, le challenge national du Commerce et des Services offre une vitrine intéressante en matière de communication à ses bénéficiaires. Mis en lumière pour leur savoir-faire, leurs compétences, leurs innovations et leur réussite, les entrepreneurs peuvent concourir dans plusieurs catégories. Elles sont au nombre de huit au total.

Englobant les items incontournables du parfait chef d’entreprise : la qualité et l’innovation commerciale (celle où se présentait le représentant de l’Yonne), le e-commerce, le commerce non sédentaire, le commerce rural, etc.

Ce challenge est organisé par CCI France et le réseau des chambres consulaires  en partenariat avec la Fondation d’entreprise MMA des entrepreneurs du futur.


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Parce que l’entreprise utilise du chanvre qui se veut local et sans pesticides, et que l’entité a su innover grâce à un processus de fabrication proposant un produit compact de belle qualité, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation l’a récompensée lors de la première édition des Trophées de la Bio Economie. Digne représentant de la Bourgogne Franche-Comté, GEOCHANVRE rejoint ainsi les dix autres lauréats de cette distinction nationale,  pourvue d’une enveloppe financière offerte par le partenaire de l’opération, le Crédit agricole…

LEZINNES : Favoriser une alternative judicieuse aux produits fossiles dans de nombreux domaines énergétiques, matériaux et chimiques définit les principes fondamentaux de la bio économie. Une nouvelle discipline sectorielle qui est vivement encouragée par le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation.

Les DRAAF (Directions régionales de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt) ont été les dépositaires des dossiers de candidature de la première édition de ces trophées, devant encourager les bonnes initiatives.

Onze régions ont d’ailleurs été plébiscitées par les membres d’un jury composé de professionnels et de spécialistes. Et fort heureusement, la Bourgogne Franche-Comté comptait parmi celles-là !

La valorisation de la filière constituait le socle élémentaire pour prétendre glaner l’une des récompenses. Seuls les projets récents et aboutis de mise en exergue de dossiers non-alimentaires de ces bio-ressources ont été retenus. Mais, au-delà de cette valorisation, ces trophées novateurs ont pour objectif de mettre un sérieux coup de projecteur médiatique sur ce segment de l’activité économique. Un secteur qui représente désormais une réalité de marché à fort potentiel…

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Cinquante-cinq dossiers déposés au niveau national…

Outre l’un des partenaires indissociables de ce projet, la Caisse régionale du Crédit agricole Champagne Bourgogne, le jury qui a œuvré sur notre territoire était placé sous l’autorité du préfet de Région. Chaque dossier a ainsi été analysé, expertisé et évalué avec grande méticulosité avant que n’advienne le verdict définitif.

Localisée sur l’ancien site de production du cimentier LAFARGE, la société GEOCHANVRE conçoit des toiles à partir de fibre issu du chanvre.

Plante rustique à la culture ne nécessitant pas de grosses quantités d’eau, le chanvre couvre le sol en éliminant les mauvaises herbes et résiste très bien face aux effets nuisibles de la maladie. Son traitement entraîne le développement de circuits locaux qui développent l’économie circulaire.

D’un point de vue technique, les fibres végétales sont liées par projection d’eau sous haute pression grâce à un procédé technique novateur, l’hydroliage. Un système révolutionnaire qui offre à la structure de ne pas ajouter d’adjuvants.

Porteuse d’une dizaine d’emplois, la TPE dirigée par Frédéric ROURE, assure la production de toiles de paillage, de pots, de balconnières mais également de sacs à main, imaginés avec le concours de la styliste icaunaise Colette BECHET. Cette dernière a travaillé jadis avec des stars du grand écran, telles Brigitte BARDOT et Claudia CARDINALE.

Agronome, ingénieur, écologue, Frédéric ROURE ne pouvait être que satisfait de cette remise de prix qui salue son travail mais aussi celui de ses précieux collaborateurs.

 


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Récemment, la journaliste non adepte de la langue de bois Élise LUCET consacrait dans son émission, « Envoyé spécial », un reportage aux personnes qui ne possèdent pas de logement. Le magazine « Télé Z » résume leur situation en quelques phrases lapidaires : « Un travail mais pas de toit. Ils ont un CDI ou un CDD et pourtant, leurs revenus ne leur permettent pas d’obtenir un logement. Contrairement à leurs collègues qui, le soir venu, regagnent leur domicile, eux vivent au bureau, dans un parking, une voiture ou chez des amis pour les plus chanceux… ». Un cruel dilemme que vivent des milliers de nos concitoyens…

TRIBUNE : On n’a jamais résolu la question du logement en France. Pourquoi ? La première cause, bien sûr, est à la fois imputable au monstrueux égoïsme et à l’inconscience phénoménale des classes dirigeantes depuis des siècles. En fait, depuis les origines de l’humanité, sauf, probablement au cours de la Préhistoire. Les hommes, alors, étaient tous à la même enseigne, vivant ensemble dans une caverne. En tout cas, c’est certainement la seule époque de l’Histoire où régnait l’égalité entre les hommes, avec un logement unique pour tous et de la nourriture à partager.

Depuis, la situation s’est dégradée. Un bel exemple illustre le mépris des classes dirigeantes pour le logement des « gens de peu », du « peuple des abysses », des « sans dents » : des millions de visiteurs se pressent chaque année au château de Versailles.

On visite la chambre du Roi, de la Reine, éventuellement de magnifiques écuries, mais personne ne se pose la question du logement de ce personnel qui était au service de la Cour. Les historiens estiment que cette population représentait environ trois mille individus. Où logeaient-ils ? Où dormaient-ils ? Oui, personne ne se pose jamais la question.  La réponse est pourtant simple et sans équivoque : il n’y avait pas de logements attribués au personnel de la Cour. Ces serviteurs dociles dormaient là où ils le pouvaient, sous les combles, dans les escaliers, dans les écuries…

Aujourd’hui, la société française se dit républicaine. Partout, elle écrit : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Mais, cette devise ne s’applique pas vraiment au logement. De Versailles à la Vème République, on constate donc à travers l’histoire de notre pays la même indifférence pour ce droit primordial que représente l’habitat de la part de la classe politique pour « les gens d’en bas ». Cette même incapacité séculaire à résoudre cette question, pourtant élémentaire dans toute société qui se respecte et qui prône les vertus des droits de l’Homme.

De multiples raisons à l’envolée inexorable du foncier…

Après la Seconde Guerre mondiale, dans l’esprit de la reconstruction, l’Etat a créé le mouvement « HLM ». Ce n’était pas parfait, certes, tant le retard à combler était immense. Cela a suscité néanmoins un grand souffle d’espérance. Et puis, le soufflé est retombé. Platement et de manière irréversible. Pourquoi ? Tout simplement, horriblement, parce que pour des millions de Français, leur revenu ne leur permet pas de payer le loyer correspondant à un logement décent.

Il y a plusieurs raisons à cela. La première est le prix du foncier. Selon Alain DININ, un grand promoteur, la part du foncier, dans un logement, représente actuellement 30 % du prix du logement. Ce qui est proprement inadmissible !

Deuxième raison : elle réside dans la « décohabitation », c’est-à-dire que les ménages se sont disloqués et là où un logement abritait autrefois une famille, il faut maintenant deux lieux de résidence. Au total, on compte deux millions de familles monoparentales qui, dans 82 % des cas, sont constituées d’une mère avec ses enfants.

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Une troisième raison réside dans l’inexorable concentration urbaine, la cause principale du prix inflationniste du foncier. Là encore, on voit le poids de l’histoire. Richelieu disait déjà : « Paris périra de sa trop grande grandeur… ».

Quant à la quatrième raison, elle repose sur l’afflux de normes en tous genres qui augmentent fortement le coût du logement et de procédures d’urbanisme qui ont fini par former un véritable maquis.

Se résigner, non ! Il faut une politique volontariste !

La conséquence de tout cela est sans appel : en trente ans, le prix réel des logements a été multiplié par deux et les loyers ont fait un bond prodigieux de 30 % !

Va-t-on donc se résigner, abdiquer, démissionner, renoncer, capituler et laisser des millions de Français dans la détresse du mal logement, voire du pas de logement du tout ?

Va-t-on dire, comme un président de la République avouant son impuissance : « Le chômage, on a tout essayé ! » et jeter le manche après la cognée ?

Non, on ne peut pas, on ne doit pas abdiquer ! Il faut simplement avoir les idées claires, de la volonté et inscrire avec détermination son action dans le temps, c’est-à-dire ne pas changer de ministre tous les deux ans. La semaine prochaine, nous tracerons de nouvelles voies pour sortir de cette ornière sociétale qui n’a rien d’inéluctable…

Emmanuel RACINE


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Favorable à une société ouverte à davantage de participation citoyenne et au repositionnement du rôle de l’élu de proximité, le président du Sénat, Gérard LARCHER, hôte de l’Association des Maires de l’Yonne (AMF) lors de leur assemblée générale annuelle, s’est livré à l’incontournable exercice de la conférence de presse à l’issue de ces travaux. Une manière directe et franche pour rappeler aux journalistes que les pouvoirs politiques en place sont légitimes et que la guerre entre l’Elysée et le Sénat n’existe pas…

NITRY : « Dans cette société actuelle, il y a un nouveau souffle à trouver. On ne peut résoudre les affaires de notre pays avec seulement quelques textes de loi à mettre en place, surtout quand nous vivons une période de crispation aussi sévère… ».

Décontracté, prenant le soin de répondre avec minutie aux interrogations des médias régionaux, le second personnage le plus important de l’Etat a exprimé dans cet exercice oratoire qu’il a su gérer avec sa prestance habituelle de grandes lignes directrices sur la situation de l’Hexagone.

« Vous savez, précise-t-il face aux micros, il est nécessaire de créer un nouvel état d’esprit dans ce pays, de développer une nouveau mode opérationnel menant à une génération adaptée de la décentralisation. Instaurons un pacte de confiance entre les Français et celles et ceux qu’ils ont choisi lors d’un scrutin. Cela ne peut se faire qu’en redonnant de la confiance… ».

Parlant de la légitimité des institutions, Gérard LARCHER a su lever avec véhémence tous les doutes sur la question.

« Le Président de la République est légitime : j’y tiens beaucoup. De même, le Parlement est légitime, aussi. Quant au gouvernement, il a reçu la confiance d’une large majorité issue du parlement. Moyennant en quoi, la légitimité des pouvoirs n’est pas à débattre en France... ». Dont acte !

Un message clair et net adressé à celles et ceux qui prétendent le contraire depuis plusieurs semaines dans les rues et sur les ronds-points de France.

Evoquant les inquiétudes des édiles, le président du Sénat se veut plein de compassion à leur égard : « Les maires peuvent avoir le sentiment qu’ils ne sont pas beaucoup compris. C’est vrai. Au mois de novembre, la formule les concernant était la suivante : c’était « balance ton maire ! ». Quelques mois plus tard, en février, la formule avait radicalement changé, devenant ainsi « accroche-toi à ton maire ! ».

Personnellement, j’ai envie que la République s’accroche à ses élus de proximité. Non pas qu’il y ait un signe de désespérance mais parce que le maire représente un élément clé au sein de la République. Que ce soit celui de Nitry où nous sommes en ce moment ou celui de Lille où j’étais hier soir encore. La commune est un élément essentiel de la communauté nationale… ».

Comment redonner du pouvoir au maire ?

La réponse du président du Palais du Luxembourg se résume à un seul mot : équilibre. « C’est par une nouvelle forme de décentralisation qu’il nous faudra trouver un juste équilibre entre les intercommunalités et les communes, ajoute Gérard LARCHER. C’est aussi une des préoccupations majeures du président de l’AMF de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui a su fédérer un nombre impressionnant d’élus autour de lui, au sein de son organe associatif. D’ailleurs, je me réjouis de constater que 93 % de la population de ce territoire est ainsi représentée par ses élus au sein de l’association : c’est énorme ! Mais, j’insiste : l’intercommunalité est une très bonne chose pour notre démocratie… ».

Et de rappeler à ses interrogateurs d’un jour que le principe de la subsidiarité demeure encore ce que l’on fait de mieux ainsi que la proximité.

Se remémorant le texte législatif initial, Gérard LARCHER expliqua avoir voté en faveur de la promulgation de la loi Chevènement en 1999 alors qu’il était dans l’opposition. « Ce texte me semblait être une bonne démarche pour notre pays… ».

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La commune, petite République dans la grande République…

Forte en symbole, la phrase que le président du Sénat avait lâchée quelques minutes plus tôt au pupitre de l’assemblée générale de l’AMF revint au centre des sujets de cette rencontre avec la presse. Et Gérard LARCHER de fournir des explications complémentaires…

« Cette phrase, je l’ai empruntée au sous-préfet de Palaiseau, autrefois à Rambouillet, Abdelkader GUERZA. Elle me paraît tellement importante aujourd’hui. Car, la notion d’une petite république ne se vit pas comme une fraction séparée ; bien au contraire, cela signifie que la commune est un élément indissociable et nécessaire à la construction de la République toute entière… ».

Certes, faute de temps ou parce que le sujet ne s’inscrivait pas parmi ses thèmes à évoquer ce jour, Gérard LARCHER fit abstraction de manière volontaire de la future révision de la constitution. Un projet de réforme retardé à cause des évènements actuels. Mais, il aura juste à préciser sur ce point que le Sénat était tout à fait disponible à travailler sur cette thématique.

Enfin, le président du Sénat conclut son échange direct avec les médias en parlant de la société française.

« Je comprends que nos compatriotes soient tendus. Mais, je reste serein et croit aux valeurs de la République. D’ailleurs, l’essentiel n’est pas de savoir si le pouvoir de l’un fera mieux que le pouvoir de l’autre au niveau du parlement. Car, il est impératif de sortir le pays de la crise dans laquelle il est plongé depuis très longtemps, et ce bien avant mai 2017. Quant aux collectivités, elles vivent dans l’incertitude depuis 2018 ayant eu à subir un nombre impressionnant de lois territoriales. Enfin, la « guerre ouverte » entre le Sénat et l’Elysée n’existe pas ! Moi, je ne suis en guerre contre personne et je vous le confirme les yeux dans les yeux… ».

Fin de l’exercice sous le crépitement des flashes des appareils photographiques !

 


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