Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Parmi les rencontres de cette vingt-septième journée du championnat de Ligue 2, une affiche ne peut laisser indifférents les aficionados de football. L’AJ Auxerre recevra en effet ce vendredi à l’Abbé Deschamps, dès 20 heures, son voisin aubois, le club de Troyes. Un derby sur le papier qui ne semble pas perturber, outre mesure, l’entraîneur franco-uruguayen de la formation nord-bourguignonne. « Affronter le premier du classement ou le dernier, ou n’importe quelle équipe, c’est du pareil au même… ». Dont acte !

AUXERRE : Entre l’ESTAC voisine et l’AJ Auxerre, il ne serait pas question de derby si l’on suit le raisonnement du coach auxerrois ? Sans être irrespectueux des Troyens – et il le précise tout de go lors de sa conférence de presse d’avant-match-, il n’y a rien de comparable entre les deux clubs à y regarder de plus près. Question de palmarès, au vu de l’histoire vécu par ces deux formations au cours de leurs pérégrinations en championnat de France, toutes divisions confondues, et en Coupe de France.

Pour Pablo CORREA, une chose demeure évidente : il demande à ses poulains d’être avant tout autre chose de vrais compétiteurs. Et c’est tout ! Le mot clé est lâché et qu’importe finalement l’adversaire du jour. Il les invite à ne jamais abandonner cet état d’esprit.

Pointés à la douzième position du classement (33 points), les protégés du coach sud-américain retrouveront, néanmoins, sur leur route, la sixième équipe dans la hiérarchie de cette saison.

« Je le concède, il nous faut nous améliorer après notre échec d’Ajaccio, précise le coach de l’AJA, il nous faut ressentir la saveur de relever ce nouveau défi… ».

Oui, mais voilà, reste-t-il des traces indélébiles de la défaite de la phase « aller » qui s’était soldée au bout du compte par un revers (1-0) des Icaunais ?

Le coach constate qu’il existe toujours un petit quelque chose de spécial entre ces deux clubs, sans doute est-ce lié à leur proximité géographique, les deux villes étant distantes d’environ 80 kilomètres. Au-delà de ces considérations, Pablo CORREA espère trouver les solutions adéquates pour obtenir un résultat acceptable. Quoi d’autre que la victoire, par exemple ?

Face à Troyes, il n’est nullement question de rivalité et de suprématie à la « Clochemerle ». Simplement, les joueurs doivent prendre en compte, en se les appropriant, tous les ingrédients nécessaires à leur progression. Tant au plan comptable à l’issue de cette journée qu’au plan technique afin d’évoluer.

milieu articles

Corriger les erreurs individuelles qui ont fait défaut…

Convaincu qu’il lui reste beaucoup de choses à accomplir dans ce championnat – douze journées sont encore au programme avant le clap définitif -, l’entraîneur auxerrois souhaite la mobilisation de l’ensemble du groupe.

« Certains ont démontré leur motivation réelle, ajoute-t-il, d’autres, non. Je ne suis pas là pour les punir mais pour qu’ils soient dans l’investissement. Quand l’équipe ne tourne pas rond, les meilleurs, ce sont les absents. Donc, s’ils ne sont pas présents, c’est parce qu’il y a des éléments qui produisent un jeu plus qualitatif qu’eux. Les joueurs détiennent seuls la clé de leur présence ou pas sur le terrain… ».

Conscient de ce besoin de corriger impérativement les erreurs individuelles qui ont fait du mal lors des dernières rencontres, le coach envisage la troisième partie du championnat en phase avec ses objectifs.

« Les joueurs doivent exprimer de la fierté et de la satisfaction lorsqu’ils portent ce maillot. Pour l’heure, je n’ai pas encore tranché sur la composition définitive de la feuille de match. Je cherche toujours celle qui doit donner le maximum, en prenant en compte les blessures de quelques-uns qui sont à déplorer… ».


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est avec beaucoup d’émotion et une bonne dose de convivialité que le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne a mis un terme à sa fonction consulaire après quatre années de bons et loyaux services. Son ultime discours a été adressé à ses collaborateurs, en présence de nombreuses personnalités des milieux institutionnels et économiques du département. Un dernier salut avant qu’il ne vaque à de nouvelles occupations qui le conduiront sous quarante-huit heures à Nantes. Nommé directeur général adjoint du Conseil régional des Pays de la Loire, Sébastien VALLET se concentrera, parmi ses multiples tâches, à l’optimisation de l’emploi, de la formation et de l’apprentissage dans une contrée économique de tout premier plan…

AUXERRE : L’information circulait déjà depuis quelques semaines dans le landerneau économique, s’extrayant ainsi des coursives confidentielles ordinaires. Le directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne quitte la vénérable institution après y avoir initié durant près de cinq ans de jolis projets et de multiples partenariats s’avérant fructueux.

L’appel du large a donc happé Sébastien VALLET. Il n’avait jamais caché ses appétences géographiques pour l’ouest de l’hexagone. En particulier la ville de Saint-Malo et la Bretagne. Mais, c’est à Nantes, en Loire-Atlantique, que ce garçon brillant, au profil de « gendre idéal » de l’avis de son président Alain PEREZ, posera ses valises dès le 01er mars.

Exit le milieu consulaire, retour à la case départ parmi la sphère plus politique et administrative d’un organisme régional. Un milieu que maîtrise à la perfection le diplômé de l’ENACT de Nancy (Ecole nationale d’application des cadres territoriaux) et de HEC Paris.

Une expérience accomplie auprès de la sphère politique…

Nommé directeur général adjoint en charge du développement de la formation et de l’apprentissage, Sébastien VALLET intègre la garde rapprochée de la présidente de l’exécutif ligérien, Christelle MORANCAIS (Les Républicains), chef d’entreprise quadragénaire qui devait succéder en 2014 à Bruno RETAILLEAU.  

Avant sa découverte du monde consulaire, Sébastien VALLET s’était déjà exercé avec brio et implication aux postes à responsabilité dans la commune de Yerres, tout d’abord où il occupa la fonction de directeur de cabinet au service de l’édile local. Un certain Nicolas DUPONT-AIGNAN. Une fonction similaire qui le propulsera ensuite vers la Bourgogne, sur le territoire de Côte d’Or, auprès de François SAUVADET, alors président du Département.

Au sein du Conseil régional des Pays de la Loire, le challenge à relever sera tout aussi passionnant pour ce connaisseur des rouages institutionnels. Il déclinera la politique mise en œuvre par la présidente qui souhaite tout mettre à plat en 2019 pour résoudre la récurrente problématique du chômage et l’absence de formation pour certains d’entre eux.

milieu articles

Priorité à l’emploi et à la formation dans sa future vie professionnelle…

La Région Pays de la Loire développera de nouvelles formations cette année au bénéfice des demandeurs d’emploi. Elles seront adaptées aux besoins des entreprises ligériennes.

Parallèlement, l’un des dossiers majeurs qui attend Sébastien VALLET sur son nouveau bureau sera celui de l’essor d’un véritable parcours de réussite destiné aux jeunes pousses de la contrée.

Soit un potentiel de 160 000 lycéens, mais aussi plus de 32 000 apprentis. Ce combat de la formation qui mène à l’emploi représente la mère des batailles pour la présidente de l’exécutif régional.

Ardent défenseur de l’entité et de l’esprit consulaires, Sébastien VALLET n’a qu’un seul regret avant de déménager de l’Yonne : celui de ne pas avoir mené à leurs termes certains gros chantiers.

Toutefois, avant de partir, il a eu le temps de finaliser l’espace de co-working qui sera opérationnel au siège auxerrois dès la semaine prochaine. Ce lieu de vie accueillera un public interne/externe, propre à développer leurs projets.

Saluant le degré de performance des CCI et de ses équipes dont celles de Bourgogne Franche-Comté à l’échelle du pays, Sébastien VALLET se dit pleinement rassuré pour l’avenir.

D’autant que l’organisme consulaire conservera son statut d’établissement public. Le mot de la fin lui revint lors de cette réception de départ : « Je souhaite que les CCI continuent à avancer, en étant au service des entreprises, elles pourront de fait vivre ainsi quatre cents ans de plus sans être inquiétés ! ».


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Vous faites sans doute partie des millions d'internautes à avoir visionné sa vidéo « Comment avoir de la chance ? » ou à avoir assisté à l’une de ses conférences sur le pouvoir de l'optimisme. Philippe GABILLIET apporte aujourd'hui sa vision claire et percutante de l'audace. A la lecture de ce témoignage, vous allez réactiver votre sens de l’audace et ouvrir grandes les portes à de nouveaux challenges…

TRIBUNE : Beaucoup d'entre vous connaissent Philippe GABILLIET. Que ce soit pour le talent avec lequel il nous a fait  partager l'éloge de l'optimisme, ou parce que vous avez été l'un des millions à regarder la vidéo, « Comment avoir de la chance ? » qu'il a réalisée et à découvrir sur la référence www.philippegabilliet.com.

Ce talent d'orateur, qui donne une impression de grande facilité, n'est bien sûr pas le fait du hasard (qui ne favorise que les esprits préparés). Sociologue, professeur à ESCP Europe, chercheur, et conférencier reconnu, il travaille en profondeur les sujets qu'il nous partage. Lorsque vous avez la chance de le rencontrer, vous êtes aussi impressionnés par sa simplicité et sa disponibilité.

Après la publication de son prochain ouvrage, « L'art de changer de vie en cinq leçons » aux éditions Saint-Simon, il invite son public à jouer la carte de l'audace…Et vous ?

Philippe, pourquoi, en 2019,  mettre en lumière l'audace ?  

Le point de départ de cette interrogation, c'est un constat et un étonnement. Le constat est le suivant : jamais dans toute l'histoire, le monde n'a proposé un champ des possibles aussi grand.

Nos ancêtres, sauf exception, vivaient, mouraient dans un rayon de trente kilomètres autour de leur lieu de naissance. Et les migrations, quand elles existaient, étaient souvent contraintes. Leur univers social était aussi restreint. Aujourd'hui, le voyage est devenu accessible en termes de coût et de simplicité. La connaissance aussi devient accessible et de plus en plus gratuite, tout au moins dans nos sociétés occidentales. On n’a jamais été aussi libre de vivre plusieurs vies.

L'étonnement, ensuite, est issu, paradoxalement, du sens de l’observation. Il existe une fermeture et une frilosité grandissantes chez bon nombre de nos contemporains.

Cela se traduit par le retour d'attitudes conservatrices en termes de mœurs, à un rapport au risque qui devient pathologique, sans oublier l'avènement du sacro-saint principe de précaution.

Comme le pressentait Jacques BREL avant de nous quitter : « Le monde sommeille par manque d'imprudence ».

Et l'audacieux, avec son courage pourrait-il nous réveiller ?  

Attention à ne pas confondre audace et courage. Le courage est une valeur morale qui permet d’affronter l'adversité. C'est d'ailleurs assez défensif, finalement. Le courage, vous en avez besoin lorsque d'un air grave votre médecin vous indique « qu’il va falloir être courageux ». Que votre DRH vous convoque et vous confie : « je sais que vous allez être courageux » ou que votre banquier convoque votre courage avant de vous annoncer sa décision. Et pour un prisonnier dans un camp, le courage, c'est de tenir le coup, malgré tout, semaine après semaine.

Quid de l'audace dans tout ça ?  

L'audace, pour ce même prisonnier, c'est de tenter l'évasion, la sienne et celle des autres… L’audace, dans votre vie quotidienne, c'est lorsque vous décidez volontairement de vous mettre en déséquilibre. C'est lorsque vous décidez de « tenter un coup ». Et que vous expérimentez la vertu de la transgression.

Abraham LINCOLN disait qu'il faut être courageux pour affronter l'adversité mais qu'il faut être audacieux pour s’en faire une « alliée ». 

Les faiseurs sont les audacieux. Ce sont ceux qui « transgressent les règles ». Dans ce monde qui se ferme, qui par défaut, laisse de plus en plus de place à la norme et à la conformité, ils sont la clé de l'innovation et de la transformation dont on parle tant !

L'audacieux transgresse des règles, mais pas seulement. Il va aussi au-delà de ses propres limites. Certains diraient qu'il sort de sa « zone de confort ». Mais, c'est bien plus subtil et bien plus complexe !

En fait, l'audacieux sort aussi les autres de leur zone de confort. Et ce n'est pas confortable du tout. Ni pour lui, ni pour son entourage qui aspire à conserver celle-ci.

milieu articles

Donc, si vous insérez des zones d'audace dans votre vie personnelle ou dans votre vie professionnelle, attendez-vous à des résistances. De la part de vos soutiens comme de la part de vos détracteurs qui sont des défenseurs naturels de la norme.

Par exemple, vous serez souvent dénigrés. Alors autant s’y préparer. La relecture des avis d’experts au moment de l'apparition de nouvelles démarches audacieuses, après coup, est souvent très drôle.

Je cite 1927 : « Mais qui a donc envie d’entendre parler les acteurs de cinéma sur un écran ? ». Une phrase prononcée par Harry W. WARNER, président du célèbre groupe éponyme. En 1977 : « Il n’y a aucune raison que les gens aient un ordinateur chez eux…». Elle est signée Ken OLSEN, président de Digital Equipment.

Et comment fonctionne l'audacieux ? 

En France, les notions pour appréhender ce concept sont incomplètes. Elles tournent autour de la « zone de confort », de la « zone de risque » ou de la « zone d'audace ». Je préfère l'approche anglo-saxonne avec la « stretch zone », la zone d’étirement des habitudes et des routines.

Elle définit bien la capacité à aller delà de mes limites, à étirer la zone dans laquelle j'évolue, à repousser mes limites traditionnelles, ce qui d’ailleurs,  peut générer quelques courbatures morales ou intellectuelles.

L'audacieux est quelqu'un qui va dans un endroit où les autres ne vont pas, par peur ou par méconnaissance. Il ose la nouveauté. Il accepte la remise en question. Il choisit de passer à l'action.

Comment s'engager de façon gagnante sur le chemin de l'audace ?   

D'un point de vue collectif, sans doute que l'audacieux fait gagner le collectif. Il y a de l'altruisme dans cette vertu.

Pour  l'audacieux, d'un côté, il se trouve dans une situation intéressante, qui le connecte à ses convictions. Il se place du côté des faiseurs, et vit pleinement, mais inconfortablement. Car il y a un prix à payer. C'est pourquoi, il est utile de clarifier la différence entre l'audace et la témérité. C'est la frontière, mouvante, qui permet  de tirer parti de cette  attitude courageuse.

Cette limite tient à deux éléments « clé » : la nature plus ou moins vitale du risque que j'encours. Si ça ne marche pas, je risque de tuer quoi ? Mon entreprise, mon couple, ma réputation, ou juste un accessoire ? Quelle évaluation fais-je du risque maximal ? Au pire, que se passera-t-il ?

Et puis, il y a le sentiment de contrôle de ce qui se passe. Dans quelle mesure suis-je capable, par ma compétence ou par mon expérience, de contrôler les dérapages ? Marcher sur un fil est téméraire ou suicidaire pour certains, mais juste audacieux pour l'acrobate entraîné.

L'audacieux qui dure a une poire pour la soif ou un plan B. Le philosophe Alain nous dit d’ailleurs que l'audace est une « témérité dirigée ». Il est intéressant aussi d'avoir à l'esprit que l'audace si je me dresse contre les valeurs de l'autre peut devenir de la provocation. Exemple concret : le billet de 500 francs brûlé par Serge GAINSBOURG en direct sur un plateau de télévision, l'intervention des militantes FEMEN, COLUCHE lors de sa candidature à la Présidentielle de 1981.

Mais la provocation est ambivalente. Elle peut être un acte militant, tout comme elle peut apparaître comme gratuite et porter préjudice à sa propre cause.

Êtes-vous finalement optimiste quant au développement de l'audace dans un monde globalement conformiste ?  

En définitive, oui. Par exemple, il y a quarante ans, les études nous orientaient pour la vie. Les choix étaient structurants et contraignants. Aujourd'hui, nombre de jeunes  ne s'enferment plus dans un projet pour la vie,  mais répondent avec audace à des intentions différentes et à des rêves. Les bifurcations précoces de la vie professionnelle en sont un exemple intéressant. L'objectif n'est plus de me « caser » au plus tôt mais de me « réaliser » et de « m’épanouir » durablement.

Et d'ailleurs, il n’est jamais trop tard pour bifurquer. Comme ces personnes – parfois plus toutes jeunes – mais qui vont avoir l’audace de changer de vie après la retraite, parfois dans l'incompréhension de leur entourage. L'audace est donc ouverte aussi aux plus âgés. Pour ma part, je pense qu’elle contribue sans doute à prolonger leur jeunesse…

 

A votre tour, devenez audacieux !

Dans la demi-heure, faites une liste de tout ce que vous aimeriez réaliser, obtenir ou vous payer dans les deux ans qui viennent,

Identifiez la plus disruptive : celle qui va le plus perturber ou faire résister votre entourage. Par exemple, acheter un  livre sur le sujet, vous inscrire à une formation, organiser une rencontre...Faites le premier pas qui vous engage dans cette voie

Dans la semaine : identifiez une habitude simple qui vous pourrit la vie et que vous vous engagez à changer. Par exemple, ne plus ouvrir sa boîte mail avant  10 heures et de 8 heures à 10 heures, faire autre chose de sa vie.

D’ici quelques jours, à la mi-mars, faites le point du chemin parcouru et fort de vos premiers succès, engagez sur un nouveau plan pour 2019. Relisez votre liste d'envies afin de vous accomplir…

Philippe CARPENTIER

Deciderjuste.com


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Présent lors de l’adaptation locale du Grand Débat à Saint-Bris-le-vineux, vendredi dernier, Thomas MONARCHI-COMTE, 23 ans, diplômé de Sciences-Po, est consultant en communication dans une agence française de conseil à Paris. Très attaché à son territoire originel, le jeune homme revient régulièrement dans l’Yonne où il s’implique dans les milieux associatifs et politiques. Il nous livre ses impressions à l’issue de cet exercice de consultation qu’il a qualifié de positif et de démocratique…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Vous avez pris part à l’exercice de ce Grand Débat national à Saint-Bris-le-Vineux, que pensez-vous de cette rencontre après coup ?

C’est un moment très positif, auquel je suis heureux d’avoir pu participer. C’est, l’air de rien dans notre village de Bourgogne, l’essence de la démocratie qui s’illustre, telle que pensée par les Athéniens il y a 2 500 ans, où une foule, le demos, parle des « affaires de la Cité », y donne son avis sur la manière de mener ces affaires, et s’écoute. La présence surprise d’un des cinq garants du débat national, le politologue Pascal PERRINEAU, ainsi que celle d’élus locaux, a renforcé le cadre et l’intérêt de cet échange. C’est une belle réussite pour l’équipe municipale qui a organisé le débat avec l’Association des Maires de France de l’Yonne.

La faible participation, imputable à une problématique d’horaire, a limité la présence de nombreux villageois. Est-ce dommageable au plan de la représentativité imputable à cet exercice ?

Je ne suis pas sûr que ce soit réellement dommageable. Il existe d’autres moyens de s’exprimer comme les cahiers de doléance ou la participation sur le site officiel du Grand débat. Quant à la représentativité, les organisateurs m’expliquaient que, chose rare dans cet exercice, tous les participants ont pu s’exprimer, plusieurs fois, et dans une ambiance d’écoute et de discussion, ce qui n’a pas toujours été le cas ailleurs.

De nombreuses doléances et autant de suggestions sont sorties de ces échanges avec les organisateurs de la séance. L’ensemble de ces informations est-il cohérent avec vos propres attentes ?

La tendance générale que j’ai ressentie parmi tout ce que nous avons dit durant la soirée, c’est la peur du déclassement de notre campagne par rapport aux villes : diminution de la présence des services publics, fiscalité complexe, voire injuste, infrastructures vieillissantes et baisse des moyens pour les entretenir, poids de la transition écologique, et affaiblissement du lien avec les élus/représentants politiques. Je travaille à Paris la semaine et vis à Saint-Bris le week-end, cela est cohérent avec ce que je ressens ici : une fracture se creuse entre des zones très bien intégrées dans la mondialisation (comme Paris), et des zones qui ont plus de mal et craignent de se retrouver carrément marginalisés. On ne peut plus penser Saint-Bris seulement comme un village de l’Yonne par rapport aux autres communes du canton mais par rapport au reste du monde. Nos viticulteurs en sont un bon exemple : leurs produits viennent « du coin », de nos coteaux, et s’exportent à New York, Sydney ou Shanghai.

Vous êtes intervenu pour évoquer le droit à l’Internet pour tous, expliquez-vous…

C’est une réflexion qu’il faut se poser : aujourd’hui, personne n’imagine un monde moderne sans Internet. Internet est présent, chaque jour dans nos vies. Pourtant tous les territoires ne sont pas égaux devant l’accès à Internet. La connectivité parisienne est excellente tandis que Saint-Bris ne dispose pas de la fibre optique. Le débit y est très poussif, sans parler des zones blanches ou de l’absence de 4G en Puisaye.

La question de l’Internet est primordiale : aujourd’hui, beaucoup d’emplois ne nécessitent réellement qu’un ordinateur et un téléphone. Si les infrastructures Internet étaient suffisantes, qu’est-ce qui empêcherait des employés de bureau de télétravailler ici, et donc de consommer localement plutôt qu’à Paris ? Le coût de la vie y est inférieur, la pollution moindre, tout en restant relativement à proximité de la capitale. L’Yonne a d’énormes atouts que de meilleures infrastructures Internet renforceraient assurément. Cela pourrait représenter une des solutions, à la fois pour l’engorgement des villes et la désertification rurale dans l’ensemble du pays.

milieu articles

Mais dire : « il suffit d’imposer aux opérateurs de mettre des installations » n’est pas aussi simple. Ce sont aujourd’hui des groupes privés, qui n’ont pas une logique de service public, donc de bien-être. Et au nom du droit à la propriété privé, on ne peut pas leur imposer de le faire de manière prétorienne. Sinon à termes, on pourrait aussi vous imposer dans votre propriété de peindre vos murs de telle couleur ou d’avoir un portrait du camarade Staline dans votre salon !

Il y a donc une vraie réflexion à mener sur le droit à l’Internet : est-ce un droit pour tous ? Ou est-ce un service que s’achètent ceux qui peuvent payer ? À condition qu’il soit disponible !

La présence de Pascal PERRINEAU, en qualité de garant et d’observateur de cette séance oratoire, a-t-elle apporté une plus-value supplémentaire à l’exercice ?

Je pense que Pascal PERRINEAU a « incarné » pour nous le Grand Débat. Ce n’est plus une chose abstraite, décidée depuis le cœur de Paris. L’un des garants, politologue et sociologue reconnu était là. Sa conclusion des échanges de la soirée par une explication claire et détaillée de ce qui se passera ensuite, de comment seront traités les échanges et des mesures qui pourront en découler a été appréciée.

Pensez-vous qu’il aurait fallu sortir du cadre, peut-être trop protocolaire, imposé par la formulation de ce Grand Débat ?

Les mots « règles » et « cadrer » ne sont pas des gros mots. On l’a vu avec le bazar des « Gilets jaunes ». Si les débuts du mouvement pouvaient être intéressants, l’absence de structure, de cadre et de règles internes de fonctionnement a conduit à tous ces débordements, à décrédibiliser et à rendre inaudible ce mouvement, dont les participants ne s’écoutent même pas entre eux. Donc non, un protocole de la prise de parole évite une foire d’empoigne, où personne ne s’écoute et sort ce qu’il lui passe par la tête. Vous l’avez vu vendredi soir : chacun a pu exprimer ses idées, même si certaines d’entre elles étaient clivantes et extrêmes, sans que cela ne se termine en bagarre.

Vous-même, auriez-vous des thématiques supplémentaires dont vous auriez pu évoquer l’existence ?

L’Europe et l’éducation auraient pu être des thèmes à part entière. La France n’est rien sans l’Europe et ce serait une erreur de penser, comme les Anglais semblent le faire, que notre pays peut agir en solitaire, comme c’était le cas au XIXe siècle… Mais l’Europe d’aujourd’hui a du mal à nous toucher. Le mot qui me vient tout de suite est « abstrait ». Pourtant l’Europe est là ! Je me souviens par exemple lors d’un passage à Saint-Sauveur-en-Puisaye d’avoir vu qu’une partie de la rénovation de la Tour Sarrasine était financée par les fonds européens.

L’éducation, c’est la formation des générations futures. Beaucoup serait à discuter comme par exemple la reconnaissance des enseignants, l’autorité et l’enseignement civique à l’école, l’enseignement des symboles de la République…

Peu de jeunes participent à ces débats. Selon, vous, pourquoi une telle démobilisation de la jeunesse eu égard aux grands enjeux de notre société ?

De quels jeunes parle-t-on ?  Qui y a-t-il de commun entre un jeune apprenti, un jeune surdiplômé, un jeune chômeur, un jeune salarié, un jeune chef d’entreprise ou bien un jeune de quartier, de Paris intramuros, de la campagne, etc... Peut-être que l’âge comme seul point commun n’est pas suffisant pour en faire un groupe réel.

Ensuite, les thèmes proposés ne sont peut-être pas très parlants pour des jeunes peu politisés, qui ne connaissent pas forcément le fonctionnement des institutions et ne se sentent donc pas aptes à en débattre. La fiscalité n’est sans doute pas encore leur problème, du moins pour tous ceux qui ne sont pas encore salariés.

Quant à la possibilité de s’exprimer dans un débat, ce n’est pas encore quelque chose qui s’apprend beaucoup en classe. L’enseignement reste très pyramidal.

Qu’attendez-vous de la suite de ces consultations, à la fois au plan personnel, et dans l’intérêt de la Nation ?

J’attends d’abord une synthèse et une restitution des tendances des consultations. J’attends que ces consultations apaisent également les esprits : pas clore les débats, c’est signe d’une démocratie vivace, mais stopper les violences. Que l’on ne vienne pas me dire que ceux qui détruisent les petits commerces le samedi après-midi le font au nom de la démocratie.

Pensez-vous que le gouvernement changera de cap et devrait faire une inflexion à sa politique actuelle pour répondre aux attentes ?

Le gouvernement a été élu sur un programme, tout comme les parlementaires qui le soutiennent. Je pense que les Français ont conscience que notre pays doit être réformé. Changer de cap ? Pour aller où ensuite ? Pour faire quoi ? L’inflexion que le gouvernement devrait produire serait une inflexion vers plus de pédagogie, plus de simplicité autour des mesures : vers une politique plus lisible et moins technocratique.

Dans le cas contraire, comment voyez-vous le devenir de la France ?

Dans le cas contraire pour moi, c’est une France dirigée par des Le Pen ou Mélenchon. Une France refermée sur elle-même, plus violente, qui n’avance plus, qui critique toute tête qui dépasse, qui s’appauvrit, et qui finit par s’effondrer. Bref, un pays triste et xénophobe. 

Je vous invite à lire le livre le plus vendu après la Bible aux Etats-Unis : la « Grève », d’Ayn Rand (1957). Outre le fait que c’est un roman philosophique qui a façonné la pensée libérale américaine, le livre ouvre une réflexion sur les conséquences de la disparation des créateurs (d’entreprise, de cinéma, de littérature, scientifiques…).  

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A la tête d’une SASU, créée en avril 2016, SG CONSEIL FORMATION COACHING, Sophie GAY souhaite à l’avenir poser davantage de jalons sur le territoire de l’Yonne. Il est vrai que l’emploi du temps de la jeune femme suscite le respect. Se mobilisant à l’échelle de l’hexagone, la professionnelle de l’accompagnement et du coaching multiplie les missions de confiance aux quatre coins du pays, de la Bretagne à la Touraine, du Périgord à la Lorraine. Preuve qu’elle a su convaincre et enthousiasmer les donneurs d’ordre d’envergure nationale qui l’emploient et lui ont accordé une totale confiance…

AUXERRE : Qu’elle intervienne dans les départements limitrophes de l’Yonne, à l’instar du Loiret ou de l’Aube, ou qu’elle concentre toute son énergie sur une mission à exercer dans les confins de la Franche-Comté, de l’Alsace ou du quart Grand-Est de la France, Sophie GAY rayonne avec le même sens du professionnalisme et du sérieux qui l’anime jusqu’au bout des ongles.

Seul maître à bord de l’outil de travail qu’elle a initié en avril 2016, la société SG CONSEIL FORMATION COACHING (SG CFC), cette diplômée d’un niveau bac + 5 n’en finit pas de se prendre au jeu de l’entrepreneuriat réussi. Elle qui a intégré la vie active dès l’âge de 19 ans en qualité de coordinatrice au sein de l’ADMR de l’Yonne. Elle y gérait déjà, en 2002, trois associations distinctes qui regroupaient une soixantaine de personnes.

Accueillie en qualité de start-up dans le business center icaunais de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val de Loire à Auxerre, SG CONSEIL dispose de ce point d’ancrage indispensable à son développement. 2019 sera sans doute synonyme d’intensification de sa présence sur le marché bourguignon.

Et ce n’est pas un vœu pieu. Sophie GAY veut s’offrir de réelles perspectives de visibilité et de reconnaissance sur ce secteur géographique qui lui fait un peu défaut à l’heure actuelle.

Pour se faire, la jeune femme a bien intégré les paramètres usuels de la communication dans sa stratégie. Elle a pris soin de se rapprocher de plusieurs médias pour y faire connaître son savoir-faire en la matière, c’est-à-dire tout ce qui touche de près ou de loin à l’accompagnement des entreprises et au suivi de celle-ci. Cela explique sa présence sur les ondes matinales de France Bleu Auxerre ou dans les colonnes du magazine « Cocoon ».

milieu articles

Une méthodologie particulière pour responsabiliser la personne suivie…

Son terrain de prédilection oscille aussi bien vers des services administratifs, notamment auprès des élus de nouvelles communes nées d’un rapprochement fusionnel, que pour des entreprises à la renommée internationale, à l’identique du groupe industriel ARCELOR MITTAL. Pour ce dernier, la jeune femme prodigue ses conseils auprès de l’encadrement.

Ses missions régionales-elle en pratique malgré ses déplacements récurrents-, se traduisent par de l’analyse de pratique destinée aux professionnels des milieux sociaux (COALIA à Dijon, des équipes d’intervention sur le domaine social, des éducateurs…).

Sa manière de procéder repose sur la responsabilité et la prise de confiance de ses interlocuteurs. Grâce à des apports théoriques et de la formation.

« Je souhaite décentrer la personne avec laquelle je travaille, explique-t-elle, en visant prioritairement de lui laisser de l’autonomie et qu’elle puisse agir en connaissance de cause. Bref, je lui donne des graines. On apprend ensemble à les faire pousser et après on se débrouille pour que ces graines soient intégralement gérées par la personne suivie. Il est important avec cette méthodologie qui offre la possibilité de développer des potentiels de sortir de la zone de confort pour gagner en liberté d’actions… ».

Contactée par les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Sophie GAY optimise ses qualités de pédagogues et de formatrice en collaborant avec l’organisme consulaire au niveau de la communication relationnelle, du management, de la gestion du temps, et même dans le cadre de la formation des formateurs. Une corde de plus à son arc professionnel déjà bien rempli…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil