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Les choses s’accélèrent pour le nageur aventurier de l’Yonne ! Mardi, aux aurores, le sportif icaunais tentera d’inscrire un nouveau titre de gloire à un palmarès qui ne cesse de se garnir de saison en saison. Planifiée initialement pour la fin de la semaine, la double traversée du Channel se fera finalement plus tôt que prévue. Du fait de l’excellence des conditions météorologiques. Le pilote de l’embarcation qui assure le transport de l’équipe accompagnante du champion Français a décidé de se saisir de l’opportunité et de prendre la mer en avançant le départ…

SHAMPIRE HOE (Angleterre) : Il est prêt à vivre un nouvel exploit hors norme, le nageur de l’Yonne ! Mardi 25 juin, très tôt dans la journée, au moment où beaucoup d’entre nous seront encore dans les bras de Morphée, Arnaud CHASSERY se jettera dans une eau, celle de la Manche, comprise entre 14 ° et 17 °.

Il essaiera d’y accomplir une authentique performance. Soit réaliser un « two way » ! C’est-à-dire un aller-retour entre les côtes britanniques et françaises in extenso ! Plus de trente heures au minimum de natation dans une mer sournoise et dangeureuse.

Alors que le départ de cette tentative était attendu en fin de semaine, les évènements se sont précipités de manière soudaine. Les excellentes conditions météorologiques qui se profilent devant nous offrent en effet la fenêtre opportune idéale pour le pilote de l’embarcation. Celui-ci veut se saisir coûte que coûte de cette possibilité. Lui, qui assure la partie logistique de cette nouvelle aventure en transportant le staff du sportif de l’extrême ainsi que les officiels qui homologueront la performance.

Des heures d’adaptation à l’eau froide (Arnaud ne connaît plus l’agréable sensation de l’eau chaude coulant sur sa peau lors de sa douche matinale quotidienne depuis trois ans), plus de cinq mille kilomètres d’entraînement auront permis au champion français de se préparer dans des conditions optimales.

Un défi réalisé au profit d’une œuvre caritative : ALOPIAS…

Le moral est beau fixe. D’autant que le sportif aguerri entend bien décrocher la timbale et rejoindre le club très hermétique de la trentaine de nageurs ayant réussi à ce jour ce « two way ». Surtout qu’aucun Français n’y est jamais parvenu jusque-là !

On se sera donc vite fixé sur la capacité au sportif Français de surmonter les nombreuses embûches qui l’attendent dans le détroit du Pas-de-Calais. L’une des voies maritimes les plus fréquentées de la planète avec pas moins de 900 navires de commerce (cargos, porte-conteneurs, pétroliers, méthaniers…) qui s’y croisent chaque jour. Les caprices virevoltants de la météo à l’instar de la houle, de la pollution, des méduses et des courants rappellent la dangerosité de l’évènement.

Précisons que cette double traversée se fera au profit d’une œuvre caritative : l’association ALOPIAS qui souhaite mettre l’accent sur la fragilisation psychologique chez l’enfant.

Mardi 25 juin ne peut-être qu’un grand jour pour Arnaud CHASSERY qui devra parcourir environ 120 kilomètres à la nage et effectuer plus de 100 000 rotations des bras pour entrer dans la légende du sport de l’extrême…


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Comme Martin Luther KING, ai-je fait un rêve ? Avez-vous déjà vu ces images choquantes, tournées lors de certaines sessions de l’Assemblée nationale au moment de votes sur des sujets qui captent l’attention de l’opinion publique. C’est-à-dire des citoyens. C’est-à-dire de nous. Nous autres qui sommes à la fois les électeurs et les contribuables. L’hémicycle et ses travées sont vides et souffrent de l’absence de nos représentants. Eux, les élus du peuple qui s’expriment en notre nom ! Je rappelle que les contribuables paient l’impôt. Et que celui-ci sert à payer la gent politique à accomplir leurs tâches. Au service des citoyens que nous sommes ! La classe politique a donc des devoirs et des comptes à rendre à son électorat…

TRIBUNE : Cela ressemble à une photo prise sur le cirque de Gavarnie en hiver ! Il n’y a pas grand monde à visualiser sur le cliché. Lors d’un vote récent qui se rapportait à l’intégration des enfants handicapés dans l’enseignement, on a pu constater l’absence éloquente de la plupart des député(e)s. La République En Marche venait pourtant d’obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Mais, ses propres député(e)s n’avaient pas daigné aller voter ! J’avais déjà observé le même vide désolant lors d’un échange sur la formation professionnelle.

Il y avait toujours aussi peu de monde interpellé par ce thème sociétal important dans l’hémicycle que précédemment. Pourtant, dans le chômage de masse, que notre pays enregistre depuis des lustres, tout le monde sait que la formation constitue le socle de base pour sa résorption. Celles et ceux qui ne sont pas assez qualifiés ou doivent se reconvertir en optant pour une nouvelle carrière ont un immense besoin de formation pour s’extraire des limbes inextricables du chômage.

Qu’il s’agisse d’enfants handicapés ou de demandeurs d’emploi, et au vu de ces états de fait, nous pouvons dire que la majorité de ces honorables parlementaires s’en moquent. Triste constat en vérité ! Une question s’impose derechef : pourquoi, à l’instar de 26 millions de Français, ces élus du peuple portés par nos voix ne nous représentent-ils pas et ne vont pas à leur lieu de travail lors de ces sessions si importantes ?

Les élus devraient s’inspirer de ce que vivent les collaborateurs en entreprise…

Que dire du Sénat ? Selon une enquête analytique sur l’assiduité des sénateurs aux séances de cette noble institution, il apparaît ceci : près d’un quart des sénateurs ne sont pratiquement jamais présents au Palais du Luxembourg. Un autre quart effectue des apparitions erratiques lors de certaines séances. Toutefois, la moitié de ces élus intègre la catégorie des assidus. Ce qui est un moindre mal, convenez-en !

Nous savons tous que ces séances proposées dans cet hémicycle feutré et de belle facture (les ors de la République !) ne se réalisent pas à une cadence de stakhanoviste. Franchement, nos sénateurs ne risquent pas d’être victimes de « burn-out » en cette période de canicule !

Maintenant, que se passe-t-il si un ouvrier, un employé ou un cadre de n’importe quelle entreprise ne se rend pas  à son travail ? Il doit justifier obligatoirement son absence.

Si cette dernière est motivée par une raison médicale, cela entraîne automatiquement une réduction de son salaire pendant la période de carence. Puis, si la maladie se prolonge et s’il n’a pas la chance d’être dans une entreprise qui complète le montant versé par la Sécurité sociale, son revenu est fortement amputé. Grevant de facto son budget.

Supposons maintenant que cet ouvrier, cet employé ou ce cadre ne vienne pas à son travail et ne justifie pas son absence. Que se passe-t-il ? Eh bien, il est tout simplement viré !

Le songe évanescent d’une nuit d’été…

Alors, je m’interroge une fois de plus : pourquoi les parlementaires qui bénéficient de revenus très élevés, sans omettre des compléments de salaire divers et variés non soumis à l’impôt, constituent-ils une caste à part entière dans notre société ?  

Procédons à un petit détour via le Parlement européen. A Strasbourg où bon nombre de politiques se sont empressés d’y avoir un siège après les récentes échéances. En langage populaire, on appelle cela « une bonne gâche » ! La sémantique militaire qualifie cet état de fait de « bonne planque » ! Je vous laisse juge !

Là encore, dans l’hémicycle européen, force est de constater que l’assiduité n’est pas de mise parmi les élites. Une chaîne de télévision allemande a diffusé une séance qui vaut son pesant d’or ! Une scène indécente et qui prête à réflexion en nos âmes et consciences.

Des parlementaires européens, munis de leur esthétique petite valise à roulettes défilaient un vendredi matin près de la pointeuse pour être enregistrés comme étant présents à l’Assemblée européenne. Les journalistes nous en ont donné la raison : « les élus perçoivent une allocation de l’ordre de 350 euros par jour de présence ».

Et puis, hop, comme par enchantement, une fois qu’ils étaient répertoriés et sûrs de toucher « leurs émoluments », sous la forme de jeton de présence, ces derniers repartaient immédiatement dans l’autre sens afin de profiter d’un agréable week-end prolongé chez eux à nos frais !

Comme le regretté Martin Luther KING, « j’ai fait un rêve ». Celui que tôt ou tard, les élus de la République devenaient tous des modèles de vertu en étant l’exemplarité incarnée de ces valeurs sociétales que nous chérissons tous ! A commencer par la probité...

Oui mais voilà, après avoir visionné ces images déconcertantes de la chaîne allemande, je me suis réveillé et la réalité m’a rattrapée. Ce n’était qu’un songe. Ephémère comme l’insouciance de nos jeunes années à jamais disparue…

Emmanuel RACINE

 

 


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L’enseigne de Patrick PELONERO et des frères TRAORE s’appuie les relais offerts par la communication numérique pour optimiser ses parts de marché en créant le buzz. Notamment autour de la consommation importante de ses produits. En France comme à l’international puisque le groupe possède désormais quelques vitrines en Belgique et au Maroc. Depuis peu, le nouvel établissement de Sens a intégré l’escarcelle copieuse du groupe, qui pourrait atteindre trois cents espaces de restauration rapide d’ici la fin de l’année…

IVRY-SUR-SEINE : Chaîne internationale de restauration rapide, O’TACOS est devenue en un laps de temps relativement court, depuis 2007, l’un des chantres des tacos à la française. En France mais aussi chez nos voisins d’Outre-Quiévrain, avec une vingtaine d’établissements, au royaume chérifien. Voire un peu plus loin, aux Etats-Unis ou au sultanat de BRUNEI !

L’enseigne leader sur son marché s’est ainsi spécialisée dans une gamme de produits déclinés selon plusieurs tailles, permettant de mélanger jusqu’à quatre viandes dans ses tortillas.

Le must de cette opportunité culinaire à multiples strates, selon des variantes XXL, demeurant le « Gigatacos ». C’est une offre où le client affamé ou en mal d’originalité peut ingurgiter un tacos contenant plus de deux kilogrammes et demi de steak haché !

L’initiative a même suscité des concours alimentaires ponctuels où une frange de la clientèle se lance des défis afin de publier sur les réseaux sociaux le fruit de leur exploit, visuels et commentaires à l’appui. Un succès garanti après coup : avec plus de 2,5 millions de clics !

Les dirigeants du groupe, sous contrôle stratégique du fonds d’investissement belge KHARIS Capital et ce depuis mai 2018, ne se privent pas de reconnaître le bien-fondé de cette communication bon enfant mais surtout efficiente parmi la cible privilégiée que constituent les jeunes consommateurs. L’utilisation des réseaux sociaux l’est ainsi à bon escient.

Salariant plus de mille collaborateurs, O’TACOS sert plus de dix millions de repas à l’année.

Un article réalisé en partenariat

avec la Communauté du Grand Sénonais et la Ville de Sens.

 

 

 


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La méga-fusion entre FIAT, CHRYSLER et RENAULT est mort-née. Nous l’avons échappé belle ! On comprend qu’au départ les dirigeants de Renault aient pris en considération une telle proposition. On ne comprend pas que les dirigeants de Fiat aient oublié que le constructeur de l’Hexagone était imbriqué dans toutes sortes de liens avec Nissan et Mitsubishi. On comprend que les nouveaux dirigeants de Renault et le ministre français de l’économie, Bruno LE MAIRE, aient voulu réfléchir avant de sauter le pas. On ne comprend pas en revanche que les dirigeants de Fiat leur aient envoyé un ultimatum…

TRIBUNE : Le ministre de l’économie, Bruno LE MAIRE, s’est rendu à Belfort où, le moins que l’on puisse dire, c’est que l’accueil n’a pas été très chaleureux lors de cette visite impromptue. Mille emplois qui disparaissent en si peu de temps après qu’on ait claironné la cession du département énergie d’Alstom à General Electric et fait chanter le nombre d’emplois qui seraient créés, ça donne à réfléchir… Imaginez si le même scénario se dupliquait avec Renault !

La semaine dernière, lorsque l’on rêvait encore à des lendemains chantants en trois langues, nous avons rappelé l’histoire de plusieurs symphonies qui sont devenues de sinistres cacophonies. Pour les Français qui n’ont pas la mémoire courte, des images devaient revenir à l’esprit. En 1980, le futur Premier ministre d’une gauche qui allait revenir au pouvoir défilait avec les ouvriers de la sidérurgie à Denain en clamant : « Non seulement il ne faut pas réduire les capacités de nos usines mais il faut les augmenter ! ».

Il n’y a pas d’échec dont on ne puisse tirer parti…

Trois ans plus tard, il devait rentrer le week-end de Matignon à Lille en hélicoptère ; l’autoroute étant barrée pas les ouvriers des usines sidérurgiques du Nord. Beaucoup avaient alors compris que « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ! ». Depuis quarante ans c’est en millions que se comptent les disparitions d’emplois dans l’industrie française. Tout simplement parce que l’on n’a pas encore compris que dans l’industrie s’applique cette dure loi de la civilisation : « La continuité dans l’effort ». C’est évidemment différent des règles du poker.

Certains pensent que cette affaire est un échec. Prendre le temps de réfléchir ne m’a jamais paru être un échec. Bien au contraire ! Mais pour celles et ceux qui ont ce sentiment, je rappellerai le mot de Richelieu : « Il n’y a pas d’échec dont on ne puisse tirer parti… ».

Quelle était l’une des raisons avancées en faveur de cette méga fusion ? Oublions les billevesées de synergies, tarte à la crème qu’on nous a trop souvent servie et revoyons la belle antienne : la voiture électrique et l’auto-autonome.

Cela nécessite des investissements colossaux, paraît-il. D’où l’idée de la mégafusion pour dégager ces fonds.

À propos des voitures électriques, permettez-moi une digression qui va vous interpeller : comment est fabriquée l’électricité qui va faire rouler ces voitures magiques non polluantes ? En France avec des usines nucléaires auxquelles l’Allemagne a renoncé ! Elle a justement relancé ses centrales à charbon à base de lignite à forte émission de carbone ! Comprenne qui pourra ! Surtout dans un pays où les écologistes forment un parti qui vient de remporter un succès considérable aux dernières élections européennes.

Instaurer un outil commun à la dimension européenne…

Soyons sérieux. A-t-on besoin de fusionner en quelques semaines trois entreprises hétérogènes, issues de trois pays et donc de trois cultures différentes pour investir dans la voiture électrique ?

Ne pourrait-on pas réfléchir quelques instants et s’inspirer de celui qu’on appelle le père de l’Europe, Jean Monnet, et ses grands associés, le Belge Paul Henri Spaak et l’Italien Alcide de Gasperi ? Ils ont créé la CECA. C’est-à-dire la Communauté européenne du charbon et de l’acier. Et cela, à une époque où, à la sortie de la guerre, cela allait « à rebrousse-poil des esprits ».

Alors, pourquoi ne pas tenter de mettre sur pied la CEVEA. Une Communauté européenne de la voiture électrique et autonome. Est-il invraisemblable d’imaginer qu’un homme audacieux prenne son bâton de pèlerin comme le fit Jean Monnet en son temps et aille voir les dirigeants de BMW, Mercedes, Audi, Volkswagen, Volvo, Skoda, Peugeot, Seat ou Fiat ?

Comme disait Diogène à Athènes, sur l’Agora, « je cherche un Homme ! ». Un qui posséderait ce profil de fédérateur et d’unioniste autour d’un projet intelligent…

Emmanuel RACINE


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L’hôtellerie-restauration chinoise offre aujourd’hui le meilleur des accueils aux vins français dont ceux conçus en Bourgogne. Alors que le marché devient chaque année de plus en plus mature, il est ouvert largement aux produits de l’Hexagone. Bien implantés sur les circuits les plus valorisants de la grande capitale économique que représente la ville de Shanghai, les vins de l’Hexagone occupent une excellente première place en parts d’offres dans les établissements vantant les arts de vivre à la chinoise…Prometteur pour l’avenir, d’autant que les nectars bourguignons se hissent à une méritoire seconde position dans l’offre mondiale de ces établissements…

DIJON (Côte d’Or) : Les vins de Bourgogne jouissent d’une cote qui frise parfois l’insolence dans l’ex-Empire du Milieu ; et principalement dans la métropole emblématique que représente Shanghai. La ville tentaculaire dont la population croît à une vitesse exponentielle possède en son antre des milliers de lieux d’hébergement et de restauration. Attirant touristes et hommes d’affaires mais aussi une clientèle de résidents permanents.

L’année dernière, une étude fut menée auprès de 180 établissements. Une paille au vue de la potentialité offerte par la mégalopole. Toutefois, ses résultats furent déjà révélateurs sur l’appréciation des vins d’origine française auprès des consommateurs locaux. Représentant 43 % des parts de marché, les vins français arrivent en tête de l’offre mondiale. Ils sont servis dans 97 % des maisons hôtelières analysées. Quant aux vins issus des terroirs de la région bourguignonne, ils représentent 10 % de l’offre. 77 des établissements étudiés le servent régulièrement auprès de leur clientèle.

Les AOC de Chablis progressent dans la métropole chinoise…

Présentes dans 62 % des établissements référencés par cette étude, les AOC régionales de Bourgogne tirent plutôt bien leur épingle du jeu. Les AOC de Chablis sont référencées à hauteur de 46 % dans les restaurants et hôtels qui ont constitué ce panel. Elles se situent juste devant les AOC village et village premier cru de la Côte de Beaune, des vins qui restent stables avec 39 % d’offres.

L’enquête économique, conçue par UBIFRANCE, le Bureau interprofessionnel des Vins, GTI, les douanes et MIBD Market, permet de classifier également les appellations les plus appréciées par la clientèle de ces lieux d’hébergement et de restauration chinois.

Parmi les cinq appellations de Bourgogne, les plus présentes en blanc, pas de surprise : les nectars les plus classiques figurent dans le palmarès. Chablis, Bourgogne, Meursault, Chablis Premier Cru et Pouilly-Fuissé virent en tête. Son de cloche à l’unisson pour les rouges. Les grandes références offertes par la Bourgogne se retrouvent ainsi parmi les cinq meilleures ventes à Shanghai dans le cercle de la distribution/vente hôtelière : Bourgogne, Gevrey-Chambertin, Nuits-Saint-Georges, Nuits Saint-Georges Premier cru et Mercurey.


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