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La puissance du poids familial a des stigmates que l'on porte depuis des générations dans chacune de nos cellules. Elles s'entreposent et s'empilent sur un côté « pile ». On nous incite à faire comme si...De quelle manière doit-on aimer, créer, et subvenir à tous nos besoins. Où se positionnent toutes nos fantaisies ? Patience, cette combinaison est dans l'air du temps...

TRIBUNE : Cette opportunité prend forme le jour où la vie incite à observer le côté « face » plus lumineux et aventureux. Alors, ce mouton au milieu de cette meute va apparaître comme un parasite nuisible. Ce cheminement à se considérer, va au fur et à mesure devenir déraisonnable d'un point de vue parental et sociétal.

En effet, sa ligne de conduite est transversale à cette route toute tracée. Son audience intérieure et son pragmatisme vont se faufiler et progresser à la seule vérité : être tenté de s'auditer. Céder aux murmures de cette folie à se choisir pour mettre sur le devant de la scène tous ses désirs. C'est une trésorerie allégorique au bonheur à mettre en œuvre.

 

Bas les masques au sens propre comme au figuré...

 

Justement, il est nécessaire de l'aborder dans ce contexte actuel et de le fusionner dans cette dynamique. Présentement, ce chaos non hasardeux ne serait-il pas initié par un miracle à la vie. Comme une renaissance. Cet isolement case tout le monde sur le même plan : en confinement « inté-rieur ».

Les classes sociales sont illusoires, confinées à elle « m'aime » pour un diadème à être. Les poumons, bouclier protecteur de l'organisme, sont sensibles à tous les agents pathogènes externes. A force d'inspirer les aspirations des autres, le manque de souffle peut s'offusquer. Dixit notre président de la République : « Un retour à soi » imposé, certes, mais salutaire... 

 

La cerise sur le gâteau à un goût amer...

 

De plus, nous expérimentons depuis le début de cette pandémie une guerre antiseptique mais également financière. Sous gouverne d'un remède miracle, quel laboratoire va décrocher le pompon dans cette gloire sanitaire et pécuniaire à la course au vaccin ?

Les hautes autorités sanitaires discréditent ce substantif : la chloroquine, un dérivatif à l’édit virus coronavirus. Préconisé par le professeur Didier RAOULT, éminente référence de l'infectiologie. Or, observons que des avancées bénéfiques et avérées ont été margées sur des résultats d'analyses. Ah oui, toutes mes excuses : cette substance aurait des effets nocifs et indésirables.

 

 

 

En 2013 un rapport rédigé par le pharmacologue Bernard BEGAUX et par l'épidémiologiste Dominique COSTAGLIOLA révèle que dix mille à trente mille décès sont attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux sur la conséquence néfastes liées aux soins* (voir source).

Chut : c'est inconvenant de lire aussi toute la liste des risques de symptômes sur chaque antidote. A les survoler, là, la migraine n'a pas de remède. Et, tambour battant... cet aliphatique  est si peu onéreux que son impact en est discrédité !

 

Des soins très accessibles qui ont du mal à se frayer un chemin...

 

Tout traitement se mesure-t-il à son coût ? Est-il raisonnable de penser que la prise en charge de sa santé doit être soumise à des dépenses plus élevées. Des médecines douces ancestrales aux traitements thérapeutiques, beaucoup sont dans le discrédit comme l’homéopathie, relayée à un substrat inefficace.

Pour ne citer que la Suisse et l'Allemagne, ces pays limitrophes, qui ont réussi à équilibrer dans leur champ de conscience la médecine générale et holistique. Ouf !

Le mouton noir représente le symbole d'un héros nonchalant qui refuse de se plier à des normes. Il se joue des carcans illusoires imposés par la société. Spirituellement, il est le guerrier de son intériorité dans un périmètre au respect de soi : son amour propre. A l'extérieur, il est assujetti à des relais de transmission plus terre à terre : la justesse d'action.

Nous sommes dans un confinement à 360 degrés pour observer ces murs intérieurs et extérieurs. Sont-ils oppressants ou au contraire apaisants ? C'est à vous de respirer la vie et d'élaborer un souffle de nouveauté si nécessaire...

La différence entre l'école et la vie est la suivante : à l’école, on nous apprend une leçon puis ensuite, il y a un test. Dans la vie, on nous donne le test qui nous enseigne la leçon…

 

Lyvia ROBERT

 

Source :

* « Le Monde.fr » en date du 03 mai 2016 : « Les erreurs médicales à l’hôpital, cause majeure de mortalité… ».

 


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Soixante bougies sur le gâteau : cela méritait bien une petite fête virtuelle dans le contexte du moment ! Le modèle qui a permis au constructeur d’outre-Rhin de briller durant quelques saisons sur les compétitions automobiles date de 1960. Ce sont les courses d’endurance et de côtes qui auront donné la possibilité à ce véhicule au profil et caractéristiques hors normes de se distinguer…Rappel.

STUTTGART (Allemagne) : C’est une véritable page de l’histoire de la compétition automobile internationale que l’on vient de commémorer ces jours-ci outre-Rhin. Le soixantième anniversaire du fameux 718 RS 60 SPYDER, modèle unique en son genre, conçu par PORSCHE.

Seulement seize exemplaires de ce petit bolide fougueux ont été produits à ce jour ! Ce qui fait de cette sportive nerveuse une vraie légende pour les aficionados de la course automobile.

D’ailleurs, son successeur, le 718 RS 61 SPYDER, utilisé uniquement par des écuries privées, n’aura pas connu un sort plus prolifique avec treize spécimens sortis des usines de la firme allemande.

Dès sa première saison, la voiture remporte de nombreuses victoires, autant en endurance que dans des courses de côte.

Par rapport à son prédécesseur, le 718 RSK, le nouveau modèle a bénéficié de plusieurs changements, suite à de nouvelles réglementations imposées par la Fédération internationale de l’automobile (FIA). Notamment l’opportunité de passer d’une cylindrée maximale de 1 500 à 1 600 cm3 pour la saison de course de 1960. Soit une puissance de 160 ch.

 

 

 

 

Des aménagements imposés par la FIA qui furent positifs !

 

En outre, et toujours en conformité avec les nouvelles directives de la FIA, le SPYDER 60 pouvait être doté d’un pare-brise plus élevé et d’un cockpit spacieux. Equipé également d’un châssis tubulaire optimisé et de suspensions arrière entièrement nouvelles à double triangulation, le véhicule disposait de davantage de maniabilité que les modèles précédents du constructeur.

Ces prouesses technologiques furent de bon aloi pour la performance de l’automobile. Non seulement, le modèle de Stuttgart fit des merveilles dès ses premières apparitions officielles (gain de la victoire pour ses équipages lors des Douze heures de Sebring le 26 mars 1960 avec les deux SPYDER 60 engagés qui terminèrent aux deux premières places), mais également pour les épreuves suivantes.

Au terme de la saison, PORSCHE et FERRARI possédaient le même nombre de points. Mais, le constructeur allemand termina vice-champion dans le championnat mondial des voitures de sport ; FERRARI réussissant à rester en tête du classement à la faveur d’une troisième place supplémentaire durant la saison.

Le 718 RS 60 SPYDER brilla également dans les championnats européens de course de côte en 1960 et 1961 en reportant les titres continentaux lors de ces deux éditions.

 

 


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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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La présence d'un rucher au sein d’une entreprise est loin d’être inconcevable en soi. Le phénomène qui n’a rien de modal s’amplifie d’ailleurs en France depuis plusieurs années. Et lorsque l’on dispose de onze hectares de terrain, où la nature a presque repris ses droits, il est facile d’y intégrer des colonies d’abeilles à son environnement ! L’unité de production sénonaise de la filiale du géant de la chimie, BASF, a sollicité des spécialistes de l’apiculture pour réussir cette implantation. Une manière intelligente et coordonnée de réaliser des choses favorables à la sauvegarde et à la préservation de la nature…

SENS : Un poids lourd de l’industrie chimique qui agit en faveur de la protection de l’environnement ? Ce n’est pas un pléonasme. Mais, bel et bien la réalité parfaitement maîtrisée au sein de la filiale de la société allemande, BASF, le groupe CHEMETALL.

Sur les quatorze sites implantés dans l’Hexagone, onze d’entre eux sont déjà engagés dans cette démarche environnementale très louable. Nouvellement en poste à Sens, Patrick GRUBERT, directeur de l’unité de production de l’Yonne, ne pouvait rester indifférent à ce message fort, véhiculé au sein du groupe.

Ni se soustraire à suivre les traces déjà bien profondes marquées sur le terrain local par son prédécesseur, M. FOUCAUD. Ici, dans cet espace pourtant à risques et classé SEVESO, la biodiversité tient sa place.

Il suffit pour s’en persuader de se promener aux abords des bâtiments industriels et de contempler avec surprise une nature verdoyante où s’ébattent des représentants de la faune sauvage. A commencer par les oiseaux et les ragondins ! Ils vivent en nombre aux abords de la petite rivière qui coule parmi ses parcelles de terre en friche.

C’est ici que seront installés dans quelques jours les ruchers. Dans un endroit retiré de la vie industrielle et à l’abri des regards de la présence humaine. L’enjeu est important pour Patrick GRUBERT qui ne le trouve absolument pas chronophage.  

Autour de cet espace, des jachères fleuries faciliteront l’implantation des colonies d’abeilles en faisant office de réservoir nourricier. Il est souhaitable que les insectes pollinisateurs disposent d’un territoire où la nourriture soit abondante. C’est là qu’entre en jeu l’apiculteur qui aidera au développement de ces colonies. En fonction de ses analyses, il apportera le complément alimentaire nécessaire aux besoins vitaux des abeilles.

 

 

 

Une présence insolite de la faune sauvage et de plantes sur le site…

 

Construit en 1930, ce site industriel assure une production annuelle de 30 000 tonnes par an. Des produits à la toxicité lourde qui servent au traitement de surface (lessivage, dégraissage, protection anticorrosion…) et sont utilisés auprès des groupes industriels de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie métallurgique.

Il n’empêche que la prolifération de martin-pêcheur, de poissons dans le ru qui s’écoule en arrosant les joncs et les plantes aquatiques, offre un contraste étonnant. Il existe bel et bien un biotope à préserver dans ce lieu qui aurait pu paraître hostile sur le papier.

 

 

 

 

Le programme d’implantation des ruches débutera en avril. C’est l’association des apiculteurs de l’Yonne qui en assurera la manœuvre technique. En respectant le cahier des charges de la responsable du projet biodiversité au sein de CHEMETALL France, Sandrine LEBLOND.

Cette dernière possède l’expérience requise et un véritable recul analytique sur le sujet. Le groupe industriel a déjà exploité le filon sur l’un de ses sites à Clermont de l’Oise où une production de 150 kg de miel a été obtenue en 2018 sur une zone de  43 hectares, bondée de cervidés et d’animaux de la faune sauvage.

 

 

 

 

Un mariage entre industrie et nature plausible…

 

Déployé en mai 2011 à l’échelle hexagonale, ce programme d’optimisation de la biodiversité sert de référence à la filiale française de BASF. Rappelons que le poids lourd de la chimie internationale possède trois cents unités industrielles et emploie plus de 110 000 collaborateurs !

Cet ancrage vers le développement durable aura fait l’objet d’une signature de convention partenariale dans le cadre du concept « ACT FOUR NATURE » par le président de BASF France en personne, Thierry HERNING.

Près de soixante-dix entreprises et une vingtaine de structures partenaires y réfléchissent avec assiduité à la sauvegarde de l’environnement. A l’aide de fiches techniques, chacun des projets est consciencieusement étudié. A l’instar de la faune, de la flore, des insectes qui occupent ces zones.

En 2019, alors que soixante-et-une personnes étaient impliquées sur les projets environnementaux développés par les onze sites de CHEMETALL, 176 heures de formation furent données et 26 actions de communication avec la présence de onze partenaires extérieurs furent réalisées.

Aujourd’hui, ces observateurs atypiques de la nature ont dénombré 172 espèces végétales répertoriées sur les onze sites à l’étude, et comptabilisées des nichées d’oiseaux et d’hirondelles.

Comme quoi, le mariage entre le monde industriel et la nature se révèle tout à fait plausible grâce à de telles initiatives.

 

Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.

 

 

 


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Les investisseurs boursiers doivent anticiper l’évolution des cours des sociétés cotées ou des indices. Leurs prévisions sont alimentées par les rapports et les pronostics des économistes ! La grande nouveauté, c’est que pour la première fois, dans une histoire financière vieille de 5 500 ans, les rapports de santé impactent directement la finance et les bourses du monde ! Nous découvrons les liens économiques entre la Chine, les Etats-Unis et la France…

 

TRIBUNE : L’ensemble de ces relations commerciales nous  fragilise encore plus dans ce contexte : la globalité devient une faille ! La chute des cours du pétrole est combinée à une baisse significative de la croissance mondiale (prévision très réaliste).

De nombreuses entreprises sont déjà en décroissance. Certains spécialistes vont même jusqu’à imaginer une récession planétaire ! Un troisième élément doit être pris en compte : l’insécurité des investisseurs vis-à-vis de l’avenir. Les risques inflationnistes, la chute du dollar, et surtout le spectre de la pandémie : c’est un cocktail de choc qui fait paniquer les investisseurs. Pétrole-bourses-méfiance : une trilogie qui nous entraine irréversiblement vers le Krach !

La méfiance des investisseurs vis-à-vis du futur met en lumière la dimension psychologique du boursicoteur, même professionnel, et le contraint à faire des actions contagieuses et irrationnelles ! La Chine devient ainsi le point nodal de notre réflexion.

Qu’avons-nous appris (ou réappris) du coronavirus ? Les économies françaises, européennes, américaines sont dépendantes de la Chine. La production automobile, notamment française, est affectée par l’arrêt de sites industriels chinois. Certaines matières premières venant de Chine sont bloquées à cause du confinement…

Notre dépendance vis-à-vis de certains produits est quasi-totale : 95 % des batteries électroniques proviennent de Chine et plus de 80 % des composants de médicaments…

Alors ? Les plus naïfs proposent de changer de fournisseurs ! Ah oui !? Pour obtenir un agrément pour fabriquer des médicaments, il faut compter au moins quatre ans…

Nous consommons moins d’énergie et surtout moins de pétrole : chute vertigineuse des cours du brut (plus de 30%). Cette chute  aggrave la situation boursière : les sociétés qui gravitent autour de ce secteur (pétrochimie…) sont impactées. De véritables réactions en chaîne surviennent ce qui dramatise encore plus l’avenir de nos économies et de la finance.

 

Il est grand temps d'acheter les valeurs perdantes...

 

Les états s’appauvrissent : il y a moins de ressources fiscales, plus de  chômages, plus de d’aides de l’état et moins de cotisations sociales…Bref : l’endettement progresse fortement… Cerise sur le gâteau : il y a également moins de ressource TVA et moins de richesse dégagée (PNB).

L’anticipation des boursiers face à une situation mondiale qui contient les germes de la récession conduit les traders à conseiller la vente de titres. Or, les investisseurs sont en manque de liquidité : ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux ! Ils doivent vendre à n’importe quel prix pour rembourser leurs dettes…

Par contre, avec un peu de cynisme, on peut conseiller à celles et ceux qui ont du liquide disponible, d’acheter les actions qui ont le plus chuter. Par exemple, Sélectour et Havas Voyages ont perdu plus de 45 % !

On ne peut encore chiffrer l’impact économique, social et financier de la chute de l’activité des grandes entreprises cotées, sur les PME sous-traitantes ainsi que sur les sous-traitants des sous-traitants…

Cette crise mondiale n’est pas sans rappeler celle de 1929 ! Ne nous y trompons pas.

Aujourd’hui, la globalisation mondiale de l’économie et de la finance, les masses financières en cause et la vitesse de circulation des ordres de bourse, réalisées à la nanoseconde font de 1929 une légère brise vis-à-vis du cyclone qui nous attend.

Seule une régression rapide du coronavirus pourra atténuer les effets secondaires de la crise. Un bon moral et un regard positif vers l’avenir constitueront les meilleurs préservatifs pour cette nouvelle « M.F.T. » : la maladie financièrement transmissible qui a plongé le monde dans la « coronacrise » !

Pour sourire un peu : imaginons un dialogue entre deux traders allongés sur la plage: «  Pierre ? » - « Oui Louis » - « La mer monte » - « Achète ! »…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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