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L’après-crise : « qui id facit » ? Si vous préférez, qui fait quoi ? Comme la tâche s’annonce périlleuse, autant mettre un peu de latin ! Pour mieux le perdre ? Même si beaucoup pensent que l’épidémie est toujours présente, les chiffres liés à la crise sanitaire sont encourageants. Alors, comme le chantait Gilbert BECAUD : « Et maintenant, que vais-je faire ? ». Quelles stratégies, quels programmes pour endiguer la crise économique et financière à venir ? On annonce même un remaniement ministériel : avec qui ? Les spéculations vont bon train…

TRIBUNE : Notre président tient toujours le carnet de chèques pour arroser certains secteurs en crise. Il signe des contrats de prêts à tout va. Sans trop savoir comment on les remboursera ! Une mesure importante est à relever toutefois : une médaille de l’engagement pour le personnel médical ! C’est vrai, ils l’attendaient tous avec impatience !

On ressuscite les « hochets du pouvoir » avec une médaille créée en 1884 ! En parlant de la Légion d’Honneur, Napoléon aurait déclaré un jour : « C’est avec les hochets que l’on mène les hommes » ! Bref, il n’est pas certain que nos braves soldats du médical se laissent mener par le bout du nez !

Et si on changeait un peu notre regard sur nos responsabilités ? Nous sommes tous concernés pour œuvrer vers des solutions efficaces, au lieu de toujours tout attendre de l’Etat.

Les Japonais ont inventé la forme de protectionnisme la plus noble et la plus incontestable : le protectionnisme culturel ! Dès 1950, l’Etat veut se relever de la guerre et décourage les importations. Certes, mais culturellement, pour un Japonais ne pas acheter la production locale, c’est faire injure à son pays ! Aujourd’hui, la dette du Japon représente plus de deux cent cinquante fois son PIB (plus que la France ou la Grèce) : une dette détenue par les Japonais eux-mêmes !

Et les autres pays dans tout ça ? L'Allemagne pilote le comité international de normalisation depuis une décennie. Ce n'est pas un hasard. En exerçant une influence sur le contenu des normes, les entreprises allemandes assurent leur leadership. Les Etats-Unis bloquent nos produits à coups de taxes, la Chine, la Pologne, l’Espagne, le Portugal… faussent toutes les règles de la concurrence en pratiquant des salaires extrêmement bas et parfois des conditions de travail dignes du Moyen-âge !

Oui, on peut tout à fait changer de mentalité et prioriser dans nos achats les produits nationaux et locaux. La viande est plus chère, dites-vous ? Eh bien, on mangera des protéines animales une à deux fois par semaine sans nuire à notre santé ! Chacun, aujourd’hui, a le devoir de bien peser ses arbitrages entre épargne et consommation ! Consommer « Français », c’est aussi nous permettre de nous en sortir. La relance de notre économie passe par la consommation et les investissements vers le « made in France ».

 

Arrêtons de pratiquer les règles de la candeur, pour ne pas dire de la bêtise…

 

Et l’Etat ? Il doit orienter les achats : créer une taxe de non-respect des normes sociales pour des importations venant de pays défaillants sur ce plan. Refuser les produits d’importation qui ne respectent pas nos normes mais qui sont imposés aux producteurs français (les produits bio par exemple)…

Arrêtons d’être naïfs : tout le monde agit pour protéger ses propres productions et nous autres, élevons bien haut l’étendard de la candeur pour ne pas dire de la bêtise…

Qu’attendons-nous pour refuser ces normes internationales imposées par l’Allemagne ! Depuis plus de dix ans, l’Allemagne encourage la dictature des lobbyistes voulue par l’Europe. La dette française devient abyssale : pourquoi ne pas créer un impôt « Corona solidarité », réparti sur tout le monde, particuliers et entreprises, de manière équitable ? Arrêtons d’endetter les cinq ou dix générations à venir ! Toute réduction de salaire réduit d’autant plus le pouvoir d’achat des citoyens, donc la consommation ! Nuisible à court et à long terme.

Notre président a signé des accords commerciaux avec le Japon. Il vient d‘entériner des échanges commerciaux avec le Vietnam et s’apprêtent à accorder de nouveaux avantages dans nos échanges avec la Chine ! Comme le disait Anne ROUMANOFF : « On ne nous dit pas tout ! ». 

Changer de mentalité, c’est également pour l’Etat changer de paradigme. Nos manières de produire engendrent des virus et des crises sanitaires : il faut repenser la production industrielle et agricole. C’est aussi assurer notre avenir et celui de nos enfants.

Aujourd’hui, 45 % de la population mondiale (soit 3,5 milliards d’êtres humains) vit avec cinq dollars par jour et certains avec moins de deux… Le monde a de plus en  plus faim, que fait-on ? On produit de l’éthanol, un agro-carburant, en cultivant des milliers d’hectares de maïs, fortement demandeurs d’eau. Changer nos mentalités, cela passe nécessairement par un changement de constitution !

Un nouveau paradigme afin d’œuvrer efficacement vers un changement salutaire, de nouvelles heuristiques afin de mieux découvrir et analyser les faits : voilà qui nous conduit vers une nouvelle constitution !

 

L’équité mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches…

 

Petits rappels historiques : en mai 2005, la France dit « NON » (à 55 %) au projet de constitution européenne. Afin de sortir du blocage, le Traité de Lisbonne, maquillage de Maastricht, est ratifié par les pays européens et Nicolas SARKOZY entérine le tout par une ratification parlementaire.

Dans les fameux cahiers de doléances de 1789, le peuple demande moins d’impôts, la fin des privilèges et plus de justice. Finalement, les revendications de base sont toujours les mêmes !

Le travail, un toit et du pain demeurent des droits fondamentaux pour tous et pour chacun ! Un constat évident : la fraternité ne fut en aucun cas un thème de la Révolution française, qualifiée de « bourgeoise » par les révolutionnaires russes. L’histoire contemporaine n’a pu trouver ses marques dans nos sociétés libérales.

« Liberté, Egalité, Fraternité » restent des paroles vaines, funestes même, depuis qu’elles sont devenues politiques, trois mensonges », disait Louis VEILLOT.

L’équité est toujours mise à mal par l’égalité qui privilégie les plus riches. Nous avons du mal à la faire naître dans les lois sociales. Alors, si travailler, se loger et manger à sa faim est un droit, que faire ?

Simplement, il faut se plaindre à l’Etat français. Chaque citoyen détient sur le pouvoir une créance. Il est temps de la présenter. Pourquoi l’Etat ? Parce qu’il y a des manquements au respect de la Constitution.

Soyons des centaines de milliers à le faire savoir : auprès de nos tribunaux jusqu’à la Cour européenne de Justice. Nous devons harceler le pouvoir ! Il faut que l’Etat respecte à la lettre une Constitution voulue par le peuple en 1958 !

 

Fin de la première partie.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Les prévisions économiques et budgétaires de l’Etat sont très pessimistes pour notre avenir ! Les recettes moins les dépenses donnent le niveau du déficit. En conséquence, avec un PIB (Produit intérieur brut) en diminution approché entre 2 000 et 2 100 milliards d’euros auquel il faut ajouter des dépenses qui explosent : le niveau d’endettement risque de  dépasser les 120 % du PIB ! Estimée fin 2020, à plus 2 500 milliards d’euros, la dette de la France représente un additif de plus de 2 670 euros par seconde ! Sidérant…

TRIBUNE : La crise sanitaire nous entraîne vers une crise économique, budgétaire et financière très forte. « Les Français vont souffrir », dixit le président MACRON ! Le « nous allons » aurait été sans doute plus seyant dans la formulation et surtout plus respectueux ! Quand les premiers de cordée méprisent les premiers de corvée, le bail de l’Elysée risque d’être de plus en plus précaire !

Trouver plus de recettes et réaliser moins de dépenses ? Simpliste, me direz-vous ? Peut-être, mais allons plus loin.

Plus de recettes représentent plus d’impôts sur les revenus des particuliers, plus d’impôts sur les sociétés : n’y comptons même pas ! Avec un risque d’inflation avérée, la pauvreté et la précarité vont progresser.

Pour les plus riches, l’Etat devra réfléchir à des barèmes plus équitables. Pour les entreprises, on devra s’interroger sur celles qui délocalisent, créent des filiales afin de limiter leurs impôts en France, tout en profitant des aides publiques liées à la chute des activités : cela devient injuste, non équitable et non égalitaire !

Réduire les dépenses suppose distinguer les dépenses conjoncturelles des dépenses structurelles ! Les diminutions des dépenses de l’Etat concernent surtout le fonctionnement des institutions : frais de gestion, transport et déplacement… Ils projettent de la poudre aux yeux.

Les dépenses structurelles sont principalement liées aux salaires.  Pour l’Etat, il faudrait ainsi diminuer le nombre de haut fonctionnaires, réduire les plus gros salaires, revoir le nombre d’élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux…).

 

Partager autrement la valeur ajoutée : pas si simple de changer les mentalités…

 

Pour nos parlementaires, des coupes franches parmi les frais annexes seraient souhaitables ! Haro sur les avantages en tout genre et surtout, le montant nominal des salaires !

En ce qui concerne le salaire des dirigeants des sociétés privées, il serait de bon ton de fixer un écart maximum entre le plus petit salaire de l’entreprise et le plus important, tout avantage confondu.

On entend souvent dire parmi les réactions la formule suivante : « on risque de perdre nos dirigeants, de les voir partir ailleurs avec les plus gros salaires ! ». Soyons rassurés, l’adjoint de direction promu à ce poste acceptera !

Moins d’activité, c’est aussi moins de TVA donc encore moins de ressources. Seule une relance économique, progressive et réaliste donnera l’impulsion nécessaire au rétablissement de l’activité. Il s’agira aussi de juguler le chômage. Cette relance passe par une relocalisation d’une partie de notre production avec des investissements productifs qui génèrent  des emplois, des taxes et des impôts en plus…

On le sait, les Français sont d’une nature solidaire. Mais, de nombreuses mentalités auront du mal à évoluer : gagner plus que « l’autre », prendre des parts de marché au risque de casser des emplois, partager autrement la valeur ajoutée…

 

Changer de paradigme ou poursuivre sur sa lancée ?

 

Des chiffres donnent le vertige. Selon l’Institut de prévisions économiques, « Coe-Rexecode », la suppression de l’ISF en 2018 génère un manque à gagner de 3,2 milliards d’euros.

L’ISF a été remplacé par l’Impôt sur le Patrimoine Immobilier. Il est peu pertinent aujourd’hui si on veut relancer le bâtiment !

En conséquence, les 1 % des ménages les plus riches ont gagné 6 % de pouvoir d’achat ! Avec ou sans ISF, la fuite des capitaux poursuit sa course vers les pays les plus attractifs et les paradis fiscaux !

On estime à plus de 200 milliards d’euros les capitaux sortis de France et 400 000 emplois directs qui ont été détruits.

En outre, la suppression de l’ISF n’a pas amoindri la fuite des capitaux des plus fortunés et des entreprises. Rétablir l’ISF, ce serait gagner quelques milliards et montrer aux plus humbles la volonté de mieux partager le gâteau fiscal ! Le rétablissement de l’ISF fut rappelons-le, l’une des premières revendications des « Gilets jaunes ».

Si on se résume, cette crise économique qui arrive tel un cheval fougueux lancé au galop va faire chuter le PIB de près de 10 %. L’inflation se situera à 6 ou 8 %, quant aux revenus individuels, ils vont diminuer. Le chômage sera durablement en augmentation, engendrant un appauvrissement global de la nation, donc une croissance importante de notre dette. Tout ceci va influencer notre porte-monnaie mais aussi exacerber les tensions sociales du pays !

Selon Gérald DARMANIN, le ministre des comptes publics, ces chiffres devraient être revus à la hausse !

Nous ne nous inscrivons pas dans les « y’a qu’à faut qu’on » mais dans l’expression de la volonté de changer de paradigme Or, nous constatons que nous n’en prenons pas le chemin !

Le mot « crise » en chinois est représenté par deux idéogrammes : ils signifient danger et opportunité. Il y a toujours dans une crise la possibilité de changer, de s'ouvrir à autre chose, d'en comprendre les causes et d'essayer d'en tirer les conséquences.

Elle peut être une prise de conscience qui nous permet de vivre autrement, tant au niveau individuel que collectif selon l’écrivain et sociologue Frédéric LENOIR.

Il serait impérieux de s’en souvenir à bon escient avant de redémarrer !

Jean-Paul ALLOU


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Cela ressemble à une fable de Jean de La Fontaine ou d’Esope. Mais hélas, ce n’est pas une affabulation. Le parti de l’opposition « La France Insoumise » (LFI) propose un concert de casseroles ce vendredi 01er mai, entre midi et 14 heures, dans l’Hexagone. Le défilé traditionnel n’aura pas lieu, confinement oblige. Mais, il sera  symboliquement remplacé par des orchestres improvisés sur les balcons ! Pour autant, attention de ne pas abîmer les batteries de vos cuisines : il vaut mieux utiliser des cuillers en bois de préférence !

TRIBUNE : Même les Genevois sont conviés à exprimer leur mécontentement en jouant de la casserole ce 01er mai : c’est dire le mécontentement ambiant ! Les disciples de Guillaume Tel rangent les arcs et les flèches pour décocher des mots de grogne…

Pas de manifestations syndicales dans les rues de France cette année, c’est sûr l’Etat fera des économies de gaz lacrymogène ! Soyons rassurés, en mars dernier, afin de mieux se protéger, l’exécutif national avait lancé une procédure d’appel d’offres pour 3,6 millions d’euros de ce fameux produit si dissuasif !

Le mécontentement gronde un peu partout et le confinement exacerbe chez certains le niveau d’irritabilité. Du côté du gouvernement, la mode est plutôt au conditionnel.

Le présent est imparfait, le passé (composé ou non) est bien mort : le 11 mai prochain, nous serons donc déconfinés ! Oui mais pas tous en même temps. Déconfinés si le virus est bien stoppé. Si nous avons les moyens sanitaires pour aller travailler, si nous avons des masques,…cela dépendra des régions et …de la vitesse du vent ? Utile, pour mesurer la libre circulation des postillons…Le « si » étant de circonstance, apprenons à jouer des « si » sur nos casseroles...

 

De casserole en casserole pour mieux en cerner le sens…

 

Un peu d’histoire autour des deux locutions : « Traîner une casserole » ou « avoir une casserole au c… ». C’est se compromettre dans une affaire douteuse. Les experts de la cuisine politique font remonter l’expression à 1902. C’est le nationaliste Maurice Barres qui utilisa l’expression en stigmatisant Emile Zola à propos de l’affaire Dreyfus.

« (...) excité par un atavisme que notre âme nationale ignore, il [Zola] s'entêtera et prolongera, comme un tonnerre vengeur sur la France, le bruit de cette casserole [l'affaire Dreyfus] qu'il vient de s'attacher »
Maurice Barrès.

Autre question fondamentale en ces temps trop tristes : pourquoi « casseroles au c… » ? Tout simplement des garnements attachaient à la queue des chiens des objets métalliques et des casseroles. Les braves bêtes, excitées par le bruit des objets métalliques, couraient encore plus vite et aboyaient affolés. De là à imaginer que nos politiques traînant des casseroles, pourraient crier haut et fort en s’agitant dans l’hémicycle, ne serait que pure fiction !

On peut juste penser que toute personne traînant une casserole peut aussi « passer à la casserole » !

 

La tradition séculaire du muguet remonte à…1561…

 

Et le 01er mai dans tout ça ? C’est le 01er mai 1886 aux Etats-Unis que 350 000 travailleurs font grève pour réclamer une journée de travail de huit heures. En France, sous le régime de Vichy, le 01er mai devient officiellement la « Fête du travail et de la concorde sociale ».

Pétain souhaitait remplacer la « journée internationale des travailleurs » instaurée par l’internationale socialiste, en mémoire des émeutes de 1886. A l’origine, le travailleur arbore fièrement, à partir de 1891, une églantine rouge. Vichy va renouer avec une vieille tradition romaine : en l’honneur de la déesse des fleurs, Flora, on offre du muguet.

Une coutume qui se fait connaître en France le 01er mai 1561, sous Charles IX. On offre alors du muguet aux dames de la cour. Offrir une fleur porte-bonheur fut repris par Christian Dior, à « la Belle Epoque » : il remettait un brin de muguet à chaque employé !

Des «  porte-bonheur », il est vrai, on va en avoir bien besoin face aux échéances qui se présentent à nous. Dessinons des brins de muguets sur nos cuillers en bois et nos casseroles sans oublier nos amis SDF : ils ont besoin de casseroles, mais de véritables casseroles remplies de victuailles !

« Le premier mai, c’est pas gai. Je trime, a dit le muguet, Muguet, sois pas chicaneur, car tu donnes du bonheur… ». Georges Brassens.

Jean-Paul ALLOU

 


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Imaginons un état lambda fortement endetté. Un état X lui accorde une aide de sauvetage de 100. Lambda rembourse tout de suite l’état A, pour la somme de 100. Ce même état devait 100 à l’état B. Il en profite pour rembourser un autre état qui apure un peu de sa dette auprès de la BCE. Ce qui permet à la Banque Centrale européenne d’accorder un prêt de 100 à l’état X !

TRIBUNE : Une journée maussade dans un petit bourg ensoleillé au fin fond de la Grèce. Il tombe une pluie battante et les rues sont désertes. Les temps sont durs. Le pays est très endetté : tout le monde vit à crédit.

Arrive un riche touriste français. Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre. Il pose un billet de 500 euros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit.

Pour 500 euros, le propriétaire de l'établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira. Dès que le touriste a disparu dans l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 500 euros, file chez le boucher et règle la dette qu'il a envers celui-ci.

Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de porcs à qui il doit 500 euros et rembourse sa dette. L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au pub régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment. La fille, qui occupe à crédit les chambres de l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé auparavant.

Le touriste français redescend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet de banque et s’en va ! Personne n’a rien produit ! Personne n’a rien gagné !

Mais plus personne n'est endetté ! Et le futur semble beaucoup plus prometteur ! C’est ainsi que fonctionnent les plans de sauvetage au profit des pays de l'Europe en difficulté ! Ce n'est pas la peine d'avoir fait de hautes études pour comprendre ce cycle de la circulation monétaire…

Jean-Paul ALLOU

 


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Cela s’agite dans les concessions automobiles européennes. Les préparatifs à une réouverture imminente s’amplifient malgré la persistance de la pandémie mais toujours dans le respect des règles de bonne conduite eu égard aux mesures de protection. C’est le cas en Belgique où le groupe BMW ouvrira dès le 04 mai certains services de son réseau de concessionnaires avant de pouvoir accueillir du public la semaine suivante…

BRUXELLES (Belgique) : Le communiqué de presse est parvenu sur les mails des rédactions de ce jour. La filiale belge du groupe BMW rouvrira progressivement les concessions de ses marques BMW et MINI d’ici quelques jours dans le plat pays. Une réouverture qui s’effectuera dans le respect d’une sécurité très stricte des gestes barrières et des mesures de protection.

Il est précisé également que la numérisation poussée du travail sera effective après la crise inhérente à la propagation du coronavirus.

A partir du 04 mai, le réseau belge mettra à disposition de sa clientèle certains de ses services. En espérant proposer la totalité de ceux-ci dès la semaine suivante.

Ce qui se passe outre-Quiévrain représente un signe avant-coureur de la réouverture de l’ensemble des filiales européennes et mondiales du constructeur allemand.

Environ 80 % des points de vente au détail en Europe et 70 % de ceux qui opèrent une activité commerciale aux Etats-Unis sont actuellement fermés. Dans un certain nombre de pays, y compris l’Allemagne, les détaillants sont interdits par la loi de vendre des véhicules.

En France, les concessions du groupe sont temporairement fermées. Et le demeureront tant que le plan du gouvernement PHILIPPE ne sera pas dévoilé et adopté par le Parlement. Ce qui sera chose faite ce mardi 28 avril…

Pendant la pandémie actuelle de coronavirus, la protection des employés et la prise de responsabilité envers la société demeurent la priorité numéro un de BMW Group. Le résultat des ventes du premier trimestre a été éclipsé par l'impact mondial de COVID-19 et les effets de la fermeture temporaire d'un grand nombre de points de vente. Le Groupe BMW a livré au total 477 111 (‑20,6 %) véhicules premium BMW, MINI et Rolls-Royce à ses clients au cours des trois premiers mois de cette année.

 

 

Des mesures pour contenir la pandémie…

 

Le Groupe BMW a pris des mesures visant à contenir la propagation du COVID-19. L'entreprise fournit des véhicules aux établissements sociaux et de santé pour assurer la mobilité des aides et des travailleurs du secteur de la santé. Sur ses sites allemands et internationaux, le constructeur aide également les institutions sociales et publiques en faisant des dons de biens et de matériaux tels que des masques respiratoires et des désinfectants. La société travaille actuellement en étroite collaboration avec son réseau mondial de fournisseurs pour se procurer rapidement les masques respiratoires et autres équipements médicaux nécessaires. Il étudie également la possibilité de produire lui-même des masques médicaux.

 


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