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Alors que la quasi-totalité des unités de production sont à l’arrêt partout en Europe, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, appelle au redémarrage progressif de l’activité. Un sursaut vital pour l’industrie automobile dont les usines pourraient reprendre petit à petit leur fonctionnement.

PARIS : Si l’est un des secteurs économiques qui ne sort pas indemne de la crise sanitaire actuelle, c’est bien celui de l’automobile. L’effondrement du marché est abyssal. En l’espace d’un mois, celui de mars, la production s’est délitée à hauteur de - 72,2 % dans l’Hexagone. Soit une chute de - 34 % en moyenne établie au cours du premier trimestre 2020. Son appareil industriel est à l’arrêt à 85 % ! Du jamais vu…

Le phénomène contagieux du coronavirus ne pouvait pas plus mal tomber pour ce pan essentiel de l’économie mondiale. Depuis la fin 2019, le secteur de l’automobile est en proie à un retournement de cycle avec une baisse du marché qui avoisinait déjà 6 % avant le début de la pandémie. 

Une reprise d’activité, même modeste soit-elle, fait déjà figure de grande nécessité pour les spécialistes. Ceux, entre autres, du Comité stratégique de la filière qui était réuni il y a peu par audioconférence pour examiner l’étendue du désastre. Une réunion numérisée qui accueillait la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER.

L’amorce du retour au travail est dans le viseur. Sachant que toutes les entreprises de la corporation sont désormais mobilisées pour mettre en application dans leurs usines et bureaux des protocoles sanitaires très stricts permettant d’assurer la sécurité des salariés. Certaines profiteront du retour d’expérience des dispositions qui ont été adoptées sur les sites industriels de Chine. Là-bas, le redémarrage s’est effectué avec réalisme et succès.

Hormis les unités de production, les professionnels du secteur entendent protéger les activités de logistique, livraison et ventes. Des travaux de mise en place de mesures de protection, auprès des collaborateurs comme de la clientèle, sont en cours.

 

 

Un signal fort des pouvoirs publics est attendu…

 

Attentive aux propos de ses interlocuteurs, Agnès PANNIER-RUNACHER a rappelé que le gouvernement ferait en sorte de créer progressivement les conditions indispensables au redémarrage du secteur via les autorisations de circulation des véhicules de transport, y compris au niveau des différents pays européens.

Dès que le contexte sera favorable, les livraisons de véhicules pour alimenter les réseaux de concessionnaires reprendront. Avant que ne rouvrent enfin lesdites vitrines commerciales qui accueilleront de nouveau la clientèle dans le respect des exigences sanitaires voulues par l’Etat.

 

 

 


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Nos politiques sont en panne de créativité ! Ils cherchent des solutions pour l’après crise. Sans pouvoir se mettre d’accord sur les méthodes d’investigation, de travail, de résolution de problème, de démarche… Ils nous rebattent les oreilles avec les bonnes vieilles méthodes du passé qui, devenues obsolètes, ne leurrent que celles et ceux qui manquent d’imagination…

TRIBUNE : La planète se voile la face en peignant, inconsciemment la dystopie du monde de demain. A la manière de nos grands-mères, nos dirigeants rapiècent de vieux pantalons usagés, décrépis et irrécupérables !

A l’échelle de l’Europe, ils sont incapables d’inventer l’avenir. Les gouvernants reprennent les vielles solutions économiques et sociales d’hier. Les responsables européens nous parlent d’instaurer un plan « Marshall ». Mais, quel est le rapport avec 1945 ?

Faut-il inonder l’Europe (Etats, entreprises) de crédits ? Pour acheter quoi et surtout à qui ? Pour aggraver les déficits commerciaux ? Une politique de l’offre est aujourd’hui tout aussi vouée à l’échec qu’une politique de la demande ! Aucune d’entre elle ne pourra contenir une évolution forte du chômage. Seule une nouvelle méthode de répartition des richesses semble urgente face à la stagflation (récession et inflation) qui menace.

Faut-il injecter des capitaux en masse pour relancer l’économie ? Une soi-disant solution miracle pour la relance, vaine théorie keynésienne, qui n‘a jamais prouvée son efficacité. Mais hélas, elle a aujourd’hui la faveur de nos politiques pseudo-libérales !

Alors, est-ce qu’il faut revenir à Friedman avec la théorie monétariste et le laisser-faire, prêche contre Keynes et la « non-intervention » de l’Etat dans l’économie ! Cela ne peut pas marcher.

Les contribuables, sur pression de l’Etat, ont sauvé les banques après la crise de 2008 ! Nous ne pourrons pas rééditer l’exploit !  Quelles seraient les solutions efficientes pour faire face à une situation inédite dans notre histoire ? Un environnement tumultueux qui cumule une crise sanitaire, sociale, financière et économique. Il ne trouve aucune équivalence donc aucune solution passée dont on pourrait s’inspirer.

 

Inventer l’avenir, c’est imaginer ensemble le monde que l’on souhaite…

 

Techniquement, on retrouve de la stagflation. C’est-à-dire un surendettement global (Etat, entreprise, particulier…), une pauvreté grandissante (600 morts de froid chaque année), une immigration non maîtrisée, un environnement naturel en pleine déliquescence… Les risques de fascisme et de totalitarisme ne sont peut-être pas si loin.

Le locataire de l’Elysée est clair dans ses aspirations pour les Français, lorsqu’il affirmait il y a peu : « La Coupe du monde est réussie quand elle est gagnée ». En conséquence, seule la victoire compte…pour les vainqueurs !

Or, la richesse des uns devient le résultat de la performance individuelle alors que la misère et la pauvreté des autres illustrent leur incapacité à s’adapter et à devenir riche !

Pire encore : le monde voulu par notre président se résume à cette injonction : « Il faut que les jeunes aient envie de devenir milliardaire… ».

Encore faut-il avoir un échantillon personnel à présenter ! Une subtile stratégie encore appelée « mythe de la performance » qui dépolitise les problèmes et évacue toute question de justice sociale.

Inventer l’avenir, c’est se projeter demain. Imaginer ensemble le monde que l’on souhaite, afin de décliner les actions à mener, sans aucune référence aux solutions du passé.

Alors le moment présent, dans l’action, deviendra la valeur actualisée du futur. Nos capacités créatrices sont mises à rude épreuve : quelle place pour l’individu, quelles valeurs doivent prédominer (au lieu de la sempiternelle itération de « liberté-égalité-fraternité » qui hélas demeure trop souvent lettre morte) ?

Quelle est la place de la France dans le concert européen ? Quelles doivent être les formes de solidarité et d’équité entre les peuples ? Peut-on imaginer une économie de partage, sans croissance et sans déficit budgétaire ? Oui, bien sûr !

Mais en associant les forces vives de ces spécialités : scientifiques, économiques, sociologiques…afin d’éclairer et d’affirmer la volonté du peuple !

On ne peut plus confier les clefs du pouvoir à une seule personne, élue par une minorité de citoyens qui jouerait notre avenir à pile ou face : « pile je gagne, face tu perds ! ».

Souvenons-nous de la citation de l’économiste David CAYLA : « Les économistes me font penser aux conquistadors qui dévastèrent des civilisations entières au nom de la quête des cités d’or…».

Jean-Paul ALLOU

 


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La puissance du poids familial a des stigmates que l'on porte depuis des générations dans chacune de nos cellules. Elles s'entreposent et s'empilent sur un côté « pile ». On nous incite à faire comme si...De quelle manière doit-on aimer, créer, et subvenir à tous nos besoins. Où se positionnent toutes nos fantaisies ? Patience, cette combinaison est dans l'air du temps...

TRIBUNE : Cette opportunité prend forme le jour où la vie incite à observer le côté « face » plus lumineux et aventureux. Alors, ce mouton au milieu de cette meute va apparaître comme un parasite nuisible. Ce cheminement à se considérer, va au fur et à mesure devenir déraisonnable d'un point de vue parental et sociétal.

En effet, sa ligne de conduite est transversale à cette route toute tracée. Son audience intérieure et son pragmatisme vont se faufiler et progresser à la seule vérité : être tenté de s'auditer. Céder aux murmures de cette folie à se choisir pour mettre sur le devant de la scène tous ses désirs. C'est une trésorerie allégorique au bonheur à mettre en œuvre.

 

Bas les masques au sens propre comme au figuré...

 

Justement, il est nécessaire de l'aborder dans ce contexte actuel et de le fusionner dans cette dynamique. Présentement, ce chaos non hasardeux ne serait-il pas initié par un miracle à la vie. Comme une renaissance. Cet isolement case tout le monde sur le même plan : en confinement « inté-rieur ».

Les classes sociales sont illusoires, confinées à elle « m'aime » pour un diadème à être. Les poumons, bouclier protecteur de l'organisme, sont sensibles à tous les agents pathogènes externes. A force d'inspirer les aspirations des autres, le manque de souffle peut s'offusquer. Dixit notre président de la République : « Un retour à soi » imposé, certes, mais salutaire... 

 

La cerise sur le gâteau à un goût amer...

 

De plus, nous expérimentons depuis le début de cette pandémie une guerre antiseptique mais également financière. Sous gouverne d'un remède miracle, quel laboratoire va décrocher le pompon dans cette gloire sanitaire et pécuniaire à la course au vaccin ?

Les hautes autorités sanitaires discréditent ce substantif : la chloroquine, un dérivatif à l’édit virus coronavirus. Préconisé par le professeur Didier RAOULT, éminente référence de l'infectiologie. Or, observons que des avancées bénéfiques et avérées ont été margées sur des résultats d'analyses. Ah oui, toutes mes excuses : cette substance aurait des effets nocifs et indésirables.

 

 

 

En 2013 un rapport rédigé par le pharmacologue Bernard BEGAUX et par l'épidémiologiste Dominique COSTAGLIOLA révèle que dix mille à trente mille décès sont attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux sur la conséquence néfastes liées aux soins* (voir source).

Chut : c'est inconvenant de lire aussi toute la liste des risques de symptômes sur chaque antidote. A les survoler, là, la migraine n'a pas de remède. Et, tambour battant... cet aliphatique  est si peu onéreux que son impact en est discrédité !

 

Des soins très accessibles qui ont du mal à se frayer un chemin...

 

Tout traitement se mesure-t-il à son coût ? Est-il raisonnable de penser que la prise en charge de sa santé doit être soumise à des dépenses plus élevées. Des médecines douces ancestrales aux traitements thérapeutiques, beaucoup sont dans le discrédit comme l’homéopathie, relayée à un substrat inefficace.

Pour ne citer que la Suisse et l'Allemagne, ces pays limitrophes, qui ont réussi à équilibrer dans leur champ de conscience la médecine générale et holistique. Ouf !

Le mouton noir représente le symbole d'un héros nonchalant qui refuse de se plier à des normes. Il se joue des carcans illusoires imposés par la société. Spirituellement, il est le guerrier de son intériorité dans un périmètre au respect de soi : son amour propre. A l'extérieur, il est assujetti à des relais de transmission plus terre à terre : la justesse d'action.

Nous sommes dans un confinement à 360 degrés pour observer ces murs intérieurs et extérieurs. Sont-ils oppressants ou au contraire apaisants ? C'est à vous de respirer la vie et d'élaborer un souffle de nouveauté si nécessaire...

La différence entre l'école et la vie est la suivante : à l’école, on nous apprend une leçon puis ensuite, il y a un test. Dans la vie, on nous donne le test qui nous enseigne la leçon…

 

Lyvia ROBERT

 

Source :

* « Le Monde.fr » en date du 03 mai 2016 : « Les erreurs médicales à l’hôpital, cause majeure de mortalité… ».

 


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Soixante bougies sur le gâteau : cela méritait bien une petite fête virtuelle dans le contexte du moment ! Le modèle qui a permis au constructeur d’outre-Rhin de briller durant quelques saisons sur les compétitions automobiles date de 1960. Ce sont les courses d’endurance et de côtes qui auront donné la possibilité à ce véhicule au profil et caractéristiques hors normes de se distinguer…Rappel.

STUTTGART (Allemagne) : C’est une véritable page de l’histoire de la compétition automobile internationale que l’on vient de commémorer ces jours-ci outre-Rhin. Le soixantième anniversaire du fameux 718 RS 60 SPYDER, modèle unique en son genre, conçu par PORSCHE.

Seulement seize exemplaires de ce petit bolide fougueux ont été produits à ce jour ! Ce qui fait de cette sportive nerveuse une vraie légende pour les aficionados de la course automobile.

D’ailleurs, son successeur, le 718 RS 61 SPYDER, utilisé uniquement par des écuries privées, n’aura pas connu un sort plus prolifique avec treize spécimens sortis des usines de la firme allemande.

Dès sa première saison, la voiture remporte de nombreuses victoires, autant en endurance que dans des courses de côte.

Par rapport à son prédécesseur, le 718 RSK, le nouveau modèle a bénéficié de plusieurs changements, suite à de nouvelles réglementations imposées par la Fédération internationale de l’automobile (FIA). Notamment l’opportunité de passer d’une cylindrée maximale de 1 500 à 1 600 cm3 pour la saison de course de 1960. Soit une puissance de 160 ch.

 

 

 

 

Des aménagements imposés par la FIA qui furent positifs !

 

En outre, et toujours en conformité avec les nouvelles directives de la FIA, le SPYDER 60 pouvait être doté d’un pare-brise plus élevé et d’un cockpit spacieux. Equipé également d’un châssis tubulaire optimisé et de suspensions arrière entièrement nouvelles à double triangulation, le véhicule disposait de davantage de maniabilité que les modèles précédents du constructeur.

Ces prouesses technologiques furent de bon aloi pour la performance de l’automobile. Non seulement, le modèle de Stuttgart fit des merveilles dès ses premières apparitions officielles (gain de la victoire pour ses équipages lors des Douze heures de Sebring le 26 mars 1960 avec les deux SPYDER 60 engagés qui terminèrent aux deux premières places), mais également pour les épreuves suivantes.

Au terme de la saison, PORSCHE et FERRARI possédaient le même nombre de points. Mais, le constructeur allemand termina vice-champion dans le championnat mondial des voitures de sport ; FERRARI réussissant à rester en tête du classement à la faveur d’une troisième place supplémentaire durant la saison.

Le 718 RS 60 SPYDER brilla également dans les championnats européens de course de côte en 1960 et 1961 en reportant les titres continentaux lors de ces deux éditions.

 

 


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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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