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Elle est l’une des nouvelles marques proposées par son concessionnaire exclusif sur notre territoire, le groupe JEANNIN Automobiles. Ce pur produit du savoir-faire de la péninsule ibère n’a d’autre vocation que de concurrencer le SUV du constructeur BMW, le X4. Un combat des chefs quasi inéluctable pour mettre en exergue le premier modèle inédit du fabricant espagnol développé en interne ?

 

AUXERRE : Ils l’ont annoncé il y a peu, lors de la remise du trophée qui a auréolé leur nouveau modèle, le « FORMENTOR », détenteur du prix de meilleur SUV de l’année 2021. Les dirigeants de la firme espagnole CUPRA ambitionnent de doubler les ventes de leurs véhicules sur le marché européen et de dépasser ainsi le milliard d’euros de chiffre d’affaires.

Pour y parvenir, l’enseigne ibérique, apparue en février 2018 – elle était auparavant la division sportive du constructeur SEAT – va s’appuyer sur deux produits de sa gamme : la CUPRA LEON et ce fameux SUV, dont les spécialistes ne cessent de vanter les éloges.  

En l’espace de trois années, dont 2020 très particulière pour la sphère automobile du fait de la pandémie, CUPRA a pu commercialiser plus de 60 000 modèles dans le monde. Second produit dans la chronologie de la gamme, le « FORMENTOR » a été lancé il y a déjà douze mois.

En Bourgogne, mais aussi sur les départements limitrophes que sont la Seine-et-Marne et l’Aube, les amateurs de nouveautés peuvent en découvrir ses subtilités chez le concessionnaire exclusif de la marque, le groupe JEANNIN, dans l’un de ses nombreux points de vente. Des corners spécifiques à ce nouveau fleuron de l’ingénierie espagnole y ont été aménagés.

 

 

 

Lors de la remise des prix de l’Automobile Award, il a été précisé que la CUPRA « FORMENTOR » avait décroché le pompon pour ses aspects novateurs tant au plan de l’esthétisme que de la praticabilité et de la technologie embarquée. Lancé en octobre 2020, le véhicule a su coiffer sur le fil dix-sept autres concurrents, et non des moindres !

C’est le premier sésame remporté par la marque espagnole dans l’Hexagone. Gageons que ce ne sera pas le dernier. L’avenir est en bonne voie avec trois nouveaux modèles, qui se présentent sous forme d’hydrides rechargeables hautes performances dont on devrait reparler d’ici peu.

Le premier véhicule 100 % électrique apparaîtra sur le marché d’ici la fin de l’année. Son nom de baptême est CUPRA El Born. Un clin d’œil non feint aux bornes de recharge, sans doute !

 

Thierry BRET

 


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Les commémorations deviennent les préoccupations majeures du Président de la République. Pendant que la planète vaccine à tout va, ne devrions-nous pas avoir d’autres intérêts plus terre à terre que de réveiller les fantômes de la guerre d’Algérie ? Le devoir de mémoire est certes important. Car, « oublier, c’est tuer une deuxième fois ! ». Un précepte que suit Emmanuel MACRON. Il a reçu le rapport de Benjamin STORA sur les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie…

 

TRIBUNE : Depuis toujours, la colonisation constitue un ferment de divisions permanentes en France. Pourquoi ? Parce qu’il n’existe aucune culpabilité des grands pays colonisateurs à travers les siècles comme la Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, les Pays-Bas, l’Italie, la Turquie. En France, la gauche classique s’ingénie à déstabiliser la droite républicaine, de son implication dans les guerres coloniales. C’est une manière de décrédibiliser l’action de Charles de GAULLE et le gaullisme. Le fameux « Je vous ai compris » a fait des dégâts irréversibles dans tous les rangs !

Dès le début des années 50, Charles de GAULLE savait qu’il fallait donner l’indépendance à l’Algérie. Il confia alors à un journaliste : « Si j’avais déclaré que j’étais favorable à l’autodétermination pour les Algériens, je n’aurais jamais été élu ! ».

Rappelons aussi que la guerre d’Algérie fut adoubée par la gauche ! Les jeunes générations, notre Président en tête, méconnaissent l’histoire. Ils veulent rouvrir la boîte de Pandore que constitue le dossier « algérien », sans en mesurer les tensions mémorielles que cela va renforcer. Il faut être naïf pour croire que mettre à plat toute l’histoire pourra réconcilier la France et l’Algérie !

La mémoire de la colonisation et de la guerre a légitimé le pouvoir algérien actuel depuis des lustres. A contrario, on ne peut qu’éprouver de la réelle compassion pour les souffrances des nationalistes algériens, celles des harkis, des pieds noirs, des militaires français, des milliers de civil disparus dans les deux camps, des victimes de massacres comme à Sétif. Plutôt mille fois qu’une !

Jean-Marc BENAMOU a écrit : « La France n’était pas l’Allemagne nazie ; elle n’a donc pas à présenter d’excuses ». Le mal a été fait lors d’une visite du candidat MACRON à Alger où il déclare que « la guerre menée par la France est comparable à un génocide ! ».

La gauche est-elle prompte à juger l’histoire à l’aune du savoir présent ? Si tel était ce cas, ce serait un crime de lèse culture digne des « procès de Prague ». Hier, vos amis sont devenus nos ennemis, alors aujourd’hui vos amis sont nos ennemis, donc vous devenez des ennemis !

 

Les Européens étaient tous des colonisateurs en puissance…

 

Commençons par la France. Notre pays a souffert de la colonisation depuis des temps reculés. Vers 120 avant notre ère, nous fûmes envahis par les Teutons (déjà) et les Cimbres. Les Romains vont soumettre les Gaulois et imposer leur civilisation après la bataille d’Alésia. La Gaule devient ainsi une colonie romaine. On considère que Rome marque la fin de nos traditions orales (culture celte), au profit de la civilisation de l’écrit. Toutefois, la population paysanne résiste en se mélangeant très peu avec les Romains. Les campagnes sont réticentes aux échanges et adoptent à minima les coutumes romaines et la langue latine. Pour l’anecdote, Jules César, lors de la guerre des Gaules, évitera les maquis du pays éduen (comme la Wehrmacht le fera en son temps !), peu sûr et très dangereux. Les Eduens d’hier sont les Morvandiaux d’aujourd’hui !

Vinrent ensuite les invasions barbares avec les Francs qui vont chasser les Romains et coloniser une Gaule qui deviendra la France ! N’oublions pas la colonisation de l’Allemagne nazie mais aussi la tentative des Américains pour faire de la France une colonie américaine. Lors de la libération de Paris, HEMINGWAY déclara après avoir libéré le bar du « Ritz », que « la France comptait 80 millions d’habitants ! ». On lui affirma que non : « En 1940, j’en ai vu 40 millions applaudir PETAIN et aujourd’hui, j’en vois 40 millions applaudir de GAULLE ! ». C’était alors la perception de la France par les Alliés. L’Hexagone a été également une grande puissance coloniale. Ses colonies ont rayonné sur tous les continents : des confins de l’Indochine, à l’Afrique noire et au Maghreb, en passant  par l’Inde, les îles et archipels de tous les océans. Une grande richesse qui sera enviée par de nombreux pays, y compris en 1945 par les Etats-Unis. Les jaloux ont aussi largement contribué à la fin de la période coloniale à la française.

 

 

Nos voisin d’Outre-Manche furent également de grands colonisateurs. A son apogée, les Britanniques totalisent un empire de 33 millions de kilomètres carrés, comprenant 450 millions de sujets, soit le quart de la population mondiale ! Poursuivons cet inventaire à la Prévert. L’empire colonial portugais, le premier de l’histoire européenne, s’inscrit dans la reconquête chrétienne des pays dits païens et des croisades contre les musulmans. Un territoire non négligeable qui s’étale depuis l’Afrique du Nord, au Sénégal, au Mozambique, au Brésil, vers de nombreux territoires en Inde…Un déclin progressif a ensuite poussé les Portugais à émigrer en France. Une revanche à retenir pour les années futures pour les Lusitaniens : les plus grandes réserves de lithium sont situées au Portugal ; elles pourraient faire de ce pays le plus riche d’Europe !

Mais, poursuivons l’histoire de la colonisation avec l’un des plus puissants empire colonial du monde : celui de l’Espagne. Son empire rayonne sur certains pays d’Europe, le Mexique, le Pérou, l’Amérique du Nord, les peuples Aztèques et Incas, les Indes…

N’oublions pas la somme de petits états coloniaux à l’instar de la Belgique (Congo, Rwanda, concession en Chine…), l’Allemagne (Cameroun, Togo, Tanganyika devenu depuis la Tanzanie du fait de son association avec Zanzibar…). On peut apprécier que les colonies passent de main en main, au gré des conflits ou des accords commerciaux au fil de l’histoire de l’humanité.

Toutefois, ceux qui espèrent des excuses à rebours de l’Angleterre pour avoir asservi des peuples entiers à leurs seuls profits, aux Conquistadors espagnols pour avoir massacré les Incas au prétexte de trouver de l’or, peuvent toujours attendre. Que dire du plus grand empire lié aux Mongols, réputés barbares ? Quant à la parenthèse concernant l’empire ottoman, et plus de trois siècles de domination en Algérie, c’est un trait de l’histoire qui intègre la catégorie des pertes et profits.

 

Il faut condamner les oppressions actuelles plus que refaire l’histoire…

 

Quand le président ERDOGAN évoque le « génocide » que la France aurait pratiqué en Algérie, cela relève d’une grossière manipulation et d’une méconnaissance volontaire de l’histoire. Durant de nombreux siècles, les « indigènes » de ce que l’on appelle aujourd’hui l’Algérie se sont révoltés contre le joug et les exactions commis par les Turcs ! ERGOGAN a la mémoire courte et devrait balayer devant sa porte avec le génocide arménien de 1915 !

Le cycle adamique de notre humanité présente une succession de combats pour asservir des peuples, coloniser des régions entières, en alternance avec des époques où règnent l’esclavage, la barbarie en tout genre, et des périodes de paix fructueuses. L’histoire de l’humanité est marquée par des faits vérifiés et d’autres contestés. On ne peut en aucun cas, justifier la construction des infrastructures routières, des hôpitaux, des écoles… par la simple colonisation. Il y eut des violences, injustifiables, il est vrai, mais parfois l’occupation fut établie dans un climat de sérénité et de progrès. Ainsi, on doit à la colonisation le vaccin contre la fièvre jaune : ce qui aura permis de sauver des millions de vies.

Dire aujourd’hui que l’époque coloniale liée à l’histoire de la civilisation est une honte n’est pas totalement fondée en soi. Condamner de tels faits s’ils sont commis à l’heure actuelle, l’est évidemment ! D’ailleurs, qui s’insurge réellement contre les massacres subis par le peuple uyghur par les Chinois ? Personne !

Nos indignations sont aujourd’hui soumises aux dictats des économies les plus fortes. On remarque que, parfois, les indépendances ont aussi abouti à l’accession au pouvoir de nouveaux maîtres qui ont pillé leur propre pays ! Réécrire l’histoire pour s’amender d’un passé embrumé ne peut que raviver les tensions et les blessures non refermées. Dire que l’on condamne une histoire faite de violences, oui sûrement, mais il faut surtout bâtir le futur, en travaillant sur un avenir commun que l’on veut fraternel !  Comme le disait Victor HUGO : « L’avenir est une porte, le passé en est la clef… ».

 

Jean-Paul ALLOU    

 


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Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos  lendemains économiques.

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.

À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.

Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]

Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.

Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.

Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.

 

 

 

La crise sanitaire met la France à l’épreuve...

 

Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.

La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.

La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.

Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.

Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.

Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.

Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]

Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».

C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055

[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361

[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984

[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12

[5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3578202


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La nouvelle est positive pour les cent-trente personnes travaillant sur la plateforme logistique du Gâtinais. Alors qu’elles étaient menacées de perdre leur emploi, la signature d’un nouveau contrat avec le spécialiste de l’animalerie en ligne MAXI ZOO, filiale du groupe allemand FRESSNAPF, augure de belles perspectives. FM LOGISTIC poursuivra ses activités au moins pour cinq ans.

 

SAVIGNY-SUR-CLAIRIS : Yannick BUISSON, directeur général de FM LOGISTIC Europe de l’Ouest et France, l’avait martelé à maintes reprises lors d’une rencontre se déroulant avec les élus du nord de l’Yonne en mars.

Il ferait tout son possible pour retrouver un nouveau partenaire permettant à l’infrastructure logistique du Gâtinais de survivre après le terme du contrat la liant depuis trois ans avec le distributeur Carrefour.

 

 

Le défi était certes complexe à envisager dans le climat économique actuel : il aura tenu ses promesses au bout du compte. Grâce à la mobilisation très forte des élus du territoire et des services de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST en tête.

La bonne nouvelle a été confirmée ce jeudi 15 avril par la direction de FM LOGISTIC. Une filiale du groupe d’Outre-Rhin FRESSNAPF, l’animalerie en ligne MAXI ZOO (210 vitrines commerciales dans l’Hexagone) s’est finalement engagée avec la plateforme icaunaise pour une durée de cinq ans. Un contrat qui va courir jusqu’en 2026.

 

 

 

 

La décision met un terme aux spéculations concernant la fermeture définitive de ladite plateforme et la mise en place d’un plan social qui pesait au-dessus des têtes des cent-trente collaborateurs du groupe FM LOGISTIC, condamnés à se projeter dans un nouveau plan de carrière.

Cette nouvelle ne peut que réjouir également les quatre-vingt-dix intérimaires qui étaient employés par l’entreprise.

FM LOGISTIC assurera l’approvisionnement de l’ensemble des magasins gérés par MAXI ZOO en France, à partir de sa base icaunaise qui proposera le stockage des produits, le conditionnement, les préparations de commandes et celles à l’unité du service e-commerce.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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