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Le projet d’ouverture de CHEVANNES vers l’international commence à prendre forme. Dans les cartons : une bourgade aux désirs analogues qui est située de l’autre côté des Alpes, sur le versant italien. Si les choses se mettent en place de manière progressive, la visite du premier élu, Dominique CHAMBENOIT, à la Commission économique de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux, était de toute autre nature lundi soir.

 

AUXERRE : Il n’est pas venu quémander quoi que ce soit aux spécialistes es jumelages que sont les représentants de l’association éponyme de l’Auxerrois, lors de sa visite ce lundi soir. Non, Dominique CHAMBENOIT, premier élu de la commune périphérique à la capitale icaunaise forte de ses 2 200 âmes, n’a guère évoqué les contours du futur projet pouvant tisser durablement des liens avec une agglomération de même typologie en Italie. Peut-être un aboutissement de la procédure en 2022 si la crise sanitaire l’autorise ?

Le vice-président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois en charge de la politique de la ville et du complexe dossier relatif aux gens du voyage (l’aménagement d’une aire de grand passage favorisant leur accueil s’inscrit toujours parmi ses prérogatives régaliennes en 2022) est venu écouter avec beaucoup d’intérêt ce que ses hôtes avaient à lui dire.

Ne serait-ce que sur la définition applicative de cette francophonie dont on parle finalement fort peu en France alors qu’elle est depuis longtemps le pygmalion existentiel de bon nombre de francophiles, vivant dans 85 pays.

 

Des projets à réaliser au nom de l’attractivité du territoire…

 

Invité à une séance de travail de la Commission économique, l’un des bras armés démonstratifs de la Maison de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois, Dominique CHAMBENOIT a pu noircir les quelques feuilles placées devant lui de précieuses notes informatives dont il se servira à bon escient.

La présidente de la structure, la toujours sémillante Marité CATHERIN, lui dévoila les arcanes de cette association qui a placé le curseur des relations économiques avec l’extérieur au sommet de ses ambitions.

« Il en va de l’attractivité de notre territoire, souligna-t-elle au terme de sa prise de parole.

Une attractivité qui sera le mot clé de l’année 2022 pour cette commission éco qui réfléchit déjà à la suite à donner après le succès de sa conférence débat organisée dans l’amphithéâtre de la Fédération du Bâtiment en novembre dernier. On se souvient que trois items avaient été retenus lors de cette causerie mettant en exergue les relations internationales et la ville d’Auxerre : à travers le tissu associatif local, la jeunesse et son besoin de formation et le volet entrepreneurial, une évidence en somme pour évoquer l’export des savoir-faire.

 

 

Le Festival « CHOCOVINS » : l’amitié franco-africaine n’est pas vaine à Auxerre…

 

Pour le maire de CHEVANNES, la rencontre ne fut pas fortuite. Non seulement, il était accompagné de l’une de ses responsables de service qui aura bien emmagasiné le flux d’informations utiles à la mise en adéquation de projets liant le village au reste de l’Europe.

Mais, en outre, il a été séduit par l’approche réaliste et ambitieuse de cette structure qui veut fédérer les bonnes volontés institutionnelles et économiques au service de nos territoires.

Tant en retombées humaines, via la culture et le regard accordé aux autres que sur le prisme de l’économie à réaliser. Au moment où les relations entre les pays vont au plus mal, il n’est pas illusoire d’essayer !

Ainsi, l’élu communautaire a pu découvrir les contours d’un futur projet évènementiel qui se présente à l’horizon fin 2022 ou 2023, la création du premier festival international alimentaire unissant les vertus gustatives du chocolat à celles du vin à Auxerre. Le projet se nomme le « CHOCOVINS » : il est porté par le président de l’association Lune d’Afrique, le journaliste ivoirien, Dieusmonde TADET qui remue déjà ciel et terre entre les deux continents afin d’en garantir la concrétisation.

Au terme de cette rencontre, jalonnée de fructueux échanges, Dominique CHAMBENOIT qui s’est dit prêt à s’engager aux côtés de cette association en qualité d’ambassadeur institutionnel, a posé avec une jolie écharpe autour du cou, rappelant cette amitié franco-africaine (et en l’occurrence ivoirienne) qui ne date pas d’hier entre Auxerre et le continent noir n’était pas vaine…

 

Thierry BRET

 

 

 


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La Chandeleur est une tradition séculaire aux origines païennes et chrétiennes. Pour les Chrétiens, la fête de la chandeleur correspond à la fête de la présentation de Jésus au Temple, quelque quarante jours après sa naissance. L’origine la plus connue remonte aux « parentalia » romaines. C’était une fête annuelle en l’honneur des morts, au cours de laquelle, les Romains veillaient à l’aide de cierges et de torches…

 

TRIBUNE : A l’époque, on honorait Pluton et les dieux du panthéon romain. La chandeleur était aussi reliée au dieu grec Pan. Pan est le dieu des bergers et des troupeaux ; il veille à leur fécondité. Son front porte deux cornes, son torse velu est humain, et ses membres inférieurs sont ceux d'un bouc. « Ils aimaient à lui donner le nom de Pan, parce qu'il avait réjoui tous les esprits », d'où son nom de Pan (pân en grec signifie « tout »).

La Chandeleur est également la survivance d’une croyance et d’une symbolique d’origine celte. La crêpe symbolise la roue solaire et le don sans lesquels le blé serait carié.

La fête chrétienne trouve son origine dans les relevailles, quarante jours après la naissance d’un enfant. Les Hébreux fêtaient les relevailles de la femme par une cérémonie de purification. Elle perdure jusque dans les années 50 chez les catholiques. Surtout en Bretagne, la tradition est féroce : la femme qui vient d’accoucher, est entachée du péché originel, donc vingt jours après la naissance de l’enfant  il faut qu’elle se confesse de la « faute ». Il faut lire « Le Cheval d’orgueil » de Pierre-Jakez HELIAS. Il décrit fort bien ces traditions. En pays bigouden, il était interdit d’adresser la parole à la jeune accouchée tant qu’elle n’était passée à confesse !

 

Faire disparaître les rituels païens…

 

La Chandeleur marque le jour où les jours rallongent plus rapidement. On fêtait alors le retour à la lumière en marchant aux flambeaux, puis on déposait des chandelles dans sa maison et on mangeait des crêpes. La christianisation de la chandeleur se déroule en 472, lorsque le pape GELASE organise des processions aux chandelles. On raconte que ce pape faisait distribuer des crêpes aux pèlerins arrivant à Rome ce jour-là. Durant des siècles, la chandeleur était symbolisée par des chandelles et des crêpes. Aujourd’hui, il reste surtout les crêpes…    

Le « païen » et le « chrétien » s’entremêlent et se confondent comme souvent. Les chrétiens ont souhaité faire correspondre leurs propres fêtes afin de mieux neutraliser et faire disparaître les rites celtes. Les églises, cathédrales, abbayes… ont souvent été construites sur d’anciens temples païens.

 

 

Aux Etats-Unis, la chandeleur s’appelle « le jour de la marmotte »…

 

Au fil du temps, le « jour  de la marmotte » est devenu une manière amusante d'anticiper le printemps. En Amérique du Nord, la tradition d'observer les marmottes sortir de leur terrier et d'en tirer une prévision météorologique remonte à 1887. Elle est attribuable aux colons allemands de Punxsutawney en Pennsylvanie. Une tradition ancestrale. Elle a notamment été mise en lumière par le film américain « Un jour sans fin » (1993), avec l’acteur Bill MURRAY. On y voit un journaliste, particulièrement agacé par le fait de devoir couvrir cet événement qui se répète tous les ans, revivre encore et encore cette journée qu’il déteste tant…

Aujourd’hui, la sortie de cette marmotte de Pennsylvanie est un événement très suivi, aux États-Unis. En temps normal, chaque 02 février, des  dizaines de milliers de personnes convergent vers Punxsutawney pour observer le comportement de la marmotte, rendez-vous couvert massivement par les médias américains.

La tradition est vieille de plusieurs siècles. Aux origines du Jour de la marmotte, il y a la chandeleur qui tombe le 02 février. En ce deuxième jour du mois, nous sommes aussi à la mi-chemin entre le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps, souligne Stam ZERVANOS, professeur émérite de biologie à l’Université d’État de Pennsylvanie.

Les agriculteurs commencent à observer le ciel, à cette date : ils ont besoin d’avoir un aperçu de ce que leur réserve la météo des prochains mois, afin de déterminer quand ils pourront effectuer leurs plantations, au printemps. Ils commencent alors à tenter d’effectuer des prévisions, et au fil des ans, de nombreux dictons apparaissent sur la météo de la Chandeleur.

Au Moyen-âge, commence à apparaître cette croyance : si certains animaux qui hibernent et sortent la tête de leur terrier le 02 février, voient leur ombre, l’hiver se poursuivra. Les habitants de l’Allemagne médiévale s’intéressent alors au comportement d’un animal, en particulier : le hérisson. Aux Etats Unis, comme au Canada d’ailleurs, on fête « le jour de la marmotte » avec des pancakes…

 

 

Quelle pratique de la chandeleur dans les autres pays ?

 

Au Mexique, les célébrations religieuses sont une affaire sérieuse. Le 02 février est un jour férié au Mexique, et celui qui trouve la fève le jour des rois doit ensuite organiser la Chandeleur. Ainsi, le jour de la Chandeleur, ou « Día de la Candelaria », les Mexicains se réunissent pour déguster des tamales. Il s’agit de petits pains de maïs cuits à la vapeur dans des feuilles, garnis d’une farce qui peut être sucrée ou salée. Une spécialité datant de l’époque précolombienne.

Au Luxembourg, la Chandeleur ou Liichtmëssdag, est entièrement dédiée aux enfants et célébrée dans son sens le plus littéral. En effet, la fête des chandelles y est marquée par des processions d’écoliers parcourant leurs quartiers munis de lanternes colorées. Le 02 février, les écoliers vont ainsi quémander à leurs voisins des sucreries ou de l’argent, tout en chantant des airs traditionnels.

En Angleterre, la Chandeleur est traditionnellement célébrée par le « Pancake Day ». Les Anglais participent, suivant la tradition, à la course aux crêpes : ces « pancakes races » ont lieu tous les ans et le but est de courir le plus vite possible tout en faisant sauter la crêpe dans une poêle sans la faire tomber par terre.

En Russie, chez les Slaves préchrétiens, le 02 février (le 15 selon le calendrier julien) marquait le jour de la « rencontre entre l’hiver et le printemps ». Une riche série de coutumes s’est tissée autour d’une journée si importante. Il n’est pas difficile de deviner que la plupart de ces dernières étaient liées à la glorification du Soleil et aux présages saisonniers.

De nombreux pays, chrétiens ou non, fêtent la Chandeleur, non comme une coutume religieuse mais pour une occasion de faire la fête.

Finalement, les différences essentielles se situent au niveau des recettes de cuisine et des boissons qui accompagnent les crêpes, salées et sucrées.

 

 

Le particularisme de la Bourgogne...

 

Selon les régions, les recettes gardent aussi des traditions séculaires. Beaucoup connaissent les « crapiaux du Morvan » : côté sucré avec des pommes macérées dans la gnole et côté salé avec du lard ! Restons en Bourgogne avec les fameuses crêpes au vin blanc : une recette de tradition médiévale ! 

Et pour la boisson, à part le cidre, restons chauvin et faisons un petit tour vers le « Saint-Bris » ou le chablis pour le sucré et pourquoi pas l’Irancy ou un Coulanges pour le rouge !

Le « ban bourguignon » a remplacé le cantique et les agapes demeurent joyeuses. Dernière tradition (ou superstition) : ne pas oublier de faire sauter très haut une crêpe afin qu’elle atterrisse en haut d’une armoire et la laisser ainsi jusqu’à …ce qu’une souris passe la déguster. La crêpe en haut  de l’armoire, c’est s’assurer de bonnes récoltes pour l’année qui vient. La crêpe devait être réalisée avec le surplus de farine de l’année passée et les faire sauter de la main droite en tenant une pièce de monnaie dans la main gauche. C’est aussi le jour de la Chandeleur que l’on clos le cycle de Noël en rangeant la crèche…

On peut faire sauter des crêpes toutes l’année et si l’envie vous en prend, on peut encore fêter la Chandeleur quelques jours durant sans qu’aucune malédiction n’y soit attachée.

Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire une blague sur la Chandeleur, je ne voudrais pas me ramasser comme une crêpe !

 

France C.

 


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Les dates de cette échéance ne sont pas encore arrêtées au calendrier officiel. Ces élections législatives, capitales pour la relance économique du pays, devraient se dérouler en tout état de cause en juillet prochain. Les membres de l’Assemblée nationale de la République du Congo signeront alors un bail de cinq ans avec l’institution. Depuis Auxerre, Jean-Claude MAHPOUYAS peaufine sa stratégie en préparant sa campagne. Car, lui aussi possède des rêves de conquête électorale dans sa mère patrie !

 

AUXERRE: Qui ne connaît pas la silhouette de l’ancien élu d’Auxerre, très investi dans le monde associatif local ? Chantre de la francophonie, humaniste dans l’âme et toujours soucieux de son prochain (il est une des figures incontournables de la diaspora africaine dans le nord de la Bourgogne), Jean-Claude MAHPOUYAS, âgé de 55 ans, s’inscrit sur la grille de départ pour jouer un rôle important lors des futures législatives, prévues en juillet dans son pays d’origine : la République du Congo.

L’ancien conseiller municipal de la Ville d’Auxerre, sous le mandat de l’édile socialiste Guy FEREZ, ambitionne de devenir député, ni plus ni moins en l’état actuel des choses, et de rejoindre ainsi pour une mandature de cinq années l’Assemblée nationale de ce pays dont la France est le premier partenaire économique.

C’est précisément ce sujet, capital pour le développement de ce pays phare de l’Afrique équatoriale, qui le pousse à afficher clairement ses prétentions politiques, lui qui a rejoint il y a peu l’APC (Action Permanente pour le Congo), une formation politique sous la houlette de Rodrigue MALAMBA-SAMBA, aux valeurs très humanistes d’inspiration sociale-démocrate et soutien de l’actuel président de la République, Denis SASSOU N’GUESSO.

 

 

A la tête de l’APC en France et de sa représentativité en Europe…

 

D’ailleurs, depuis qu’il a affirmé son appartenance à ce parti, Jean-Claude l’Auxerrois, plus de trente années de présence dans la capitale de l’Yonne dont il connaît le moindre rouage institutionnel, a pris la présidence de la fédération France-Europe de l’APC. Une pure logique en somme pour ce spécialiste de la communication (il a exercé longtemps en sa qualité de chargé de mission au service de l’Office Auxerrois de l’Habitat aux côtés de Jacques HOLJO, autre visionnaire en matière de relations internationales), diplômé de la discipline.

Que Jean-Claude MAHPOUYAS porte un intérêt croissant à la vie publique et politique de son pays dont il est natif n’a donc rien d’exceptionnel en soi. Il effectue très régulièrement des séjours à Brazzaville, capitale de cet état dont les principales ressources sont l’exploitation des hydrocarbures sur la côte de l’Atlantique à Pointe-Noire ou le bois (luxuriante forêts tropicales) avec l’acajou, l’okoumé ou le limba.

 

 

 

Apporter sa pierre à l’édifice au nom de l’essor du Congo et de l’Afrique…

 

Il y a peu, Jean-Claude MAHPOUYAS a dévoilé ses intentions de briguer un mandat à la députation. Enregistrant une vidéo qui tourne depuis en boucle sur les réseaux sociaux des influenceurs de son pays originel, le franco-congolais (il possède la double nationalité) a donné ses premières interviews à la presse africaine qui relaie ses messages altruistes et solidaires dans leurs colonnes.

« Je ne me suis jamais coupé de mes racines, explique le garçon avec un large sourire, après avoir apporté mon expérience au service des habitants de l’Yonne et de l’Auxerrois, je désire désormais me consacrer à mes sœurs et frères africains qui doivent faire évoluer les structures sociétales de mon pays. L’émancipation de la femme est une priorité. A l’instar de l’éducation et de l’enseignement. L’ouverture sur le monde grâce à la francophonie est un élément très important. Si je suis élu député, je compte bien développer des liens très étroits avec ma terre d’adoption, la France et la Bourgogne… ».

On comprendra derrière ces propos que l’Yonne ne sera pas oubliée dans cette stratégie de développement devant propulser la République du Congo et sa majorité présidentielle vers de nouvelles ambitions.

Il y a quelques années, Jean-Claude MAHPOUYAS avait été la cheville ouvrière d’un déplacement ô combien capital pour la diaspora africaine vivant sous nos cieux et l’amitié franco-congolaise: la venue du Premier ministre de l’état d’Afrique centrale de l’époque, Henri LOPEZ à Auxerre !

151 sièges composent l’Assemblée nationale qui est accueillie à Brazzaville. Jean-Claude MAHPOUYAS a des rêves de gosse et d’Afrique à fleur de peau : ceux de pouvoir occuper l’un deux, dans une circonscription près de la capitale, dès l’été prochain.

Un juste retour au bercail, en vérité, comme le succès du moment qui fait danser le pays, « Bokoko » du chanteur Roga Roga, un air de rumba envoûtant dont on ne se lasse pas…et qui signifie « retour aux sources ».

 

Thierry BRET

 

 


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Etre soi-même, c’est quand on se sent bien ! Et se sentir bien, c’est quand on est entouré par un environnement qui reflète la profondeur de son âme…Telle est la philosophie de travail de cette épicurienne de la décoration et de l’architecture d’intérieur, la « très british » Hannah Elizabeth PURSSELL. A la tête de sa structure « Interior, Design & Creation », la gracieuse sujette de Sa Majesté magnifie comme par enchantement tout ce qu’elle touche. Intéressantes perspectives décoratives pour le CIFA de l’Yonne…

 

AUXERRE : On n’est plus à une nouveauté près quand on se rend au CIFA, le Centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage d’Auxerre. Si ce n’est pas dans l’assiette en dégustant un succulent menu concocté par les futurs maîtres-queues du pôle restauration, c’est dans l’approche visuelle et ergonomique du site que les surprises se présentent en cascade.

Les visiteurs ont très certainement remarqué la présence d’engins de chantier qui s’activent depuis plusieurs semaines dès le portail d’entrée franchi. Les façades du bâtiment assurant l’accueil du millier d’élèves et des formateurs se transforment. Elles seront agrémentées d’ici peu d’une très belle « dentelle mécanique » du plus bel effet. A l’image du parement insolite qui orne les restaurants d’application du lieu, le « Com’des Chefs » et son corollaire en version brasserie, ouvert depuis peu.

 

 

Mais que l’on ne s’y trompe pas ! Ces travaux ne concernent pas uniquement les extérieurs. Dedans, cela bouge aussi ! La salle des formateurs est repensée afin d’apporter les conditions optimales à l’équipe pédagogique pour qu’elle puisse exercer son savoir-faire.       

Le sas d’accueil vit sa bénéfique cure de jouvence décorative. Quant aux bureaux administratifs, ils effectuent leur nécessaire mue afin de recevoir dans d’excellentes conditions les collaborateurs. Des travaux décoratifs où intervient l’égérie du bon goût et de la personnalisation des lieux, la talentueuse Hannah Elizabeth PURSSELL.

 

 

Un savoir-faire qui s’est ressourcé au Japon…

 

Créative, la ressortissante anglaise qui maîtrise parfaitement la langue de Molière depuis son installation en Bourgogne, du côté de Précy-sous-Thil en Côte d’Or, déborde d’imaginaire. C’est elle qui a totalement retravaillé l’intérieur de l’hôtel auxerrois, Le Normandie. Lui conférant ce petit aspect si cosy et le choix de ses coloris, un tantinet britannique. Un ravissement pour la propriétaire des lieux, Sylvie RAMISSE.

C’est elle aussi qui a apporté cette touche d’intimité et de raffinement au Spa du Clos à Chablis. Une bénédiction pour Noémie VIGNAUD qui en assure l’exploitation. De multiples voyages au détour de pays qui l’ont inspiré à l’image du Japon et cette passion enivrante pour sublimer l’existant en lui conférant une nouvelle jeunesse font de cette professionnelle du design d’intérieur une référence qui exporte son savoir-faire au-delà de sa terre d’adoption bourguignonne.

 

 

Au sein du CIFA, on lui doit l’agencement décoratif du restaurant d’application, un bijou de gourmandise visuelle, de l’espace dégustation des vins et de l’univers brasserie. Il suffit d’admirer le moindre drapé de ce plafond éclairé par ses jeux de lumière discrets et l’on croirait voire apparaître de petites vaguelettes.

Le « Com’des Chefs » méritait du fait de la succulence de ses mets un tel écrin de beauté. Hannah Elizabeth PURSSELL le lui a donné. « Let it be » (ainsi soit-il) comme le chantèrent si bien les BEATLES !

 

En savoir plus :

Au-delà de ces lignes, il ne faut pas omettre l'excellent travail assuré par Sébastien BELLOLI et son cabinet, UBIK Architectures. Depuis bientôt quatre ans, ces derniers accompagnent le CIFA de l'Yonne dans une profonde mutation archirecturale. 

Tous les projets de rénovation extérieurs et intérieurs ont été conçus par leurs soins. Attestant l'investissement quotidien et passionné dont fait preuve cette entreprise depuis plusieurs années sur l'Auxerrois et au-delà...
 

Thierry BRET

 

 


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Où sont passées les grandes voix, les intellectuels de tous les bords et de tous les courants de pensée ? Qui va pouvoir partager une vision prospective et engagée sur la situation sociale, politique et économique d’aujourd’hui ? Des journalistes, des vrais, des philosophes, des vrais qui n’auront pas peur de s’exprimer, sans contrainte et sans la peur de se voir embastiller à la moindre incartade ou au moindre écart avec la doxa ambiante. Il est évident que la presse aujourd’hui subit les contraintes du pouvoir politique, la tyrannie des éditorialistes et le dictat des annonceurs publicitaires. Jean YANNE, dans son film « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », le dénonçait déjà, en 1972 : les rapports entre la presse, les politiques et les annonceurs sont complexes…

 

TRIBUNE : Des sondages nous indiquent que l’on ne croit plus en Dieu. Est-ce que l’homme ne croit plus en rien ? Non, il croit aux sondages ! Il croit le premier politique qui déballe des idées capables de mettre à mal le pouvoir, il croit dans les mondes virtuels… L’homme est prêt aujourd’hui à croire en n’importe quoi !

Les hommes politiques, incultes pour la plupart (à de rares exceptions dont Jean-Luc MELENCHON), n’aident pas à élever le niveau de la pensée. Georges MARCHAIS avec ses « Taisez-vous Elkabbach », « Elevons le débat » ou encore lorsque le journaliste lui disait « ce n’étais pas ma question », répondait allègrement : « Oui mais, c’est ma réponse !». Il assurait l’audimat et crevait tous les plafonds d’audience ! Une manière de rendre accessible le débat, à tous et proche du peuple…   

 

Où sont passés les responsables scientifiques ? 

 

Je ne parle pas de ceux qui sont dans le conflit d’intérêts en défendant des positions pseudo-scientifiques soutenues par les grands laboratoires pharmaceutiques. J’exclus du débat, les soi-disant spécialistes qui n’ont pas vu de malades depuis des lustres mais qui passent leur temps sur les plateaux télé ! Les véritables savants, qui en dehors des dogmes, poursuivent leurs recherches dans l’humilité et la discrétion. Un Pierre-Gilles de GENNES qui après avoir reçu son prix Nobel de physique remerciera l’équipe d’étudiants-chercheurs qui ont contribué à la réalisation du succès de ses travaux. Ce n’est pas avec les différentes réformes scolaires et le nivellement par le bas que nous allons générer de futurs prix Nobel ! Les Louis LEPRINCE RINGUET, physicien ami des arts, LAVOISIER, scientifique et homme de conscience, Louis  de BROGLIE physicien et prix Nobel,... tous ces savants qui ont marqué notre histoire et parfois même l’histoire de l’humanité manquent terriblement au paysage scientifique actuel par leur esprit et leur humilité. La science doit-elle être apolitique, sans connotation spirituelle ? Nous sommes très loin d’un LAVOISIER qui déclarait : « science sans conscience n’est que ruine de l’homme ».

Les savants d’hier ne niaient jamais l’histoire en déclarant qu’Einstein s’était trompé sur tel type de découverte mais plus simplement situaient les nouvelles découvertes, dans un contexte particulier et le paradigme scientifique. Aujourd’hui, pour exister, certains savants cherchent à faire le buzz, à défrayer la chronique en déclarant de manière péremptoire qu’untel s’est lourdement trompé…

 

 

Philosophes ou philousophes ?

 

Au sein de la grande tradition de la philosophie, celle-ci s’est toujours pensée comme la possibilité inhérente à l’être humain de se départir de son discours national en vue de le faire accéder à l’universalité de la raison.

Platon, Socrate, Thalès et autre Archimède sont remis aux calendes… grecques, évidemment ! Une petite élite peut toujours les évoquer. Nous sommes encore loin de feu Michel SERRE, qui dans la grande tradition pouvait concilier les démarches mathématiques et purement philosophiques. Ledit Michel SERRE écarté de l’Université, puisque atteint par la limite d’âge mais surtout connu pour des convictions chrétiennes. Pour les intégristes de la laïcité, à l’Education Nationale, c’était franchement rédhibitoire… Qu’à  cela ne tienne, il partit enseigner aux Etats-Unis et en Angleterre.

Il nous reste peu de monde dans le paysage philosophico-littéraire ! Si on écarte les « philousophes » en quête de médiatisation et assez peu convaincants, comme BHL et Raphaël ENTHOVEN pour les français, je rejette l’exécrable Peter SINGER, chantre de l’euthanasie, gourou des vegans, qui défend l’idée que l’animal est l’égal de l’homme et qui séduit l’ONU pour des intérêts plus financiers que littéraires ! J’écarte bien entendu tous ceux qui comme Matthieu RICARD ou Aymeric CARON sont séduits par les idées d’un tel personnage…

 

 

Ceux qui peuvent accompagner une élévation sereine du niveau de nos débats politiques et des enjeux de la prochaine élection sont Michel ONFRAY, Julia de FUNES, André COMTE-SPONVILLE dont les références à Montaigne ou Spinoza ne sont plus à vanter. Des philosophes en quête d’une vérité sans être des donneurs de leçons. Au panthéon des références philosophiques, on peut s’inspirer de Raymond ARON, Albert CAMUS, André GLUCKSMANN, René GUENON et certainement Montaigne. Je refuse un Edgard MORIN surtout sociologue mais un pauvre philosophe qui fait partie de ces personnes plus intéressées par l’argent que par la recherche ! J’ai écarté Sartre, gauche caviar qui finit, à la fin de sa vie, par reconnaître que Camus avait raison…     

Chers amis lecteurs, je suis conscient que mes choix et propos sont arbitraires et peuvent être contestés, c’est un peu le but du jeu !

 

 

Et les Francs-maçons dans tout ça ?

 

Même s’ils brillent par une légendaire discrétion, les Francs-maçons peuvent néanmoins éclairer la route qui nous même aux portes d’une forme de sagesse. Que disent-ils aujourd’hui pour la défense de la Veuve et de l’Orphelin, sur la fraternité entre les hommes quelques soient leur race, leur religion ou leurs idées politiques ? Voltaire, célèbre Franc-maçon (reçu à la Loge des Neufs Sœurs) nous ouvre grande la porte du « Siècle des Lumières ».

Parmi les obédiences maçonniques les plus importantes citons : le GO (Grand Orient), la GLF (Grande Loge de France) et la GLNF (Grande Loge Nationale de France).   

Pour notre éclairage, on peut lire les revues éditées par les grandes obédiences : « Bulim »,  « Points de vue initiatiques », « Journal de la GLDF »… J’émets une réserve pour « les Cahiers de Villard de Honnecourt » édités par la GNLF. Nous sommes très loin du temps de feu René GUENON (écrivain et philosophe), qui quitta son obédience et la Franc-maçonnerie. Cette revue, est devenue un document pseudo intellectuel pour adeptes de l’épistémologie universitaire…

Lesdits Francs-maçons (même s’ils ne savent ni lire ni écrire…sic) peuvent mettre à notre disposition des outils simples mais nécessaires à la bonne compréhension du monde : une règle, une équerre, un compas et un fil à plomb… A chacun de transposer ce que ces outils peuvent leur apporter.

 

 

N’oublions pas les journalistes !

 

Il y a ceux qui ont ouvert des voies universelles à ce métier, qui grâce à des Albert LONDRES aux mots sculptés au marbre de la culture ou un Joseph PULITZER, grand journaliste sans qui la statue de la Liberté n’aurait jamais pu être installée dans la baie de New-York. Bien sûr, un journaliste a des convictions politiques. Georges CLEMENCEAU nous en est témoin. Mais, il ne peut pas pour autant faire passer ses idées personnelles dans les tribunes nationales. Quels journalistes alors ? Tout le monde, à condition de respecter les critères de la bienséance, de la force de conviction et de la droiture. Les faits rapporté doivent être vérifiés et vrais ! Ce n’est pas toujours le cas. Reprocher au « Figaro » d’être à droite ou au « Monde » d’être à gauche ? Que nenni ! C’est là l’intérêt des lecteurs. Reprocher aux chaînes publiques (TV ou radio) d’être à gauche et sélectives selon leurs invités et « évités », mille fois oui ! C’est avec les impôts que l’on finance ces chaînes : elles doivent s’adresser à tous, sans aucune forme de discrimination ou de publicité subjective…

Un petit sourire : si vous me demandez quel est le meilleur journal ? Presse Evasion, bien sûr !

Beaucoup de monde, de tous horizons, peuvent apporter leur pierre, à la construction de l’édifice culturel qui nous conduit aux prochaines élections. Pour reprendre un lieu commun, ce n’est pas tant la destination qui est importante mais le chemin qui y mène…

"L'homme moderne, au lieu de chercher à s'élever à la vérité, prétend la faire descendre à son niveau" écrivait René Guenon.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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